Articles récents
Napoléon, Rancé, Sartre...
Le film de Ridley Scott sur Napoléon que je n'ai pas encore vu suscitait toutes sortes de débats sur l'Empereur dans le Figaro hier. Jean Dutourd dans "La Chose écrite" avait rendu hommage au style littéraire de l'empereur en en faisant la racine d'une famille stylistique en soi dans laquelle il classait aussi bien Stendhal que George Sand et même Roger Vailland au XXe siècle, tandis que la monarchie avait le sien qui allait selon lui de Chateaubriand à Louis Aragon (par delà les clivages politiques). Une façon en quelque sorte de faire comme si la littérature pouvait se comparer aux styles mobiliers.
J'ai jeté un oeil sur ce que Gallica propose des oeuvres complètes de l'empereur. J'ouvre le tome 4, au hasard. Un communiqué militaire après la victoire de Friedland en 1807 qui fait l'inventaire des pertes adverses (par milliers). Il ajoute "Après de tels événemens on ne peut s'epêcher de sourire quand on entend parler de la grande expédition anglaise et de la nouvelle frénésie qui s'est emparée du soir de Suède". Lisez aussi la page suivante (251) sur l'estime mutuelle que Français et Russes se portaient.
A rebours je passe au tome 3 pour le 13 mars 1802 : "Rome, Naples, l'Etrurie sont rendues au repos et aux arts de la paix.
Lucques, sous une constitution qui a réuni les esprits et étouffé les haines, a retrouvé le calme et l'indépendance.
La Ligurie a posé dans le silence des partis les principes de son organisation , et Gènes voit rentrer dans son port le commerce et les richesses.
La république des Sept-Iles est encore, ainsi que l'Helvétie, en proie à l'anarchie; mais d'accord avec la France, l'empereur de Russie y fait passer les troupes qu'il avait à Naples, pour y reporter les seuls Liens qui manquent à ces heureuses contrées, la tranquillité, le règne des lois, et l'oubli des haines et des factions.
Ainsi, d'une extrémité à l'autre, l'Europe voit le calme renaître sur le continent et sur les mers, et son bonheur s'asseoir sur l'union des grandes puissances et sur la foi des traités."
Jean Dutourd disait que Napoléon fut le seul écrivain qui écrivait sur le monde au moment même où il le modifiait. Le seul qui eût ce pouvoir là. C'est une remarque assez juste.
A part delà je ne lis que des textes de vieillards ou sur des vieillards. Avant hier c'était la Vie de Rancé de Chateaubriand, que bien sûr je recommande à tout le monde, texte profond sur la vie ascétique, sur la spiritualité de l'époque de Louis XIV qui fut aussi un visage important de ce que fut la civilisation française. Il n'y a que les cinéastes imbéciles subventionnés par l'Etat qui croient que la France du Roi Soleil n'était que danses, mignardises et parties de jambes en l'air sous les dorures de Versailles. Ces gens ne comprendront jamais rien à ce que fut leur pays.
Et puis j'ai aussi jeté un oeil aux derniers chapitres du livre d'Annie Cohen-Solal sur Sartre. Le temps du maoïsme, et ses dernières années, aveugles dans le face-à-face avec Benny Lévy. Vous savez qu'il y a un an je m'étais penché sur le maoïsme français avec des lunettes chrétiennes, et notamment avec celles de Clavel (ce qui était une façon de revenir sur ce sujet ) l'âge mûr, sachant qu'auparavant je ne l'avais observé qu'avec le regard de Monsieur Tout le Monde). Je l'avais regardé comme on dissèque une hérésie. Les hérésies ont beau être fausses, elles pointent parfois vers des vérités, et surtout suscitent des modes de vie intéressants. J'en retrouve la preuve dans les mots de Cohen-Solal sur la fraternité que Sartre trouva pour la première fois chez les "maos". J'avais deux ou trois ans, quand le maoïsme atteignit son apogée dans notre hexagone, je n'en ai donc rien connu, Pourtant je ne pense pas qu'on puisse réfléchir aux idées de gauche sans se pencher sur ce qui s'est joué dans cette expérience. J'en ai un peu parlé aussi dans mon livre sur Cuba dans lequel j'interroge le contenu religieux des révolutions, notamment celui du castrisme.
Il vaut mieux passer son temps à lire ces vieilleries qu'à regarder les news à la TV ou les imbécilités politiques de YouTube et des réseaux sociaux.
Insolite Argentine
L'Argentine a souvent été une terre d'expérimentation sur des thèmes à la mode. Ainsi à la fin des années 1980 le corrompu Carlos Menem y avait mené l'expérience néo-libérale plus loin que partout ailleurs en Amérique latine. On peut même classer parmi les expériences hirsutes celle du général Peron qui mêlait bizarrement socialisme et néo-fascisme. Même la dictature de militaire des années 1970 qui n'était pas, tout en étant pro-américaine, n'était dépourvue de sympathie pour l'URSS (qui avait mis ses satellites à disposition de Buenos Aires pendant la guerre des Malouines) fait partie des bizarreries de ce pays austral.
Aujourd'hui celui-ci s'offre le luxe d'une nouvelle expérience : celle d'élire à sa tête un "anarcho-capitaliste", Javier Milei, disciple de l'ultra-libéral Jesús Huerta de Soto qui sera le premier président de la République libertarien au monde. L'individu est un client du Forum économique mondial (voir photo), qui coche diverses cases de son agenda (américanophile au point de vouloir dollariser l'économie et quitter les BRICS, fanatique d'Israël etc), mais en apparence dissident sur certains aspects (par exemple il est hostile à l'avortement ou aux théories officielles sur le cimat, d'ailleurs la grande presse feint de s'interroger sur sa santé mentale). Personnellement je ne donne pas cher du succès de cette expérience, mais je suppose que cela donnera l'occasion à certains spécialistes de l'ingénierie sociale de pondre quelques études sur ce "cas d'école".
Esperanza Spalding
Une artiste proche d'Obama, toute d'orange vêtue (orange = 33 en gematria) au moment où elle ne se savait pas filmée :
Le geste "as above so below" (en bas comme en haut) rappelle Tom Hanks (cf ci-dessous) dans Forest Gump, la tête de Jack Nicholson y est incrustée sur le corps d'un personnage des années 1920 dans Shining, et bien sûr le Baphomet.
Ordo ab chao espagnol et européen
La politique d’instabilité et de confrontation se poursuit dans le monde occidental pour fragiliser les opinions publiques et provoquer la mise en place d’une dictature mondiale.
On a vu des stratégies du choc être mises en place depuis quelques années avec la « guerre contre le terrorisme », la crise sanitaire de 2020, la guerre d’Ukraine, et récemment le « 11 septembre israélien ». Par ailleurs des combats « sociétaux » totalement artificiels sont suscités sur l’avortement, l’euthanasie, l’identité de genre etc pour fragiliser le sens de l’identité de tout un chacun et hystériser les rapports sociaux. La politique migratoire a aussi été instrumentalisée dans ce but à l’échelle même des continents (on a vu récemment l’action de Soros au Guatemala pour relancer les migrations vers les Etats-Unis, ou son lobbying au sein de la Cour européenne des droits de l’homme).
L’Espagne a été un « terrain de jeu » particulièrement privilégié pour cela. Tirant profit d’un certain enthousiasme des Espagnols pour le « progressisme » après la dictature franquiste, les mondialistes ont tiré à boulets rouges sur toutes les institutions morales de ce pays en faisant avancer des agendas pro-avortement, pro-transgenre etc, avec un pendant migratoire qui a permis de faire monter, en réaction, un groupe d’extrême droite, dont j’ai démontré sur ce blog les origines dans des milieux sectaires mexicains, et, du coup, probablement chez certains oligarques mondialiste nord-américains.
Ce groupe d’extrême-droite est largement instrumentalisé pour empêcher un processus d’alternance qui ramènerait les conservateurs au pouvoir, mais ce n’est pas tout : le socialiste Pedro Sanchez pour garantir sa reconduction à la tête du gouvernement après des élections qui plaçaient le Parti Populaire en tête n’a pas hésité à signer un pacte impliquant une amnistie avec le mouvement indépendantiste catalan qui a organisé un référendum insurrectionnel illégal en 2017 – j’ai montré dans mon livre « Les Régimes Populistes » et dans des billets de ce blog que ces indépendantistes étaient en fait eux aussi très liés à Soros et aux travaillistes israéliens.
Ce pacte s’accompagnait d’un discours populiste qui prétendait que les institutions judiciaires espagnoles étaient engagées dans un « lawfare » contre l’indépendantisme. Lawfare est un terme emprunté à la gauche latinoaméricaine pour stigmatiser une utilisation du droit à des fins de persécution politique. Il a soulevé une levée de bouclier dans les milieux juridiques espagnols (de droite comme de gauche), mais aussi une très forte mobilisation des conservateurs, qui étaient près d’un million à défiler dans toute l’Espagne il y a cinq jours (sous les ricanements de l'ambassadrice d'Allemagne), et qui sont encore très nombreux aujourd’hui, sur des slogans politiques très durs, après le vote d’investiture de Pedro Sanchez aux Cortes.
Le fossé entre les deux Espagnes n’a jamais été aussi profond depuis cinquante ans. Les conservateurs voient dans la démarche anti-institutionnelle de Pedro Sanchez une forme de chavisme qui menace la paix civile dans le pays, une importation des pratiques venezuéliennes. Or si le chavisme a pu avoir une légitimité du temps où ce pays (dans les années 2000) était un vassal des Etats-Unis soumis aux pires diktats du Fonds monétaire mondial, il en a perdu depuis quelques années maintenant qu’il est délibérément asservi aux intérêts des oligarques des BRICS contre son propre peuple comme on l’a rappelé récemment ici. Et surtout, importer en Espagne une démarche chaviste (sans les mesures sociales qui peuvent aller avec vu que l’Union européenne et l’OTAN verrouillent tout à ce niveau) peut être très dangereux car, cibler les institutions espagnoles comme l’autorité judiciaire c’est menacer directement l’unité du pays. Et beaucoup ont d’ailleurs fait remarquer que la prochaine cible sera probablement la monarchie accusée par les indépendantistes d’avoir été complice du « warfare » contre eux.
Or, ne nous y trompons pas : si Soros et certains milieux mondialistes associés ont soutenu l’indépendantisme catalan comme ils ont soutenu l’extrémisme des combats « sociétaux », ce n’est pas spécialement par amour pour les « idéaux de gauche ». C’est parce que, comme en ex-Yougoslavie ou en ex-URSS, ils savent que si le chaos que cela provoque ne débouche pas sur des guerres ouvertes, cela risque de provoquer par retour de bâton des dictatures militaires. Ainsi si Sanchez ne va pas au bout de la création d’une sorte de république confédérale « néo-chaviste » anomique en Espagne, il y aura un retour de bâton sous la forme d’une dictature militaire d’extrême droite dans ce pays qui fera aussi le jeu de l’oligarchie mondialiste internationale : la liberté des citoyens en sortira perdante quoi qu’il advienne, d’autant que les créanciers du pays sont déjà là à frapper à sa porte pour demander toujours plus de mesures d’austérité.
A côté de cette tragédie espagnole, la comédie de la démission d’un autre gouvernement de gauche, celui du Portugal, pris en flagrant délit de corruption grossière, ferait presque rire, si son résultat ne devait pas être, là aussi, une fragilisation des institutions et une plus grande latitude d’action contre elles du futur gouvernement mondial.
On cherche vainement quel pays parvient à échapper en Europe au vacillement général : l’Allemagne et le Royaume Uni déclinent économiquement, l’Italie est totalement aux ordres du Parti démocrate américain malgré une devanture « de droite », la Pologne bascule dans le camp des eurocrates alors que le parti de droite jusque là au pouvoir jouissait encore du plus grand nombre de suffrages.
La France ne fait pas exception où sont désormais mélangés les pires aspects à la fois de la IVe République (le fait que les centristes occupent la totalité de l’espace politique rejetant dans des impasses l’opposition de gauche et de droite) et ceux de la Ve République (l’autoritarisme d’un président immature).
Les petits jeux de ralliement du Rassemblement national et de LR n’intéressent plus personne dans ce dispositif où les alternatives sont de toute façon interdites.
J’ai été frappé de voir cette tempête dans un verre d’eau qui a éclaté cette semaine dans les seuls milieux qui pourraient desserrer l’étau globalistes dans notre pays : les souverainistes. Le premier à ouvrir le feu fut le nihiliste Asselineau qui a accusé F. Philippot (l'homme qui met du orange partout - "orange en gematria = 33), JF Poisson et N. Dupont Aignan de s’être rendus à un happening des Républicains américains à Paris le 10 novembre dernier. Asselineau, admirateur des divinités hindouistes comme ses alter égos du CERN, et qui confond les Actes des Apôtres et les Epitres de Paul (ça c’est pour l’inculture spirituelle, mais mine de rien cela compte dans la façon de se positionner en politique) reproche à ses pairs souverainistes d’avoir « servi la soupe » aux zemmouriens en se rendant là-bas. Ce à quoi Philippot lui a répondu non sans raison qu’il ne s’agissait que d’un colloque, ce qui n’engage à rien.
Cependant Asselineau n’a pas tout à fait tort : si les Trumpiens s’intéressent aux Patriotes ou à Debout la République, c’est qu’il y a quand même anguille sous roche. Et je ne donne pas cher de la capacité de Philippot qui déjà fait l’éloge du bilan de Trump (sans percevoir son propre potentiel antéchristique et mondialiste caché, notamment du côté de la reconstruction du Temple à Jérusalem) face à Biden, ou de Dupont Aignan (« young leader d’un jour, young leader toujours ») à s’opposer au magnat américain s’il revenait aux affaires. Si un jour Marine Le Pen accablée par les affaires judiciaires cède le pas comme plan B des mondialistes, tout comme Zemmour qui de toute façon n’a aucune popularité en France, je ne pense pas que ces zozos là pourraient incarner la moindre résistance au rouleau compresseur washingtonien ; l’égocentrique Asselineau non plus d’ailleurs…
Et la gauche française dans tout ça ? me direz-vous... Tant que sa priorité reste d'inscrire le droit à l'IVG dans la constitution, et à se quereller autour du leadership de Mélenchon, on peut parier qu'elle ne va nulle part.
Buzy 66 ans - mort naturelle ?
Parfois les décès de célébrités a 66 ans (chiffres symbolique) sont sacrificiels, aux Etats-Unis en tout cas. Est-ce le cas de Marie-Claire Girod, plus connue sous son nom de scène Buzy, décédé avant hier ? difficile à dire. Native de Metz, étudiante en médecine puis en littérature, rockeuse, elle avait fait ses débuts sur scène dans le rôle de Columbia dans Rocky Horror Picture Show, mis en scène par M. Michel, une histoire de vampires, ce qui est souvent un début pour faire carrière dans l'occultisme. Après deux ou trois tubes dans les années 1980, elle est devenue "astrologue et psychothérapeute",maniant beaucoup l'imaginaire New Age.
Il y avait des papillons symboles du MK Ultra sur sa page Facebook, et en mars 2020 elle s'était vantée d'avoir prévu le Covid 19. Son interview sur Sud Radio en 2020 était placée sous le signe du sataniste David Bowie. La première chanson de sa carrière fut un éloge de l'inversion. Son clip Adrian (réalisé par Hilton McConnico commençait par un masque blanc typique des symboles occultistes, avec beaucoup de X dans le clip (symbole de l'Antéchrist, voyez Mme X de Madonna) et une référence claire au sacrifice de sang. Elle décrit le tournage (min 15) comme "marqué par la folie" avec trois personnes sur le tournage qui ont eu une hépatite A, dont elle, avec en prime une crise d'asthme (mais ce récit est probablement édulcoré).
Dans le clip de Body physical elle se ballade avec un rapace au poing. Dans le clip très bizarre "je suis un arbre" en minute 2'34 elle arbore un bracelet e kabbalah (sorcellerie, comme Di Caprio, Britney Spears et bien d'autres). Dans "Planter des graines" (min 2'20) elle a la tête manipulée tout en croisant ses mains sur le torse à l'égyptienne. L'hypothèse d'un sacrifice à la Bourdain n'est pas totalement invraisemblable, quoiqu'indémontrable...
Igor Smirnov décoré en Transnistrie
Du temps où j'étais en Transnistrie, le président était Igor Smirnov, et déjà son Soviet suprême était présidé par l'opposition. Son clan a été expulsé du pouvoir juste après, mais il semble que tout cela soit demeuré très consensuel, puisque l'ancien président qui a maintenant 82 ans s'est vu décerner il y a trois semaines, le 23 octobre, l'Ordre de G. A. Potemkine-Tavrichesky, par l'actuel président Vadim Krasnosselski. "Je souhaite que Dieu vous bénisse, que vous soyez témoins de la reconnaissance de la République Moldave Pridnestrovienne et que vous vous réjouissiez des fruits de votre activité" a dit le président.
Par contre, pour éviter les dissensions, des sujets qui fâchent restent dissimulés à l'opinion transnistrienne. Ainsi il ne filtre rien de l''enquête sur l'assassinat à son domicile en juillet dernier du responsable communiste Oleg Horjan/Khorzhan. Alors que le président transnistrien continue de soutenir qu'il n'y a pas eu de mobile politique au merutre, l'ancien député communiste moldave Mark Tkaciuk avait souligné dès juillet que la victime a été torturée et qu'on lui a coupé la langue, ce qui rend la piste du crime crapuleux peu probable. Affaire à suivre...
Le footballeur luciférien
L'ancienne star du foot français qui après la crise des subprimes de 2008 appelait à retirer l'argent des banques, pond un titre musical luciférien "je ferai mon propre paradis", dans lequel il dit qu'il va en enfer et qu'il sera son propre juge. Il pose avec une pierre précieuse, le diamant de Lucifer, posée sur l'oeil en forme et les pitres de Libération et du Standard trouvent ça génial.
Si vous croyez toujours que poser en montrant l'oeil d'Horus et l'oeil omnivoyant est totalement anodin, écoutez l'actrice à la retraite Roseanne Barr se poser quelques questions à ce sujet car elle avoue qu'on l'a obligée à le faire...
Un Sorosboy a gagné l'élection présidentielle au Guatémala
Le 27 octobre dernier deux pays d'Amérique latine seulement votent à l'AG de l'ONU contre la trève humanitaire à Gaza. Parmi eux, le Guatemala.
Cette anomalie pourrait-elle prendre fin bientôt ? Bernardo Arévalo, candidat social-démocrate anti-système, bien que fils d'un ancien président de la République, a remporté les élections présidentielles du 20 août dernier et prendra ses fonctions en janvier. Mais le nouveau président anti-corruption a étudié à l’Université hébraïque de Jérusalem. C'est son père qui avait reconnu Israël en 1948, et lui-même a été diplomate à Tel Aviv dans les années 1980 alors que le Likoud venait de participer à la répression des Indiens dans son pays.
Même El Pais reconnait que ce candidat "anti-corruption" est porté par les classes urbaines (nous dirions les "bobos". Plus précisément il est un Sorosboy. En 2018 "The Impunity Observer" relevait que le milliardaire pro-démocrate finançait la presse de centre gauche via la Commission internationale contre l'impunité au Guatemala (CICIG ) dirigée par un avocat colombien (Ivan Velásquez) ainsi que Chemonics International, une société de développement privée qui s'est associée aux projets de justice d'OSF en Albanie et a reçu une subvention de 37 390 000 $ de l'Agence américaine pour le développement international (USAID) pour un projet guatémaltèque pour la jeunesse et la justice de genre.D'autres entités financées par les États-Unis et également soutenues par Soros au Guatemala comprennent l'organisation de défense des droits humains Comité de Desarrollo Campesino (Comité pour le développement rural, CODECA), l'Asociación de Abodagos y Notarios Mayas, la Fondation Myrna Mack et le Réseau international des femmes pour des solutions guatémaltèques (WINGS). Un des agendas de Soros au Guatemala est de favoriser l'ouverture de la frontière américaine aux migrants.
"Je ne connais pas George Soros. Je n'ai jamais travaillé pour Open Society (...) Si quelqu'un a une preuve, s'il vous plait présentez la" a démenti l'habile diplomate en juillet dernier. Les preuves de l'investissement de Soros au soutien d'organisation qui lui ont ouvert un boulevard sont en tout cas parfaitement connues.