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Où l'on reparle de La Palma et des astéroïdes
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Peut-être n'en a-t-on pas fini avec le volcan de la Palma dont on parlait beaucoup à l'automne dernier voir ici et là. Le Youtubeur français Oonao le suggérait il y a peu dans une vidéo et ce que confirment les experts qui relèvent que le mois dernier la "sisméité" du volcan, comme ils disent, restait très active.
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Au même moment, ressort du formol le 44ème président des Etats-Unis, Barack Obama, un des héros du court-métrage occultiste prédictif I Pet Goat II, qui le 6 avril venait saluer à la Maison Blanche sur le ton de la plaisanterie (mais la plaisanterie est dans la franc-maçonnerie une façon indolore de faire passer des choses sérieuses dans la "matrice" des consciences, voyez Mélenchon à propos de Philippe), Biden et Harris des titres de "vice présidents" tous les deux (pas seulement pour rappeler que Biden fut son vice-président ni qu'il n'a pas la carrure d'un vrai président, mais aussi peut-être pour révéler que dans l'ordre des sociétés secrètes le vrai président restait Obama - certains bons auteurs par exemple faisaient remarquer que dans l'Espagne républicaine très maçonnique des années 1930, un colonel pouvait obéir à un capitaine mieux placé que lui dans les loges maçonniques). Parallèlement l'ex-président recevait un Grammy Award (dans une cérémonie toujours très marquée par l'occultisme elle aussi, Taylor Swift et Billie Eilish y étaient à l'honneur c'est tout dire, où même le clown millionnaire qui dirige l'Ukraine a fait une apparition sur le monde "Big Brother" vous parle comme à l'assemblée nationale française et dans plusieurs autres parlements malgré la guerre dans son pays).
Rappelons qu'Obama s'était mis en scène en 2018 devant une table où il provoquait un volcan avec la basketteur Steph Curry adepte du 666.
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On reparle aussi d'astéroïdes qui pourraient s'abimer sur la terre. Oonao a repéré sur la chaîne australienne 9news un échange bizarre datant de novembre dernier où après avoir interrogé leur correspondant en Californie Michael Genovese sur un dispositif anti-astéroïde mis au point par la NASA (la mission DART), qui assurait qu'il n'y avait pas d'astéroïde en route vers la Terre en ce moment, la présentatrice en studio insiste lourdement sur le fait que la NASA ne dit peut-être pas la vérité. L'Australie est le pays chouchou des élites mondialistes en ce moment (Bill Gates a dit qu'il fallait s'inspirer de sa dictature en matière de Covid), et l'on soupçonne parfois les journalistes de faire passer des messages de "predictive programming" pour le compte de certains de leurs grands maîtres, sous couvert là encore de plaisanterie... Joe Biden n'a-t-il pas dit le 4 octobre qu'un météore viendrait écraser notre économie ? Certes il faisait référence à l'obstruction des Républicains à l'adoption du budget, mais la phrase peut être à double sens (dans le même contexte et trois jours auparavant il avait posé qu'un projet financier serait voté "dans 6 minutes, 6 jours ou 6 semaines", dans une allusion à l'ésotérisme assez manifeste). Allez savoir...
En 2016, Obama avait publiquement et mystérieusement lancé au prince Harry "be careful what you wish for" (fais attention à ce que tu souhaites) soi disant en préparation des Invictus Game - une compétition sportive opposant les soldats blessés venus du monde entier à Toronto, chez l'impayable Justin Trudeau, le premier ministre qui vient de prolonger sa dictature canadienne jusqu'en 2025, lequel avait élaboré une réponse sur le même ton - tandis qu'un comédien déguisé en soldat esquissait le geste d'une bombe susceptible de tomber sur l'humanité en faisant "boum". Ce "boum" repris par le Prince Harry et d'autres avait posé la question d'une menace de guerre mondiale (menace actualisée par le bras de fer actuel avec la Russie), ou d'un choc électromagnétique. Oonao semble pencher pour l'astéroïde.
Voilà pour les figures symboliques qui agitent la Matrice en ce moment... Je pourrais aussi vous parler des recherches intéressantes d'EnterTheStars autour de l'image de l'absinthe (nom d'une étoile ardente censée s'abattre sur la Terre), présente dans l'Apocalypse de Jean, qui a à voir avec Tchernobyl (Marie-Claude Delahaye, de l'université Pierre et Marie Curie à Paris avait attiré l'attention là-dessus en 2012 dans l'Est-Républicain) et son rapport avec l'artemisia (célèbre pendant le Covid), ce qui nous rapproche du projet Artemis lancé par Trump, et, Artemis étant la soeur jumelle d'Apollon, et au paradigme d'Apollon cher à Tim Alberino et à Celeste Solum, mais développer ces sujets nous mènerait un peu trop loin.
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Mon livre sur l'agression de l'OTAN contre la Serbie à la Librairie du Globe
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La russophobie hystérique d'aujourd'hui et les spéculations gratuites de nos grands médias sur la "folie" de Vladimir Poutine, au mépris de toute réflexion critique sur le rôle des Occidentaux dans l'affaire ukrainienne (et au mépris d'une information honnête sur la situation de terrain), rappellent l'excitation anti-serbe unanimiste et totalitaire de 1999 - du temps où je fréquentais les salons de Régis Debray et faisais circuler des pétitions signées par Bourdieu, Chomsky et quelques autres -, ce que je raconte dans mon livre "L'Ingérence de l'OTAN en Serbie" paru en 2014. Cet ouvrage est maintenant en vente sur les étals de la librairie russophone la "Librairie du Globe", 67 boulevard Beaumarchais dans le 3ème arrondissement de Paris. Elle est tenue par deux jeunes gens très sympathiques qui affichent leur refus de tout bellicisme (y compris du bellicisme moscovite) et qui ont besoin de votre soutien en cette période de manichéisme imbécile.
Je leur ai rendu visite vendredi dernier, n'hésitez pas à faire de même !
Progrès de l'analyse de l'iris et du contrôle biométrique
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L'assemblée nationale indienne a adopté aujourd'hui une loi autorisant la collecte, le stockage et l'analyse d'échantillons physiques et biologiques, y compris l'analyse de la rétine et de l'iris des personnes condamnées, arrêtées et détenues. L'argument justificatif est que les criminels changent souvent d'identité et que le scannage de l'iris est plus fiable que le relevé d'empreintes. Mais le scannage de l'iris va au delà de la population carcérale et des garde-à-vues policières.
Aux Etats-Unis il y a 6 ans le FBI avait déjà stocké les données oculaires de 400 000 personnes dans le cadre d'un programme expérimental (sans loi). Cela n'étonnera personne : l'expérience a commencé en Irak pour ficher la main d'oeuvre locale des troupes d'occupation (Hannah Arendt avait déjà souligné que le totalitarisme commençait dans les colonies avant de gagner les pays riches) - et d'ailleurs cela continue au Kosovo -, puis cela a concerné les usagers des aéroports, les postes frontières (surtout en Californie, à la pointe de toute la dictature high tech et du yoga...).
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En 2015, le géant japonais NTT a lancé un téléphone qui permet aux utilisateurs de déverrouiller des sites Web et d'accéder aux informations stockées en utilisant uniquement leurs yeux, scannés par la caméra frontale du téléphone. Cela signifie que les utilisateurs peuvent stocker des informations de carte de crédit, puis payer des achats en ligne simplement en regardant l'écran. Il y a moins de trois ans Evo Payments Inc, un des leaders du secteur, vantait les mérites du paiement biométrique pour éviter les piratages ou ne plus oublier son code. Le Covid depuis lors a joué en leur faveur en encourageant une culture du paiement sans contact. Yuval Noah Harari, haut conseiller de Klaus Schwab du Forum économique mondial a même déclaré : "Le Covid est critique (essentiel) car c'est ce qui convainc les gens d'accepter et de légitimer la surveillance biométrique totale".
La Smart Payment Association SPA estime que la familiarisation générale avec la biométrie à partir de l'utilisation des smartphones conduit non seulement à l'acceptation des cartes de paiement biométriques, mais à ce que les gens la réclament, à cause de sa supposée sécurité Une croissance du marché de 155 % par an est attendue jusqu'en 2026 dans ce domaine. Pour la plupart il s'agit de cartes bancaires qui comportent un lecteur d'empreintes digitales. Mais le scannage des iris pourrait prendre rapidement le relais dans ce domaine : déjà plus de 1 000 guichets automatiques d'institutions financières à Chicago et à Montréal utilisent la reconnaissance de l'iris au lieu des cartes de débit.
En Europe la protection des données biométriques est régie par le règlement général sur la protection des données (RGPD) du 14 avril 2016 entré en vigueur en 2018 qui en théorie garantit la confidentialité et le droit à l'oubli, et dont les Etats-Unis maintenant s'inspirent. Mais il n'empêche que les données biométriques sont nécessairement stockées et les garanties de leur conservation loin du regard indiscret de nos gouvernants ou du Big Brother américain restent très fragiles. Amazon qui paie ses utilisateurs pour qu'ils donnent leurs données biométriques, a vendu des services de reconnaissance faciale aux autorités américaines. En 2019, le groupe a été critiqué, lorsqu'un média américain a révélé que l'assistant vocal Alexa conserve des données, même lorsqu'elles sont supprimées par l'utilisateur. Or depuis la guerre d'Ukraine, l'Europe parait moins désireuse d'empêcher nos données de traverser l'Atlantique via les GAFA... Et, les pays qui aiment bien la citoyenneté à points affectionnent aussi la surveillance biométrique : ainsi en Chine quiconque veut se procurer un smartphone doit soumettre ses données d'analyse faciale à l'opérateur de télécommunications qui les transmet au gouvernement. Couplez ça avec le passe sanitaire et la carte bancaire "éco-responsable" de Doconomy, et tous les ingrédients de la dictature globale sur votre corps sont réunis.
Opération américaine contre le premier ministre pakistanais
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Mercredi dernier, sept députés du parti souverainiste de droite Tehreek-e-Insaf ( Mouvement du Pakistan pour la justice) fondé par le premier-ministre Imran Kahn ont annoncé qu'ils passaient à l'opposition, privant celui-ci de sa majorité. Celui-ci a alors pris a témoin le peuple pakistanais en agitant devant les écrans de télévision une lettre démontrant selon lui que "des puissances étrangères sont en train d'organiser un changement de régime au Pakistan".
Les principaux membres du gouvernement, le ministre de la Planification, du Développement, des Réformes et des Initiatives spéciales Asad Umar et le ministre de l'Information Fawad Chaudhry ont tenu une conférence de presse conjointe où ils ont révélé de plus amples détails sur cette lettre controversée. Khan a ensuite invité plusieurs membres de son cabinet, les médias et la communauté de sécurité pakistanaise à la consulter.
Les partis d'opposition ont tenté de ridiculiser cette lettre, Shahbaz Sharif (aspirant au poste de Premier ministre) ironisant en disant qu'il quitterait le navire et rejoindrait Imran Khan si la lettre est authentique.
Parallèlement à ce jeu politique, une mystérieuse requête était déposée auprès de la Haute Cour d'Islamabad (IHC) auprès du juge en chef d'Islamabad Athar Minallah, lequel rendait sur le champ un avis juridique selon lequel Imran Khan ne peut pas partager cette lettre en public en raison de son serment de confidentialité. La rapidité de la décision avait de quoi surprendre...
Le lendemain le Comité de sécurité nationale (NSC) du pays était réuni. Étaient présents le Premier ministre pakistanais, le chef de l'armée, le président des chefs d'état-major interarmées, l'armée de l'air pakistanaise (PAF) et les chefs de la marine, le conseiller à la sécurité nationale (NSA) et plusieurs autres responsables importants. L'opposition avait boycotté cette réunion, mais les participants unanimes décidaient de réprimander publiquement les Etats-Unis pour leur ingérence, et le 31 mars Khan révélait le contenu de la lettre : il s'agissait d'une lettre envoyée par des responsables du Département d'Etat américain à l'ambassadeur du Pakistan à Washington, annonçant le vote d'une prochaine motion de censure contre Khan au parlement et lui enjoignant de ne pas résister sous peine de conséquences terribles pour son pays (on parle maintenant - cf AFP - plutôt d'un câble diplomatique faisant état d'un enregistrement des propos d'un haut fonctionnaire américain à l'encontre du Pakistan).
Khan a ajouté que les rebelles de son parti avaient été achetés.
Le 9 mars l'armée pakistanaise s'est déclarée "neutre", puis a fait évoluer sa position au retour de Pékin du ministre des affaires étrangères pakistanais, ce qui laisse entendre que la Chine a fait pression sur les militaires contre l'ingérence américaine.
Lors de son interview du 1er avril à la télévision nationale (PTV), Imran Khan a exhorté la nation pakistanaise à rejeter l'alliance des partis corrompus et des médias soutenus par l'Occident, et à ne pas craindre les menaces de sanctions économiques contre le pays.
Hier le 3 avril, Imran Khan a échappé à la motion de censure en déclarant le vote inconstitutionnel et demandé au président Arif Alvi de dissoudre l'assemblée, ce qui devrait aboutir à la désignation d'un premier ministre par intérim. Il a ensuite dans la journée précisé au cours d'une réunion des cadres de son parti que l'auteur des menaces contre le Pakistan était le sous-secrétaire d'Etat en charge de l'Asie Donald Lu, qui a reconnu le 2 mars devant une commission du Sénat américain avoir exercé des pressions sur le Sri Lanka et le Pakistan (voir vidéo), tandis que le chef d'Etat major de l'armée pakistanaise avant hier a rappelé les liens de ladite armée avec les Etats-Unis.
Au pouvoir depuis 2018 Khan, ancien champion de cricket a changé de vie, alors qu'il était playboy international connu pour son mariage avec la mondaine Jemima Goldsmith il est devenu un pieux musulman hostile à la politique occidentale. Son épouse qui est de père juif, de mère protestante et de grand mère catholique, est aussi sur une ligne hostile aux injustices de la politique américaine en ce moment. Elle a par exemple condamné le 11 février dernier la décision américaine de dépenser une partie des 7 milliards de dollars d'actifs volés à l'Etat afghan depuis la prise du pouvoir des talibans en Afghanistan pour l'indemnisation des victimes du 11 septembre, alors que des mères afghanes en sont réduites à "vendre leurs organes pour épargner la famine à leurs enfants". Elle retweete aussi des messages de soutien à Julian Assange.
Khan a rencontré Vladimir Poutine le 24 février dernier, et Islamabad s'est abstenu de condamner l'invasion russe de l'Ukraine à l'Assemblée générale de l'ONU le 2 mars et a refusé d'imposer des sanctions à la Russie. Le cheikh soufi Imran Hosein, un leader favorable à l'alliance chistiano-musulmane contre l'impérialisme, le 2 avril a qualifié la période actuelle de "moment de vérité" pour le Pakistan, l'enjeu est de savoir si le Pakistan veut rester un "Etat esclave". Il déclare (15e minute) aux partis pakistanais qui se réclament de l'Islam ont préparé une "révolution de couleur" avec l'argent américain, et en décidant de commettre un "regime change" au début du Ramadan, qu'ils ont commis une faute qui va conduire chaque Pakistanais attaché au Coran à se souvenir de tous les leaders pakistanais (Liaquat Ali Khan, Z.A. Bhutto, Zia al Haq et Benazir Bhutto) qui ont été éliminés à la demande des Occidentaux.
Grundlegung zur Metaphysik
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Chaque page de la rubrique "Grundlegung zur Metaphysik" de ce blog a été vue trois fois hier, sans que je puisse savoir si ce fut trois fois par la même personne. Ce lecteur (je ne sais s'il faut mettre le sujet au pluriel) a dû être déçu au terme de cet épluchage systématique puisque, suite aux menaces que j'ai reçues à l'automne dernier, j'ai supprimé nombre des articles de cette catégorie, notamment ceux qui touchaient de très près à la France. Et je n'ai pas vraiment l'intention de republier les billets supprimés. De toute façon, sur le volet des sociétés secrètes, de leurs symboles, et de la présence de ceux-ci en politique et dans le show-biz, je ne vois pas bien l'intérêt de chercher à être exhaustif ou encyclopédique. Une fois que j'ai montré une ou deux choses sur Bill Gates ou Greta Thunberg, une certaine année, à quoi bon exposer d'autres aspects de leur probable engagement occultiste l'année suivante ? Quand on a vu que tel acteur était lié à de la programmation prédictive sur le Covid, à quoi bon montrer qu'ensuite il l'a été aussi sur le graphène ?
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De toute façon d'autres sites anglo-saxons et français font ça mieux que mon blog. Et je n'ai pas le sentiment d'être investi d'une "mission spéciale" pour écrire sur le monde invisible ou sur l'eschatologie. D'ailleurs ceux qui se croient destinés à exercer ce genre de fonction dans le monde finissent souvent par être égarés par l'orgueil et par présenter au public des connaissances fausses ou excessives dans leurs conclusions qui ne servent pas l'intérêt du Bien commun et de la Vérité. C'est pourquoi je préfère que les sujets spirituels conservent une place raisonnablement modeste sur ce blog.