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Vingt ans d'écriture... y de soledad...
Dimanche de Pâques... Jamais ce blog n'a eu aussi peu de lecteurs... Mon activité littéraire pendant vingt ans aura été bien ingrate. Sans cesse j'ai écrit, parce que je ne sais penser que comme cela, et j'ai essayé de publier le maximum de choses, depuis l'Atlas alternatif, non pas pour ma gloriole (car sur le "créneau" où j'étais il n'y avait que des coups à prendre), mais parce qu'il me semblait naturel d'essayer de communiquer aux gens ce que découvrais. Faire circuler non seulement l'information, mais aussi la manière dont je la recevais, dont il me semblait qu'on pouvait la saisir. "A toutes fins utiles", comme on dit.
Jamais cela n'a touché un large public. Cela ne me gênait pas, car je n'aurais pas aimé aller pontifier sur les plateaux de TV ou sur les chaînes You Tube, et le caractère restreint du nombre de mes lecteurs me laissait libre de continuer à explorer des voies nouvelles de réflexion sans être en dette à l'égard des gens qui s'intéressaient à mes travaux, sans être enfermé dans un rôle, un positionnement, une étiquette.
Par moments des gens s'abonnaient à mon blog, me contactaient même pour me témoigner une sympathie. Des choses un peu étranges se passaient comme lorsque des extraits de mon livre sur l'Abkhazie furent utilisés pour illustrer des entrées de dictionnaires en ligne.
Mais, depuis la fin de la dictature covidesque, tout cela s'est évaporé. Parmi les rares personnes qui feignaient de suivre mes travaux, plus aucune ne manifeste le moindre intérêt pour mon existence. Chacun s'est servi dans ce que j'ai écrit, en a peut-être retiré une ou deux idées, une ou deux impressions, puis a tourné la page. Au titre de 2023 il n'y a plus sur le Net qu'une seule mention de ce que j'ai fait, en dehors des renvois que moi-même j'indique à mes travaux passés : un YouTubeur il y a trois semaines qui signale discrètement ici mon billet sur Obey Giant de janvier 2020. Il n'a que 25 abonnés, et sa vidéo n'a reçu que 29 vues. Il a bien raison de ne pas faire de tapage, du reste, car ce genre de sujet n'est pas à mettre entre toutes les mains.
D'ailleurs, j'ai bien conscience que si, aussi bien ce blog, ou mes livres, ou les blogs ou chaîne des gens qui tentent de me citer restent très confidentiels c'est qu'il doit bien y avoir quelque raison métaphysique à cela. Que les gens aient des impulsions en direction de mes écrits à certains moments - et il y en a bien eu parfois, dans les années 2000, 2010, 2020, de certains d'entre eux d'ailleurs j'ai parfois parlé dans mes livres en les dissimulant sous des pseudonymes - puis disparaissent sans raison de mon paysage sans la moindre envie de redonner signe de vie, cela doit répondre à quelque nécessité métaphysique, en plus du fait que, sur le plan psychologique, les gens dans nos sociétés sont devenus de plus en plus volatiles, inconsistants, égocentriques au point de tout réduire à du zapping. Je ne me plains pas, d'ailleurs. Je me borne à constater, à m'étonner, comme je m'étonne de voir la France tomber de plus en plus bas sous la férule du pouvoir actuel, le monde sombrer dans un non sens si parfait qu'on pourrait croire qu'il est planifié, les dissidents s'inventer des fausses idoles dans des fétiches comme Asselineau, ou l'Eurasie, ou que sais-je encore... On s'étonne, et l'on prend acte de ce que les choses sont ainsi, suivant une nécessité qui leur est propre.
Tout cela me laisse au fond très libre. Je pourrais poser à poil sur ce blog, marcher à quatre pattes dans la rue, me mettre à parler en langues dans le métro, je pense que cela n'aurait pas la moindre conséquence pour moi puisque le même silence assourdissant entourerait tout ce que je fais. Voilà au moins l'avantage de la chose.
Est-ce que cela va m'encourager à cesser d'écrire des livres ? Peut-être... ou peut-être pas... J'ai ce privilège malgré tout que, malgré l'indifférence totale que j'inspire, je puis encore prendre un avion pour n'importe quel pays et obtenir que mon éditeur publie ensuite mes impressions de voyage, même si cela ne lui rapporte pas un lecteur. N'est-ce point là au fond un grand privilège, alors que je paie un prix (matériel et moral) très infime pour cela ? Et, qui plus est, une fois que j'aurais fait cela, il y aurait encore quelques bibliothèques pour acheter l'ouvrage, et une chance pour qu'un chercheur quelconque dans dix ans ans se penche dessus. Tant qu'il reste cette petite fissure dans le mur du silence cela me fait une petite raison de poursuivre mes travaux. J'ai d'ailleurs songé un temps à partir cet été en Lettonie et en faire un bouquin. Mais la russophobie forcenée de ce pays m'en dissuade finalement (ce n'est pas l'unique raison du reste...). Qui sait ? Peut-être une autre destination m'inspirera-t-elle ? ... malgré votre profonde indifférence, messieurs et dames !
Seringues : du Xinjiang au Covid
On sait que les milieux occidentaux (par exemple les réseaux financés par George Soros) entretiennent beaucoup de désinformation sur la Chine, en particulier sur le Xinjiang.
Est-ce à dire qu'il n'y a pas de camps de rééducation secrets dans cette région et ailleurs (il y en aurait même à Dubaï pour le compte de la Chine), pas de répression inhumaine de la part des autorités chinoises ? Sur ce genre de sujet, on bascule facilement d'un extrême à l'autre. Il y a 23 ans, les mainstreams étaient prompts à dénoncer la Serbie comme "génocidaire". A l'inverse des "anti-systèmes" sautaient sur la moindre incohérence dans les infos reçues ou des témoignages devant le tribunal spécial sur l'ex-Yougoslavie pour disqualifier l'ensemble des accusations sur les brutalités serbes au Kosovo. La vérité se situait quelque part entre les deux. Concernant Chine, il est très difficile de placer le curseur.
Il est certain en tout cas que, à côté des intérêts de la CIA à "charger" la Chine (ou la Russie) devant l'opinion publique occidentale, il existe aussi des sympathies de certains milliardaires du forum économique mondial pour ce pays. Maurice Strong, le père de la Cop21, y avait des intérêts, Klaus Schwab, directeur du Forum de Davos en a aussi (et son fils vit en Chine) et il a vanté son "système de gouvernance", notamment le dispositif de crédit social qu'il aimerait transposer en Europe (un processus sur lequel avait anticipé la vidéo du disciple d'Aleister Crowley David Bowie en 1983).
Se peut-il que certaines expérimentations du système pénitentiaire chinoise aient inspiré nos planificateurs mondialistes ?
Le 12 août 2019, quatre mois avant le début de la psychose du Covid, le journal mainstream britannique The Independent titrait "Des femmes musulmanes "stérilisées" dans des camps de détention en Chine, selon d'anciens détenus".
Gulbahar Jalilova, signalait l'article, 54 ans pour France 24, et Mehrigul Tursun, 30 ans, au micro de Nikkei Asian Review (en fait par vidéo dans le cadre d'une conférence d'Amnesty International et de l'université du Meiji à Tokyo) ont affirmé avoir reçu des injections mystérieuses à plusieurs reprises. On peut retrouver la mention du témoignage de Gulbahar Jalilova dans un article de France 24, daté du 29 juin 2020 qui renvoie à une enquête du 10 mai 2019, et reprend la description des injections : "Nous devions passer la main par une petite ouverture dans la porte", avait-elle expliqué. "Nous avions vite compris qu'après les injections, les femmes n'avaient plus leurs règles"." Cet article ajoute une référence à un autre témoignage pour Associated Press d'une certaine Tursunay Ziyawudun : "Elle a également reçu des injections qui ont entraîné l'arrêt de ses règles.", dit l'article. Il existe une base de donnée des victimes de la répression ici qui cite celles qui ont subi la stérilisation forcée.
Le documentaire "La surveillance totale, les camps, secret du pouvoir chinois 2e partie" de Tania Rakhmanova de 2021 diffusé récemment sur Arte et accessible ici sur YouTube jusqu’en 2025 va même plus loin. Gulbahar Haitiwaji ancienne détenue y déclare en minute 55'49 : "Deux fois par an ils nous injectaient quelque chose qu'ils nous présentaient comme un vaccin contre la grippe. Mais des femmes ont commencé à ne plus avoir leurs règles et à être inquiètes pour l'avenir. Elles voulaient fonder une famille et elles se demandaient si elles pourraient tomber enceintes"...
Une politique d'injection qui se présente comme une "vaccination" et entraîne ensuite des troubles menstruels et des phénomènes de stérilité... c'est une musique familière à nos oreilles aujourd'hui : elle évoque les troubles menstruels au cours des mois et des années qui ont suivi par la politique de vaccination forcée anti-Covid en Occident et dans les pays émergents (voyez par exemple en France les nombreux cas de troubles menstruels recensés par le collectif "Où est mon cycle ?", les autorités sanitaires commençant à peine à admettre le problème), sans parler des points d'interrogation autour des effets à long terme de la protéine spike et de l'ARN sur les organes reproducteurs.
Le directeur général de l'OMS pendant la "pandémie" l'éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus était un proche du régime chinois, et Bill Gates cette année encore dit du bien de la Chine et se démarque de la position de Washington envers Pékin. On ne pourrait pas démontrer qu'ils aient "importé" pour le monde un modèle de répression en provenance de Chine (ou encore moins qu'ils aient utilisé auparavant le Xinjiang pour "roder" une répression à l'échelle mondiale, ou inscrire ce précédent dans la matrice informationnelle), mais le moins que l'on puisse dire est que ces camps du Xinjiang dans lesquels on injectait des produits inconnus aux prisonniers pour les stériliser fournissaient un "schéma" d'action dont les avocats du contrôle social à grande échelle pouvaient s'inspirer.
Beaucoup de gouvernants (avec leurs sbires médiatiques et le troupeau des esprits grégaires) ont défendu l'administration forcée de substances à base ARN expérimentales à l'échelle mondiale sans se rendre compte qu'ils risquaient de menacer la fertilité (entre autres) des gens et sans voir que, ce faisant, ils ne faisaient que reproduire ce que la Chine faisait dans ses camps de rééducation, transformant ainsi le monde entier en camp de rééducation, pour prévenir une maladie qui ne causait que 0,06 % de mortalité. D'autres l'ont fait quant à eux sciemment, en jugeant que l'humanité méritait le sort des prisonniers Ouïghours... Aujourd'hui en tout cas, dans une certaine mesure, tous les vaccinés du Covid peuvent dire : "Nous sommes tous des Ouïghours".
On strike
Les lecteurs de ce blog qui savent quelle a été ma position pendant la crise des gilets jaunes et celle du Covid, peuvent deviner aisément la mienne aujourd'hui à l'égard de la situation actuelle et du peuple français qui subit une nouvelle persécution dramatique. Mes comptes Facebook, Twitter et You Tube ont fait l'objet d'une attaque en règle et ont été bloqués. Je n'ai pas cherché à les réactiver, préférant m'imposer un certain sevrage en la matière (je ne les utilisais déjà guère, et ne naviguais sur Twitter que pour nourrir certains billets du présent blog). Quant à ce blog, qui a maintenant très peu de lecteurs, je ne crois plus très utile de lui consacrer du temps. La cure de silence a parfois des vertus. En tout cas, vous qui aimez votre pays et voulez contribuer positivement à l'avenir de l'humanité, pensez à abonder les cagnottes de grévistes qui auront du mal à ancrer leur mouvement dans le temps. Il y en a une ici.
Mémoires d'un combattant abkhaze
Je vous conseille de lire cet ouvrage "Mémoires d'un combattant abkhaze" dont l'auteur, Bekir Ashuba, a bien voulu me demander d'écrire la préface. En voici la présentation en 4ème de couverture - le livre peut être commandé ici ou en librairie.
Le 14 août 1992 les forces armées du gouvernement géorgien envahissent la petite Abkhazie qui, restée fidèle à l’Union soviétique jusqu’à sa disparition, préférait désormais son indépendance à la tutelle de Tbilissi. Issus des communautés circassiennes en exil en Turquie, Bekir Ashuba, 23 ans, et ses amis du même âge décident alors de s’engager dans des milices de volontaires pour aller défendre la liberté du pays de leurs ancêtres. Les voilà désormais embarqués dans une aventure épique, où ils trouveront la joie de servir le pays de leurs ascendants déportés, l’ivresse de l’engagement fraternel, l’ardeur, la foi, et l’espérance, mais aussi, le deuil et, plus d’une fois, la déception.
L’auteur livre ici très en détail ses souvenirs de guerre sur les cimes du Caucase, sans fard ni fioritures. Il ouvre les portes des chambrées où les Turcs de gauche chantent « Bella Ciao », et les Tchétchènes s’adonnent à des transes soufies ; il raconte les longues marches à flanc de colline dans la nuit, les attentes angoissées dans les fermes abandonnées, les opérations armées fulgurantes, jusqu’au triomphe militaire final, après un pèlerinage mystérieux dans une vallée féerique. Tout dans ce récit est vrai, scrupuleusement consigné, et tout viendra surprendre le regard du lecteur occidental généralement peu informé de l’histoire de ce conflit qui pèse encore lourdement sur l’équilibre géopolitique de la Mer Noire.
Le Mexique contre l'impérialisme
Grande mobilisation populaire à Mexico hier en soutien au président non-aligné Lopez Obrador à l'occasion de la commémoration du 85e anniversaire de la nationalisation du pétrole. Le président a déclaré à propos des politiciens américains qui réclament une attaque contre le Mexique : "Ils peuvent menacer nous ou nous agresser, mais nous ne leur permettrons jamais, au grand jamais, de violer notre souveraineté et de piétiner la dignité de notre patrie !"
Le président du Mexique a aussi annoncé que son pays atteindrait l'autosuffisance énergétique et cesserait d'importer des carburants étrangers d'ici la fin de l'année prochaine.
Dans le Wall Street Journal il y a trois jours, le représentant républicain du Texas Dan Crenshaw, célèbre pour son cache-oeil de pirate (peut-être à rapprocher de celui du ministre australien à l'époque du Covid ici) appelait à une intervention militaire contre les cartels de la drogue de ce payés, et son gouvernement accusé de complicité avec eux.
Une curiosité religieuse : le parti chondoïste Chongu en Corée du Nord
On croit toujours que la Corée du Nord n'a qu'un parti unique, le Parti des travailleurs. En réalité, comme autrefois en Allemagne de l'Est et dans d'autres pays du bloc soviétique, gravitent autour de lui deux partis satellites : le parti social- démocrate, et un parti religieux appelé Chongu. Issue d'un courant religieux nationaliste né à la fin du XIXe siècle, le chondoïsme, qui prétend que Dieu est dans tout un chacun et veut faire advenir le paradis sur Terre (car le Ciel équivaut à l'univers tout entier), cette structure mêle chamanisme, taoïsme (avec la référence au yin et au yang à l'énergie qi etc) et humanisme en s'alignant sur les objectifs du parti communiste au pouvoir.
Il a été dirigé jusqu'en 2016 par une Sud-Coréenne née en Mandchourie en 1921, Ryu Mi-yong ex-épouse d'un ministre des affaires étrangères de Corée du Sud, qui a quitté le monde capitaliste pour se réfugier en Corée du Nord (le genre d'événement singulier que la presse occidentale évidemment passe sous silence). Son fils a aussi fait défection trois ans après sa mort en 2019, à l'âge de 72 ans.
Les fiches Wikipedia occidentales ne disent rien du successeur de Ryu Mi-yong, mais si j'en crois ce communiqué du média officiel nord-coréen du 3 février 2023 Uriminzokki, le nouveau président du Comité central du Parti s'appellerait Ri Myong-chol (ce que confirme une fiche japonaise).
Ce communiqué explique qu'à l'occasion de la réunion plénière des membres de ce Comité central par visioconférence, tous les membres "ont déclaré que la direction de contre-mesures contre les États-Unis et la mise en oeuvre de mesures offensives du Parti des travailleurs de Corée et du gouvernement de la République est la stratégie de combat la plus légitime pour protéger la dignité sacrée et la souveraineté de notre État et sauvegarder la paix et la sécurité dans de la péninsule coréenne. Ils ont exprimé leur détermination à s'engager activement dans la lutte nationale conformément à l'indomptable esprit combatif du peuple."
"La réunion plénière, ajoute le communiqué, a examiné en détail les principaux objectifs et les plans de réalisation que le Parti Cheondogyo Cheongu devrait réaliser dans l'exécution approfondie des tâches programmatiques présentées à la 6e réunion plénière du 8e Comité central du Parti des travailleurs de Corée et a adopté la décision pertinente. "
Pour vous donner une idée des activités de ce parti, on peut citer comme exemple la présidence par son chef de la cérémonie annuelle le 3 octobre 2022 au grandiose mausolée (1,8 km2 sur la montagne de Taebek à Kangdong) de Dagun, le dieu-roi légendaire qui aurait fondé le royaume de Gojoseon en 2333 av. J.-C.. Ri Myong-chol à cette occasion n'a bien sûr pas pu éviter de comparer Kim-Il-sung et ses desc endants à la tête de la Corée du Nord à ce héros légendaire.
Voici comment la presse officielle nord-coréenne raconte une anecdote révélatrice de l'histoire des relations entre les communistes et le mouvement chondoïste :
"Le 14 mai, Juche 38 (1949), le président du comité central du comité central du parti chondoïsme nord-coréen Cheongu Pak In-jin est venu au bureau du grand dirigeant, le camarade Kim Il-sung.
D'un ton humble, le président a dit au grand chef qu'il était venu parce que la femme de Pak In-jin Do-jung n'était pas traitée comme une famille endeuillée parce qu'elle était une chondoïste.
Le grand chef a pris une mine sombre devant le comportement étroit d'esprit de certains fonctionnaires. Il a réfléchi sur Pak In-jin, et dit qu'il était un chondoïste patriote qu'il connaissait bien.
Pak In-jin a sauté dans le torrent du soulèvement populaire du 1er mars (1919). Après que son pays ait été enlevé par les impérialistes japonais, il a chanté "Vive l'indépendance de la Corée!", il a été arrêté par les ennemis, a passé plusieurs années en prison et a participé à l'armée de l'indépendance.
Acceptant la "Déclaration fondatrice de l'Association pour la restauration de la patrie" et les "10 programmes de l'Association pour la restauration de la patrie", il a rencontré le chef au camp secret du mont Baekdu à l'hiver 1936 et joua un rôle actif en tant que membre de l'Association.
Pak In-jin a formé la branche Pungsan de l'Association pour la restauration de la patrie, qui comprenait les croyants Cheondogyo à Pungsan-gun, et a également établi des branches de l'Association pour la restauration de la patrie à Gapsan, Samsu, Hyesan et Changbai. , et a envoyé de nombreuses fournitures aux guérillas anti-japonaises.
Le grand dirigeant a déclaré que M. Pak In-jin était un ardent patriote avec un fort sentiment anti-japonais. Il a été arrêté par la police japonaise et a gardé sa fidélité révolutionnaire jusqu'au dernier moment de sa vie sans céder à la tromperie de l'apaisement et à la torture vicieuse. Il a dit qu'en tant que membre de la famille, nous devrions recevoir une protection nationale et sociale et que des mesures urgentes devaient être prises.
Dans le monde de la loyauté infiniment noble du grand leader, qui n'oublie jamais quiconque a parcouru le chemin du patriotisme anti-japonais et le défend, une histoire d'amour est née dans laquelle un membre chondoïste est devenu une famille endeuillée de martyrs patriotiques."
Il existe aussi une histoire, que raconte Le Quotidien du Congo Kinshasa (bizarrement) selon laquelle le patriarche Pak In-jin et Kim Il Sung étaient tombés d'accord en 1936, seraient tombé d'accord sur le fait que le peuple c'est Dieu (sic). Le PC nord-coréen ici en 26e minute explique que le chondoïsme n'a accès qu'à un niveau limité de vérité car il avait une base sociale trop étroite au moment de la guerre de libération, mais que le Parti valorise certains aspects de sa foi.
Tentative d'assassinat du président transnistrien
Selon le ministère de la Sécurité d'État de Transnistrie, les forces de sécurité ont arrêté un homme aux ordres du régime de Kiev qui aurait tenté d'assassiner le président Vadim Krasnoselsky (une bombe placée sous sa Land Rover, avec 8 kg d'explosif). Il aurait plaidé coupable. L'individu a eu des démêlées avec la justice pour proxénétisme et vivrait pour cela sous le nom de sa mère. Né en 1979, il aurait été recruté par le SBU ukrainien et se serait installé en 2011 à Odessa.
Au même moment une statue de Lénine est vandalisée à Anenii Noi, bourgade de 11 000 habitants en Moldavie.
Catholicisme en peau de lapin
On a parlé des influences crowlésiennes à droite. Il faut aussi dire un mot du catholicisme en peau de lapin (comme ceux qui parlaient autrefois du syndicalisme en peau de lapin) de beaucoup de militants anti-nouvel ordre mondial. La semaine dernière, en plein carême, une célèbre militante anti-GPA tweetait ceci
Ca m'a un peu fait penser à Gorbatchev faisant de la pub pour McDonald's. Je lui ai fait remarquer que l'apologie de l'alcool n'était pas adaptée au carême. Elle n'a même pas pris la peine de répondre. "At this point they don't even care" comme dirait "A call for an uprising/A time to uprise". Que quelqu'un boive de la bière n'est pas mon problème. Qu'il ou elle s'en vante publiquement à un moment où sa religion lui prescrit le jeûne me fait en revanche douter de son aptitude morale à combattre les forces invisibles bigrement perverses qui aujourd'hui gouvernent le monde...
Je pourrais en dire autant de la vidéo ici de la jeune "chrétienne identitaire" qui prétend défendre les "vraies valeurs traditionnelles" mais dont l'exposé n'est qu'un bricolage sur la psychologie évolutionniste darwinienne où la transcendance n'a strictement aucune place. Ces gens ont laissé leurs armes spirituelles au vestiaire... ou les ont perdues dans on ne sait quel puits...