Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #coronavirus-vaccination-big pharma tag

Rishi Sunak et le modèle chinois

28 Octobre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma, #Les régimes populistes, #Le monde autour de nous, #Peuples d'Europe et UE

Lundi 24 octobre, 28 villes chinoises ont mis en place divers degrés de confinement dans  le cadre de la soi-disant lutte contre le Covid 19, avec environ 207,7 millions de personnes touchées. La ville de Pékin notamment a annoncé samedi dernier qu'après cinq jours de mini-vacances, l'accès aux espaces publics continuera d'être restreint. À partir du 5 mai, un test COVID négatif effectué  dans les 8 jours précédents sera obligatoire pour entrer dans "de nombreux lieux publics et prendre les transports en commun", selon une annonce sur le compte WeChat de la capitale.

Ces entraves à la circuler s'ajoutent à celles qu'imposent le système de crédit social qui en 2019 interdisait à 23 millions de Chinois de voyager.

Croyez-vous que l'Europe est à l'abri de cela ?

La nomination du nouveau premier ministre britannique Rishi Sunak, ancien ministre des finances, qui est non seulement un ancien de Goldman Sachs mais aussi et surtout l'homme du Forum économique mondial devrait vous mettre en garde.

Le père de  l'épouse de Sunak (donc son beau-père),  Akshata Murthy (qui n'est pas citoyenne britannique), est le  fondateur  d'Infosys, une société indienne de technologie de l'information qui fournit des services à une foule d'entreprises et de banques Fortune 500. L'un des principaux services de l'entreprise est Finacle, une plateforme bancaire numérique.

Infosys est répertorié comme  partenaire officiel  du  Forum économique mondial/Forum de Davos (WEF) , qui a été accusé de chercher à développer l'infrastructure technologique pour mettre en œuvre un système mondial de "score de crédit social" à ravers le monde. Le président d'Infosys, Mohit Joshi, a rédigé des articles pour le site en faveur de la banque numérique, qui fournit le cadre technologique du système de « score de crédit social ». Pour défendre le modèle chinois sur le chemin d'une "cashless society" (société sans espèces)  il écrivait en août 2020 : "Qui peut alors blâmer la Banque populaire de Chine (PBOC) lorsqu'elle a annoncé en février qu'elle détruirait  les espèces collectées dans des environnements à haut risque , tels que les transports publics, les marchés ou les hôpitaux ?". Dans un article d'avril 2021, sur le site du Forum de Davos, il préconise d'accorder à chaque personne une "identité numérique unique" pour effectuer des transactions financières. Il cite le Parti communiste chinois comme un exemple réussi de cette politique. Dans la même veine il y a un an Sunak vantait les Central Bank Digital Currencies (monnaie numérique de banque centrale). Global Times, organe officiel chinois, le 14 juillet dernier vantait le pragmatisme de Sunak dans ses rapports avec Pékin.

Si vous ne voyez pas où cela nous mène pensez aux expérimentations de Deconomy ici. Un épisode de série d'animation "Stretch Armstrong & The Flex Fighters" (2017) sur Netflix en donne aussi un aperçu.

Lire la suite

L'arnaque Octobre Rose

17 Octobre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma

L'affaire du coronavirus avec ses tests PCR nous a appris à nous méfier des dépistages systématiques alors qu'on est "asymptomatique" donc bien portant. La période actuelle nous en offre un autre exemple avec l'opération "Octobre rose 2022" qui incite les femmes à subir des mammographies tous les deux ans pour prévenir le cancer du sein à partir de 50 ans. L'influenceur Jérémie Mercier ici en parle en des termes éloquents. 

Il explique l'exagération des bénéfices du dépistage, et la culpabilisation de celle qui le refuse. Il faut "se faire écraser le sein tous les deux ans", et faire confiance au médecin. Les schémas de la propagande sont très infantilisants, pour valoriser ceux qui adhèrent à la campagne, avec par exemple cette course annuelle à Vincennes appelée Odysséa, les bâtiments illuminés en rose, les hommes politiques qui arborent le ruban. Chacun affiche sa vertu, même les commerces de proximité. Le "pinkwashing" rejoint d'ailleurs une autre cause bien connue. L'effet grégaire fonctionne très bien.

La "psy op" annuelle a été lancée en 1984 par l'American cancer society et le groupe britannique Imperial Chemical Industries (ICI), future AstraZeneca (de triste mémoire à l'époque de la dictature covidiste). Imperial Chemical Industries a été fondé par Sir Alfred Mond, le père du lobby anglo-américain Pilgrims Society, roi du nickel canadien, ministre de la santé en 1921, impliquée aussi dans la structuration des services secrets. Estee Lauder, entreprise de cosmétiques (à l'origine de beaucoup de nuisances sanitaires elle aussi) et Marie-Claire USA étaient aussi dans le lancement de l'opération ("Breast cancer awareness month").

Or le dépistage ne sauve personne. Si l'on compare des échantillons de femmes testées et des non testées, il n'y a pas moins de mortalité chez l'une que chez l'autre. Par contre chez les femmes dépistées, il y aura beaucoup de chimiothérapies, de rayons. Car les dépistages font apparaître des éléments qui se trouvent naturellement dans le corps mais qui n'ont pas forcément vocation à évoluer. La source ici est l'étude du Canadian National Breast Screening Study: randomised screening trial BMJ 2014 (université de Toronto).

"Dans l’état actuel des connaissances scientifiques, reconnaît e-cancer.fr, le diagnostic ne permet pas de distinguer les cancers qui vont évoluer – qui sont majoritaires – de ceux qui évolueront peu ou qui n’auront pas de conséquences pour la femme concernée (10 à 20 % des cancers détectés). Pour ces cancers, qui n’auraient pas été découverts en l’absence de mammographie, on parle de "surdiagnostic".
Par précaution, il est proposé de traiter l’ensemble des cancers détectés, ce qui peut entraîner un “surtraitement”."

Le cancérologue Gérard Delépine qui, a été attaqué par les covidistes pour avoir combattu l'usage du masque, en 2018 a expliqué que selon lui les dépistages systématiques du cancer du sein avaient un sens dans les années 1990, mais plus depuis qu'on est capable de soigner 90 % des cancers (tous sauf les métastatiques). Lui affirme que l'évaluation des "petits cancers dormants" qui n'évolueront pas est difficile à faire. L'InCA (institut national du cancer) évalue le chiffre à 10-15 %. Certaines séries américaines le chiffrent à 40 %.

La chimiothérapie n'est pas anodine, souligne-t-il. L'homonothérapie a des effets secondaires négatifs, notamment osseux. La radiothérapie irradie les coronaires. Le dépistage ne prévient pas les ablations de seins mais les augmente.

Delépine souligne (min 5'20) que l'idéologie féministe est pour beaucoup dans le succès de cette dangereuse mode de la prévention du cancer du sein, car il est avancé que c'est la seule politique de santé préventive spécifiquement offerte aux femmes qui peut être proposée : comme si c'était une chance d'augmenter par ce biais le risque de perdre un sein pour rien. Et les mammographies, les tests, la chirurgie reconstructive rapportent de l'argent.

Pour lui, les mammographies devraient être réservées aux femmes qui ont des symptômes.

Lire la suite

Un terme prochain à l'extrémisme de Von der Leyen ?

16 Octobre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Peuples d'Europe et UE, #Colonialisme-impérialisme, #coronavirus-vaccination-big pharma

Les masques tombent. Pfizer, par la voix d'une représentante devant le comité spécial de la pandémie de Covid 19 du Parlement européen le 10 octobre, avoue ne pas avoir évalué l’efficacité de son vaccin sur la transmission virale, ce que la Haute autorité de santé française avait déjà admis en décembre 2020.

Mme von Der Leyen commence à avoir des problèmes du fait d'une enquête du parquet européen sur ses conditions de passation du marché de vaccins avec Pfizer et du fait de l'accord du 25 mars dernier de communication des données numériques des citoyens européens aux Etats-Unis (même un député Modem trouve à s'en indigner dans La Tribune du 10 octobre). 

Cela s'ajoute aux rémunérations douteuses de McKinsey, à la politique ultrabelliciste en Ukraine sans en assumer les conséquences pour la consommation européenne d'énergie, à l'accord avec l'Azerbaïdjan au milieu de sa guerre avec l'Arménie, à la maltraitance des migrants.

Commentaire de l'eurodéputé allemand satiriste Martin Sonneborn : "Quand vous avez commencé votre service ici je pensais que vous étiez juste incompétente et un peu criminelle Je sais aussi maintenant que vous êtes d’une liberté morale impressionnant Il ne faut pas laisser l’Europe à Leyen" (une façon pudique de parler de sa profonde immoralité).

Pour autant les euro-bureaucrates sont loin de s'apprêter à faire leur Mea Culpa.

Dans la meilleure veine impérialiste, Josep Borrell, haut représentant aux affaires étrangères de l'Union européenne, déclare le 13 octobre devant l'académie diplomatique européenne de Bruges : "L'Europe est un jardin... le reste du monde n'est pas vraiment un jardin. La plus grande part du reste du monde est une jungle et la jungle pourrait envahir le jardin. Les jardiniers devraient prendre soin de lui, mais ils ne protègeront pas le jardin en l'entourant de murs... Le jardin doit aller vers le jungle".  La porte-parole du ministère russe des affaires étrangères, dans la nouvelle veine anti-colonialiste du discours de Moscou répond le 14, "L'Europe a construit ce 'jardin' par le pillage barbare de la 'jungle' ".

Il est vrai qu'on s'en souvient en Afrique, notamment au pays de feu Thomas Sankara, le Burkina où après le coup d'Etat d'Ibrahim Traoré du 30 septembre des jeunes ont manifesté avec les drapeaux russes.

Le langage impérial reste aussi celui de Von der Leyen qui appelait le 15 septembre à contrer le projet chinois de "Route de la soie". Et, même si cette présidente passait à la trappe, il y a toujours dans la classe politique européenne des candidats à sa succession prêts à mener une politique aussi dure si Washington le leur demande. Il y a peut-être plus d'espoir du côté des prochaines élections de mi-mandat américaines qui, en cas de victoire des Républicains (moins compromis avec le régime de Kiev que les Démocrates), pourraient pousser Biden à négocier avec Poutine, ce qui limiterait un peu la casse pour notre continent. Un peu comme l'accord Obama-Poutine avait jadis laissé la France de Hollande-Fabius seule à gesticuler sur les dossiers syrien et iranien pendant quelques semaines encore. Quand le maître se calme, le roquet finit par retourner à la niche.

Lire la suite

Trump en embuscade : les étranges dispositifs symboliques à son sujet

28 Septembre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Donald Trump, #Les Stazinis, #Grundlegung zur Metaphysik, #Christianisme, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Cinéma, #La droite

Il existe un dispositif étrange autour de Donald Trump dans les productions hollywoodiennes, un dispositif qui a des ramifications de tous les côtés, dans la presse, dans la musique, et que Casey Brown (EnterTheStars) étudie depuis des années. Ce dispositif symbolique associe parfois Trump au 11 septembre (par exemple sur NBC News en 1980 quand on l'interviewe sur son intention d'acheter le World Trade Center  en insistant sur le fait qu'il a 33 ans - chiffre maçonnique - ou quand une publicité pour un ordinateur Toshiba de 1996 montre un jeune homme qui écoute la radio sur 101.9 MHz/119, puis juste après un répondeur téléphonique qui dit "C'est Donald Trump"). Il l'associe aussi au voyage dans le temps, à Tesla, à Abraham Lincoln - rappelez vous des éléments de programmation prédicative déjà mentionnés à son sujet dans Back to the Future II, ou dans Donnie Darko. Quand on sait que la haute politique se joue de pair avec la sorcellerie comme nous le rappelait Jacques Attali qui accordait une belle place à ce concept dans son Dictionnaire du XXIe siècle, on ne peut pas exclure que toutes ces correspondances ne soient pas totalement gratuites.

Quel intérêt, direz-vous, puisque Trump n'est plus président ? Il se trouve qu'il reste en embuscade et pourrait être prochainement réélu. Et beaucoup de ses fans vont jusqu'à le considérer comme l'équivalent de Jésus-Christ (voyez par exemple le livre bizarre du Sud-Africain Helgard Müller paru en janvier 2022 "President Donald J. Trump, The son of Man - The Christ" qui circule dans les meetings du Parti républicain américain), tandis que certains de ses adversaires, voient parfois en lui l'Antéchrist. Simples querelles de fanatiques ? Possible. Après tout ils sont nombreux à avoir théorisé le fait qu'Obama, le pape, et tant d'autres avant eux étaient l'Antéchrist (ce qui bibliquement n'est jamais faux puisque les Antéchrists sont nécessairement nombreux avant l'ultime). Mais il y a quand même anguille sous roche si l'on en juge par toutes les représentations qui l'évoquent dans la matrice culturelle dominante, et, s'agissant d'un personnage qui avait annoncé vouloir faire reconstruire le Temple de Jérusalem (condition d'avènement du dernier Antéchrist) et dont le gendre avait acheté à prix d'or le bâtiment sulfureux situé au 666 de la 5e Avenue à New York (et mis à l'honneur dans beaucoup de films par les sociétés secrètes hollywoodiennes), et il y a peut-être matière à y regarder.

Revenons donc aux travaux de Casey Brown (EnterTheStars) qui récemment se penchait sur le film Gremlins 2, sorti en 1990, où les références à Trump sont pléthoriques, et dans un système serré de correspondances avec le 11 septembre, le Covid 19 etc.

On ne développera pas toutes les spéculations de Brown sur ce film. Seulement quelques unes en suivant chronologiquement ce qu'il démontre. Ca commence par une jeu bizarre où Daffy Duck prend le pouvoir sur le bouclier de Bugs Bunny. On ne comprend pas trop ce que signifie ce préambule dans le film, sauf à voir dans Daffy Duck le pendant noir de Donald Duck (dans une logique maçonnique du noir et blanc, ce n'est pas absurde), or beaucoup on comparé Donald Trump à Donald Duck (et les jeux de mots sur Don, Donnie dans les films font souvent système avec des références possibles à Trump). Le vilain canard narcissique qui prend le pouvoir contre le gentil lapin, ça pourrait être Trump... Puis la première image est un zoom sur les Twin Towers à Manhattan. On pourrait croire que cela est gratuit. Sauf que le héros du film est Daniel Clamp (ce qui sonne comme Donald Trump) qui est un magnat de l’hôtellerie comme Trump dont l'empire dans le film lui-même est comparé à une pieuvre. Pour que personne n'ait de doute sur l'identification entre Trump et Clamp, on notera que que lorsque la guide de l'immeuble de Clamp (Brown le montre à la minute 16'17 de sa vidéo le livre de Clamp intitulé "I took Manhattan" la couverture est à maints égards semblable à celle de "Art of the Deal" de Trump).

Ce qui conduit à penser que le zoom initial sur les Twin Towers (qui reviennent souvent dans le film) n'a rien de gratuit, et qu'il s'agit bien de lier Trump au 9/11 est cette scène où les journalistes interviewent Clamp, et les micros devant lui forment un 9/11 (rappelons que le film est de 1990), avec d'ailleurs cette manière très particulière de styliser le 11 comme deux tours ce que firent aussi les Simpsons dans de la programmation prédictive de 1997 (voir ici).

Or, ce qui est très intéressant c'est non seulement que le film lie Trump au 11 septembre 2001, mais aussi qu'il est imprégné d'un bout à l'autre d'allusions au vampirisme (avec un Dracula qui passe souvent) et à la recherche scientifique sur les virus et sur l'ADN. Car un laboratoire travaille pour Clamp. Et d'ailleurs vampirisme et recherche médicale se recoupent dans le fait que l'acteur qui joue le Dr Cushing Catheter  dans Gremlins 2 a aussi joué Dracula par le passé, il s'agit de Christopher Lee. Or Christopher Lee, n'est pas un "acteur amusant" parmi tant d'autres. C'est quelqu'un qui est engagé dans l'occultisme, et qui avait expliqué dans une interview en 1975 que de véritables rituels incantatoires peuvent être filmés sur scène et infligés aux spectateurs - voyez mon billet sur le vampirisme ici. Là où s'affiche la comédie peut donc se jouer quelque chose de beaucoup plus sérieux, et beaucoup plus dangereux. Le danger et la tromperie de la magie réside là-dedans.

L'intrigue basique tient au fait que le milliardaire Clamp veut acheter des Gremlins à un Chinois. Or les Gremlins sont des virus qui se multiplient lorsqu'ils sont mouillés.

Cela renvoie au jeu trouble qui a existé autour d'un autre 11 septembre, le 11 septembre 2019, dans la période précédant les jeux militaires de Wuhan sur lesquels enquête George Webb. Trump achetant le virus aux Chinois pour asseoir son pouvoir, est une hypothèse étonnante. C'est en tout cas ce qu'un certain décodage du film laisse entendre.

Brown montre que le film nous donne à voir apparemment sans raison un Rambo lançant une flèche, qui peut correspondre au fameux paradigme d'Apollon cher à Celeste Solum et Tim Alberino qui était aussi annoncé dans l'Apocalypse de Jean... La flèche du vaccin qui est aussi celle qui donne la maladie (Apollon étant le dieu de la peste de sa guérison tout à la fois). L'allusion à la flèche se retrouvera plus loin avec un Robin des Bois qui brise sa flèche (encore une image qui n'a aucun sens dans le film mais en prend un dans la logique occultiste de la trame cachée du film). Juste après cette image, le Chinois se met à tousser. Puis on voit deux écrans jumeaux qui renvoient au fait que Trump est du signe des Gémeaux (ce qui a souvent été aussi souligné par les occultistes, avec le côté Janus de ce milliardaire). La gémellité revient souvent dans le film, avec notamment à un moment un laborantin qui est double.

Sur la dualité et la gémellité, il y a une image intéressante que Brown montre en minute 7'07 de son second décryptage du film. On voit un tableau représentant un projet immobilier, où les Twin Towers, les tours jumelles, avoisinent deux autres bâtiments jumeaux, des bâtiments chinois, avec au milieu un dragon qui envahit les arbres. Brown ayant observé dans ses précédents décodages que souvent à Hollywood les arbres peuvent être identifiés aux êtres humains, et que le serpent dans la poitrine, ou toute autre forme de reptile, est à la fois symbole de maladie (un des jumeaux un peu plus tard ppellera les Gremlins des reptiles et l'autre dira "non ce sont des virus") et de possession, on pourrait y voir l'exposition d'un projet de possession générale de l'humanité, articulé autour de la gémellité.

Le film regorge d'allusions plus ou moins voilées à des sujets qui en 1990 n'intéressaient personne et étaient inconnus : la manipulation de la double hélice d'ADN, au contrôle climatique et aux "smart cities" (la guide y fait référence dans la tour de Clamp) au "mind control" avec la vache qui a un casque de fer sur la tête, à la grippe du singe (voir au paradigme plus général du singe autour de 12 Monkeys), au traçage des gens avec le code-barre (pas encore le R code), l'omniprésence des caméras, le culte solaire (avec "Sunworshiper film" et l'affiche SOL- Spice o'life), aux ruches hexagonales où dorment les Gremlins/démons (je ne vous refais pas le cours sur les hexagones du graphène, du World Economic Forum, et de la ruche de Beyonce "queen of the bees"). Et puis il y a carrément de l'occultisme pur et dur avec la femme aux cheveux rouges, et une chèvre représentant le Baphomet.

Brown y voit des confirmations sur ses analyses antérieures à propos du chiffre 58 lié à Trump (les 58 étages de Trump Tower) qui revient dans le film sous forme inversée, les parapluies analogues aux seringues, ou encore sur le lien entre Trump et le papier toilette (souligné en 2016 par The Economist qui renvoie en fait aux origines écossaises de Trump), le lien entre pandémie et imagerie des chauves-souris etc. Toutes ces choses dont, encore une fois, la présence dans le film peut sembler absurde si on ne la relie pas à une trame secrète.

Pour finir sans trop nous appesantir soulignons que Trump lui-même a parfois parlé des Gremlins en bien, et dans les mêmes termes dont en parlait l'auteur du film dans les années 1990, ce qui est un peu étrange quand on songe que ces bestioles ont un aspect clairement démoniaque, notamment dans leur faculté à se démultiplier.

Surtout il existe une étrange petite vidéo que Casey Brown/EnterTheStars a déterrée dans laquelle le rappeur Kodak Black, d'origine haïtienne, récemment converti à la religion israélite, fait aussi un lien entre Trump et les Gremlins. C'est en apparence une vidéo purement humoristique mais de cet humour complètement stupide, n'ayant ni queue ni tête, comme il y en a souvent dans les émissions américaines à forte inspiration maçonnique comme par exemple SNL, et ou l'émission d'Helen DeGeneres. Dans cette vidéo de février 2022, intitulée "Sundae Conversation with Caleb Pressley", le rappeur précise en minute 1'07 qu'il a été gracié par Trump en 2021, malgré son port illégal d'armes, parce qu'il lui a rendu un service, et il appelle Trump son "Jumeau Gémeau" et ajoute que Trump est un "super Gremlin" et qu'il est un "vautour au corps entier qui peut se lever et marcher" (full body vulture who can stand up and walk"). Super Gremlin est un chanson que le rappeur a sortie en 2021 (le soir d'Halloween). Plus loin dans l'interview il parle de tunnels et de souterrains à propos de Trump. Des mots qui sont soit absurdes soit codés, comme les images de Gremlins 2... 

Lire la suite

Les biolaboratoires mobiles français en Chine selon George Webb

18 Septembre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Le monde autour de nous, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Les Stazinis, #Donald Trump

L'enquêteur George Webb n'en démord pas : les papiers concernant le président Macron saisis dans la résidence de Donald Trump ne concernent pas sa femme Brigitte qui serait un homme, comme l'ont soutenu successivement une journaliste free-lance du Sud-Ouest, la TV russe et même la TV albanaise.

Non. La vraie piste d'investigation serait du côté du coronavirus. Cette fois-ci le chercheur ne s'intéresse plus à l'attaque informatique sur la laboratoire P4 de Wuhan, mais aux laboratoires mobiles "de fin du monde" français (les "Doomsday Labs").

De quoi s'agit-il ?

Il faut partir de l'histoire mise au jour notamment par Antoine Izambard. En 2003 la Chine, comme une grande partie de l’Asie, est frappée par une pandémie de pneumonie atypique (SRAS), qui est selon l’OMS la première "nouvelle" maladie infectieuse du XXIe siècle à être transmise de l'animal à l'homme. Elle souhaite avoir à Wuhan un laboratoire P4 comme celui qui a été inauguré à Lyon en 1999 et qui peut avoir une fonction aussi bien civile que militaire.

Un détail intéressant : le journaliste Matthew Pottinger conseiller adjoint à la sécurité nationale de la présidence américaine de 2019 à 2021, très impliqué dans l'opération Warp Speed, fut un des premiers à suivre de près en 2003 pour le Wall Street Journal  l'épidémie de SRAS à Hong Kong.

Après une enquête minutieuse du Secrétariat général à la Défense, Jacques Chirac et son Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, donnent leur feu vert au projet, mais sous condition, d'autant qu'on apprend en juin 2004 que les Chinois veulent en construire 5 autres, 3 civils et 2 militaires.

Dans un premier temps Matignon autorise l'exportation de quatre laboratoires mobiles P3 en Chine. Et le sort de ces laboratoires mobiles est devenu très vite incertain.

Antoine Izambard rapporte un témoignage d'un fonctionnaire français sur la période qui suivit : " Nous leur avons demandé [aux Chinois] ce qu’étaient devenus les P3 et ils nous ont répondu que certains, situés dans une région proche de l’Himalaya, avaient gelé durant l’hiver et que d’autres avaient disparu. C’était assez déroutant. "

Dans un article de 2020 pour Challenge Izambard allait cependant relativiser cette affirmation : " Expert technique sur le P4 auprès de l’ambassade de France à Pékin de 2012 à 2017, écrit-il, Gabriel Gras pointe pour sa part certains "fantasmes". "Bien sûr que l’on doit être prudent et vigilant mais il faut aussi déconstruire certains mythes, juge-t-il. Par exemple, les quatre laboratoires P3 mobiles, que j’ai pu contrôler, sont tous en Chine, à Canton, Shanghai et Pékin. Ils n’ont absolument pas été détournés de leur usage initial. Quant au P4, oui les travaux ont pris du temps, cela a été difficile, mais il fait partie des plus beaux et plus sécurisés au monde." "

Les laboratoires mobiles chinois ont-il disparu ou pas ?

George Webb pense qu'ils ont vraiment disparu durant la période critique juin 2019-février 2020, période de "live exercices" des jeux olympiques militaires de Wuhan et qu'ils ont pu en outre participer à une "énorme projet de cartographie de l'exosome humain". L'exosome est un complexe protéique capable de dégrader les différents types de molécules d'ARN. Ces vésicules d'excrétion de la cellule constituent en quelque sorte un moyen de communication privilégié entre les différentes cellules de l'organisme. Chaque exosome représente une forme de colis dans laquelle la cellule est capable d'inclure différentes protéines ou des ARN. Arrivé à destination, l'exosome va fusionner avec la membrane de la cellule cible et son contenu va être pris en charge. Des projets visent à l'utiliser pour soigner le cancer.

BioMerieux qui vend les laboratoires mobiles est spécialiste de l'isolement des exosomes. Se peut-il, demande George Webb, que Pottinger, qui ne serait en fait qu'un émissaire de l'Etat profond (il serait lié à Henry Kissinger par son patron à la NSA Robert O'Brien et par son père le haut fonctionnaire Stan Pottinger), ait "littéralement déplacé des biolabs mobiles comme un cirque pour cartographier l'ensemble de l'exosome en créant de petites pandémies de feu de brousse pour tester différentes parties de l'exosome" des gens ? Il avance d'ailleurs l'hypothèse audacieuse selon laquelle les biolabs mobiles chinois ou des labos assimilés aient pu parcourir l'Afrique en 2014-2016 et provoqué des épidémies d'ébola, de zika.

A vrai dire, quelques unes des hypothèses de Webb laissent assez sceptique. Fondées sur de simples recoupements, elles font penser à certaines pistes que lançait QAnon naguère pour dénoncer des complots de l'Etat profond que Trump serait censé combattre. Ici Webb paraît de plus en plus enclin à charger Pottinger qui serait une sorte de marionnette de Kissinger (peut-être comme Macron), une marionnette d'ailleurs très liée au Big Pharma (son frère a travaillé sur les dispositifs de test Covid) et qui serait directement l'informateur du FBI pour les investigation à Mar-a-Lago... Mais cela revient une fois de plus à disculper un peu facilement Trump de toutes ses indulgences (pour ne pas dire plus) à l'égard de Fauci and co. Les questions qu'il pose à propos des biolabs mobiles, ceux vendus à la Chine, mais aussi indirectement ceux que l'Institut Mérieux peut vendre à d'autres pays, sont intéressantes, mais cela mériterait d'être complété par d'autres investigations de journalistes free-lance ou de lanceurs d'alertes... voire, qui sait, des enquêtes de justice...

Lire la suite
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 > >>