Ligne à grande vitesse Budapest-Belgrade

A l'heure où l'entité kosovare fait intervenir sa police dans les municipalités serbes de la province après avoir fait obstacle à leur renouvellement démocratique, en méconnaissance des accords signés avec Belgrade, et où  le premier ministre hongrois Viktor Orban fait savoir qu'il refusera l'engrenage de la guerre contre la Russie et s'opposera à l'entrée de l'Ukraine dans l'OTAN (Macron, lui, a indiqué qu'il soutiendra l'entrée du régime de Kiev et de la Moldavie dans l'Union européenne), l'agence Xinhua annonce que le 30 mai dernier les Chinois ont posé les premiers rails de la ligne à grande vitesse qui reliera Budapest à Belgrade puis au Pirée dans le cadre du projet de nouvelle route de la soie.

Un nouvel épisode dans le bras de fer politique, économique et psychologique entre Océania et Eurasia (pour reprendre le vocabulaire de 1984 d'Orwell) dans lequel je recommande à mes lecteurs de ne pas tomber. Dans cet épisode aussi, à relever la triste pantomime du G7 dans laquelle s'illustre notamment une Georgia Meloni tapageusement ralliée à la doxa atlantiste (comme le seront tôt ou tard tous les pseudo-opposants même en France). Faites attention quand même à ce que ces rumeurs de guerre ne deviennent pas un prétexte pour nous coller une impulsion électromagnétique (IEM/EMP) destinée à nous imposer par le chaos le Great reset écologique... N'oubliez pas qu'avant la guerre d'Ukraine Moscou collaborait beaucoup avec le Forum économique mondial sur les thèmes informatiques. Il y a des projets brûlants dans les cartons contre les populations, restons vigilants...