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L'étoile rouge de Belgrade chante une chanson de Lennon
Les supporteurs de l'Etoile Rouge de Belgrade, le club de foot serbe, ont cru intelligent la semaine dernière de rappeler les guerres américaines (listées sur des banderoles) en entonnant la chanson de Lennon" Give Peace a Chance". Personne ne leur a expliqué que Lennon avait vendu son âme au diable de son propre aveu (voir aussi The Lennon Prophecy: A New Examination of the Death Clues of The Beatles de Joseph Niezgoda ). Souvenez vous d'une autre chanson qui fut l'hymne des covidistes, Allan Rich avait dit quelques vérités sur l'omniprésence de cette chanson dans les écoles françaises en novembre 2015, je vous renvoie aussi à ma vidéo sur les Beatles, et à cette page sur les Beatles et la FM.
A part ça, un sondage au Canada montre sans surprise que les moutons vaccinés sont aussi ceux qui sont les plus enthousiastes pour la confrontation avec la Russie (le système fabrique des moutons enragés, qui seront assimilés aux boucs à la fin des temps).
En marge de la guerre d'Ukraine, le business de la GPA continue
Retour sur la question de la Gestation pour autrui (GPA) déjà évoquée ici à l'heure où la mairie de Paris n'hésite pas à jouer les intermédiaires entre les candidats potentiels et le big business international sur ce sujet - voir la réunion publique qu'elle organise demaine (prix moyen du contrat 30 000 à 60 000 dollars les juristes essaient de faire reconnaître cela comme de la vente d'enfants par l'ONU).
En marge de la guerre d'Ukraine, l'agence de GPA Biotex montre des bébés de quelques heures traités comme des marchandises qui ont été arrachés à leur mère porteuse et amenés dans des lieux de stockage où ils sont mis en batterie. On n'est plus très loin des bébés fabriqués dans des utérus artificiels pour naître plus vite que nous prépare Elon Musk. Dans l'ordre du mépris pour l'être humain, c'est la même logique.
Et les mères, elles, sont oubliées. Une pétition circule là-dessus. "Les ukrainiennes ne sont pas des utérus sur pattes. " rappelle l'ex-FEMEN Marguerite Stern, qui stigmatise les potentiels parents occidentaux qui viennent se plaindre à la TV de ce que leurs bébés-marchandises ne sont pas livrés.
Beaucoup de femmes utilisées comme des utérus sur patte sont des réfugiées du Donbass.
Voici encore ce qu'écrivait le 24 février la militante féministe Ana-Luana Stoicea-Deram :
A Kiev il y a quinze jours des mères porteuses pour satisfaire leur riche clientèle occidentale étaient coincées par des GPA commandées "séparées de leur famille, maintenues de force dans les hôpitaux en attendant d’accoucher, sans la possibilité de fuir", tandis que BioTexCom (un quart du marché mondial de la maternité de substitution en 2018 et 70 % du marché ukrainien), dirigé par un moldavo-allemand ex patron de boîte de nuit, relançait cyniquement sa pub en plein conflit sur Twitter sous le slogan "Make babies not war". La firme, outre la fraude fiscale, s'est vue reprocher entre autres en 2020 de promouvoir une technique de fécondation in vitro controversée à coup de stimulation ovarienne dangereuse pour la santé des femmes.
Comme avec le coltan de nos téléphones portables pour lequel sont sacrifiées des milliers de vies de Congolais, l'égocentrisme stupide des bobos occidentaux (pourtant donneurs de leçons sur les réseaux sociaux), ceux qui ont décrété qu'ils/elles ont un "droit" absolu à la parentalité, est la principale raison de ce gâchis immense. Ces gens, lecteurs du Monde et de Libé, imbus d'eux-mêmes, décérébrés par la culture dominante, et coupés de tout sens du devoir à l'égard de l'humanité font de ce monde un enfer.
La souveraineté toujours entravée du Congo-RDC
Dans le cadre du blog de l'Atlas alternatif jadis je dénonçais souvent les effets très meurtriers de la guerre civile à l'Est du Congo et l'action néfaste du Rwanda dans cette zone. Dix ou quinze ans après, les choses ne s'améliorent pas pour ce grand pays en quête de souveraineté réelle.
Je lis sur le blog de la journaliste belge Colette Braeckman ce constat d'il y a deux mois :
"Les souverainistes relèvent que l’adhésion à la zone africaine de libre échange se traduit surtout, pour la RDC, par la fourniture de matières premières brutes qui seront transformées hors des frontières (l’or en Ouganda et au Rwanda, le coltan au Rwanda, le cuivre en Zambie, le cobalt en Chine après avoir transité par la Tanzanie et l’Afrique du Sud…). En outre, les accords militaires se résument souvent à une sorte de libre circulation de troupes étrangères sur le territoire national, moins pour rétablir la paix au bénéfice des Congolais que pour traquer divers groupes d’opposants menaçant les pays voisins et exploitant les richesses locales. Les zones frontalières sont ainsi devenues des terrains d’opération pour des forces étrangères antagonistes : des militaires burundais traquent, dans le Sud Kivu, des groupes d’opposants eux-mêmes soutenus par Kigali pour affaiblir le régime de Bujumbura tandis que des opposants rwandais du RNC (Congrès national rwandais) dirigés par le général Kayumba Nyamwasa tentent de recruter dans les haut plateaux au dessus d’Uvira, ce qui entraîne la destruction des villages et du bétail de Tutsis congolais Banyamulenge.
Au Nord Kivu, l’état de siège décrété voici sept mois n’a pas empêché les massacres de se poursuivre : malgré la suspension des administrations civiles et le quartier libre donné aux militaires, 1300 personnes ont péri sous les coups des ADF, ces milices islamistes affirmant s’opposer au président ougandais Museveni et relever de l’internationale djihadiste. La Monusco, dont l’impuissance a été avérée après vingt ans de présence en RDC, a été mise à l’écart des opérations conjointes désormais menées par une armée congolaise dont les effectifs avaient été surestimés et par l’armée ougandaise qui a envoyé dans l’ Ituri ses meilleurs détachements, qui ont déjà remporté quelques succès. Ce qui n’a pas empêché un groupe terroriste de mener une attaque suicide à Beni le jour de Noël.
Quant à la présence rwandaise, elle est plus mal vécue encore par les populations locales : elles ont assisté, voici quelques semaines, à une « promenade » de l’armée de Kagame au nord de Goma, tout le système de télécommunications congolais est désormais contrôlé au départ de Kigali, les avions Rwandair opèrent (avec succès et ponctualité) sur l’ensemble du territoire national et, pour s’être opposé à une tentative de main mise rwandaise sur les réseaux d’information, le directeur de la radio télévision congolaise Freddy Mulumba a été sèchement licencié. "
Un député du Nord Kivu vient de faire état d'une moyenne de 7 personnes tuées chaque jour au cours des 331 derniers jours dans cette province. Mais c'est comme de l'enfant yéménite qui meurt toutes les neuf minutes. Tous les Européens s'en fichent. C'est pourtant du Kivu que vient le coltan sans lequel vos téléphones portables ne marcheraient pas. C'est là que les clients des Clinton à Kigali ont semé le désordre pendant plus de vingt ans, et l'incapacité de Kinshasa à construire un Etat fort face à ses encombrants voisins au fond arrange bien tout le monde.
Christine Deviers-Joncour contre le NOM
Sur OVALmedia - minute 55'03 Christine Deviers-Joncour : je me souviens d'un dîner en 1987 ou 88 chez M. Attali et on parlait de dépopulation. J'ai cru qu'il plaisantait... vous avez vu le joke où on est ?". En rappelle qu'en 1977 il évoquait un vaccin. "Ce qu'on vit là aujourd'hui c'est programmé depuis très très longtemps...". "Le Nouvel Ordre mondial c'était prévu depuis 50 ans... c'est du fascisme, mais ils ne pourront pas aller jusqu'au bout". Elle renvoie à Valérie Bugault.
Elle évoque aussi son parcours. Sa rencontre au lycée jésuite de Sarlat avec un homme qu'elle épousera et qui sera un ministre de Chirac, puis avec un directeur général d'une filiale de Thomson (futur Thales). En 1988, elle a été approchée par son ex-mari Joncour et Sirven pour pousser Roland Dumas, qui était lié à sa famille de profs (et pas d'instituteurs socialistes comme le prétend Wikipédia), à faire nommer Le Floch-Prigent à la tête d'Elf-Aquitaine (la grande société pétrolière créée par De Gaulle), malgré l'opposition du corps des Mines. Le Floch et Dumas ne s'entendant pas, elle a été recrutée en 1989 jusqu'en 1994, alors qu'elle dirigeait une petite boîte de communication, comme intermédiaire entre Elf et le Quai d'Orsay pour 11 000 F par mois.
Elle travaillait pour Sirven, DRH et numéro 2, bien qu'elle n'eût pas de bureau à Elf (organisant notamment des dîners) et évoque les coffres remplis de billets que Sirven distribuait à Paris.
Elle a été condamnée à trois ans de prison, dont 18 mois avec sursis (qu'elle a purgés partiellement à Fleury-Mérogis en 1997), et 1,5 million de francs d'amende pour « recel d'abus de biens sociaux ».
En 1990, elle avait été approchée en Suisse alors que Sirven négociait avec une banque. La personne la sollicite à propos d'un contrat de ventre de frégates à Taïwan par Thomson. Trois jours après, selon elle, l'individu l'invite à déjeuner porte Maillot, puis l'amène en fait au restaurant du président de Thomson Alain Gomez. Six hommes sont à la table mais pas Gomez. Ils se plaignent de ne pas arriver à vendre les frégates qui pourraient sauver le chantier de Lorient à cause du véto de Roland Dumas (pour ne pas heurter Pékin). Sirven la presse d'accepter de faire du lobbying pour Thomson auprès de Dumas, ce qu'elle fait pendant un an. Le contrat est finalement signé en 1991.
Elf devait toucher 1 % sur le marché, mais ne les percevait pas. Dumas lui apprend que des milliards de francs sont payés sur ce contrat en France (à une quinzaine de personnes dont Deviers-Joncour a les noms, des gens qui n'ont joué aucun rôle) et à Taïwan (à Taïwan des militaires qui en ont bénéficié ont été condamnés, en France l'impunité a prévalu). Gomez ne voulant pas payer, Elf a porté plainte au tribunal arbitral de Genève et a obtenu gain de cause. Les huissiers sont arrivés à la Défense au siège de Thomson. Gomez a répliqué en saisissant pour tentative d'escroquerie la magistrate (et future leader écologiste) Eva Joly, ce qui lui a valu de voir reprocher d'avoir profité de cette vente, comme d'autres opérations troubles d'Elf (Les Echos en 2001 disaient qu'elle avait amassé un pactole de 64,5 millions de francs alors qu'elle soutiendra que ces sommes étaient destinées à d'autres personnes qui, elles, passèrent entre les mailles du filet). Eva Joly la surnomma la "putain de la République" et elle dut endosser ce titre en première page de son livre pour pouvoir payer ses frais d'amende.
Elle commence à recevoir des menaces de mort, un contrat est mis sur sa vie en 1999. Elle vit avec un gilet pare-balles pendant 3 ans, met des couvertures sur ses sièges pour éviter les produits cancérigènes, les gens des services lui apprennent à tirer. Elle a le soutien du général Aussaresses qui assure sa protection. Dès la publication de son livre "Opération bravo" en 2000, elle avait reçu le soutien d'une loge maçonnique qui l'a mis en contact avec Thierry Imbot, fils d'un ancien patron de la DGSE, qui lui aussi connaissait tous les politiques qui ont bénéficié de l'affaire des frégates (il avait été en poste à Taïwan au moment de l'affaire). Il avait épousé une directrice de production de CNN (et non pas rédacteur en chef comme le dit Deviers Joncour) pressentie pour devenir porte-parole de la Maison-Blanche sous Clinton (mais elle l'avait refusé car elle était enceinte). Celui-ci lui proposa de dénoncer toute l'affaire de corruption sur CNN. Les fonds de pension américains contrôlaient déjà la majorité des fonds d'Elf. Elle pouvait obtenir de Jaffré, PDG d'Elf, le retrait de la plainte contre elle en échange du renoncement à des déclarations fracassantes sur CNN. Elle se donna trois jours de réflexion, mais elle refusa de trahir son pays, et ne put jamais recontacter Imbot. Le jour de sa mort en 2002, celui-ci s'apprêtait à livrer la liste des corrompus à un journaliste indépendant qui venait d'emprunter le gilet pare-balles de Deviers Joncour pour recueillir ses confidences. Elle souligne que Sirven aussi mourut assassiné.
A la minute 47'53 de son interview, Deviers Joncour n'hésite pas à dire qu'Eva Joly était payée par le cabinet Kroll lié à la CIA. A cause d'elle, dit-elle, l'américain Total a absorbé Elf alors que ça aurait dû être l'inverse.
La fiche Wikipédia rappelle que l'ex égérie d'Elf a aidé les russophones du Donbass. Dommage pour elle, cette dame est fan d'alchimie et de néo-paganisme scandinave...
Spéculations caribéennes
Lorsqu'on touche à la vie politique caribéenne, les spéculations et le rumeurs vont bon train. Il y a huit mois, le journal argentin Clarin s'intéressait à la montée en puissance des Delcy et Jorge Rodríguez, enfants de Jorge Antonio Rodríguez, militant socialiste historique mort en prison suite à des tortures. Jorge Rodríguez, est président de l'assemblée nationale en charge du dialogue avec l'opposition, et sa soeur Dulcy est vice-présidente de Maduro.
La journaliste en exil Ibéyse Pacheco n'a pas hésité à écrire un roman inspiré par ces deux personnages, "Les frères sinistres", paru en mai 2020. Le livre baigne dans une ambiance "gothique" où le vampirisme est très présent. Elle met aussi en scène dans ce roman un personnage qu'elle appelle JVR, journaliste cynique obsédé par le pouvoir, machiavélique, qui a formé politiquement les deux protagonistes. Interrogée en juin 2020 par Milagros Socorro de La Gran Aldea, qui lui demandait :"- Le personnage de JVR, grand manipulateur et maître de l'intrigue, est habitué à consommer du sang humain. De quoi ce trait est-il une métaphore ?" Pacheco répondait "- C'est exactement comme ça. Il consomme du sang humain. Ce personnage le fait avec plaisir et avec des résultats qui l'ont maintenu en vie, selon certains médecins."
Difficile de savoir s'il s'agit là d'une simple fantaisie romanesque. On sait que la mise en scène de la consommation du sang humain ou de son utilisation pour des liftings est très à la mode de nos jours pour rester jeune, notamment du côté des Karsdashian.
Ensuite il y a toutes sortes d'informations sur le rôle des babalaos cubains au Venezuela. Je tombais ce matin sur les affirmations de la romancière canadienne Peggy Blair dans "The Poisoned pawn" : "La santeria croit que les tambours ouvrent des portes aux orishas qui peuvent venir posséder le danseur. Les babalaos peuvent utiliser des poupées vaudoues pour faire changer un comportement. Par exemple pour les faire arrêter de fumer. Ou pour quitter leur maîtresse. Certains maîtres de vaudou affirment qu'ils peuvent attirer l'esprit de quelqu'un dans l'eau et le tuer en poignardant son reflet. L'eau rougit et la personne devient un zombie".
Le journaliste David Placer, sur la chaîne de Napoleon Bravo ici, tout en reconnaissant que la santeria ne pratique pas les sacrifices humains, laissait entendre que des enfants de la rue du Venezuela, où les babalaos cubains ont gagné beaucoup de pouvoir depuis vingt ans, étaient envoyés à Cuba pour des sacrifices. Il prétend aussi qu'ils auraient infiltré la contingents de médecins envoyés généreusement par La Havane à travers le monde.
Le couple Angelina Jolie-Brad Pitt, le vaudou et le vampirisme
Les médias "people" vibrent au rythme des conséquences du divorce entre Brad Pitt et Angelina Jolie. Pas seulement les "people" d'ailleurs. Encore le mois dernier, le très sérieux magazine Le Point parlait d'un château acheté en Provence en 2008 pour 28,4 millions de dollars (où ils se sont mariés en 2014 et où beaucoup d'artistes anti-chrétiens ont enregistré des morceaux de musique à succès), Brad Pitt en possédait 60 %, contre 40 % pour son ex-femme, qui a décidé de vendre au profit de Yuri Shefler, un milliardaire russo-israélien connu notamment pour avoir fait fortune dans la vodka (qu'il n'a plus le droit de vendre en Russie car il est personna non grata là bas du fait de ses malversations), alors que lui souhaitait en faire hériter les deux derniers de ses six enfants Knox et Vivienne, nés sur la Côte d'Azur (lui-même a investi dans les vignobles français, avec la famille Perrin).
La vente de leur propriété en Provence n'est pas la seule à faire parler d'elle dans les médias qui évoquaient aussi en février celle de leur maison à plus de 5 millions de dollars dans le vieux quartier français de la Nouvelle-Orléans.
Pourquoi est-ce que cela devrait nous intéresser ? Parce que cette maison se situe dans la rue où a été tourné le film Entretien avec un Vampire (1994) dans lequel Brad Pitt jouait un rôle de premier plan (juste avant de tourner dans Twelve Monkeys dont on a évoqué ici la dimension prédictive par rapport à la guerre bactériologique actuelle). Le choix du lieu révèle pour le moins un "attachement" de l'acteur à ce souvenir...
Ce film est truffé d'occultisme comme on peut s'en douter. Sorti aux Etats-Unis un 11 novembre (11/11, c'est une date importante pour la frac-maçonnerie, et c'est pourquoi l'armistice de 1914 fut signé ce jour là), il a une durée de 121 minutes (11X11). Et d'ailleurs certains aspects du film croisent de façon intéressante la thématique du vampirisme avec celle de la politique sanitaire actuelle, et plus généralement du bio-pouvoir civil et militaire (il faut maintenant inclure à notre réflexion les laboratoires secrets d'Ukraine et de Géorgie), par exemple le fait que le héros du film, joué par Tom Cruise attaque ses victimes avec une aiguille au bout de son doigt. Cette aiguille est le Gom Jabbar, un dispositif fictif décrit dans le cycle de Dune, ce mot est l'acronyme de God's own medecine (le médicament de Dieu), jabbar voulant dire en arabe coercition. Lorsqu'il devient vampire Brad Pitt entre dans un quartier dévasté par la peste.
Dans le film les Noirs répondent au vampirisme des Blancs par du vaudou dont la Nouvelle-Orléans a été historiquement infestée, ce qui a beaucoup déteint sur sa musique (soul, jazz).
Vous savez qu'il existe, dans le jeu Illuminati, la carte appelée l'économie du vaudou (voodoo economics), une expression qui renvoie à la manière dont George Bush Père avait qualifié le programme de Ronald Reagan lors de la primaire le 10 avril 1980 (cf cette archive de NBC Universal).
J'ai déjà évoqué l'implication d'Angelina Jolie, membre du Council on Foreign relations, dans l'occultisme lorsque je signalais son rôle à l'Organisation des Nations Unies, et notamment ses prises de position en faveur des Yézidis.
Il faut y revenir d'un mot ici. Angelina Jolie est connue dans le milieu des "truthers" pour avoir été peut-être la célébrité qui a fait le plus d'aveux sur les sociétés secrètes.
Elle a par exemple expliqué le rôle des objets maudits dans les rituels sataniques (elle-même portait le sang de son ex-mari dans une fiole autour de son cou).
Ou encore le rôle des tatouages (je pourrais vous raconter une anecdote personnelle qui confirme cela, prenez garde si vous êtes tatoué ou si vous même êtes tatoué, ou si vous avez des tatoués dans votre entourage).
Il existe un dossier de presse fourni sur la question de savoir si Angelina Jolie, elle-même fille d'une créole- comme d'ailleurs Johnny Depp -, et qui a joué une sorcière vengeresse dans le film Maleficent, a usé du vaudou contre Brad Pitt. En septembre 2017, Star Magazine avait rapporté qu'Angelina "se tournait vers des rituels spirituels bizarres dans le but de réparer sa vie et de récupérer Brad". Elle avait d'ailleurs utilisé la magie pour pousser Brad Pitt à quitter Jennifer Aniston, laquelle elle-même pratique l'occultisme depuis sa jeunesse. Brad Pitt redoutait ses pratiques.
EnterTheStars fait remarquer que cet univers de buveurs de sang et de praticiens de la magie noire est interpénétré. Angelina Jolie révèle son rapport étrange au sang en portant celui de son ex-mari autour du cou. Une vidéo mainstream de janvier 2022 indique que l'actrice Megan Fox et le rappeur Machine Gun Kelly ont bu mutuellement leur sang pour sceller leur alliance. Megan Fox a acheté une maison de Brad Pitt à Malibu - l'a-t-elle choisi du fait de ce que Brad Pitt a pu y pratiquer ?
J'ai déjà publié sur ce blog un billet qui parlait de l'adrénochrome, d'un film avec David Bowie et Catherine Deneuve sur le vampirisme. Je l'ai depuis lors supprimé. Et il est vrai que le vampirisme aussi bien que le vaudou hantent beaucoup de nos représentations culturelles. La chanson "Dance with me" du groupe sataniste "Lord of the New Church" y renvoie directement, dans le clip The Rapture, il y a un maître vaudou, Céline Dion est connue pour avoir relancé sa carrière avec un clip vaudou ("Pour que tu m'aimes encore", qu'elle a encore chanté il y a peu avec JJ Goldman) etc.
EnterTheStars estime que toute l'opération Covid-19 peut être un rituel vaudou géant, d'abord évoqué dans les scénarios d'Holllywood puis mis en pratique. Une preuve ? Sur cette fameuse couverture "prédictive" de The Economist de décembre 2018 qu'on avait déjà commentée à l'époque ici, sous le bras droit de l'homme de Vitruve (qui d'ailleurs l'ADN tatoué sur le bras, tiens donc ?), juste à côté du pangolin (le fameux pangolin du Covid 19) qu'y a-t-il ? "Mona Angelina", mais oui ! Angelina Jolie. Un hasard probablement...
81 exécutions en Arabie Saoudite
81 personnes (73 Saoudiens, 7 Yéménites et 1 Syrien.) ont été exécutées le 12 mars par décapitation par le régime saoudien, lequel soutient qu'il s'agissait de criminels et de terroristes. Les médias chiites soutiennent au contraire qu'il s'agissait pour la plupart de chiites de Qatif qui avaient participé à des manifestations pacifiques.
L'Arabie saoudite est connue pour employer des lois anti-terroristes pour condamner des innocents comme l'avait notamment dénoncé l'ambassadrice de la suède devant le Conseil des droits de l'homme lors de sa 48e session, le 29 septembre dernier.
L'Organisation européenne saoudienne des droits de l'homme identifie 12 personnes parmi les 43 qui étaient connues comme étant condamnées à mort depuis quelques années. Cela signifie que 69 d'entre elles étaient non répertoriées dans ses fichiers.
En 2019 l'Arabie saoudite a décapité 37 de ses citoyens dont une majorité de chiites.
« À propos de la peine de mort, avait déclaré dans le numéro d'avril 2022 à paraître de The Atlantic, le prince Mohammed ben Salmane, nous nous sommes débarrassés de la peine de mort, sauf d'une catégorie, et celle-ci est écrite dans le Coran, et nous ne pouvons rien y faire même si nous voulions faire quelque chose, car c'est un enseignement clair dans le Coran. Si quelqu'un a tué quelqu'un, une autre personne, la famille de cette personne a le droit, après avoir saisi le tribunal, d'appliquer la peine capitale, à moins qu'elle lui pardonne. Ou si quelqu'un menace la vie de nombreuses personnes, cela signifie qu'il doit être puni de la peine de mort » . Et dans Newsweek le 14 février dernier un analyste du Washington Institute for Near East Policy, vantait les réformes du régime comme l'abolition de la flagellation, et celle de l'exécution de mineurs et préfère braquer le projecteur sur les systèmes répressifs de l'Iran et de l'Egypte. L'ennui est que l'Arabie saoudite reste un de nos alliés privilégiés (voyez la visite de Macron à Djedda le 4 décembre dernier, et celle de Boris Johnson à Riyad dans quelques heures. Nous armons ce même pays pour écraser le Yémen dans une guerre qui a fait 377 000 morts dont deux tiers par la famine depuis 2014. En 2021, un enfant yéménite de moins de 5 ans mourait toutes les neuf minutes en raison du conflit selon le PNUD.
Le New York Times a bien voulu parler des 81 exécutions (on n'est plus à l'époque où Hillary Clinton était ouvertement financée par des intérêts saoudiens). Mais en ces temps où nous avons besoin des Saoudiens pour gérer les conséquences de l'explosion du cours du pétrole la semaine dernière, les chancelleries occidentales restent très discrètes sur le sujet.
D'un labo américain l'autre : le Lugar Center à Tbilissi
Il n'y a pas que les bio-laboratoires américains en Ukraine qui suscitent des polémiques. La journaliste bulgare Dilyana Gaytandzhieva évoque ici (13e minute) au micro de Dan Cohen un investissement de 161 millions de dollars à Tbilissi (Georgie), un laboratoire parmi d'autres que Washington a implantés dans 25 pays.
Sur son site elle nous en dit plus. Il s'agit du Lugar Center, à 17 km de la base aérienne militaire de Vaziani, où Dilyana Gaytandzhieva a enquêté en septembre 2018.
Le Lugar Center est devenu célèbre ces dernières années pour ses activités controversées , ses incidents de laboratoire et ses scandales entourant le programme contre l'hépatite C du géant américain du médicament Gilead (qui avait fait parler de lui pour son funeste Remdesivir au début de la crise du Covid) en Géorgie, qui a entraîné la mort d'au moins 248 patients . La cause du décès dans la majorité des cas a été répertoriée comme inconnue, selon des documents internes .
Le projet géorgien GG-21 a été financé par DTRA et mis en œuvre par des scientifiques militaires américains d'une unité spéciale de l'armée américaine portant le nom de code USAMRU-G qui opère au Lugar Center. Ils ont reçu l'immunité diplomatique en Géorgie pour rechercher des bactéries, des virus et des toxines sans être inquiétés. Cette unité est subordonnée au Walter Reed Army Institute of Research (WRAIR).
Des documents obtenus du registre des contrats fédéraux américains montrent que l'USAMRU-G étend ses activités à d'autres alliés américains dans la région et "établit des capacités expéditionnaires" en Géorgie, en Ukraine, en Bulgarie, en Roumanie, en Pologne, en Lettonie et dans tous les emplacements futurs. Le prochain projet USAMRU-G impliquant des tests biologiques sur des soldats doit démarrer en mars de cette année à l'hôpital militaire bulgare de Sofia.
Les activités du DTRA en Géorgie et en Ukraine relèvent de la protection d'accords bilatéraux spéciaux. Conformément à ces accords, la Géorgie et l'Ukraine s'abstiendront de toute responsabilité, n'engageront aucune poursuite judiciaire et indemniseront les États-Unis et leur personnel, les sous-traitants et le personnel des sous-traitants en cas de dommages matériels, de décès ou de blessures à toute personne en Géorgie et en Ukraine, résultant de d'activités dans le cadre du présent accord. Si des scientifiques parrainés par DTRA causent des décès ou des blessures à la population locale, ils ne peuvent pas être tenus responsables.
Dans une vidéo publiée par Al Mayadeen : des riverains comme Albert Nurbekyan et Eteri Gogitidze du village d'Aleweevka témoignent qu'il y a de la fumée rouge, noire, verte qui se dégage de ce centre pendant la nuit, avec une odeur chimique d'oeuf pourri. Deux travailleurs philippins sont morts par empoisonnement lors de la construction du centre. La rivière voisine a été aussi polluée. De quoi inquiéter l'Abkhazie voisine...