Pollution atmosphérique, épandages...99 Luftballons ?
Comme on l'avait exposé en 2018 à propos des chemtrails, la question de l'épandage de produits polluants ou de virus dans la haute atmosphère ou au niveau des habitations humaines est un sujet délicat. On ne peut pas jouer la carte de la peur et cautionner tous les fantasmes des gens (dans les années 1990 un fou qui disait venir de Roumanie se promenait dans les bus avec une pancarte qui disait : les socialo-communistes répandent des gaz asphyxiants dans le métro), mais on ne peut pas non plus jouer le rôle (que certains affectionnent sur les réseaux sociaux, qu'ils soient payés ou non pour le faire) de celui qui en permanence désamorce toute interrogation, car il a été prouvé par le passé que des opérations secrètes d'épandage ont bien nui à la santé des civils, notamment aux Etats-Unis, et donc on ne peut a priori exclure aucune hypothèse.
Or l'on ne peut pas faire confiance à la télévision pour nous éclairer sur ce genre de sujet. Les derniers débats sur la prise en charge du Covid-19 ont montré par exemple que le groupe de télécoms et médias Altice fondé par l'homme d'affaires milliardaire maroco-franco-luso-israélien Patrick Drahi qui possède BFM-TV, L'Express, Libération etc - est actionnaire du laboratoire californien Gilead qui défendait le traitement par Remdesivir (ce qui explique que BFM TV n'ait interviewé en boucle depuis des semaines que des lobbyistes anti-hydroxychloroquine). Il faut donc aussi donner la parole aux médias indépendants et aux investigations des chercheurs de vérité (truth community).
Comme sur la 5G, sur la question de la pollution de l'air, il y a eu des informations de niveaux très disparates sur la pollution de l'air. Et l'on comprend tout à fait que toutes sortes de spéculations puissent avoir lieu face à ce virus bizarre dont des savants dissidents comme Judy Mikovits nous disent qu'il est nécessairement une création de l'homme, et dont on "découvre" (ou "invente" à des fins purement statistiques ?) des symptômes nouveaux tous les jours.
Le 29 avril, un Suisse alertait : des avions silencieux Pilatus Porter, dont certains décollent de la Confédération helvétique, puis font des zigzags étroits dans le ciel comme s'ils labouraient autour de régions italiennes, suisses, françaises, allemandes dans les zones à taux élevés de Coronavirus. Les numéros d'alerte (qui comprennent beaucoup de 666 et de 999) n'ont pas donné d'explications. Ce sont souvent des avions sans immatriculation.
Immédiatement un lecteur a essayé de "débunker" l'information : "J'ai passé ma carrière à programmer des vols comme ceux-ci, écrivait-il, il s'agit de prise de vue aériennes et/ou de laser-grammétrie (LIDAR). Ca sert à cartographier les zones survolées... quand la météo est bonne: ça vole... D'ailleurs si l'auteur avait la présence d'esprit de recouper l'existence de ces vols avec les appels d'offre Européens des 6 mois précédents, il retrouverait trace du travail qu'il voit faire sous ses yeux...Pour les avions immatriculés, il suffit de chercher pour trouver les propriétaires, qui sont toujours des sociétés de type géomètres. Pour les avions non immatriculés , ils s'agit de sociétés de même type qui ne veulent pas que leurs immatriculations soient dispatchées pour ne pas que leur concurrents sachent où ils volent."
Les mêmes doutes entourent maintenant la question des odeurs de soufre perçues en région parisienne le weekend dernier.
Les pompiers d'Ile-de-France, expliquait la grande presse, ont reçu de très nombreux appels le 10 mai au soir pour signaler une inhabituelle odeur de soufre dans l'air de Paris jusqu'à Melun, sans pouvoir donner lundi d'explication à ce phénomène, odeurs qu'ils ont imputées faute d'autres explications à des remontées depuis les canalisations à la suite de pluies violentes. On aurait tendance à demander : pourquoi y aurait-il du soufre dans les canalisations ?
Du coup des gens se sont mis à témoigner : le 11 mai à Mer dans le Loir et Cher ( 41) vers 20h30 un avion serait passé très bas aussi puis il y aurait eu une odeur de soufre toute la soirée... De même le 7 mai, nuit de pleine lune, vers 4 h 30 du matin à Châtillon en région parisienne, un usager de Twitter a pris en photo cette traînée de vapeur d'un avion passant à basse altitude.
Des contradicteurs ont opposé que des avions militaires utilisaient probablement des créneaux libérés par l'aviation civile bloquée au sol par le confinement, mais pourquoi volent-ils si bas ? Et si le panache blanc n'est que de la vapeur d'eau pourquoi est-il vertical ?
Le soufre a laissé de mauvais souvenirs. En février certains médias à Wuhan (Chine) avaient relevé des émanations de dioxyde de soufre anormales. A l'époque certains avaient parlé de combustion de cadavres, mais au fond personne n'avait su d'où cela provenait. Aujourd'hui on parle également de soufre en Californie, mais cela s'est produit aussi à des dates plus anciennes.
Beaucoup se livrent à des hypothèses sur le fait que le soufre est relié au diable dans les traditions ésotériques, mais on est très loin de pouvoir relier ces tout petits bouts d'indices entre eux pour pouvoir construire une théorie.
On notera que le même genre d'interrogation s'était développé aux Etats-Unis lors de l'éclipse solaire de 2017.
Ce jour là, la NASA (dont a déjà souligné le contenu maçonnique dans ce billet) avait lancé, à l'occasion de l'éclipse, plus de 50 ballons à haute altitude dans plus de 20 endroits à travers les États-Unis jusqu'à 30 000 pieds dans le ciel. Des ballons chargés de bactéries très résistantes. Le but officiel était de savoir si ces bactéries peuvent résister sur Mars. Mais, pour savoir ça, il fallait d'abord les envoyer sur Terre. Car, expliquait The Verge, juste avant l'opération, "la partie supérieure de la stratosphère terrestre - juste au-dessus de la couche d'ozone - ressemble beaucoup à la surface de Mars...Pendant l'éclipse, les conditions deviendront encore plus semblables à Mars...les ballons seront lancés toutes les 15 minutes environ à partir d'états qui se trouvent sur le chemin de l'ombre de la Lune.Ils voleront pendant environ deux heures, atteignant la stratosphère et finissant par éclater à cause de la chute de pression. Une fois de retour au sol (un parachute ralentira la descente), les élèves des écoles qui les auront lancés les suivront par GPS, récupéreront les étiquettes métalliques et les renverront par courrier à la NASA. ".
Quelques jours après, le journal britannique The Telegraph du 28 août 2017 faisait savoir qu'en Angleterre «les résidents le long d'un tronçon de cinq miles de la côte de Sussex ont été avertis de rester à l'intérieur et de fermer leurs fenêtres après qu'une« brume chimique »nocive eût balayé un endroit de beauté et laissé 133 personnes nécessitant un traitement hospitalier. La veille Mail Online avait été plus précis : "les amateurs de bronzette terrifiés ont eu des problèmes respiratoires et des yeux brûlants après qu'un mystérieux nuage chimique jaune eût submergé une plage bondée... des médecins en combinaison de protection ont traité des centaines de vacanciers manifestant des symptômes dangereux, notamment des vomissements dans des tentes de contamination à Birling Gap, près de Beachy Head." Ce gaz c'était de la chlorine. Certains experts estimaient que cela pouvait provenir d'un "navire en mer" mais sans être très affirmatifs. En fait, on ne savait pas.
La chlorine est un désinfectant qui tue les bactéries. Se pouvait-il qu'il y ait eu un "nettoyage" des bactéries propagées par la NASA ?
Le chercheur de vérité Enterthestars faisait l'hypothèse qu'elle a pu être balancée depuis le Nord Est des Etats-Unis. La masse gazeuse aurait alors suivi le courant au nord de l'Atlantique jusqu'en Angleterre. La presse anglo-saxonne le jour même de l'éclipse avait averti : il se peut que vous soyez malade (maux de tête, nausée) du fait du passage simplement du chaud au froid après avoir regardé l'éclipse dehors. Certains médias relevaient que beaucoup de gens avaient fait des recherches sur Google ce jour là pour savoir si leurs maux de têtes ou leurs picotements aux yeux étaient normaux. Un journal australien parlait hypocondrie. Voire... Et si c'était à cause des gaz balancés à cette occasion ? demandait Enterthestars.
Il est intrigant qu'il y ait une programmation prédictive ancienne autour des ballons chargés de polluer l'atmosphère. En 1984 (33 ans - chiffre maçonnique - avant l'éclipse de 2017) la chanteuse allemande Nena lançait son tube planétaire "99 Luftballons", repris plusieurs fois depuis lors en anglais sous le titre "99 red balloons". La même année (1984) sortaient les films Red Dawn (l'Aube rouge) et Visitors où un ballon balançait un gaz rouge sur la planète.
On objectera que 99 Luftballon était une chanson pacifiste. En apparence oui. Mais l'occultisme s'est souvent caché sous les oripeaux du pacifisme, et les paroles dans la version anglaise si l'on coupe les vers du contexte peuvent faire croire à une attaque chimique ou bactériologique quelconque.
"99 ballons rouges flottant dans le ciel d'été/ Cloches de panique c'est une alerte rouge/ Il y a quelque chose ici venu d'ailleurs" disait la chanson.
Elle a été traduite en anglais par "99 Red balloons" - 99 ballons rouges, et la chanson n'a cessé d'être matraquée sur la tête des gens pendant 30 ans (il y avait même un "99 red balloons tour" aux Etats-Unis en 2016 au moment de l'élection de Trump). Les Japonais en 1944 avaient prévu d'envoyer des ballons rouges chargés de gaz chimiques contre la population américaine au dessus du Pacifique (opération "cherry blossom"). Dans les sociétés secrètes on aime beaucoup la numérologie (souvenez vous de Mme Lagarde, patronne du FMI, donnant un cours de numérologie magique). Enterthestars pose beaucoup de questions sur le 99. L'album 99.9 Fahrenheit degrees de Suzanne Vega dont la chanson phare joue sur l'imaginaire de la maladie, et les autres sur celui du sang, avec une couverture qui affiche l'oeil d'Horus ainsi qu'un sparadrap bizarre digne de celui d'Obama et de Podesta sur lequel Qanon avait attiré l'attention en 2018 n'a pas fini non plus de faire mouliner les esprits...
En 2008 le groupe de hard rock Metallica, dans son album "The day that never comes" (un titre qui évoque l'éclipse, puisque la lune empêche le jour de venir), le single "All Nightmare long" évoque un bombardement chimique à partir de ballons : "The strike is carried out - not by bomber but a balloon." Le jeu de cartes "Pandemic" sorti en 2008 basé sur l'épidémie de SRAS de 2002 évoquait aussi l'utilisation de ballons pour éradiquer l'humanité.
Le jour de l'éclipse de 2017, le compte Twitter de la série d'horreur The Strain, twittait "le maître est là", un maître annoncé la veille par l'épisode de cette série "Tainted love" (amour pollué).
Et des spéculations commencent aussi à entourer l'éclipse de soleil de décembre 2019 aux Etats-Unis, jour où l'épidémie de coronavirus a été déclarée dans la presse.
Epandages, phénomènes solaires et lunaires, programmation prédictive. Il y a peut-être là les pièces d'un puzzle à construire. Ou peut-être pas... Difficile de savoir si toutes ces choses doivent être reliées entre elles ou pas.
Les grands médias n'étant là que pour vous dire qu'il n'y a rien à penser et rien à voir dans tout ça, ce n'est en tout cas pas de ce côté là que vous pourrez trouver des outils de compréhension.
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