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Chomsky veut mettre les non-vaccinés en quarantaine
Ayant collaboré jadis à un ouvrage collectif sur le célèbre linguiste militant anti-impérialiste américain Noam Chomsky, il me faut ici préciser que je suis en total désaccord avec sa position actuelle sur les vaccins anti-covid, tout comme je n'approuve pas celle de son disciple Jean Bricmont. En minute 9'14 de cette vidéo du 24 octobre 2021 sur la chaîne Primo Radical de You Tube (cf ci-dessous) il déclare à propos des non-vaccinés : "Si les gens veulent se sentent libres de tuer les autres, désolé, la communauté a le droit d'user de la force (workforce) et de se défendre contre eux. Si vous voulez encore vous sentir libre de tuer les autres, allez ailleurs".
"Les gens vaccinés peuvent malgré tout répandre la maladie" lui oppose l'intervieweur : "Désolé, ces probabilités sont extrêmement basses. Voyez comme les hôpitaux sont débordés dans des Etats non vaccinés comme l'Idaho, l'Alabama qui sont des Etats non vaccinés, par presque 100 % de non vaccinés" (logique remarquez puisque peu de gens y sont vaccinés, mais il oublie le cas des Seychelles ou d'Israël où beaucoup de gens étaient vaccinés et les hôpitaux ont été remplis de gens vaccinés malades...).
Cette vidéo démontre l'absence de compréhension de la part de Chomsky de ce qui se trame réellement derrière l'intox anti-Covid. J'avais déjà dénoncé en mai la manière dont Chomsky soutenait l'administration Biden et criminalisait l'opposition républicaine sur la question climatique. Cela rejoint aussi mes précédentes remarques plus générales sur la gauche pro-vaccin et le piège du progressisme dans lequel elle est prise. Les masques tombent.
Rumeurs de guerre (suite)
Le secrétaire à la Défense américain Lloyd Austin a rencontré mardi 19 octobre des responsables ukrainiens à Kiev, un jour après sa visite en Géorgie. Le voyage fait partie des plans de Washington renforcer son appui aux deux pays .
Avant le voyage, des responsables du Pentagone avait fait savoir au Washington Times qu'Austin y expliquerait qu'il existe une « porte ouverte à l'OTAN » pour l'Ukraine et la Géorgie. La Russie a pourtant déclaré de son côté que l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN serait une "ligne rouge", à ne pas franchir. Ce à quoi Austin a répliqué : qu'« aucun pays tiers n'a de droit de veto sur les décisions d'adhésion à l'OTAN. L'Ukraine, comme vous m'avez entendu le dire plus tôt, a le droit de décider de sa propre politique étrangère future et nous espérons qu'elle pourra le faire sans aucune ingérence extérieure », a-t-il dit.
Dans la même tonalité, Washington change de ton sur la question de Taiwan où la CIA vient d'installer une base d'espionnage. Alors que les Etats-Unis étaient restés longtemps ambigus sur leur attitude en cas d'attaque de la Chine continentale contre cette île, Biden jeudi a déclaré que désormais dans une telle hypothèse il n'hésiterait pas à la défendre. Une position assez paradoxale puisque depuis les années 1970 Washington ne reconnaît plus le gouvernement de Taiwan comme gouvernement légitime de la Chine. La Maison Blanche ait tenté de clarifier les commentaires de Biden pour calmer la situation, vendredi, affirmant que le président "n'annonçait aucun changement dans notre politique et qu'il n'y avait aucun changement dans notre politique". Mais l'organe de presse chinois Global Times fait remarquer que Biden avait déjà tenu des propos similaires en août en assimilant Taiwan aux membres de l'OTAN et au Japon. L'Union européenne elle aussi multiplie les gestes en direction de Taiwan.
Pendant les vacances de la fête nationale (du 1 au 5 octobre), la Chine a envoyé plus de 150 avions dans la zone d'identification de défense aérienne autoproclamée du sud-ouest de l'île de Taïwan en réponse à une initiative fin septembre de la Grande-Bretagne d'envoyer un navire de guerre, pour la première fois depuis 2008, dans le détroit de Taïwan, emboîtant ainsi le pas aux Américains, aux Canadiens, aux Français et aux Australiens.
Début octobre une mission du Sénat français conduite par Alain Richard, président du groupe d’échanges et d’études Sénat-Taïwan (ex ministre de la défense de Jospin et à ce titre bombardeur de la Serbie), a rencontré la présidente Tsai Ing-wen. Les autres membres de la délégation étaient Max Brisson, sénateur des Pyrénées-Atlantiques, et Else Joseph, sénatrice des Ardennes (Les Républicains), ainsi qu’Olivier Cadic, représentant les Français établis hors de France (Union Centriste). C'était le troisième voyage du genre depuis 2015 mais le premier qui ait suscité l'hostilité ouverte de la presse chinoise.
Sur un autre front, Maurice Lemoine sur Mémoire des Luttes dénonce l'extradition vers les Etats-Unis par le Cap Vert d'un diplomate vénézuélien qui avait été arrêté pour avoir tenté d'éviter à son peuple le poids inhumain des sanctions américaines...
Des nouvelles du débat sur le vaccin anti-Covid
Le débat sur les vaccins anti-Covid est tellement censuré et verrouillé par des acteurs tenus par des conflits d'intérêt (voyez par exemple à quelle vitesse en septembre une vidéo d'A. Henrion-Caude interrogeant les risques du vaccin sur la fertilité des filles et des garçons a été supprimée de You Tube en septembre), que chacun doit rechercher des informations auprès de chercheurs indépendants qui, eux-mêmes, ne peuvent évidemment avancer leurs informations avec la même certitude que s'ils avaient derrière eux un laboratoire capable de certifier la validité de leurs trouvailles (c'est pourquoi d'ailleurs le professeur Raoult a fait l'objet d'attaques si violentes car lui dirigeait un institut prestigieux et avait toute la légitimité requise pour ramer à contrecourant sur des sujets clés comme la prise en charge médicale du Covid 19).
Ainsi j'écoutais hier sur Odysee une interview de début septembre du Dr Julien Devilleger dont j'avais déjà signalé cet été les expériences sur le magnétisme des vaccins. Même si je suis en désaccord avec certains de ses partis pris métaphysiques (quand il parle des chakras), ses résultats sont intéressants puisqu'il trouvait 46 % de magnétisme chez le vaccinés contre 7 % chez les non-vaccinés. Mais il faut reconnaître que son étude se rapporte à un nombre assez faible de personnes. Et il admet la difficulté qu'il y a par exemple à vérifier la question de savoir si les vaccinés émettent des ondes susceptibles d'être captées par la Wifi car personne n'a pu tenter l'expérience dans une cage de Faraday. Son interview mérite d'être écoutée, notamment le passage où il explique que le magnétisme qu'il a constaté est corrélé à de fortes douleurs à l'endroit de la piqûre. Il n'exclut pas que, dès lors que le vaccin est en phase 3 d'expérimentation (ce que le ministre Véran a essayé de nier à la télévision, mais il a dû être démenti par les menteurs du journal Le Monde le 8 juillet sur ce point), on puisse avoir comme l'ont affirmé des indépendants en Europe de l'Est qu'il puisse y avoir un tiers d'injectés au placébo (sérum biologique).
Je ne sais pas trop quelle importance il faut accorder aux références spirituelles des gens, mais c'est vrai que ça m'ennuie de voir beaucoup de guérisseurs et de gens qui travaillent avec les djins ou de gens qui adoptent leur vocabulaire dans le combat anti-pass sanitaire. Cet été, j'ai dialogué avec un blogueur évangélique du Morbihan en lui faisant remarquer que le journaliste Richard Boutry, ex journaliste de France 3 puis de France Soir , icône anti-pass, avait un vocabulaire très New Age. Il m'a reproché de créer de la division, et a ajouté que je me battais sur le pont alors que les gens se battent bêtement sur le pont alors que le navire coule. Sauf que quand Boutry en vient à faire de la pub pour les thèses de l'alchimiste néo-païen Allan Duke sans chercher à prendre du recul sur ses présupposés comme moi-même je l'avais fait dans ce billet, il agit sur le monde invisible dans un sens qui ne sera pas historiquement favorable au combat anti-pass.
Le journaliste Guy Boulianne accorde au cours des dernières semaines de l'intérêt aux propos du lieutenant-colonel à la retraite de l’armée américaine, Royston Potter qui lui même synthétise les découvertes des docteurs Carrie Madej et Franc Zalewski. Je vous les livre comme je les lis, en émettant un peu plus loin des réserves sur Mr Zalewski.
Carrie Madej décrit les étranges particules jamais vues auparavant et qu’elle a pu observer au microscope x 400 en analysant le contenu des injections ARNm de Moderna et Johnson & Johnson… Elle a d’ailleurs identifié le parasite synthétique sous le nom « hydra vulgaris ». Le Dr Madej est une spécialiste en médecine interne et elle a plus de 20 ans d’expérience dans le domaine médical. Elle est diplômée de la Kansas City University Of Medicine Bioscience College of Osteopathic Medicine School en 2001. Elle affirme qu'après avoir fréquenté de près des responsables du système médical et de l'intelligence artificielle qui prétendaient nous contrôler, dans la même logique que Craig Venter (qui parlait déjà d'injecter des substances en les faisant passer pour des vaccins) elle a dû quitter les Etats-Unis pour se rendre en république dominicaine pendant 5 ans à cause des menaces dont elle faisait l'objet (beaucoup de médecins holistiques ou des lanceurs d'alerte, mais aussi des médecins "classiques" ont perdu leur vie en dénonçant les projets de Big Pharma au cours des dernières années).
Il faudrait que d'autres chercheurs puissent confirmer cette découverte inquiétante (d'autant qu'EnterTheStars, lui qualifie Carrie Madej de "New Age Christian"...) . L'autre enquêteur qui témoigne avoir trouvé ce type de parasite dans certains vaccins est Franck Zalewski. Guy Boulianne le présente comme "un docteur polonais" mais qui est docteur en philosophie spécialiste autoproclamé en minéralogie, ce qui m'inspire quelque méfiance car il est vraiment éloigné du domaine de la médecine...
Il dit lui aussi avoir trouvé dans le vaccin Cominarty de Pfizer un organisme parasitaire qu’il surnomme "la chose". « C’est pourquoi il y a du graphène ajouté à l’intérieur des vaccins, qui nourrit l’œuf », dit-il (peut-être à rapprocher de l'oeuf orphique qu'EnterTheStars trouvait dans l'animation "I Pet Goat 2". Il s'agit d'une forme de vie insolite à base d'aluminium/carbone. On ne les trouve que dans certains vaccins d'autres étant seulement à base de solutions salines pour ne pas effrayer les populations.
Royston Potter rattache cette découvertes aux technologies de l'Internet of Bodies . Il interprète cette substance comme étant une matérialisation du thème spirituel une semence de serpent : un thème qui revient aussi souvent chez EnterTheStars. La Science fiction a déjà bien préparé les esprits à tout cela.
Certains remarquent en commentaire des vidéos de Zalewski que ces filaments font penser à la maladie des Morgellons.
Attention quand même en ce qui concerne ce Franc Zalewski : il est adepte de théories bizarres sur les visites d'extraterrestres sur Terre pendant la Haute antiquité comme il l'a révélé dans cette vidéo sur l'archéologie de Malte... Il n'est pas sûr que ses recherches ne présentent pas des garanties de sérieux suffisantes...
Je voudrais aussi signaler à titre de piste de réflexion, mais sans en tirer de conclusions, cette bizarrerie relevée par A Call for an Uprising du fait que beaucoup d'éclairages urbains aux Etats-Unis ces derniers temps sont devenus pourpres. Les médias ont évoqué des erreurs techniques (aussi peu vraisemblables en réalité que les alibis mis en avant pour les pénuries dans divers secteurs économiques depuis quelques mois). Le thème peut-être mis en rapport avec la future bioluminescence des vaccins, préparée par le brevetage des patchs quantiques à la luciférase de Bill Gates.
A suivre...
Les mythes spatiaux (suite) après le vol de William Shatner
Aujourd'hui A call for an uprising commentait la publicité accordée hier par CNN, le New York Times etc (les grands médias de la Matrice qui donnent le "la" à toute la presse mondiale) au voyage dans l'espace de l'acteur de Star Trek, William Shatner, 90 ans, dans la fusée Blue Origin New Shepard du patron d'Amazon Bezos et la controverse qu'elle a provoquée avec le Prince William membre de la famille royale (maçonnique) britannique.
Pour lui, tout cela est faux. Les images mêmes du décollage de sa fusée et de son retour sur Terre au Texas ne sont tout simplement pas crédibles : c'est du mauvais cinéma. Tout cette comédie serait selon lui seulement destinée à faire fantasmer les gens sur l'espace et leur faire accepter les visites démoniaques que l'on présentera comme des contacts avec les extraterrestres (tout comme l'avait annoncé le mage Aleister Crowley, idole de la plupart de la pop culture omniprésente aujourd'hui, à travers la figure de son "alien" Lam).
C'est l'occasion de revenir sur le débat sur la question : toute cette histoire de conquête de l'espace est-elle une vaste escroquerie ? autrement formulé : la NASA n'est elle qu'une vaste entreprise de blanchiment d'argent douteux ? On s'était penché là dessus en décembre 2018 : je vous renvoie aux sujets abordés dans ce billet sur les révélations du cinéaste Stanley Kubrick dans "Shining", l'appartenance à la franc-maçonnerie du cosmonaute Buzz Aldrin.
Le mois dernier, Allan Duke, qui est souvent bien informé même s'il est trop "néo-païen" à mon goût, précisait un peu cette thématique en rappelant que dans le film d'animation de Pixar de 1995 Toy Story, l'astronaute Buzz l'Eclair (en référence à Buzz Aldrin) découvre qu'il n'est pas un "ranger de l'espace" mais seulement un jouet. Or, remarque Duke, quand Buzz l'Eclair découvre qu'il n'est qu'un objet incapable d'aller dans l'espace, il le fait sur un fond qui reproduit les motifs de la moquette très "vintage" de Shining où l'on voit un enfant avec une fusée "Apollo 11" sur son pull. Autrement dit Pixar a pu ainsi subliminalement valider la révélation de Kubrick sur le fait que c'est lui qui a filmé l'alunissage.
Duke est très précis sur l'appartenance maçonnique de Buzz, puisqu'il dit qu'il avait la bague maçonnique des shriners, un ordre ouvert au delà du 33ème degré de la maçonnerie du rite écossais. Les shriners organisent la cérémonie de remise des Oscars à Hollywood (le dieu Ptah). Le lien NASA-cinéma passe donc par les sociétés secrètes. Il montre aussi la vidéo d'Aldrin disant à une fillette : "On n'est pas retourné sur la Lune parce qu'on n'y est jamais allés".
Allez, pour terminer et pour le plaisir, j'ajoute cette vidéo d'Italodance de 1985 "Under the Ice" de Topo and Roby (dont le leitmotiv aura servi au générique d'une émission à succès de la très maçonnique chaîne de TV française Canal +). La chanson est un éloge du monde de l'espace et des extraterrestres, avec une chanteuse tout en noir et blanc (un gant noir, un gant blanc), style loge de la franc-maçonnerie : quand elle lève la main droite (en blanc) en baissant celle de gauche, à la septième seconde du clip, on peut se demander si elle ne nous fait pas un "as above so below" occultiste (le bas est comme le haut) à la manière du Baphomet : la main droite vers la lune blanche en haut, la main gauche vers la une noire en bas. Sous des dehors sympathiques et divertissants le morceau est si maléfique qu'il fait même référence au pôle Nord de Saturne, un thème qu'on avait évoqué à propos des démêlées de Pénélope Fillon avec les disciples d'A. Crowley. (D'ailleurs si quelqu'un peu m'interpréter la pochette du disque ici, je suis preneur). Ce sont toujours les mêmes qui nous entretiennent dans les mythes spatiaux. .
J'ajoute que le titre "Under the ice" (sous la glace), qui parle d'un robot androïde aux circuits gelés sous la glace, peut renvoyer à certaines interrogations actuelles sur le fait que les ordinateurs quantiques censés nous ouvrir à de nouveaux univers parallèles (démoniaques ?) ne peuvent fonctionner que dans le froid, ce qui en a poussé d'aucuns à supposer que des manipulations climatiques pour nous amener un froid polaire (sous couvert de lutte contre le réchauffement climatique) en vue de favoriser des importations d'entités de ce "deuxième ciel"... mais je ne développe pas ce point un peu trop spéculatif, à mon sens, du moins pour le moment...
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Poignée de main maçonnique de Pelosi au Vatican
La poignée de main entre Nancy Pelosi, speaker democrate de la chambre des représentants américaine, soi-disant catholique, qui a largement contribué à faire passer dans la législation l'avortement jusqu'aux derniers jours de la grossesse aux Etats-Unis avec le Pape François au Vatican le 9 octobre a fait couler beaucoup d'encre. La poignée de main entre les deux personnalités avait toutes les caractéristiques d'une salutation maçonnique selon les règles des sociétés secrètes. Certains comme Taylor Marshall l'identifient même à la poignée de maître à apprenti.
Ce geste des deux mains sur la poitrine (signe égyptien ?) intrigue aussi. Il fait aussi penser au geste de la catholique tendance 666 Arielle Dombasle dans une émission de France O en juin 2019 au moment où elle condamnait "l'intégrisme religieux" (cf la photo ici).
Après avoir rencontré Nancy Pelosi, le pape s'est adressé aux parlementaires qui étaient à Rome pour une réunion préparatoire avant la conférence annuelle de l'ONU sur le climat, qui commence à Glasgow, en Écosse, le 31 octobre. François a fait référence à un appel conjoint que lui et d'autres chefs religieux ont signé ce semaine qui appelle les gouvernements à s'engager sur des "objectifs ambitieux" (dictatoriaux et globalistes) lors de la conférence des Nations Unies, que les experts considèrent comme une opportunité cruciale pour lutter contre la menace du réchauffement climatique.
On apprend aussi que le pape vient d'être nommé guide moral de la fondation créée par Lynn Forester De Rothschild, épouse de Sir Evelyn Robert de Rothschild, un financier britannique très proche de Bill et Hillary Clinton, et de Jeffrey Epstein (puisque son nom figure sur les Lolita Express). Cette fondation s'appelle les "Gardiens". Elle comprend Rajiv Shah, président de la Fondation Rockefeller et ancien partenaire de l'escroquerie de Bill Gates en Afrique appelée AGRA dont on a parlé ici, Darren Walker, PDG de la Fondation Ford, un des pilliers de l'impérialisme américain dans le monde, et le gang bien connu de la vaccination obligatoire, du traçage des gens et de la suppression des monnaies nationales : Visa, Mastercard, Bank of America, DuPont, The Estée Lauder Companies, Johnson & Johnson et BP.
Au moment de la visite de Pelosi, une partie des 500 000 militants anti Green pass (pass sanitaire) réunis dans les rues de Rome, guidés, selon Zagami, par Nicola Franzoni prenaient bizarrement d'assaut les locaux de la CGT italienne plutôt que ceux du Capitole... Le site "FromRomeInfo" explique que Leo Zagami (ex-franc maçon proche de l'AltRight Américaine et d'Alex Jones) veut un coup d'Etat quand Franzoni (entrepreneur ligure anti-FM qui cumule les persécutions judiciaires depuis son engagement anti-dictature sanitaire), serait partisan de la non-violence.
La nouvelle guerre "cognitive" de l'OTAN
Benjamin Norton dont on cite parfois les interventions sur Twitter, publie sur The Gray Zone un article intéressant sur le nouveau type d'action que mène l'OTAN baptisé "la guerre cognitive". Jusqu'à récemment, explique-t-il, l'OTAN avait divisé la guerre en cinq domaines opérationnels différents : air, terre, mer, espace et cyber-guerre. Elle vise maintenant un sixième domaine : l'humain. Autant dire qu'il s'agit désormais de cibler les gens. Le rapport sur le sujet publié par l'Organisation en 2020 dit explicitement que « l'objectif de la guerre cognitive est de nuire aux sociétés et pas seulement à l'armée ».
Les militaires occidentaux doivent, selon ce rapport, travailler plus étroitement avec les universités pour armer les sciences sociales et humaines en vue d'accroître « la militarisation de la science du cerveau » pour « une cinquième colonne intégrée, où chacun, à son insu, se comporte selon les plans de l'un de nos concurrents » (la Chine et la Russie).
En septembre dernier, rappelle Ben Norton, au Canada (qui vient d'interdire, rappelons le, à tous les non-vaccinés de sortir de son territoire), le Commandement des opérations interarmées de l'armée de ce pays a profité de la pandémie de Covid-19 pour mener une guerre de l'information contre sa propre population nationale, testant des tactiques de propagande sur les civils, comme l'a révélé le site Ottawa Citizen.
Deux fois par an, l'OTAN organise ce qu'elle appelle un« défi de l'innovation ». Ces campagnes – l'une organisée au printemps et l'autre à l'automne, par des États membres en alternance – font appel à des entreprises privées, des organisations et des chercheurs pour aider à développer de nouvelles tactiques et technologies pour l'alliance militaire. Le prochain Défi d'innovation de l'automne 2021 de l'OTAN est organisé par le Canada et s'intitule « La menace invisible : outils pour contrer la guerre cognitive ».
Le communiqué de presse du gouvernement canadien précise que : « Son objectif est de semer la dissonance, de susciter des récits contradictoires, de polariser l'opinion et de radicaliser les groupes. La guerre cognitive peut motiver les gens à agir de manière à perturber ou fragmenter une société par ailleurs cohésive. »
François du Cluzel, ancien officier de l'armée française à l'origine en 2013 du NATO Innovation Hub (iHub) associé de près aux opération de l'OTAN, qu'il gère depuis depuis sa base de Norfolk, en Virginie, dans une conférence du 5 octobre dernier a précisé que la « guerre cognitive est un nouveau concept qui commence dans la sphère de l'information,. C'est une sorte de guerre hybride ». « Cela commence par l'hyper-connectivité. Tout le monde a un téléphone portable », a-t-il poursuivi. « Cela commence par l'information parce que l'information est, si je puis dire, le carburant de la guerre cognitive. Mais cela va bien au-delà de la seule information, qui est une opération autonome – la guerre de l'information est une opération autonome... il s'agit de tirer parti des mégadonnées ».
Cela va au delà du simple espionnage des sociétés des adversaires ou de la "cinquième colonne" au sein de nos propres sociétés.
Selon du Cluzel, qui a précisé les choses dans une étude officielle de l'OTAN de novembre 2020 : « Il est crucial de comprendre qu'il s'agit d'un jeu sur notre cognition, sur la façon dont notre cerveau traite l'information et la transforme en connaissance, plutôt qu'un simple jeu sur l'information ou sur les aspects psychologiques de notre cerveau. Ce n'est pas seulement une action contre ce que nous pensons, mais aussi une action contre notre façon de penser, la façon dont nous traitons l'information et la transformons en connaissance. En d'autres termes, la guerre cognitive n'est pas simplement un autre mot, un autre nom pour la guerre de l'information. C'est une guerre contre notre processeur individuel, notre cerveau.» « Tout utilisateur des technologies de l'information modernes est une cible potentielle. Il cible l'ensemble du capital humain d'une nation ». On peut par ces technologies « atténuer l'agressivité et favoriser les cognitions et les émotions d'affiliation ou de passivité ; induire de la morbidité, de l'invalidité ou de la souffrance ; et « neutraliser les opposants potentiels ou entraîner leur mort ».
Le rapport citait le général de division américain Robert H. Scales, qui résumait la nouvelle philosophie de combat de l'OTAN : « La victoire se définira davantage en termes de capture du terrain psycho-culturel plutôt que géographique ».
Pour atteindre le but il s'agira de mobiliser un savoir en sciences humaines, mais aussi les nanotechnologies, la biotechnologie, les sciences cognitives.
Si, comme l'a souligné il y a peu un humoriste, "la police vous parle tous les jours sur BFM TV", il s'avère que derrière les médias et derrière nos instruments technologiques de connexion, ce sont, non plus les policiers, mais directement les armées nationales et l'OTAN qui nous surveillent et nous manipulent. Cette emprise croissante en Occident des armées sur les esprits et les interactions sociales est d'ailleurs facilitée au niveau du conditionnement mental par des opérations du type du remplacement des cars scolaires par des équipements conduits par des militaires aux Etats-Unis ou celui de soignants qui refusent le vaccin par des militaires, ou encore en Espagne l'an dernier l'utilisation de 2 000 soldats pour traquer les nouveaux cas de Covid.
La mainmise de Bill Gates sur le sommet alimentaire mondial de l'ONU
Après l'enquête de l'ECLJ parue cet été sur l'influence de Soros sur les agences de l'ONU en matière de politique du genre, défense des minorités sexuelles, et dynamitage des familles, voici l'article du site Grayzone sur la manière dont Bill Gates a pris le contrôle du 4ème sommet alimentaire mondial de l'ONU réuni le 23 septembre dernier.
Dans cet article, Nls McCune et Camila Escalante expliquent que le Forum économique mondial de Klaus Schwab (forum de Davos) a détourné les acquis des luttes des mouvements populaires pour faire ouvrir les portes de l'ONU à la société civiles, en faisant valoir que les grandes multinationales elles aussi étaient des "acteurs sociaux" comme les syndicats et mouvements paysans. Parmi ces derniers la Via Campesina (200 millions d'agriculteurs) avait obtenu en décembre 2018 après 18 ans de négociations la reconnaissance d'un droit pour les ruraux à accéder à l'eau, à la terre, aux semences. 70 % de la nourriture mondiale aujourd'hui est produite par de petits agriculteurs sur un quart des terres agricoles totales.
La Fondation Bill et Melinda Gates pour sa part a créé en 2006 l'Alliance pour une révolution verte en Afrique, ou AGRA, qui a promis de doubler les rendements et les revenus de 30 millions de familles tout en réduisant de moitié l'insécurité alimentaire dans 13 pays africains avant 2020.
L'AGRA a collecté 1 milliard de dollars de dons, et en a dépensé 524 millions dans des programmes promouvant l'utilisation de semences génétiquement modifiées et hybrides, d'engrais commerciaux à base de combustibles fossiles et de pesticides chimiques. Elle a poussé les gouvernements africains à verser un milliard de dollars supplémentaires par an pour subventionner les produits agrochimiques et les semences importées provenant de sociétés agroalimentaires américaines et européennes, ainsi que des politiques de privatisation des terres communales et de réduction des impôts sur les sociétés.
Bilan : une étude de l'Université de Tufts (Massachussets) de 2020 a montré que, dans les 13 pays cibles de l'AGRA, la faim avait augmenté de 30%, les agriculteurs étant poussés à abandonner les polycultures traditionnelles et nutritives pour se concentrer sur les champs de monoculture de semences de maïs importées.
C'est pour résister à ce phénomène que Via Campesina a tenté de gagner sa place dans les instances de l'ONU comme délégué observateur, explique l'article. Trois rapporteurs spéciaux consécutifs des Nations Unies sur le droit à l'alimentation ont largement approuvé les propositions de La Vía Campesina : la réforme agraire redistributive et l'agriculture agroécologique peuvent mettre fin à la faim tout en réduisant l'impact écologique. Mais en juin 2019, le bureau du secrétaire général de l'ONU António Guterres, sans discussion préalable à l'Assemblée générale ou tout autre processus intergouvernemental, a signé un partenariat stratégique avec le Forum économique mondial. C'est dans ce cadre qu'a été organisé le sommet du 23 septembre. Contrairement aux précédents sommets sur l'alimentation, aucun organe intergouvernemental n'a convoqué le sommet.
L'actuelle présidente de l'AGRA, la rwandaise Agnes Kalibata, a été nommée envoyée spéciale du secrétaire général au sommet. Plus de 500 organisations de la société civile en mars 2020 ont dénoncé le programme de ce sommet dont l'objectif (en réalité dépopulationniste) est désormais le zéro carbone. Son but est une mainmise totale sur la biodiversité.
Rappelons que le contrôle des multinationales sur l'alimentation concerne à la fois le Tiers-Monde et les pays riches, car en janvier dernier, plusieurs grands médias américains ont révélé que Bill Gates était le plus grand propriétaire de terres agricoles aux Etats-Unis en lien avec les projets de fabrication de nourriture industrielle artificielle imprimée en trois dimensions qui exploitent du sérum bovin foetal en lieu et place de l'agro-pastoralisme accusé d'émettre du méthane à l'origine du réchauffement climatique. Ce genre de thématique trouve des soutiens dans divers réseaux vendus au système mondialiste comme le Vatican - voir la conférence sur l'alimentation du 11 novembre dernier à l'Académie pontificale des sciences. Nous avons déjà souligné sur ce blog quels intérêts servait l'écologie instrumentalisée par les multinationales, à propos du WWF, et de Greta Thunberg. Dans le cadre de la grande réinitialisation (Great Reset) voulue par le Forum de Davos, le responsable du premier investisseur mondial Blackrock envoie une lettre annuelle aux PDG des grandes entreprises les sommant de publier leur "business model" pour arriver à une émission de carbone nette nulle", tout en continuant lui-même d'investir dans les énergies fossiles et de défendre le libre-échange pollueur. Ces contradictions révèlent que ces lobbies n'ont aucun objectif écologique en tête (tout comme nos gouvernants n'ont pas d'objectifs sanitaires) : le seul objectif est la dépopulation et la dictature mondiale.
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Des Yézidis, des Kurdes, des Syriens, la frontière polonaise
Un Yézidi de Sinjar coincé dans une forêt avec en Europe de l'Est des gens de son clan explique "notre situation en Irak était difficile, nous sommes venus ici. Aidez nous s'il vous plait. Il y a ici des filles, des enfants, des vieux. Ils vont vous raconter leur histoire. Un Kurde de Zakho ajoute : "Nous sommes ici depuis dix jours, des gens sont morts. On ne nous laisse pas entrer en Pologne ni retourner en Biélorussie. On a faim et soif. On ne nous donne ni nourriture ni eau. Ceux-là sont des Syriens." Les Syriens disent : "Portez nous secours, nous sommes ici avec nos frères Yézidis. Il n'y a pas de nourriture ici." Une femme yézidie ajoute "Une personne meurt ici chaque jour".
Le chef du Parti de la Loi et de la Justice et vice-premier ministre en Pologne Jarosław Kaczyński affirme que les autorités de Minsk envoient des "migrants économiques" en Pologne pour se venger du soutien de Varsovie à l'opposition biélorusse. Il parle d'une "guerre hybride". Il précise que les autorités biélorusse les amènent dans une zone tampon comme cette forêt où ils peuvent avoir une chance de traverser la frontière. Ils sont délibérément placés dans une position précaire pour faire pression sur Varsovie.
Ces gens ne sont pas des pauvres, précise Kaczyński, car ils ont pu payer leur billet jusqu'à Minsk. Ils font simplement l'objet d'une énorme manipulation.