Trump en embuscade : les étranges dispositifs symboliques à son sujet
Il existe un dispositif étrange autour de Donald Trump dans les productions hollywoodiennes, un dispositif qui a des ramifications de tous les côtés, dans la presse, dans la musique, et que Casey Brown (EnterTheStars) étudie depuis des années. Ce dispositif symbolique associe parfois Trump au 11 septembre (par exemple sur NBC News en 1980 quand on l'interviewe sur son intention d'acheter le World Trade Center en insistant sur le fait qu'il a 33 ans - chiffre maçonnique - ou quand une publicité pour un ordinateur Toshiba de 1996 montre un jeune homme qui écoute la radio sur 101.9 MHz/119, puis juste après un répondeur téléphonique qui dit "C'est Donald Trump"). Il l'associe aussi au voyage dans le temps, à Tesla, à Abraham Lincoln - rappelez vous des éléments de programmation prédicative déjà mentionnés à son sujet dans Back to the Future II, ou dans Donnie Darko. Quand on sait que la haute politique se joue de pair avec la sorcellerie comme nous le rappelait Jacques Attali qui accordait une belle place à ce concept dans son Dictionnaire du XXIe siècle, on ne peut pas exclure que toutes ces correspondances ne soient pas totalement gratuites.
Quel intérêt, direz-vous, puisque Trump n'est plus président ? Il se trouve qu'il reste en embuscade et pourrait être prochainement réélu. Et beaucoup de ses fans vont jusqu'à le considérer comme l'équivalent de Jésus-Christ (voyez par exemple le livre bizarre du Sud-Africain Helgard Müller paru en janvier 2022 "President Donald J. Trump, The son of Man - The Christ" qui circule dans les meetings du Parti républicain américain), tandis que certains de ses adversaires, voient parfois en lui l'Antéchrist. Simples querelles de fanatiques ? Possible. Après tout ils sont nombreux à avoir théorisé le fait qu'Obama, le pape, et tant d'autres avant eux étaient l'Antéchrist (ce qui bibliquement n'est jamais faux puisque les Antéchrists sont nécessairement nombreux avant l'ultime). Mais il y a quand même anguille sous roche si l'on en juge par toutes les représentations qui l'évoquent dans la matrice culturelle dominante, et, s'agissant d'un personnage qui avait annoncé vouloir faire reconstruire le Temple de Jérusalem (condition d'avènement du dernier Antéchrist) et dont le gendre avait acheté à prix d'or le bâtiment sulfureux situé au 666 de la 5e Avenue à New York (et mis à l'honneur dans beaucoup de films par les sociétés secrètes hollywoodiennes), et il y a peut-être matière à y regarder.
Revenons donc aux travaux de Casey Brown (EnterTheStars) qui récemment se penchait sur le film Gremlins 2, sorti en 1990, où les références à Trump sont pléthoriques, et dans un système serré de correspondances avec le 11 septembre, le Covid 19 etc.
On ne développera pas toutes les spéculations de Brown sur ce film. Seulement quelques unes en suivant chronologiquement ce qu'il démontre. Ca commence par une jeu bizarre où Daffy Duck prend le pouvoir sur le bouclier de Bugs Bunny. On ne comprend pas trop ce que signifie ce préambule dans le film, sauf à voir dans Daffy Duck le pendant noir de Donald Duck (dans une logique maçonnique du noir et blanc, ce n'est pas absurde), or beaucoup on comparé Donald Trump à Donald Duck (et les jeux de mots sur Don, Donnie dans les films font souvent système avec des références possibles à Trump). Le vilain canard narcissique qui prend le pouvoir contre le gentil lapin, ça pourrait être Trump... Puis la première image est un zoom sur les Twin Towers à Manhattan. On pourrait croire que cela est gratuit. Sauf que le héros du film est Daniel Clamp (ce qui sonne comme Donald Trump) qui est un magnat de l’hôtellerie comme Trump dont l'empire dans le film lui-même est comparé à une pieuvre. Pour que personne n'ait de doute sur l'identification entre Trump et Clamp, on notera que que lorsque la guide de l'immeuble de Clamp (Brown le montre à la minute 16'17 de sa vidéo le livre de Clamp intitulé "I took Manhattan" la couverture est à maints égards semblable à celle de "Art of the Deal" de Trump).
Ce qui conduit à penser que le zoom initial sur les Twin Towers (qui reviennent souvent dans le film) n'a rien de gratuit, et qu'il s'agit bien de lier Trump au 9/11 est cette scène où les journalistes interviewent Clamp, et les micros devant lui forment un 9/11 (rappelons que le film est de 1990), avec d'ailleurs cette manière très particulière de styliser le 11 comme deux tours ce que firent aussi les Simpsons dans de la programmation prédictive de 1997 (voir ici).
Or, ce qui est très intéressant c'est non seulement que le film lie Trump au 11 septembre 2001, mais aussi qu'il est imprégné d'un bout à l'autre d'allusions au vampirisme (avec un Dracula qui passe souvent) et à la recherche scientifique sur les virus et sur l'ADN. Car un laboratoire travaille pour Clamp. Et d'ailleurs vampirisme et recherche médicale se recoupent dans le fait que l'acteur qui joue le Dr Cushing Catheter dans Gremlins 2 a aussi joué Dracula par le passé, il s'agit de Christopher Lee. Or Christopher Lee, n'est pas un "acteur amusant" parmi tant d'autres. C'est quelqu'un qui est engagé dans l'occultisme, et qui avait expliqué dans une interview en 1975 que de véritables rituels incantatoires peuvent être filmés sur scène et infligés aux spectateurs - voyez mon billet sur le vampirisme ici. Là où s'affiche la comédie peut donc se jouer quelque chose de beaucoup plus sérieux, et beaucoup plus dangereux. Le danger et la tromperie de la magie réside là-dedans.
L'intrigue basique tient au fait que le milliardaire Clamp veut acheter des Gremlins à un Chinois. Or les Gremlins sont des virus qui se multiplient lorsqu'ils sont mouillés.
Cela renvoie au jeu trouble qui a existé autour d'un autre 11 septembre, le 11 septembre 2019, dans la période précédant les jeux militaires de Wuhan sur lesquels enquête George Webb. Trump achetant le virus aux Chinois pour asseoir son pouvoir, est une hypothèse étonnante. C'est en tout cas ce qu'un certain décodage du film laisse entendre.
Brown montre que le film nous donne à voir apparemment sans raison un Rambo lançant une flèche, qui peut correspondre au fameux paradigme d'Apollon cher à Celeste Solum et Tim Alberino qui était aussi annoncé dans l'Apocalypse de Jean... La flèche du vaccin qui est aussi celle qui donne la maladie (Apollon étant le dieu de la peste de sa guérison tout à la fois). L'allusion à la flèche se retrouvera plus loin avec un Robin des Bois qui brise sa flèche (encore une image qui n'a aucun sens dans le film mais en prend un dans la logique occultiste de la trame cachée du film). Juste après cette image, le Chinois se met à tousser. Puis on voit deux écrans jumeaux qui renvoient au fait que Trump est du signe des Gémeaux (ce qui a souvent été aussi souligné par les occultistes, avec le côté Janus de ce milliardaire). La gémellité revient souvent dans le film, avec notamment à un moment un laborantin qui est double.
Sur la dualité et la gémellité, il y a une image intéressante que Brown montre en minute 7'07 de son second décryptage du film. On voit un tableau représentant un projet immobilier, où les Twin Towers, les tours jumelles, avoisinent deux autres bâtiments jumeaux, des bâtiments chinois, avec au milieu un dragon qui envahit les arbres. Brown ayant observé dans ses précédents décodages que souvent à Hollywood les arbres peuvent être identifiés aux êtres humains, et que le serpent dans la poitrine, ou toute autre forme de reptile, est à la fois symbole de maladie (un des jumeaux un peu plus tard ppellera les Gremlins des reptiles et l'autre dira "non ce sont des virus") et de possession, on pourrait y voir l'exposition d'un projet de possession générale de l'humanité, articulé autour de la gémellité.
Le film regorge d'allusions plus ou moins voilées à des sujets qui en 1990 n'intéressaient personne et étaient inconnus : la manipulation de la double hélice d'ADN, au contrôle climatique et aux "smart cities" (la guide y fait référence dans la tour de Clamp) au "mind control" avec la vache qui a un casque de fer sur la tête, à la grippe du singe (voir au paradigme plus général du singe autour de 12 Monkeys), au traçage des gens avec le code-barre (pas encore le R code), l'omniprésence des caméras, le culte solaire (avec "Sunworshiper film" et l'affiche SOL- Spice o'life), aux ruches hexagonales où dorment les Gremlins/démons (je ne vous refais pas le cours sur les hexagones du graphène, du World Economic Forum, et de la ruche de Beyonce "queen of the bees"). Et puis il y a carrément de l'occultisme pur et dur avec la femme aux cheveux rouges, et une chèvre représentant le Baphomet.
Brown y voit des confirmations sur ses analyses antérieures à propos du chiffre 58 lié à Trump (les 58 étages de Trump Tower) qui revient dans le film sous forme inversée, les parapluies analogues aux seringues, ou encore sur le lien entre Trump et le papier toilette (souligné en 2016 par The Economist qui renvoie en fait aux origines écossaises de Trump), le lien entre pandémie et imagerie des chauves-souris etc. Toutes ces choses dont, encore une fois, la présence dans le film peut sembler absurde si on ne la relie pas à une trame secrète.
Pour finir sans trop nous appesantir soulignons que Trump lui-même a parfois parlé des Gremlins en bien, et dans les mêmes termes dont en parlait l'auteur du film dans les années 1990, ce qui est un peu étrange quand on songe que ces bestioles ont un aspect clairement démoniaque, notamment dans leur faculté à se démultiplier.
Surtout il existe une étrange petite vidéo que Casey Brown/EnterTheStars a déterrée dans laquelle le rappeur Kodak Black, d'origine haïtienne, récemment converti à la religion israélite, fait aussi un lien entre Trump et les Gremlins. C'est en apparence une vidéo purement humoristique mais de cet humour complètement stupide, n'ayant ni queue ni tête, comme il y en a souvent dans les émissions américaines à forte inspiration maçonnique comme par exemple SNL, et ou l'émission d'Helen DeGeneres. Dans cette vidéo de février 2022, intitulée "Sundae Conversation with Caleb Pressley", le rappeur précise en minute 1'07 qu'il a été gracié par Trump en 2021, malgré son port illégal d'armes, parce qu'il lui a rendu un service, et il appelle Trump son "Jumeau Gémeau" et ajoute que Trump est un "super Gremlin" et qu'il est un "vautour au corps entier qui peut se lever et marcher" (full body vulture who can stand up and walk"). Super Gremlin est un chanson que le rappeur a sortie en 2021 (le soir d'Halloween). Plus loin dans l'interview il parle de tunnels et de souterrains à propos de Trump. Des mots qui sont soit absurdes soit codés, comme les images de Gremlins 2...
Pendant ce temps sous la Baltique
La nouvelle de deux explosions sous-marines sur les pipe lines Nord Stream 1 et 2 a été confirmée par la télévision publique suédoise SVT,et le Centre national suédois de sismologie (SNSN) de l'Université d'Uppsala. Les deux explosions ont été enregistrées par les stations de mesure suédoises lundi 26 septembre - à 2h03 et à 19h04. "Il ne fait aucun doute qu'il s'agissait d'explosions", a déclaré Bjoern Lund, sismologue au SNSN.
L'hebdomadaire "Spiegel" a rapporté sur son site Internet que le gouvernement allemand considérait sérieusement que la fuite pouvait être le résultat d'un sabotage.
"Trois des quatre conduites du Nord Stream sont endommagées", a déclaré une source gouvernementale au Spiegel. Les responsables ne pensent pas que ce soit une coïncidence. Il pourrait s'agir d'un complot visant à semer l'agitation sur le marché du gaz en Europe. Selon Spiegel, les plans de sécurité pour les autres pipelines et infrastructures gazières sont sous contrôle urgent », lit-on.
Comme l'a rapporté l'Autorité danoise de régulation de l'énergie, les bulles de gaz du gazoduc endommagé Nord Stream 2 mesurent plus de 100 mètres de diamètre. La fuite durera des jours, voire une semaine.
L'attaque sur Nord Stream 1 et 2 n'affectera pas l'approvisionnement en gaz de l'Europe, car après le blocage de l'investissement de Nord Stream 2, la transmission n'a pas été lancée du tout. D'autre part, le flux de gaz dans Nord Stream 1 a été bloqué par la Russie elle-même en août.
Le politologue John Helmer basé à Moscou depuis des décennies explique : "L'opération militaire de lundi soir a été exécutée par la marine polonaise et les forces spéciales, avec l'aide des soldats danois et suédois, sur ordre des USA." C'est une répétition de l'opération Bornholm Bash d'avril 2021, qui a tenté de saboter les navires russes posant les conduites de gaz, mais qui s'était terminée par une retraite ignominieuse des forces polonaises. "Cette fois, l'attaque vise les Allemands, en particulier le lobby des entreprises et des syndicats et les électeurs est-allemands en leur faisant croire que c'est de la faute des Russes". Le sabotage ouvre la voie au gazoduc de la Baltique inauguré juste après.
Ce serait une forme de revanche des Polonais (en collaboration avec Washington) pour faire payer aux Allemands leurs ententes directes avec les Russes sur leur dos en matière énergétique. Le porte-parole polonais des services de sécurité et de renseignement polonais, Stanislaw Żaryn, avait déjà accusé sur Twitter Berlin de fournir aux Russes un prétexte pour boucler la Baltique au cas où Nord Stream 2 devrait être sécurisé par des troupes russes. "Les médias de propagande occidentaux ont tenté de créer l'apparence de l'approbation du gouvernement allemand pour l'attaque polonaise" ajoute Helmer. Mais le gouvernement de Varsovie, assez impopulaire dans l'opinion, et qui craint un hiver rude surtout si les Russes avancent vers l'Ouest en Ukraine et lui coupent l'accès aux centrales de ce pays, commence à avancer un nouveau pion contre Berlin en lui demandant des réparations de guerre pour les destructions e 1939-45, un dossier qui avait été opportunément enterré depuis 70 ans.
Les happenings mondialistes de la rentrée à New-York
Comme tous les ans, la session de rentrée de l'ONU est l'occasion de happenings de divers organismes de charité globalistes financés par les milliardaires et par les Etats.
Hier dans les locaux de l'ONU, sous la protection de la Bête du Livre de Daniel, la très corrompue présidente de la commission européenne U. Von der Leyen, a reçu le Prix Global Goalkeeper 2022 de la fondation Bill & Melinda Gates, aux côtés de l'indienne Radhika Batra, de l'afghane Zahra Joya, de l'ougandaise Vanessa Nakate (propagandiste du climat nommée ambassadeur de bonne volonté de l'UNICEF le 15 septembre).
"Championne de la santé mondiale et de l'accès équitable, dit le communiqué, von der Leyen a joué un rôle déterminant dans la création d'ACT-A, une collaboration mondiale pour accélérer le développement, la production et l'accès équitable aux tests, traitements et vaccins COVID-19.
Elle a dirigé les efforts de l'Union européenne pour aider les pays à faible revenu à répondre et à se remettre de la pandémie de COVID-19, y compris un engagement d'un milliard d'euros de l'UE pour renforcer la capacité de fabrication en Afrique afin d'accroître l'accès aux vaccins. , les médicaments et les technologies de la santé."
Pour mémoire, le président français en 2018 avait reçu le titre de champion de la Terre en marge de cette cérémonie annuelle, ce qui lui avait valu une interpellation spéciale de la chanteuse Lady Gaga en avril 2020 dans le cadre de la psy op Covid 19 au nom de Global Citizen et CEPI Vaccines.
Cette année l'adepte du vaudou Angelina Jolie, ex-ambassadrice de bonne volonté du Haut commissariat aux réfugiés, et membre du Council on Foreign Relations, qui a interviewé deux des lauréates pour le très "Skull and Bones" magazine Time, était de la partie.
Dans le public, au sein de la délégation française figuraient une adjointe à un maire d'arrondissement de Paris, mais aussi l'ancienne ministre présidente de ONE-France, branche française de l'ONG fondée en 2004 par le chanteur Bono.
Tandis que Gates remettait ses prix, son ex-femme et Bono assistaient aussi dans les locaux de l'ONU au Clinton Global Initiative Summit (qui ne s'était pas réuni depuis 6 ans), en présence du patron de Blackrock (la plus grosse société de gestion d'actifs et d'investissements au monde - dans tous les domaines : armement, énergie verte etc - avec près de 9 500 milliard de dollars) Larry Fink venu défendre les "critères environnementaux, sociaux et de gouvernance" (ESG) qu'il veut imposer aux grandes entreprises. Bono et Gates avaient paradé ensemble dans les rues de New York la veille. Puis Bill Gates a retrouvé von der Leyen, le président de la Corée du Sud Yoon Suk-yeol, Biden, Trudeau et Macron à la réunion de Global Fund pour la prévention des "futures pandémies" (quand on sait comment l'OMS trafique la définition des pandémies, on peut se demander quelle nouvelle "psy op" ce happening nous préparait, même si évidemment on peut supposer qu'une partie de l'argent collecté ira effectivement à de vraies victimes de vraies maladies).
Les donateurs se sont engagés à verser 14 milliards de dollars. La fondation Rockefeller donne 15 millions, la France augmente sa contribution de 30% à Global Fund soit 1,6 milliards pour cet organisme, et 250 millions pour UNITAID, la structure au budget de com' pharaonique créée par Chirac et Lula (voir Pauline Liétar "L'ONU : la grande imposture") qui a versé naguère des centaines de millions de dollars à la Fondation Clinton (voir Peter Schweizer, son livre "Clinton Clash" eds HarperCollins) - tout se recoupe ! Le Parlement français, en vacances prolongées, n'a sans doute pas été consulté...
Quelques hypothèses complotistes : les dirigeants du monde, la chèvre du Prince Charles et les négociations de Forte dei Marmi
Je me permets de revenir à des considérations un peu plus "complotistes" que dans mes derniers billets. Je sais que cela ne plait pas à tout le monde (par exemple j'avais perdu un fidèle abonné il y a 6 mois quand j'avais rappelé que Poutine était un ancien Young Leader du Forum de Davos), mais il faut bien parfois essayer de regarder au delà du théâtre médiatique, même si l'on n'est jamais assuré, il est vrai, d'avoir totalement raison quand on s'aventure sur ce terrain là puisque rien n'est absolument démontrable (il faut que l'occulte reste caché à un certain degré).
Une thèse importante que l'on entend dans les milieux conspirationnistes en ce moment me semble devoir être rappelée ici. C'est que, si chaque pays en ce moment (au moins en Occident) tend à avoir le pire leader possible, c'est que cela est voulu. En effet, les Etats-Unis ont Biden qui ne sait pas aligner trois mots sans téléscripteur, la France a un président qui aujourd'hui parlait devant une assemblée générale des Nations-Unies au trois quarts vides tellement il est discrédité, le Royaume-Uni vient de se doter d'une première ministre elle aussi peu reluisante, et, pire, d'un roi qui n'est pas populaire en raison de son ancien conflit avec la princesse Diana. Pourquoi ? Parce qu'il faut détruire les nations au profit du gouvernement mondial, et donc chaque leader est chargé rituellement de sacrifier sa fonction, et sacrifier son propre pays, dans cette espèce d'holocauste, qui fera renaître de ses cendres, tel un phénix (image maçonnique) un nouvel ordre mondial. La thèse vaut ce qu'elle vaut, mais elle est en tout cas assez cohérente avec la philosophie de la destruction que les élites affichent en permanence.
Bien sûr ces choses sont délicates à comprendre. Par exemple si je vous répète (comme je l'ai déjà fait ici) que le 11 septembre est une date symbolique forte pour les sociétés secrètes, j'aurai déjà perdu la moitié de mes lecteurs à qui le sujet paraît trop glissant. Pourtant, en partant de ce fait connu, et d'un autre fait qui est que la chèvre, symbole du Baphomet, est de plus en plus mise en valeur dans la culture dominante de la façon la moins compréhensible à première vue (par exemple avec le goat yoga qui consiste à pratiquer du yoga avec une chèvre sur son dos), je peux vous avancer qu'il y a probablement un symbole dans le défilé militaire, dans le cadre des cérémonies de proclamation du nouveau roi Charles III d'Angleterre, le dimanche 11 septembre dernier, derrière une chèvre blanche (dont on nous explique qu'elle est la mascotte du 3e bataillon du régiment royal gallois depuis les années 1770). Balancer ce genre de symbole peut faire partie de l'hypnose générale (tout comme ensuite la photo du roi Charles avec la chèvre 5 jours plus tard). Plus ce genre de rituel implique de spectateurs, plus le pouvoir politique assoit son emprise sur les gens et gagne en effectivité. Donc il peut être utile de rester sur ses gardes.
Continuons dans la veine "complotiste" de la recherche des causes ultimes derrière ce que l'on nous montre, en ce qui concerne l'Ukraine. Là encore, je n'ai pas de preuves de ce que j'avance, mais je me dois quand même de soumettre ceci à la réflexion collective. Vous savez que cet été, il y a eu des polémiques dans la presse italienne sur le fait que le président ukrainien Zélinsky, qui possède en Toscane (à Forte dei Marmi) une villa de 4 millions d'euros ancienne propriété de la famille Agnelli (les fondateurs de la Fiat), l'a louée à des oligarques russes. Il Tirreno a révélé l'affaire, puis il y a eu du "damage control" de la presse mainstream pour faire croire que les choses étaient plus compliquées que cela, que les oligarques seraient en fait des estoniens, etc.
Cela pourrait être purement anecdotique ou simplement révélateur du maintien de certains liens du régime de Kiev avec les Russes (la remarque avait déjà été faite au printemps quand l'Ukraine continuait à toucher des subsides importants du transit du gaz russe sur son sol). Mais un Tweet de George Webb (auteur que je cite souvent sur le Covid 19 et les Trump Papers) incite à penser un peu plus loin. Péremptoire, il affirme : " Nous vous avions dit que le Young Leader mondial Vladimir Poutine ferait un bluff nucléaire pour obtenir de Kolomoisky et Zelensky un paiement de 350 milliards de dollars pour le cessez-le-feu (une paix des Rothschild - comprend toujours un gros chèque pour la "reconstruction"). Des pourparlers de paix en ce moment à Forte dei Marmi, en Italie. Hey Pietro Benassi"
Autrement dit Poutine avec la menace nucléaire (et la mobilisation partielle) ferait seulement monter les enchères pour la paix. Et tout se négocierait en ce moment dans la résidence de Forte dei Marmi. D'où George Webb tire-t-il ce chiffre de 350 milliards de dollars ? Apparemment de l'évaluation du coût de la reconstruction par la Banque mondiale publiée dans le Jerusalem Post du 9 septembre.
Dans un autre tweet le 17 septembre il disait : "Pietro Benassi a rajeuni Forte di Marmi comme le chemin du Pape vers la mer. Le pape (Léon X) Médicis a créé la Via di Marina. C'est une sorte de zone autonome du Vatican. C'est pourquoi je dis que l'accord de paix des Rothschild se passe là-bas maintenant pour l'Ukraine avec Deripaska là-bas".
Oleg Deripaska, le favori de Poutine, a effectivement une villa dans cette "petite Russie italienne".
Est-ce que Webb se contente de conjecturer à propos du fait que Zelinsky et des proches de Poutine ont de riches demeures à Forte di Marmi, ou a-t-il vraiment des informations confidentielles sur une "paix des Rothschild" qui se négocierait là bas ? Personnellement je penche plutôt pour des recoupements un peu gratuits (par exemple on ne voit pas pourquoi le fait qu'un pape ait fait rénover la Via di Marina en ferait une annexe du Vatican !).
Mais d'un autre côté, l'hypothèse expliquerait cette sortie soudaine de Poutine sur le nucléaire, alors que la contre-offensive ukrainienne ne semble pas spécialement bousculer la ligne de front sur le terrain après le redéploiement des troupes russes. Même si Webb va un peu loin dans les supputations, il y a quand même peut-être anguille sous roche de ce côté-là.
Le christianisme de Roger Garaudy
Disons le, je ne suis pas très impressionné par le christianisme de Roger Garaudy (qui fut un des principaux cadres du Parti communiste français à l'époque de Maurice Thorez) et lui préfère de loin, dans le registre des christianismes d'agrégés de philosophie, celui de Maurice Clavel, qui part d'une expérience existentielle beaucoup plus profonde et d'une approche vraiment tragique du destin de l'Occident. Garaudy, lui, dont j'admire pourtant le parcours jusqu'en 1970 et le courage, est trop intellectuel. Sa façon de tout faire partir dans "Parole d'homme" de l'amour est creuse, et cela sonne faux, même son hommage au naturisme (on devrait dire l'adamisme). Clavel quand il parle de l'amour cible juste, Garaudy confine aux poncifs de la pop music des années 80. On sait que l'amour est capital pour parler du christianisme, mais Garaudy en se réfugiant derrière Aragon ne sait faire que du "name dropping". Et puis, naturellement, le point aveugle de sa pensée est l'absence des démons dans sa vision de la trajectoire humaine, conséquence naturelle d'une tendance à gommer le sens du mystère et de la repentance. Cela donne un christianisme éclectique, ouvert à tous les vents (à la fin ce sera le vent de l'Islam qui l'emportera chez lui, mais un Islam d'ailleurs très subjectif et un tantinet guimauve...). Dès avant sa conversion islamique il était plus panthéiste que chrétien, tout comme son modèle Romain Rolland. Je ne dis pas que tout est faux dans cette approche spirituelle. Simplement il faut être conscient de ses dangers dans l'ordre du luciférisme (comme bien sûr l'anti-humanisme d'un certain intégrisme chrétien a aussi ses dangers).
"Parole d'homme" présente quand même un intérêt historique... La lettre de Maurice Thorez sur le christianisme notamment, qui est à mettre en regard avec un travail que je voudrais faire sur l'autre grand chrétien socialiste panthéiste que fut Pierre Leroux. Et puis bien sûr il s'y trouve toujours d'utiles piqûres de rappel contre la pensée bourgeoise.
Un second front au Sud ?
Après l'attaque de l'Azerbaïdjan contre l'Arménie faible de Pashinian, la marionnette de Soros, le conflit frontalier entre le Kirghizistan et le Tadjikistan a provoqué la mort de 100 personnes en deux jours. Il s'agirait là encore d'une "proxy war" en germe, provoquée par Washington pour compenser l'incapacité du régime de Kiev de faire reculer durablement l'armée russe. C'est du moins l'avis de Nurlan Dosaliev, ancien membre du Comité d'État pour la Sécurité Nationale du Kirghizistan, qui souligne que le Tadjikistan est de plus en plus dans la main des Etats-Unis. Ce pays a reçu le commandant du Centcom, le Gal Michael Kurilla, en juin dernier. Par ailleurs l'agence para-étatique spécialisée dans les ingérences humanitaires impériales américaine USAID étend ses missions dans ce pays : elle y aide au séquençage du génome humain sous couvert de lutte anti-Covid, mais aussi au transit transfrontalier des marchandises.
Le Tadjikistan affronte divers problèmes sociaux comme l'autonomisme du Pamir, et est aussi le seul Etat de la région à soutenir activement l'opposition afghane aux Talibans, ce qui toutefois ne l'empêche pas de renvoyer de force des réfugiés vers ce pays.
Les biolaboratoires mobiles français en Chine selon George Webb
L'enquêteur George Webb n'en démord pas : les papiers concernant le président Macron saisis dans la résidence de Donald Trump ne concernent pas sa femme Brigitte qui serait un homme, comme l'ont soutenu successivement une journaliste free-lance du Sud-Ouest, la TV russe et même la TV albanaise.
Non. La vraie piste d'investigation serait du côté du coronavirus. Cette fois-ci le chercheur ne s'intéresse plus à l'attaque informatique sur la laboratoire P4 de Wuhan, mais aux laboratoires mobiles "de fin du monde" français (les "Doomsday Labs").
De quoi s'agit-il ?
Il faut partir de l'histoire mise au jour notamment par Antoine Izambard. En 2003 la Chine, comme une grande partie de l’Asie, est frappée par une pandémie de pneumonie atypique (SRAS), qui est selon l’OMS la première "nouvelle" maladie infectieuse du XXIe siècle à être transmise de l'animal à l'homme. Elle souhaite avoir à Wuhan un laboratoire P4 comme celui qui a été inauguré à Lyon en 1999 et qui peut avoir une fonction aussi bien civile que militaire.
Un détail intéressant : le journaliste Matthew Pottinger conseiller adjoint à la sécurité nationale de la présidence américaine de 2019 à 2021, très impliqué dans l'opération Warp Speed, fut un des premiers à suivre de près en 2003 pour le Wall Street Journal l'épidémie de SRAS à Hong Kong.
Après une enquête minutieuse du Secrétariat général à la Défense, Jacques Chirac et son Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, donnent leur feu vert au projet, mais sous condition, d'autant qu'on apprend en juin 2004 que les Chinois veulent en construire 5 autres, 3 civils et 2 militaires.
Dans un premier temps Matignon autorise l'exportation de quatre laboratoires mobiles P3 en Chine. Et le sort de ces laboratoires mobiles est devenu très vite incertain.
Antoine Izambard rapporte un témoignage d'un fonctionnaire français sur la période qui suivit : " Nous leur avons demandé [aux Chinois] ce qu’étaient devenus les P3 et ils nous ont répondu que certains, situés dans une région proche de l’Himalaya, avaient gelé durant l’hiver et que d’autres avaient disparu. C’était assez déroutant. "
Dans un article de 2020 pour Challenge Izambard allait cependant relativiser cette affirmation : " Expert technique sur le P4 auprès de l’ambassade de France à Pékin de 2012 à 2017, écrit-il, Gabriel Gras pointe pour sa part certains "fantasmes". "Bien sûr que l’on doit être prudent et vigilant mais il faut aussi déconstruire certains mythes, juge-t-il. Par exemple, les quatre laboratoires P3 mobiles, que j’ai pu contrôler, sont tous en Chine, à Canton, Shanghai et Pékin. Ils n’ont absolument pas été détournés de leur usage initial. Quant au P4, oui les travaux ont pris du temps, cela a été difficile, mais il fait partie des plus beaux et plus sécurisés au monde." "
Les laboratoires mobiles chinois ont-il disparu ou pas ?
George Webb pense qu'ils ont vraiment disparu durant la période critique juin 2019-février 2020, période de "live exercices" des jeux olympiques militaires de Wuhan et qu'ils ont pu en outre participer à une "énorme projet de cartographie de l'exosome humain". L'exosome est un complexe protéique capable de dégrader les différents types de molécules d'ARN. Ces vésicules d'excrétion de la cellule constituent en quelque sorte un moyen de communication privilégié entre les différentes cellules de l'organisme. Chaque exosome représente une forme de colis dans laquelle la cellule est capable d'inclure différentes protéines ou des ARN. Arrivé à destination, l'exosome va fusionner avec la membrane de la cellule cible et son contenu va être pris en charge. Des projets visent à l'utiliser pour soigner le cancer.
BioMerieux qui vend les laboratoires mobiles est spécialiste de l'isolement des exosomes. Se peut-il, demande George Webb, que Pottinger, qui ne serait en fait qu'un émissaire de l'Etat profond (il serait lié à Henry Kissinger par son patron à la NSA Robert O'Brien et par son père le haut fonctionnaire Stan Pottinger), ait "littéralement déplacé des biolabs mobiles comme un cirque pour cartographier l'ensemble de l'exosome en créant de petites pandémies de feu de brousse pour tester différentes parties de l'exosome" des gens ? Il avance d'ailleurs l'hypothèse audacieuse selon laquelle les biolabs mobiles chinois ou des labos assimilés aient pu parcourir l'Afrique en 2014-2016 et provoqué des épidémies d'ébola, de zika.
A vrai dire, quelques unes des hypothèses de Webb laissent assez sceptique. Fondées sur de simples recoupements, elles font penser à certaines pistes que lançait QAnon naguère pour dénoncer des complots de l'Etat profond que Trump serait censé combattre. Ici Webb paraît de plus en plus enclin à charger Pottinger qui serait une sorte de marionnette de Kissinger (peut-être comme Macron), une marionnette d'ailleurs très liée au Big Pharma (son frère a travaillé sur les dispositifs de test Covid) et qui serait directement l'informateur du FBI pour les investigation à Mar-a-Lago... Mais cela revient une fois de plus à disculper un peu facilement Trump de toutes ses indulgences (pour ne pas dire plus) à l'égard de Fauci and co. Les questions qu'il pose à propos des biolabs mobiles, ceux vendus à la Chine, mais aussi indirectement ceux que l'Institut Mérieux peut vendre à d'autres pays, sont intéressantes, mais cela mériterait d'être complété par d'autres investigations de journalistes free-lance ou de lanceurs d'alertes... voire, qui sait, des enquêtes de justice...
La prison des peuples
C'est une chose très étrange vraiment que de voir la très corrompue présidente de la commission européenne se prendre maintenant pour la dirigeante d'une Europe fédérale, prononcer un "discours de l'Union", prétendre engager tout le continent dans une guerre contre la Russie au service de l'OTAN, tout en déniant toute responsabilité dans l'échec de sa politique de sanctions stupide qui va nous priver en partie d'énergie cet hiver. La faute à ceux qui se sont tus déjà quand la commission s’arrogeait le droit de commander les thérapies géniques anti-Covid à la place des Etats, de définir elle-même la politique de livraison d'armes, de censure d'Internet etc.
La chape de plomb tombe sur nous. La Lettonie après avoir abattu les monuments en l'honneur de l'Armée rouge interdit à sa minorité russe de chanter Katyusha. La Hongrie est qualifiée de pays non-démocratique parce qu'elle refuse le consensus totalitaire de l'idéologie woke et de l'anti-russisme.
Je sais qu'on pourrait dire que l'Union européenne n'est pas la seule responsable. Au Royaume-Uni c'est la même folie anti-russe, et le même monolithisme quand les gens se voient interdire l'expression de la moindre opinion anti-monarchique à l'occasion du décès de leur reine. Mais au moins si notre Macron national décidait quelque chose, il pourrait avoir des gilets jaunes contre lui. On ne peut pas envoyer des gilets jaunes à Bruxelles...