Les dépopulationnistes volent au secours des ours dans les Pyrénées
Les éleveurs d'Ariège s'indignent (à juste titre) de la promesse de récompense pour la dénonciation de celui qui a tué un ours récemment.
Le journal "La République des Pyrénées" (entre autres) le 24 juin s'en fait l'écho et cite les propos de Philippe Lacube, président de la chambre d'agriculture : "La délation, ce sont les heures les plus sombres de notre histoire. Ce n’est pas dans notre culture de montagnards". La présidente socialiste du Conseil départemental Christine Tequi va dans le même sens : "La montagne restera certainement muette, écrit-elle. Ce serait alors la meilleure réponse qui peut être apportée à ceux qui pensent que tout s’achète sans se soucier de la haine et de la violence que leur initiative est susceptible d’engendrer".
La promesse de récompense (45 000 euros) est un méthode digne du Far West ("Wanted dead or alive"), que Washington n'a d'ailleurs pas hésité à utiliser récemment à l'encontre du président légitime du Venezuela (entre autres manoeuvres criminelles contre ce pays). Il est triste de voir la France adopter ce type de procédé abject.
A l'origine de cette idée totalitaire, l'ONG Sea Shepherd Global, un groupe dissident de Greenpeace habituellement spécialisé dans la défense des cétacés en mer reconnaître qu'elle collecte des fonds pour financer la prime à la capture du courageux défenseur de l'élevage en montagne qui a tué la bête. Sa directrice pour la France Lamya Essemlali s'affiche avec des chercheurs qui ont des réputations (peut-être usurpées) de francs tireurs comme le collapsologue Pablo Servigne, ou l'adversaire de Monsanto et Bill Gates en Inde Dr Vandana Shiva (quand même conseillère du Prince Charles en matière d’agriculture organique - il a son buste dans sa résidence de Highgrove - dixit The Telegraph). L'ONG dont elle dirige la branche française a un profil un peu "radical" à cause de ses opérations coups de poing qui lui ont valu beaucoup de procès. Mais elle reste liée au Big Business. Sea Shepherd Global (SSG), selon son patron Paul Watson avait au début des années 2010 un budget de 20 millions de dollars. Watson lui-même a des acquaintances troubles avec le multi-millionaire Pritam Singh (de son vrai nom Paul Arthur Labombard).
Ils avaient déjà offert 10 000 euros en 2019 pour trouver celui qui avait pu décapiter deux phoques en Bretagne.
Mais pour mieux comprendre l'envers du décor de SSG, lisez cet article d' "Alerte Environnement" (AE) qui avait montré leur vrai visage en 2016 : celui du malthusianisme, c'est à dire le dépopulationnisme, qui est une idée très en vogue chez les élites maçonniques anglo-saxonnes depuis 150 ans - notamment la famille royale britannique voir par exemple notre billet sur le WWF. Ils pointaient notamment la déclaration de Paul Watson à l'émission On n'est pas couché le 23 janvier 2016 : « Vous parlez de ne pas avoir d’enfants. Si vous êtes suffisamment intelligent pour vous dire “je ne veux pas avoir un enfant afin de ne pas contribuer à cela”, et bien c’est peut-être vous qui devriez avoir des enfants, parce que vous êtes suffisamment intelligent. » Il faut donc, dans le monde idéal de Monsieur Watson, laisser le droit de faire des enfants qu’aux personnes « intelligentes ». "Or l’intelligence, selon lui, observait AE, c’est de ne pas vouloir faire d’enfants. Pour résumer : on interdit de faire des enfants à ceux qui souhaitent en avoir et donne le droit d’en avoir à ceux qui n’en veulent pas. C’est sûr qu’avec ce système, la population descendra rapidement à 1 milliards d’individus !"
Les Georgia Guidestones fixent un objectif de 500 millions...
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Précision : cet article a été censuré par les algorithmes de Facebook comme auparavant celui sur Bill Gates et la luciférase.
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Du Minnesota à Camelia Jordana
J'ai avancé il y a peu que l'écrivain Fred Vargas, avec son discours sanitaire et climatologique catastrophiste pouvait être un agent maçonnique au service d'agendas planétaires. On peut se poser la même question concernant la chanteuse Camelia Jordana dont les propos dans l'émission "On n'est pas couché" du 24 mai sur un prétendu racisme de la police française ont enflammé le débat public au cours des dernières semaines.
On a vu il y a peu que Black Lives Matter aux Etats-Unis (qui fait des vagues jusqu'à Bordeaux) était financé par Soros pour créer de la division sociale depuis des années,
Comme le soulignait récemment le youtubeur Greg Toussaint Camélia Jordana est une créature du groupe Sony avec qui elle a signé un contrat dès son adolescence. Sony produit beaucoup d'occultistes comme Beyonce, Katy Perry, Taylor Swift etc.
C'est dans la revue Grazia de mars 2019 que se trouvent les photos les plus évocatrices du lien de la chanteuse avec les sociétés secrètes. Une image où on la voit montrant l'oeil d'Horus.
Une autre où elle porte comme tatouages une francisque et une croix brisée du "signe de la paix" à l'envers.
Encore une étape du "divide and conquer" - diviser pour régner - et "ordo ab chao" ?
Une ou deux remarques sur les émeutes du Minnesota
Pas d'idées justes, juste des idées, disait le philosophe Gilles Deleuze plagiant le cinéaste Jean-Luc Godard à propos des images. Et pour appréhender la haute politique américaine, souvent on doit s'en tenir à avancer quelques idées sans avoir la garantie qu'elles soient justes.
En voici quelques unes. Tout d'abord il faut savoir que les forces de police américaines comme en Angleterre et ailleurs, appartiennent massivement à la franc-maçonnerie et sont donc tenues au secret de leurs loges. C'est particulièrement le cas au Minnesota où il existe un Ordre fraternel de la Police dont le logo porte un pentagramme avec en bas à gauche l'oeil d'Horus, et au milieu le damier maçonnique. Les forces de sécurité du Minnesota ont d'ailleurs un logo qui porte aussi un pentagramme et une pyramide stylisés (cf à gauche).
Dans les milieux où sévissent les sociétés secrètes, les opérations sous faux drapeau, les provocations, les opérations pièges (sting operations) sont légion. Certains observateurs se sont interrogés sur le sens de l'opération dont a été victime le citoyen de couleur George Floyd, une victime montée en épingle parmi le millier d'homicides commis par la police américaine chaque année dont 23 % sur des Noirs (voir l'interview du chercheur Mathieu Zagrodzki par Marianne à ce sujet). Ils ont fait observer que son arrestation le 25 mai à Minneapolis (Minnesota) sous les caméras pose question, y compris le fait qu'on l'entende parler mieux encore que les policiers, alors que la caméra est censée se tenir à quelques dizaines de mètres. Floyd dit "Je ne peux pas respirer" ("I can't breathe"). Les derniers mots d'un autre homme de couleur décédé en garde à vue, en 2014, Eric Gardner. L'expression est devenue le slogan des anti-Trump en quelques jours. La veuve du basketteur Kobe Bryant a ressorti hier une image de son mari avec un T-Shirt portant cette phrase. On a rappelé en février dernier tous les liens de Bryant avec l'occultisme. Ce qui est le cas de toutes les stars qui en ce moment défendent la mémoire de George Floyd (par exemple Michael Jordan, dont certains ressortent une vidéo où il met en valeur le 666), comme c'était le cas des stars qui ont défendu le confinement pendant la crise du Covid-19 (d'ailleurs certains ont affirmé que Covid en hébreu se traduisait Kobe, et ont avancé que le sacrifice rituel du joueur le 26 janvier avait pu favoriser la pandémie... on ne sait trop ce qu'on peut penser de ça, on peut toujours spéculer à propos de la magie kabbalistique). Ce qui est certains c'est que les troupes qui ont lancé les émeutes suite à la mort de Floyd, des groupes comme Black Lives Matter, sont financées par George Soros (spécialisé dans la défense des minorités un peu partout pour provoquer du chaos social), dont le nom et celui d'un de ses fils revient souvent avec celui de stars occultistes.
Un soupçon se répand selon lequel les adeptes de l' "ordo ab chaos" (ordre issu du chaos) qui ont déjà instrumentalisé le Covid-19 pour pousser Trump à la militarisation de son régime (ce qu'il avait déjà fait en confiant à l'armée la préparation du vaccin et le contrôle du confinement), puisque le coronavirus disparaît un peu trop vite, peuvent maintenant utiliser les émeutes comme un "second fléau" (qui peut d'ailleurs relancer le premier par la contagion dans les manifestations), pour pousser le président à imposer la loi martiale qui mènerait droit à la guerre civile : voir l'info de ce matin dans le New York Times selon laquelle la Maison Blanche est en état de siège et Trump se serait réfugié dans un bunker. La pétition "colorofchange", qui veut faire arrêter les meurtriers de Floyd a des relents de "regime change" (politique d'ingérence pour changer par la force les gouvernements étrangers) qui repose souvent sur une stratégie du chaos. Il s'agit en tout cas de rechercher une tension maximale comme avec la Marche des Femmes après l'élection de Trump ou celle contre les armes en 2018 (avec les mêmes financements que Black Lives Matter).
Pousser à l'explosion sociale en faisant succéder la violence au confinement, pour ensuite imposer une dictature antéchristique (puisque selon la Bible l'Antéchrist viendra au nom de la paix) ?
La thèse se défend, même si, dans le détail, il y a beaucoup de raccourcis complotistes, par exemple celui selon lequel Soros aurait déclaré en septembre 2014 dans le magazine allemand Bild qu'il financerait des "groupes de haine noire" aux Etats-Unis - interview dont bien sûr personne n'arrive à retrouver une copie... et pour cause : pourquoi Soros aurait-il ainsi révélé ses cartes ?
Affaire à suivre...
PS : Voyez aussi la problématique des blocs de briques "miraculeusement" présents à tous les coins de rues dans plusieurs villes américaines depuis un certain temps...
A Call for an Uprising à propos des blocs de briques dans les rues