Des formules magiques dans "The Rhythm of the night"
6 Juin 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma, #Grundlegung zur Metaphysik, #Le monde autour de nous
On a souvent parlé sur ce blog de programmation prédictive et aussi de l'occultisme dans la pop culture (occultisme qui n'est pas dissociable de ses rapports avec les services secrets et les structures militaires occidentales même si le lien passe souvent par des voies surprenantes). Pour comprendre les enjeux de tout cela je vous renvoie aussi à l'étrange goût du Centre européen de recherche nucléaire (CERN) pour les artistes tarologues.
Voici une histoire qui recoupe un peu toutes ces thématiques et peut éclairer certains ressorts "cachés" de notre monde.
En 1993 le groupe d'italodance Corona sortait un tube intitulé "The Rhythm of the night".
Ce tube a connu à nouveau un regain d'intérêt pendant l'épidémie de Covid 19. Wikipédia l'explique ainsi :
"Pendant la pandémie de COVID-19 , la chanson a repris de l'importance en raison du nom du groupe, qui partage son nom avec la famille des virus qui causent le COVID-19 . Selon l'auteur italien William Silvestri, on s'est alors souvenu du groupe et de son tube le plus célèbre pour "exorciser la peur du COVID-19". Il a déclaré en mars 2020 que "le COVID-19 était nécessaire pour nous rappeler qu'après tout, le premier cas de" Corona "à devenir viral dans le monde était précisément ce groupe de danse". Olga Souza, connue dans son Brésil natal sous le nom de Corona, a commenté les mèmes Internet associant son groupe à COVID-19 dans une interview au journal Extra: "J'ai vu beaucoup de mèmes. Nous sommes tous alarmés en ce moment. Ce genre de nouvelles nous apporte sûrement beaucoup d'anxiété, car nous ne savons pas encore comment faire face [au virus]. Ce serait beaucoup mieux si le monde était infecté par la chanson au lieu de ce virus dangereux."
Cette chanson pouvait-elle vraiment "exorciser" les peurs ? et valait-il mieux la porter en soi que le Covid lui-même ? On peut en douter après avoir regardé l'analyse fine que Casey Brown d'Enterthestars a faite de son clip. Intrigué par le fait que le CD portait les "twin towers" abattues le 11 septembre 2001, Brown a d'abord analysé les sceaux magiques que le clip officiel balance aux spectateurs en accéléré de façon subliminale à la minute 0'22 juste après les gestes de sorcellerie de la pseudo-chanteuse (car comme souvent dans l'italo-dance, la vraie chanteuse n'a jamais été celle qu'on nous a montré à l'écran).
Ces signes kabbalistiques sont des sceaux magiques de Salomon que Casey Brown a décodés à l'aide de cette table :
Le premier sceau est le 4e pentacle de Saturne. Commentaire sur le table "ce sceau est apprécié par ceux qui veulent imposer leur volonté à d'autres. Il apporte aussi de bonnes nouvelles à celui qui le possède". tout un programme n'est-ce pas ?
Le deuxième est le 7e pentacle de Saturne (vous savez peut-être que beaucoup de stars aiment afficher Saturne - Ariana Grande, Adele etc, c'est la planète de Satan). Réputé pour forcer les autres à écouter et trembler devant les mots de celui qui le porte (sic !).
Le troisième est le 3e pentacle de Saturne qui "protège contre les intentions mauvaises, sert à invoquer les esprits et la Nature de Saturne, défenseur et protecteur. Vous noterez que le pentacle est inversé par rapport à la table de sceaux de Salomon, ce qui est probablement destiné à lui procurer une dimension maléfique, comme pour les pentagrammes inversés.
Le quatrième est le 7e pentacle du soleil, qui libère une personne de la prison et brise les chaines.
Enfin le 2e pentacle de Vénus pour obtenir des grâces et réalisations des désirs en matière amoureuse.
Je suppose que le fait que ce soit en noir ou blanc n'est pas anodin. Il est omniprésent dans l'imaginaire maçonnique, et dans les représentations du Baphomet (avec la lune noire et la lune blanche), et d'ailleurs je note que la publicité d'Amazon pour le tournoi Roland Garros en France en ce moment, qui utilise justement le refrain de "The Rhythm of The Night" de Corona, met en scène un homme en noir et blanc puis joue plusieurs fois sur le noir et le blanc.
Puis il y a le 6e pentacle du soleil qui assure l'invisibilité du possesseur. Juste après apparaissent des caractères chinois, puis d'autres symboles qui font penser à une écriture antique, puis un sceau indéchiffrable très dépouillé. Voir ici à droite (sans compter une forme qui peut faire penser à la protéine spike dit Casey Brown).
A la minute 0'35 la chanteuse tire une carte de tarots, comme les apprécie le CERN.... Elle danse devant des sortes de mandalas.
La carte représente une femme qui tient un lion. C'est la 8e ou 11e carte du jeu. Les deux moments d'apparition de ces deux cartes dans le clip en valeur numérique donnent 9/11 d'après Brown (ce dont on peut douter, mais ce n'est pas essentiel). A l'origine la carte représentait une femme brisant une colonne (n'oublions pas que les deux tours jumelles sont analogues des colonnes jumelles des temples maçonniques et du temple de Salomon). C'est un dérivé de l'histoire biblique de Samson maîtrisant le lion puis brisant des piliers du temple de Dagon. L'image provient du tarot des Visconti, qu'on avait abordé le 2 avril 2020 à propos du serpent couronné (corona = couronne) de Miley Cyrus à l'aube de l'épidémie. Ce serpent qui avale un être humain est le symbole des Visconti et d'autres familles nobles européennes ainsi que du serpent à plume des Aztèques.
Puis les tours jumelles apparaissent à la minute 1'30 de la vidéo. Puis la pseudo-chanteuse va voir une voyante (min 1'36). Elle tire une carte. Ensuite elle passe à Time Square devant des références de 1988 et 1987 (l'année charnière à mi chemin entre la construction des deux tours et leur destruction) aux films The Good Mother et Death Wish 4. Un costaud tire une balle sur un clown (Trump ?). Puis après viennent les images d'un manège et la voyante.
Casey Brown est très loin de pouvoir décoder tous ces symboles, et ses lecteurs qui l'aident par leurs commentaires ne le peuvent pas non plus. Mais en soi le fait que le clip balance en mode subliminal des pentacles maléfiques et une carte du tarot associée à la violence et à la destruction de piliers devrait convaincre les gens que lorsque la pseudo-chanteuse en 2020 disait qu'il vaudrait mieux que la chanson pénètre les gens plutôt que la maladie, en fait elle jouait sur le registre de l'ironie typique de nos élites (voyez notre président avec le thème de l'oeil crevé en référence aux LBD et à Horus le Borgne...). En fait les deux participaient du même sort jeté.
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