Un petit point sur l'affaire Epstein

Plus de 300 personnes ont vu en août mon article du 15 juillet sur l'affaire Epstein. Vu le très mauvais référencement que me réservent à dessein les algorithmes de Google, on peut supposer que les gens sont arrivés à ce billet au terme de recherches pointues et que, parmi eux (car le sujet ne passionne pas les foules, malheureusement), un bon nombre de journalistes "mainstream" inquiets de pouvoir faire du "damage control", de la "maîtrise des dégâts", parce qu'ils savent fort bien que cette affaire fragilise le système de propagande et d'oppression dont ils tirent leur gagne-pain quotidien. Beaucoup d'ailleurs font des recherches sur ce sujet uniquement pour trouver quelques anecdotes auxquelles ils peuvent réduire l'affaire Epstein en tentant de discréditer ceux qui essaient d'avoir une vue d'ensemble du tableau.
Je ne développerai pas ici les liens d'Epstein avec le Mossad et le Mega-Group, une coterie de capitalistes pro-israéliens liés à la pègre et très influents au sommet du parti républicain américain.
Je dirai seulement un mot du "culte" organisé dans le temple d'Epstein, culte satanique qui prouve que le Comité Valmy (par exemple) a tout faux ici quand il soutient qu'on ne devrait pas parler de "pédophilie" à propos du goût d'Epstein pour les prostitués adolescentes, alors que quiconque connaît un peu le dossier c'est que l'enjeu est bien un culte qui met en cause l'exploitation d'enfants en bas âge.
Ce n'est pas une lubie personnelle qui me fait m'intéresser aux cultes sur l'île d'Epstein. C'est le groupe anonyme pro-Trump Qanon (Q) qui recommandait de le faire dans un post du 11 novembre 2017 en demandant "Qui adore Satan ? Qu'est-ce qu'un culte ? L'île d'Epstein. Qu'est-ce qui se passe dans un temple ? Adoration ? Pourquoi le temple est-il au sommet d'une montagne ? Combien de niveaux peuvent se trouver en dessous ? Quelle est la signification des couleurs, de la forme et de la forme sur le dôme ?Pourquoi est-ce pertinent ?"
Le New York Post du 10 juillet dernier a rapporté que Chuck Shumer a reçu des milliers de dollars de donation de Jeffrey Epstein. Shumer posait sur les réseaux sociaux à la table du fils de George Soros, Alex Soros l'habitué des galas de charité de la sataniste Marina Abramovic (par exemple il était présent à celui du 28 juillet 2013 placé sous l’égide de la chanteuse Lady Gaga sur le thème « Le paradis du Diable » (« Devil's Heaven »). La maquerelle d'Epstein Ghislaine Maxwell, la fille du célèbre magnat agent du Mossad, était au premier rang au mariage de la fille de Bill Clinton Chelsea, lequel a largement profité des vols "Lolita Express", de même George Stephanopoulos, l'ex directeur de la com' de Bill Clinton. Tout un petit monde déjà cité dans le Pizzagate.
Le 14 juillet dernier le gouvernement russe par son service d'intelligence étrangère (SVR) faisait savoir que la panne de courant qui a frappé Broadway résultait d'une opération du FBI pour explorer l'immeuble situé au 1633 de cette avenue, où se trouvent les bureaux de la Fondation Clinton et d'Epstein. Selon leur rapport à 0200 heure de Moscou (GMT + 3) le 14 Juillet 2019 , le SVR a reçu un bulletin d' alerte du ministère de la Défense ( MoD ) déclarant que leur a lancé la semaine dernière Kosmos 2537 satellite a détecté une impulsion électromagnétique ( EMP ) émanant de New York survenu à 18 H 47. L'analye a montré que cette EMP était générée par un dispositif « CHAMPION » -un acronyme pour les États-Unis force aérienne ««Micro-projet avancé de missiles avancés de Counter-Electronics ». L'usage de cette arme aurait été justifié par les dispositifs de protection des documents dont s'étaient équipés les Clinton.

L'usage de cette arme n'est pas vérifiable (cf Daniel Lee). Mais il est certain que la maison d'Esptein à New-York renfermait des symboles pédophiles comme la pyramide en forme de spirale dont on a déjà parlé à propos du pape - des photos l'ont montré.
En ce qui concerne la symbolique du "temple" d'Epstein sur les îles Vierges perquisitionné par le FBI le 12 août, la présence d'un cacatoès à crête de soufre à son sommet a attiré l'attention. Beaucoup de stars ont posé avec cet oiseau et certains affirment que cet oiseau est connu pour s'accoupler avec sa progéniture avant qu'elle ait atteint sa maturité.

Pourquoi est-ce que lorsque le célèbre astrophysicien handicapé de Cambridge Stephen Hawking monte dans un sous-marin affrété par Epstein pour explorer les côtés de son île en mars 2006 ce sous-marin s'appelle-t-il "pizza-pi" ? Et pourquoi le patron du Cosmet Pizza la pizzeria de Washington financée par Soros et liée aux Clinton qui affichait des photos si suspectes d'enfants maltraités sur les réseaux sociaux, Jimmy Alfantis, ajoutait-il CarisJames à ses photos d'enfants sur Instagram - Car-Is-James CARribean ISland St JAMES (l'île d'Epstein) ? Je ne fais ici que citer quelques faits faits troublants qu'évoque la vidéo ci-dessous de "Where We Go 1 We Go All", un adepte des messages de Q.
Quant à l'arrière-plan religieux de tout cela, vous pouvez vous reporter aux remarques de la militante israélienne Doreen Bell-Dotan (qui est citée par la canadienne Amazing Polly dont on a déjà ici mentionné les travaux) le 21 juillet ici qui estime que l'architecture du temple sur l'île St James, copie un mausolée turc de Rosh Pina (qui veut dire pierre du sommet de la pyramide en hébreu) utilisé par les francs-maçons issus des sabbatéens (les disciples de Sabbataï Lévy dont le pendant en Occident sont les Frankistes, des Juifs qui ont abandonné leur religion originelle pour verser dans l'occultisme, les Rothschild en font partie) - mais cette analyse de Doreen Bell-Doten peut prêter à caution.
Evidemment Epstein était membre de la Trilatérale, et du Council on Foreign Relations (le cercle clandestin des grands banquiers mondialistes depuis les années 1920) dont l'arrière plan occultiste est maçonnique est bien connu et remonte au groupe de la Table Ronde anglais dont on parle souvent sur ce blog.
speedmaster

Le 19 juillet dernier, Tracey Llewellyn, dont on a souligné, dans notre dossier de décembre dernier sur le débat sur l'alunissage de la mission Apollo 11 il y a 50 ans, le rôle d'agent de communication pour l'industrie de la montre, faisait dans le Telegraph de la publicité pour la première d’un nouveau court métrage (12 minutes) à Cap Canaveral "The Longest Minute" : une conversation entre George Clooney et Charles Duke (89 ans), l'homme qui fut en contact avec le second homme censé avoir posé le pied sur la Lune Buzz Aldrin. Charlie Duke est censé avoir été le 10ème homme à poser le pied sur la lune en 1972 avec la sonde Apollo 16. L'article est surtout un éloge de la montre Speedmaster, la première montre portée sur la Lune, pour laquelle la marque suisse Omega a sorti une édition spéciale cinquantenaire du premier alunissage (un anniversaire qui avait été célébré à Cap Canaveral par Omega avec Clooney et Duke le 9 mai 2019). A la différence de Buzz Aldrin et John Glenn (entre autres) Duke (tout comme N. Armstrong) n'est pas ouvertement répertorié comme franc-maçon par ses pairs, mais il est assez improbable qu'il ne l'ait pas été compte tenu des rituels maçonniques que la mission était censée accomplir sur la Lune.
Selon une page de la loge "Tranquillité" fondée par Buzz Aldrin : "Le 20 juillet 1969, deux astronautes américains ont atterri sur la lune de la planète Terre, dans une zone connue sous le nom de Mare Tranquilitatis ou «mer de tranquillité». Le frère Edwin Eugene (Buzz) Aldrin, Jr., membre du Clear Lake Lodge n ° 1417, AF & AM, de Seabrook, au Texas, était l'un de ces hommes courageux. Frère Aldrin a emmené avec lui DEPUTATION SPÉCIALE de l’époque le Grand Maître J. Guy Smith, constituant et nommant le Frère Aldrin Adjoint spécial du Grand Maître, lui conférant tout pouvoir sur place pour représenter le Grand Maître en tant que tel et l’autoriser à revendiquer des activités maçonniques. Compétence territoriale pour la très vénérable grande loge du Texas, d’anciens maçons libres et acceptés, sur la Lune, et ordonne qu’il rende dûment compte de ses actes. Frère Aldrin a certifié que la DÉPUTATION SPÉCIALE avait été emportée par lui sur la Lune le 20 juillet 1969." En revanche l'assertion de Bill Cooper selon laquelle dans l'immense House of the Temple de Washington DC il y aurait une photo d'Armstrong avec un tablier de maçon autour de la taille est controversée.