Britney Spears : Miley Cyrus fait des concessions aux "conspirationnistes"

8 Mai 2019 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Débats chez les "résistants", #Grundlegung zur Metaphysik, #Les Stazinis

Voici ce qu'expliquent plusieurs vidéos et sites américains (et de plus en plus en Europe aussi) en ce qui concerne l'ingénierie sociale : depuis plus de quarante ans, peut-être même depuis leur fondation, de grands groupes de l'industrie du divertissement comme Disney qui sont dirigés pas des adeptes de doctrines secrètes (kabbale, rosicrucisme - ce qui explique l'abondance de symboles récurrents et de messages subliminaux dans leurs productions) travaillent au conditionnement de la population au niveau mondial pour qu'ils acceptent un agenda d'asservissement généralisé mis au point par les élites politiques et économiques. Ils y travaillent en partenariat avec les grands médias et les services secrets comme la CIA qui ont développé depuis leur création des programmes de contrôle mental (mind control, MK) dont certains ont été expérimentés par les nazis. Des rescapés de ces programmes en ont témoigné, mais leur témoignage prête souvent à caution compte tenu des troubles dissociatifs qu'ils manifestent. Des médias "mainstream" (dominants) comme Arte commencent à reconnaître l'existence de ce genre de programme, mais ils en minimisent la portée : pour eux il ne s'est agi que d'expérimentations ponctuelles qui ont été effectuées au moment de la guerre froide. En réalité, ils en démentent l'existence plus vaste et plus récente parce que les archives n'ont été déclassifiées que pour les années 1950-60 et parce que les anciens cadres de la CIA ne sont prêts à témoigner que pour des périodes anciennes.

Selon ces thèses en tout cas, la programmation implique un contrôle mental très serré sur les figures de proue du divertissement, toutes ces "stars" livrées aux masses pour qu'elles les idolâtrent. Ce contrôle repose largement sur l'hypnose et le traumatisme. Les stars seraient programmées puis déprogrammées et reprogrammée à volonté en fonction de ce que leurs "manipulateurs" (handlers) cherchent à promouvoir.

Disney a fourni des cohortes de stars de cette espèce, nourries en son sein dès le plus jeune âge : Britney Spears, Selena Gomez, Miley Cyrus, Ariana Grande, Justin Timberlake...

Les déboires de Britney Spears, produit du système Disney, cette année, ont redonné vigueur à ces thèses. A plusieurs reprises celle-ci a manifesté publiquement des troubles de la personnalité qui pouvaient se rattacher au conditionnement MK, et correspondre à des tentatives de reprogrammation.

Le plus récent s'est manifesté ce printemps. Dans un premier temps, ses "managers" ont tenté de rassurer les foules - "mais non, Britney va bien". Mais la "star" se porte visiblement si mal, qu'on suspecte un échec de la tentative de reprogrammation. Du coup, une autre stratégie d'endormissement des masses sur ce sujet semble en cours. Le 5 mai dernier, la presse annonçait que Miley Cyrus, autre produit du système Disney qui fut programmée pour passer de la gentille petite fille des émissions pour enfant à l'adulte démoniaque "pan-sexuelle" afin d'entraîner dans son sillage tous les jeunes qui la vénéraient, aurait fait une concession aux "conspirationnistes" en lançant (le 4 mai au festival de rue de Beale) le hashtag "freeBritney" (libérez Britney) qui revient à admettre que la star anglaise est bien prisonnière de quelque chose ou de certaines personnes, et non pas de l'abus de drogue et d'alcool comme le laissent entendre d'ordinaire les grands médias... Sauf que Miley Cyrus ne va pas au bout de la logique complotiste. Elle se contente d'affirmer que Britney Spears serait otage de sa famille et de ses managers. Pas des manipulateurs occultistes qui l'obligent à arborer l'oeil d'Horus (en cachant une moitié de son visage) ou le bracelet rouge de la kabbale. Et pour cause : Miley Cyrus elle-même est contrôlée par ces gens là. Au même moment - deux jours plus tard (6 mai) -, elle se rendait au Met Gala en tatouant sur son annulaire et son index droits... l'oeil d'Horus et une pyramide... Elle n'ira donc pas au bout des aveux.

Avouer une partie du forfait est parfois un moyen de dissimuler la pire dimension qu'il revêt en réalité, un peu comme lorsque l'on reconnaît que la clique néo-conservatrice autour des Bush fut responsable de la catastrophe irakienne, sans détailler à quels réseaux occultistes responsables de bien d'autres crimes qui touchent d'encore plus près l'existence des gens.

Et ne croyez pas que ce sujet ne concerne que la rubrique "people". La campagne électorale d'H. Clinton, mais aussi celles de France, et les fuites de Wikileaks ont montré combien le star system est interpénétré avec le monde politique et financier. C'est de la politique générale de contrôle des populations qu'il s'agit.