Kiev opprime les civils du Donbass
La sale guerre du gouvernement ukrainien et de ses milices d'extrême droite racistes continue dans le Donbass. Le 16 mai Kiev a bombardé la centrale qui approvisionnait en électricité la République autoproclamée de Lougansk. Celle de Donetsk est pilonnée et a été privée d'eau en avril. Les promesses de paix du président Volodymyr Zelensky, qui avait été élu contre les oligarques au printemps 2019, ne sont pas tenues. Le politologue Alexander Doudtchak à l'émission Point de vue (Точка_зрения) sur la chaîne de télévision communiste Ligne Rouge, affirme qu'il s'agit d'un "scénario croate" (en référence à l'attaque de la Krajina avec la bénédiction américaine).
Il est vrai que Zelensky peut se reposer sur la proposition de l'ex-représentant américain en Ukraine Kurt Walker dans une conversation en ligne du Kyiv Security Forum selon laquelle le pays pourrait adhérer à l'OTAN quand bien même l'article 5 du traité de l'Alliance prohibe l'entrée d'un pays en guerre (Walker veut modifier ce traité pour ne plus bloquer l'intégration de l'Ukraine, de la Moldavie, et de la Géorgie, car l'article en question oblige à entrer en guerre contre le pays agresseur, donc du point de vue américain dans l'état des textes, l'adhésion de ces pays implique une guerre automatique contre la Russie). Selon Doudtchak, le propos de Walker est perçu par Kiev comme un blanc-seing pour attaquer le Donbass.
La situation sur le front du Covid (ou de "la" Covid)
Je n'ai pas tout à fait résolu les dilemmes que pose le chapitre 13 de la Lettre aux Romains que j'évoquais dans un récent billet, mais on voit mal comment elle pourrait réduire les adversaires de la vaccination au silence tant on voit aujourd'hui les responsables du Big Pharma dirigent à la place des dirigeants politiques et leur dictent leurs discours.
Je note que les anti-vaccins sont un sur quatre en France, un sur trois aux Etats-Unis. Le seront-ils encore quand les sites comme celui-ci auront été supprimés, et les réfractaires au vaccin victimes d'amendes ou discriminés de diverses manières ? On peut en douter.
Il faut préciser d'ailleurs qu'on peut être contre ce vaccin mal testé qu'on nous promet sans être pour autant contre tous les vaccins dans l'absolu. Mais les grands médias sont-ils capables de saisir ce genre de nuances ?
On les voit en tout cas visiblement attristés de constater que le Covid-19 devient soudain si peu contagieux. La fin de la pandémie manifestement les déprime, et ils font encore de leur mieux pour défendre une "distanciation sociale" dont la nécessité va tendre à disparaître. Un échec pour les obsédés du traçage et de la robotisation de l'humain ? Ce n'est pas si certain, on peut les croire capables de tout. Quand Mme Shi, directrice adjointe du laboratoire de Wuhan qui a été accusé de faire fuiter le virus l'hiver dernier, laisse entendre, selon le New York Post, que le (ou la) Covid-19 n'a été que le "sommet d'un iceberg", certains y discernent la preuve que le Big Pharma et l'Etat profond américain ou chinois sont prêts à nous concocter d'autres virus à l'automne. Personnellement je ne suis pas du tout certain que le virus soit sorti intentionnellement d'un labo. Ce n'est qu'une possibilité parmi d'autres. Ce qui était intentionnel, et planifié de longue date, c'était toute l'opération psychologique qui va avec cela : le confinement, la constitution de réalités virtuelles, la distanciation sociale. C'était non seulement planifié dans les publications comme on le voit dans des rapports d'organismes mondiaux comme GPBM, mais il y avait de la haute sorcellerie derrière avec la mobilisation de satanistes comme Madonna, Lady Gaga, l'affichage de la croix inversée par Melinda Gates, et la programmation prédictive dans les films.
Ces gens capables de nous jeter leurs sorts à longueurs d'années peuvent bien sûr nous sortir de nouveaux virus, et préparer les rituels nécessaires pour que la "sauce prenne", par exemple au prochain solstice de juin... Ou peut-être vont ils attendre quelques années, parce que la résistance des esprits a été plus forte que prévu (voyez Microsoft qui fut obligé de supprimer la vidéo de la sorcière Abramovic autour du casque Hololens), parce l'impact sur l'économie fut plus négatif que prévu, parce qu'ils voulaient seulement évaluer le "stress" des gens etc.
En tout cas, on voit d'ores-et-déjà que l'impact sur les libertés publiques est très négatif, comme l'avait été celui du 11 septembre 2001 qui a rendu nos voyages en avion passablement stressants et nos mails accessibles à la CIA, et je doute que les projets d'actions en justice promus par le québécois Jean-Jacques Crèvecoeur nous permettent de regagner vraiment des droits.
A ce stade des combats politiques, je regrette que beaucoup d'opposants se soient enfermés dans des postures trop extrêmes. Le youtubeur américain "A Call for an uprising", la députée italienne du mouvement 5 étoiles Sara Cunial (qui a demandé l'inculpation de Bill Gates) s'enferment dans des postures assez "négationnistes" : pour eux ce virus n'eut guère plus d'impact qu'une grippe ordinaire. Or la saturation des services de réanimation au moment du pic de la pandémie, en France et ailleurs, n'étais pas un mythe, même si, c'est vrai, le confinement fut appliqué sans aucune discrimination, avec une volonté délibérée d'incarcérer les gens, comme on veut aujourd'hui délibérément les transformer en bétail, supprimer leur monnaie, etc. Les excès dans le "négationnisme" discréditent la dissidence et renforcent le système répressif. Il faut toujours rester au plus près de la vérité.
Le gouvernement français livre les dossiers médicaux des administrés à Microsoft
Selon l’historiographie officielle[1], le 31 mars 2019, le Président de la République française a lancé un plan « intelligence artificielle » (IA). En réalité le processus a débuté un an plus tôt. Le 28 mars 2018, Cédric Villani mathématicien et député de La République en Marche rendait public un rapport sur l’intelligence artificielle. Le 16 avril 2018[2], Emmanuel Macron recevait à l'Elysée le fondateur (et encore actionnaire) de Microsoft, Bill Gates (aujourd’hui président d’une fondation qui expérimente des vaccins dans le Tiers-Monde et très impliquée dans la campagne pour la recherche d’un vaccin et l’imposition de dispositifs de traçage dans le cadre de la crise du coronavirus). Ce processus a donné lieu à l’adoption de la loi Santé du 24 juillet 2019[3], en principe destinée à « encadrer par l’humain l’emploi de l’intelligence artificielle et du big data ») et à la création sous la forme d’un groupement d’intérêt public d'un système de base de données et de services liés : le Health data hub (le terme n’a pas été traduit par les instances gouvernementales), en abrégé HDH, qui permette de croiser les bases de données de santé. Ce « hub », qui élargit les missions de l’ancien Institut national des données de santé, regroupe tous les systèmes informatisés des hôpitaux, pharmacies, dossiers médicaux partagés et données de recherche issues de différents registres.
En plein confinement, l’arrêté du 21 avril 2020 complétant un arrêté du 23 mars 2020 prescrivant les mesures d'organisation et de fonctionnement du système de santé nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire[4] a été publié au Journal officiel. Il autorise la collecte des données relatives à l’état de santé des patients par ce « hub », en principe « pour les besoins de la gestion de l'urgence sanitaire et de l'amélioration des connaissances sur le virus covid-19 », la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) dans sa délibération du 20 avril[5] ayant insisté sur le caractère nécessairement temporaire de cette mesure. Mais peut-on croire au caractère réellement provisoire du stockage des données et à l’effectivité des « mesures juridiques et techniques adaptées … afin d’assurer un haut niveau de protection des données » recommandées par la CNIL, dès lors que toutes ces données sont stockées sur Microsoft Azure, la plateforme de cloud computing du géant américain Microsoft ?
Comme l’avait souligné le député du parti présidentiel de l’Essonne Pierre-Alain Raphan, dans le journal économique Les Echos du 28 octobre 2019, à l’origine de la plateforme HDH se trouvent « certains acteurs, proches des GAFAM » comme Gilles Wainrib, « le Fondateur de la start-up OWKIN qui lève régulièrement des fonds auprès de Google Venture »[6] - OWKIN a été lancée avec une bourse de Sanford PostDoc en 2016 et qui prospère aujourd’hui grâce à des fonds[7] français et chinois de Cathay Capital[8]. C’est peu dire. Le 18 février 2019, la revue en ligne La Lettre A[9] présentait le HDH comme « « un chantier-vitrine de l'intelligence artificielle à la française voulue par Emmanuel Macron ainsi qu'une énorme opportunité pour Google, Amazon et Microsoft ». Alors que des spécialistes défendaient des solutions alternatives, la directrice d’HDH Stéphanie Combes a dû admettre dès décembre 2019[10] que le choix de Microsoft était un « choix d'opportunité » afin « d'aller vite » dans le développement de la plateforme. « S'il y avait eu une alternative, nous aurions dû passer par un marché public et la procédure aurait été beaucoup plus longue », déclarait-elle à un journaliste du magazine TicSanté[11]. L’urgence était déjà l’alibi pour réduire les libertés et s’affranchir du droit, dès avant la crise sanitaire.
« Pour se prémunir de fuites au sein du Health Data Hub, l’accent a été mis sur la pseudonymisation des données, mais l’anonymat complet est impossible : comme le montrent plusieurs études universitaires, il suffit de croiser un nombre limité de données pour ré-identifier un patient » notait M. Raphan dans sa tribune. Et ce n’est pas le seul problème que pose l’hébergement de la plateforme française par le Microsoft. En mars 2018, le gouvernement américain a adopté une loi appelée Cloud Act qui permet à la justice états-unienne d'accéder aux données stockées dans des pays tiers. Le président de la CNIL a déclaré en septembre à l'Assemblée nationale que ce texte était contraire au règlement général sur la protection des données (RGPD) qui est censé protéger les citoyens européens[12].
En dehors même de ce contexte judiciaire, il faut aussi envisager le risque d’une cyber-attaque. « Le HDH se développe sur un modèle centralisé, avec pour conséquence un impact plus élevé en cas de piratage informatique. On pourrait penser que les Gafam proposent des solutions ultra-sécurisées. Cet argument ne tient pas. En effet, les attaques viennent souvent de l’intérieur, c’est-à-dire des personnels ayant accès aux données » soulignait dans Le Monde du 10 décembre 2019 un collectif initié par des professionnels du secteur et de l’informatique médicale[13]. En mai 2019, WhatsApp avait annoncé qu’une faille dans son application permettait à un malware (logiciel malveillant) créé par l’entreprise de cybersécurité israélienne NSO Group (fondée en 2010 par d’anciens membres de l'Unité 8200, le département informatique des Forces armées israéliennes chargé de surveiller électroniquement tous les aspects de la vie palestinienne[14]) d’être téléchargé sur un smartphone via un simple appel manqué. Le Financial Times a aussi révélé que NSO avait développé un nouveau spyware (logiciel espion) nommé Pegasus, non seulement capable de collecter les données stockées sur un smartphone, et les informations stockées sur les serveurs « Cloud » de Apple, Google, Facebook, Amazon ou Microsoft si la victime se sert de leurs services Cloud (NSO aujourd’hui utilise la technologie de ce logiciel pour proposer un traçage des malades porteurs du Covid-19[15]). Les données de géo-localisation, les messages archivés et les photos des utilisateurs peuvent ainsi être capturés. Et que dire de la porosité bien connue entre Microsoft et les agences de renseignement américaines, révélées par le transfuge Edward Snowden en 2013 – ces révélations ayant à l’époque provoqué une crise de confiance des usagers des « clouds » fournis par les opérateurs américains[16], crise qui bizarrement paraît avoir disparu des mémoires de nos décideurs ?
Le Conseil national des barreaux[17], Conseil national de l’ordre des médecins[18], des collectifs d’éditeurs de logiciels[19], et des professionnels de santé[20] ont attiré l’attention de l’opinion publique sur les dangers que présente le Health Data Hub. Ce danger ne doit pas être appréhendé uniquement à partir de l’état actuel des possibilités d’appropriation des données légale ou par voie de piratage, mais aussi à la lumière des projets des grands trusts internationaux. Le Forum économique mondial (Forum de Davos), qui s’investit dans des structures sanitaires globales comme la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (Coalition pour l’innovation dans l’anticipation des épidémies – CEPI) lancée au forum de Davos de 2017[21] (et largement financée par la Fondation Bill et Melinda Gates), ne fait pas mystère de son intention d’instaurer une « traçabilité » de tous les citoyens du monde à partir de leur identité financière digitale (digital financial identity)[22] permettant de dématérialiser toutes les transactions mais aussi de centraliser toutes les informations sur la situation personnelle d’un individu. La disparition de la vie privée et le contrôle des esprits à travers la possible généralisation du niveau mondial d’une « citoyenneté à points » comme en Chine[23] n’est pas le seul enjeu de cette centralisation des données. Il y va aussi du risque d’une pression sur les gens – toujours officiellement au nom du bien commun – pour la modification de leur ADN. Aux conférences TED de 2017[24], l’oncologue israélien Tal Zaks, ancien responsable de GlaxoSmithKline et de Sanofi[25], aujourd’hui médecin-conseil chef de Moderna, la firme en pointe pour la recherche sur le vaccin du Covid-19 aux Etats-Unis, qui travaille en partenariat avec la Fondation Bill et Melinda Gates sur le patch quantique de traçage des porteurs du virus, présentait les vaccins vecteurs d’ARN comme un moyen de « détourner le logiciel la vie » (hacking the software of life), puisqu’il s’agit de reprogrammer les cellules humaines[26]. À quand l’obligation pour tous ceux dont le dossier médical sera sur le « cloud » de Microsoft d’accepter une modification de leur ADN par injection de micro-particules, dans un soi-disant but d’intérêt sanitaire collectif ? C’est aussi au regard de cet arrière-plan potentiellement (ou déjà ?) totalitaire, que l’inquiétante hâte du gouvernement français à céder les données sanitaires des citoyens aux « cloud » de Microsoft doit être analysée.
Frédéric Delorca
Juriste, sociologue
Auteur de « Les régimes populistes face au mondialisme » (Editions du Cygne, 2017)
[1] https://solidarites-sante.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/creation-officielle-du-health-data-hub
[2] AFP 16 avril 2018 à 11h04, repris par Le Point.
[3] https://www.innovation-mutuelle.fr/actualite/le-projet-de-loi-bioethique-veut-encadrer-par-lhumain-lemploi-de-lia-et-du-big-data-en-sante/
[5] https://www.cnil.fr/sites/default/files/atoms/files/deliberation_du_20_avril_2020_portant_avis_sur_projet_darrete_relatif_a_lorganisation_du_systeme_de_sante.pdf
[7] Le 9 mai, Owkin a reçu un financement de 25 millions de dollars. Les investisseurs de cette ronde de financement comprennent Bpifrance Large Venture, Cathay Innovation et MACSF (Caisse de retraite des médecins-cliniciens français), ainsi que les investisseurs existants GV, etc. Le financement total de la première série de la société a atteint 43,1 millions de dollars américains. Owkin vend une plate-forme pour les chercheurs en médecine utilise des algorithmes d'apprentissage automatique et d'apprentissage en profondeur pour permettre aux utilisateurs de créer facilement des modèles prédictifs et de les appliquer dans tous les domaines de la recherche médicale, y compris pour optimiser le développement de médicaments, la prédiction de survie, la découverte de cibles, les essais cliniques et l'analyse du marché des médicaments. (Sina.com, 20 mai 2020, https://cj.sina.com.cn/articles/view/7281584087/1b20427d701900vzs2?from=finance).
[8] https://www.challenges.fr/finance-et-marche/cathay-capital-le-puissant-fonds-qui-surfe-sur-le-business-franco-chinois_585096
[9] https://www.lalettrea.fr/action-publique_executif/2019/02/18/comment-les-gafam-et-capgemini-s-invitent-dans-la-mine-d-or-des-donnees-medicales,108345136-ge0
[10] Mind Health https://www.mindhealth.fr/article/16988/stephanie-combes-health-data-hub-nous-envisageons-un-nouvel-appel-a-projets-d-ici-la-fin-de-l-annee/
[11] Léo Caravagna, « Microsoft prestataire du Health Data Hub: un choix "d'opportunité" pour "aller vite" », 27 décembre 2019 https://www.ticsante.com/story/4937/microsoft-prestataire-du-health-data-hub-un-choix-d-opportunite-pour-aller-vite.html
[13] https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/12/10/l-exploitation-de-donnees-de-sante-sur-une-plate-forme-de-microsoft-expose-a-des-risques-multiples_6022274_3232.html
[15] NBC 27 avril 2020 https://www.nbcnews.com/nightly-news/video/an-inside-look-at-a-new-coronavirus-contact-tracing-tool-as-experts-raise-privacy-concerns-82595397550
[16] https://www.infoworld.com/article/2610903/the-nsa-s-spying-has-in-fact-hurt-u-s--cloud-providers.html
[17] https://www.cnb.avocat.fr/sites/default/files/11.cnb-mo2020-01-11_ldh_health_data_hubfinal-p.pdf
[18] https://www.conseil-national.medecin.fr/sites/default/files/external-package/edition/od6gnt/cnomdata_algorithmes_ia_0.pdf
[20] https://interhop.org/le-gouvernement-contraint-les-hopitaux-a-abandonner-vos-donnees-chez-microsoft_en/
[21] https://www.weforum.org/events/world-economic-forum-annual-meeting-2017/sessions/cepi-a-global-initiative-to-fight-epidemics
[22] https://www.fanniemae.com/portal/research-insights/perspectives/security-concerns-meroz-deggendorf-022018.html
[23] https://www.lepoint.fr/monde/bons-ou-mauvais-citoyens-la-chine-compte-les-points-02-09-2019-2332904_24.php
Le gouvernement francais livre les dossiers médicaux des administres à Microsoft
Selon l’historiographie officielle[1], le 31 mars 2019, le Président de la République française a lancé un plan « intelligence artificielle » (IA). En réalité le processus a débuté un an plus tôt. Le 28 mars 2018, Cédric Villani mathématicien et député de La République en Marche rendait public un rapport sur l’intelligence artificielle. Le 16 avril 2018[2], Emmanuel Macron recevait à l'Elysée le fondateur (et encore actionnaire) de Microsoft, Bill Gates... La suite de l'article est ici.
Soros rêve de vaccination obligatoire perpétuelle
Interview de George Soros dans Project Syndicate du 11 mai dernier. Le milliardaire observe : "C'est la crise de ma vie. Même avant le déclenchement de la pandémie, j'ai réalisé que nous étions dans un moment révolutionnaire où ce qui serait impossible ou même inconcevable en temps normal était devenu non seulement possible, mais probablement absolument nécessaire. Et puis est venu le COVID-19, qui a totalement bouleversé la vie des gens et a nécessité un comportement très différent"... Il table ouvertement sur une vaccination perpétuelle à renouveler tous les ans : "Il faudra beaucoup de temps pour développer un vaccin. Et même après en avoir développé un, nous devrons apprendre à le changer chaque année, car le virus changera très probablement. C'est ce que nous faisons chaque année avec le vaccin contre la grippe."
Quand on sait qu'il est de plus en plus question de vaccination obligatoire, avec dispositif de traçage pour vérifier qui est vacciné et qui ne l'est pas, en suivant cette logique c'est chaque année que tout un chacun devrait recevoir sa dose d'aluminium, et d'autres composantes inconnues au futur vaccin Covid-19. A rapprocher du fait que depuis quelques années l'ex-président Obama et Hollywood n'avaient cessé de faire la promotion de la vaccination annuelle contre la grippe saisonnière.
Des nouvelles de la Transnistrie
Mail reçu ce soir :
" Bonjour Monsieur,
Je me permets de vous écrire pour vous féliciter de votre passionnant livre sur la Transnistrie, que j'ai acheté et lu suite à mes vacances passés dans cette république. Personnellement, j'ai adoré mon séjour de plusieurs jours à Tiraspol et à Bendery. Je n'ai rencontré que des personnes extrêmement sympathiques (je parle russe, cela aide assurément) et l'impression que j'ai ressentie, c'était que la vie semblait paisible et très calme. Tiraspol est une capitale extrêmement propre et agréable. J'ai été très intéressé par votre livre, d'autant que les informations souvent fausses et anciennes que nous trouvons sur internet ne sont pas très objectives. D'autre part, je n'ai ressenti absolument aucun problème d'insécurité en Transnistrie, pas plus en Moldavie d'ailleurs (j'ai visité Chisinau, la Gagaouzie) et l'Ukraine (Odessa). Voilà, cher Monsieur, quelques impressions "en vrac" de mes vacances d'octobre-novembre dans cette partie d'Europe injustement oubliée, voire même diabolisée.
Je vous souhaite une bonne soirée,
Bien cordialement, "
La Tanzanie questionne la fiabilité des tests de Covid-19
Le 6 mai dernier le journal britannique The Independent reprenait une information diffusée par Reuters deux jours plus tôt selon laquelle le président de la Tanzanie après avoir évalué des test anti-coronavirus sur des animaux et des fruits les avait jugés non-valides car ces tests avaient trouvé une chèvre et un fruit de papaye positifs au Covid-19
Reuters présentait cette information comme un épisode d'une guerre entre le président John Magufuli et l'organisation mondiale de la santé qui accuse celui-ci de manquer de transparence et de réactivité sur la pandémie.
Nous avons déjà expliqué en 2018 que Magufuli qui est chrétien n'hésitait pas à poursuivre en justice des stars Illuminati et mener une politique qui lui valait les foudres de "The economist", le magazine néolibéral des Rothschild (voir aussi l'hommage du président ghanéen Akufo-Addo à la politique de la Tanzanie contre les sociétés minières).
Dans la foulée de la découverte de ces kits de tests truqués, le gouvernement a suspendu la responsable du laboratoire nationale de santé Nyambura Moremi et le responsable qualité Jacob Lusekelo. La chaîne Al Jazeera du Qatar proche des Frères Musulmans y voit une mesure d'intimidation pour faire taire les opposants. Mais pour beaucoup la bonne initiative du gouvernement tanzanien ranime le débat sur la fiabilité des kits de tests distribués à la hâte à travers le monde. Le New York Times le 7 mai avait déjà dénoncé le manque de fiabilité des tests chinois achetés par le Royaume Uni, de même que plus tôt la BBC pour ceux que l'Inde s'était procurée. Les autorités tanzaniennes n'ont pas précisé si les tests étaient chinois. Même aux Etats-Unis on vient d'apprendre que l'Administration de la nourriture et des médicaments (FDA) a suspendu le financement d'une campagne de tests-Covid 19 dans la région de Seattle organisés par la Fondation Bill et Melinda Gates. Le motif n'a pas été communiqué mais les doutes sur la fiabilité de ces tests étaient connus dans le débat public. Même problème aussi à Madagascar avec des tests français de l'Institut Pasteur.
Pour beaucoup, la diffusion de tests défectueux pourrait être destinée à surestimer le nombre de malades et continuer à pousser à la fois au ralentissement des économies en Afrique et à la recherche de vaccins dangereux, tout comme l'attitude très hostile de l'OMS à l'égard de Madagascar qui entend soigner le Covid-19 avec l'artémisia (Covid-Organics). La Tanzanie a d'ailleurs comme d'autres pays d'Afrique choisi la voie de la thérapie par l'artémisia (un produit importé de Chine sur la grande île dans les années 1970 pour lutter contre le paludisme) qui nourrit les mêmes débats que l'hydroxychloroquine en France.
PS : actualisation au 17 mai - La Tanzanie et le Burundi ont expulsé l'Organisation mondiale de la santé de leur pays. Par ailleurs le président de Madagascar Andry Rajoelina dans le journal Tanzanie Perspective du 14 mai a accusé l'Organisation mondiale de la santé d'un complot visant à empoisonner ses COVID-19 Organics (20 millions de dollars de pots de vin auraient été versés). Les présidents de ces trois pays sont des Chrétiens très engagés.
Pollution atmosphérique, épandages...99 Luftballons ?
Comme on l'avait exposé en 2018 à propos des chemtrails, la question de l'épandage de produits polluants ou de virus dans la haute atmosphère ou au niveau des habitations humaines est un sujet délicat. On ne peut pas jouer la carte de la peur et cautionner tous les fantasmes des gens (dans les années 1990 un fou qui disait venir de Roumanie se promenait dans les bus avec une pancarte qui disait : les socialo-communistes répandent des gaz asphyxiants dans le métro), mais on ne peut pas non plus jouer le rôle (que certains affectionnent sur les réseaux sociaux, qu'ils soient payés ou non pour le faire) de celui qui en permanence désamorce toute interrogation, car il a été prouvé par le passé que des opérations secrètes d'épandage ont bien nui à la santé des civils, notamment aux Etats-Unis, et donc on ne peut a priori exclure aucune hypothèse.
Or l'on ne peut pas faire confiance à la télévision pour nous éclairer sur ce genre de sujet. Les derniers débats sur la prise en charge du Covid-19 ont montré par exemple que le groupe de télécoms et médias Altice fondé par l'homme d'affaires milliardaire maroco-franco-luso-israélien Patrick Drahi qui possède BFM-TV, L'Express, Libération etc - est actionnaire du laboratoire californien Gilead qui défendait le traitement par Remdesivir (ce qui explique que BFM TV n'ait interviewé en boucle depuis des semaines que des lobbyistes anti-hydroxychloroquine). Il faut donc aussi donner la parole aux médias indépendants et aux investigations des chercheurs de vérité (truth community).
Comme sur la 5G, sur la question de la pollution de l'air, il y a eu des informations de niveaux très disparates sur la pollution de l'air. Et l'on comprend tout à fait que toutes sortes de spéculations puissent avoir lieu face à ce virus bizarre dont des savants dissidents comme Judy Mikovits nous disent qu'il est nécessairement une création de l'homme, et dont on "découvre" (ou "invente" à des fins purement statistiques ?) des symptômes nouveaux tous les jours.
Le 29 avril, un Suisse alertait : des avions silencieux Pilatus Porter, dont certains décollent de la Confédération helvétique, puis font des zigzags étroits dans le ciel comme s'ils labouraient autour de régions italiennes, suisses, françaises, allemandes dans les zones à taux élevés de Coronavirus. Les numéros d'alerte (qui comprennent beaucoup de 666 et de 999) n'ont pas donné d'explications. Ce sont souvent des avions sans immatriculation.
Immédiatement un lecteur a essayé de "débunker" l'information : "J'ai passé ma carrière à programmer des vols comme ceux-ci, écrivait-il, il s'agit de prise de vue aériennes et/ou de laser-grammétrie (LIDAR). Ca sert à cartographier les zones survolées... quand la météo est bonne: ça vole... D'ailleurs si l'auteur avait la présence d'esprit de recouper l'existence de ces vols avec les appels d'offre Européens des 6 mois précédents, il retrouverait trace du travail qu'il voit faire sous ses yeux...Pour les avions immatriculés, il suffit de chercher pour trouver les propriétaires, qui sont toujours des sociétés de type géomètres. Pour les avions non immatriculés , ils s'agit de sociétés de même type qui ne veulent pas que leurs immatriculations soient dispatchées pour ne pas que leur concurrents sachent où ils volent."
Les mêmes doutes entourent maintenant la question des odeurs de soufre perçues en région parisienne le weekend dernier.
Les pompiers d'Ile-de-France, expliquait la grande presse, ont reçu de très nombreux appels le 10 mai au soir pour signaler une inhabituelle odeur de soufre dans l'air de Paris jusqu'à Melun, sans pouvoir donner lundi d'explication à ce phénomène, odeurs qu'ils ont imputées faute d'autres explications à des remontées depuis les canalisations à la suite de pluies violentes. On aurait tendance à demander : pourquoi y aurait-il du soufre dans les canalisations ?
Du coup des gens se sont mis à témoigner : le 11 mai à Mer dans le Loir et Cher ( 41) vers 20h30 un avion serait passé très bas aussi puis il y aurait eu une odeur de soufre toute la soirée... De même le 7 mai, nuit de pleine lune, vers 4 h 30 du matin à Châtillon en région parisienne, un usager de Twitter a pris en photo cette traînée de vapeur d'un avion passant à basse altitude.
Des contradicteurs ont opposé que des avions militaires utilisaient probablement des créneaux libérés par l'aviation civile bloquée au sol par le confinement, mais pourquoi volent-ils si bas ? Et si le panache blanc n'est que de la vapeur d'eau pourquoi est-il vertical ?
Le soufre a laissé de mauvais souvenirs. En février certains médias à Wuhan (Chine) avaient relevé des émanations de dioxyde de soufre anormales. A l'époque certains avaient parlé de combustion de cadavres, mais au fond personne n'avait su d'où cela provenait. Aujourd'hui on parle également de soufre en Californie, mais cela s'est produit aussi à des dates plus anciennes.
Beaucoup se livrent à des hypothèses sur le fait que le soufre est relié au diable dans les traditions ésotériques, mais on est très loin de pouvoir relier ces tout petits bouts d'indices entre eux pour pouvoir construire une théorie.
On notera que le même genre d'interrogation s'était développé aux Etats-Unis lors de l'éclipse solaire de 2017.
Ce jour là, la NASA (dont a déjà souligné le contenu maçonnique dans ce billet) avait lancé, à l'occasion de l'éclipse, plus de 50 ballons à haute altitude dans plus de 20 endroits à travers les États-Unis jusqu'à 30 000 pieds dans le ciel. Des ballons chargés de bactéries très résistantes. Le but officiel était de savoir si ces bactéries peuvent résister sur Mars. Mais, pour savoir ça, il fallait d'abord les envoyer sur Terre. Car, expliquait The Verge, juste avant l'opération, "la partie supérieure de la stratosphère terrestre - juste au-dessus de la couche d'ozone - ressemble beaucoup à la surface de Mars...Pendant l'éclipse, les conditions deviendront encore plus semblables à Mars...les ballons seront lancés toutes les 15 minutes environ à partir d'états qui se trouvent sur le chemin de l'ombre de la Lune.Ils voleront pendant environ deux heures, atteignant la stratosphère et finissant par éclater à cause de la chute de pression. Une fois de retour au sol (un parachute ralentira la descente), les élèves des écoles qui les auront lancés les suivront par GPS, récupéreront les étiquettes métalliques et les renverront par courrier à la NASA. ".
Quelques jours après, le journal britannique The Telegraph du 28 août 2017 faisait savoir qu'en Angleterre «les résidents le long d'un tronçon de cinq miles de la côte de Sussex ont été avertis de rester à l'intérieur et de fermer leurs fenêtres après qu'une« brume chimique »nocive eût balayé un endroit de beauté et laissé 133 personnes nécessitant un traitement hospitalier. La veille Mail Online avait été plus précis : "les amateurs de bronzette terrifiés ont eu des problèmes respiratoires et des yeux brûlants après qu'un mystérieux nuage chimique jaune eût submergé une plage bondée... des médecins en combinaison de protection ont traité des centaines de vacanciers manifestant des symptômes dangereux, notamment des vomissements dans des tentes de contamination à Birling Gap, près de Beachy Head." Ce gaz c'était de la chlorine. Certains experts estimaient que cela pouvait provenir d'un "navire en mer" mais sans être très affirmatifs. En fait, on ne savait pas.
La chlorine est un désinfectant qui tue les bactéries. Se pouvait-il qu'il y ait eu un "nettoyage" des bactéries propagées par la NASA ?
Le chercheur de vérité Enterthestars faisait l'hypothèse qu'elle a pu être balancée depuis le Nord Est des Etats-Unis. La masse gazeuse aurait alors suivi le courant au nord de l'Atlantique jusqu'en Angleterre. La presse anglo-saxonne le jour même de l'éclipse avait averti : il se peut que vous soyez malade (maux de tête, nausée) du fait du passage simplement du chaud au froid après avoir regardé l'éclipse dehors. Certains médias relevaient que beaucoup de gens avaient fait des recherches sur Google ce jour là pour savoir si leurs maux de têtes ou leurs picotements aux yeux étaient normaux. Un journal australien parlait hypocondrie. Voire... Et si c'était à cause des gaz balancés à cette occasion ? demandait Enterthestars.
Il est intrigant qu'il y ait une programmation prédictive ancienne autour des ballons chargés de polluer l'atmosphère. En 1984 (33 ans - chiffre maçonnique - avant l'éclipse de 2017) la chanteuse allemande Nena lançait son tube planétaire "99 Luftballons", repris plusieurs fois depuis lors en anglais sous le titre "99 red balloons". La même année (1984) sortaient les films Red Dawn (l'Aube rouge) et Visitors où un ballon balançait un gaz rouge sur la planète.
On objectera que 99 Luftballon était une chanson pacifiste. En apparence oui. Mais l'occultisme s'est souvent caché sous les oripeaux du pacifisme, et les paroles dans la version anglaise si l'on coupe les vers du contexte peuvent faire croire à une attaque chimique ou bactériologique quelconque.
"99 ballons rouges flottant dans le ciel d'été/ Cloches de panique c'est une alerte rouge/ Il y a quelque chose ici venu d'ailleurs" disait la chanson.
Elle a été traduite en anglais par "99 Red balloons" - 99 ballons rouges, et la chanson n'a cessé d'être matraquée sur la tête des gens pendant 30 ans (il y avait même un "99 red balloons tour" aux Etats-Unis en 2016 au moment de l'élection de Trump). Les Japonais en 1944 avaient prévu d'envoyer des ballons rouges chargés de gaz chimiques contre la population américaine au dessus du Pacifique (opération "cherry blossom"). Dans les sociétés secrètes on aime beaucoup la numérologie (souvenez vous de Mme Lagarde, patronne du FMI, donnant un cours de numérologie magique). Enterthestars pose beaucoup de questions sur le 99. L'album 99.9 Fahrenheit degrees de Suzanne Vega dont la chanson phare joue sur l'imaginaire de la maladie, et les autres sur celui du sang, avec une couverture qui affiche l'oeil d'Horus ainsi qu'un sparadrap bizarre digne de celui d'Obama et de Podesta sur lequel Qanon avait attiré l'attention en 2018 n'a pas fini non plus de faire mouliner les esprits...
En 2008 le groupe de hard rock Metallica, dans son album "The day that never comes" (un titre qui évoque l'éclipse, puisque la lune empêche le jour de venir), le single "All Nightmare long" évoque un bombardement chimique à partir de ballons : "The strike is carried out - not by bomber but a balloon." Le jeu de cartes "Pandemic" sorti en 2008 basé sur l'épidémie de SRAS de 2002 évoquait aussi l'utilisation de ballons pour éradiquer l'humanité.
Le jour de l'éclipse de 2017, le compte Twitter de la série d'horreur The Strain, twittait "le maître est là", un maître annoncé la veille par l'épisode de cette série "Tainted love" (amour pollué).
Et des spéculations commencent aussi à entourer l'éclipse de soleil de décembre 2019 aux Etats-Unis, jour où l'épidémie de coronavirus a été déclarée dans la presse.
Epandages, phénomènes solaires et lunaires, programmation prédictive. Il y a peut-être là les pièces d'un puzzle à construire. Ou peut-être pas... Difficile de savoir si toutes ces choses doivent être reliées entre elles ou pas.
Les grands médias n'étant là que pour vous dire qu'il n'y a rien à penser et rien à voir dans tout ça, ce n'est en tout cas pas de ce côté là que vous pourrez trouver des outils de compréhension.