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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #debats chez les "resistants" tag

Les faiblesses de YouTube

7 Mars 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Philosophie et philosophes, #Débats chez les "résistants"

Je suis toujours attristé d'entendre sur YouTube des énormités proférées par des gens qui sont présentés comme des personnes d'autorité dans leur domaine, et ce même dans la sphère de l'information alternative où les gens devraient faire d'autant plus attention qu'ils sont minoritaires. Hier j'écoutais une conférence ici du Pr Marc Henry sur l'eau qui déclarait : "on a découvert que l'espace ça existait, c'est essentiellement M. Descartes au 18e siècle (sic) qui découvre que pour localiser un phénomène il faut dire où il se trouve" ! Ah tiens ? Avant les gens arrivaient donc à vivre sans savoir que pour localiser quelque chose il fallait savoir où ça se trouvait ? Pour ma part je pense plutôt que Descartes (qui vivait au 17e siècle) a détruit conceptuellement l'existence objective de l'espace en le réduisant à une étendue mathématique, ce qui, ensuite, permit à Kant d'en faire une simple catégorie a priori de la sensibilité. Inutile de dire que je n'ai pas écouté la conférence au-delà.

Ensuite j'ai zappé sur l'inénarrable France Soir ici qui, après avoir donné la parole pendant le Covid à toutes sortes de chamanes et d'amateurs de mangas, interviewait une ancienne journaliste-correspondante en Russie (d'on ne sait quel journal) qui ose dire en minute 10'30 : "Il est vrai que les deux Etats (la France et l'Allemagne) garants du respect des accords de Minsk n'ont jamais prononcé au cours de ces huit dernières années les mots accords de Minsk"... Alors que ces mots ont été en réalité le mantra de ces deux pays, et l'étaient encore le mois dernier juste avant l'invasion russe (notamment lors de la visite du président français à Moscou). Une chaîne qui laisse passer ce genre d'absurdité ne mérite vraiment pas notre attention.

Heureusement que le carême est une occasion d'abstinence. C'est la bonne période pour ne plus regarder You Tube.

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Petit retour sur la question des laboratoires bactériologiques en Ukraine

5 Mars 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Peuples d'Europe et UE, #Le monde autour de nous, #Colonialisme-impérialisme, #Débats chez les "résistants"

Comme je le disais ici il y a 8 jours, seuls les historiens pourront déterminer si V. Poutine a eu des raisons objectives de pas limiter son intervention en Ukraine à la simple défense du Donbass.

Les gens qui tombaient sur mon blog en cherchant des informations sur les laboratoires américains d'armes bio-chimiques en Ukraine, m'ont semblé faire fausse route s'ils tentaient d'y voir la cause stratégique de l'invasion vu la source de cette rumeur, l'ex-député Alexey Zhuravko (Alexeï Jouravko).

Et puis voilà qu'un auteur anonyme, Julien G (est-ce si dangereux d'écrire sous son vrai nom en ce moment en matière géostratégique ?), sur le site du Courrier des stratèges, hier, a publié un article tentant de creuser cette hypothèse sous le titre "Pourquoi les États-Unis financent-ils des bio-laboratoires militaires en Ukraine?"

Il y explique que « L’opération militaire russe en Ukraine a "coïncidé" avec le lancement prévu de bio-laboratoires militaires américains à Kiev et à Odessa.» Tout en ajoutant que « L’ambassade des États-Unis en Ukraine a depuis supprimé de son site Internet les documents relatifs aux 11 laboratoires biologiques financés par le Pentagone en Ukraine. » Pas de chance...

Alors que reste-t-il comme élément de preuve si l'ambassade a tout supprimé d'un clic de souris ? Un accord  sur la « lutte contre les agents pathogènes hautement dangereux » en Ukraine figurant sur un site officiel américain. En fait ce contrat est un amendement à un contrat antérieur, signé dans le cadre de la Réduction coopérative des menaces (en anglais Cooperative Threat Reduction  - CTR).

Quand on regarde un peu l'historique on se rend compte que cette affaire de coopération pour la réduction des menaces remonte à au moins 2005 (juste après la Révolution orange) date à laquelle l'Arms Control Association écrivait :

"La coopération américaine avec l'Ukraine dans le cadre du programme Nunn-Lugar Cooperative Threat Reduction (CTR) a été élargie le 29 août avec un accord d'utilisation des fonds américains du CTR pour améliorer la sécurité des agents pathogènes stockés dans les établissements de recherche biologique et de santé de l'ancienne république soviétique.

En vertu de l'accord, les fonds du CTR iront pour la première fois directement à des projets visant à sécuriser les souches pathogènes et les connaissances biologiques sensibles en Ukraine. Les États-Unis s'efforceront également d'améliorer les capacités ukrainiennes à détecter, diagnostiquer et traiter les épidémies de maladies infectieuses, ainsi qu'à déterminer si les épidémies sont naturelles ou le résultat du bioterrorisme.

L'accord a été signé lors de la visite à Kiev d'une délégation américaine de haut niveau conduite par le président de la commission sénatoriale des relations étrangères Richard Lugar (R-Ind.) et le sénateur Barack Obama (D-Ill.).

Parmi les installations en Ukraine destinées à recevoir des mises à niveau de sécurité figurent celles autrefois liées au réseau anti-peste de l'ère soviétique, qui continuent de stocker des bibliothèques d'agents pathogènes naturels à des fins de recherche et de santé publique. Andy Fisher, porte-parole de Lugar, a déclaré à Arms Control Today le 15 septembre que les installations anti-peste "étaient des menaces et ce sont des menaces", étant donné le risque qu'une mauvaise sécurité puisse permettre aux terroristes d'accéder à des agents pathogènes. Fisher a également évoqué la possibilité que des procédures d'exploitation et des équipements obsolètes puissent entraîner la fuite involontaire d'agents pathogènes de ces installations, mettant en danger la santé publique de la région.

La coopération dans le cadre du nouvel accord ne se limitera pas à la sécurité physique vis-à-vis des agents pathogènes. Des fonds seront également disponibles pour l'emploi pacifique de scientifiques dont les compétences et l'insécurité financière pourraient en faire des cibles potentielles pour les États ou les groupes indépendants cherchant à acquérir des capacités d'armes biologiques. En outre, l'accord comprend des dispositions pour la coopération entre les laboratoires épidémiologiques américains et ukrainiens dans le diagnostic des épidémies. À cette fin, les agents pathogènes des établissements de santé et de recherche ukrainiens seront partagés avec des laboratoires partenaires américains. Dans le cadre d'un accord CTR avec l'Azerbaïdjan, les États-Unis ont également reçu le mois dernier un transfert d'agents pathogènes provenant d'installations similaires dans cette ancienne république soviétique."

A première vue tout cela était censé être purement pacifique. Mais revenons à l'article de Julien G. Il explique précisément que dans le cadre de cet accord, en juin 2010, a été ouvert à l’Institut de recherche Mechnikov Anti-Peste à Odessa en présence de l’ambassadeur américain John Tefft, le premier centre biologique d’Ukraine.

Il cite ensuite les propos du secrétaire du Conseil de sécurité russe, Nikolai Patrushev dans l’hebdomadaire Argumenty I Fakty en septembre 2021 repris par l'agence Tass, "Les laboratoires biologiques que Washington met en place à travers le monde mettent en péril la santé de dizaines de millions de personnes, violant ainsi leurs droits".

Puis Julien G nous oriente vers les propos du  directeur américain du programme Cooperative Threat Reduction Program, Robert Pope, le 26 février dernier qui estime que l'offensive russe met en péril la sécurité des installations ukrainiennes (11 laboratoires) aménagées dans le cadre des programmes CTR notamment en cas de coupure d'électricité en ce qui concerne les virus stockés dans les réfrigérateurs. Cela dit Robert Pope se sentait obligé de préciser que des experts extérieurs ont reconnu que ses investissements dans les laboratoires ex-soviétiques n'étaient pas des "opérations camouflées pour créer des armes biologiques" (not a covert bioweapons operation). Qui croire ?

Tout cela était en tout cas d'autant plus inquiétant pour les Russes, nous dit Julien G, que la « Defense Threat Reduction Agency » (DTRA), du Département de la Défense, qui finance les 11 laboratoires entretient la confusions en externalisant son activité auprès d'organismes privés dont les employés jouissent par ailleurs de l'immunité diplomatique.

Propagande contre propagande. On sent bien qu'il sera aussi difficile de savoir ce qu'il se passe dans ces 11 laboratoires qu'il le sera de deviner ce qui s'est passé en 2019 dans le laboratoire P4 de Wuhan supposé être à l'origine de la diffusion du SRAS-Cov-2. Mais c'est quand même un élément de réflexion utile à apporter au débat sur l'invasion russe de l'Ukraine.

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Projet d'adhésion du Kosovo à l'OTAN

4 Mars 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Colonialisme-impérialisme, #Peuples d'Europe et UE, #Débats chez les "résistants"

Il n'y a pas de limites aux revendications des clients de l'Occident. 

Le 3 mars, le ministre kosovar de la Défense, Armend Mehaj, a fait savoir sur Facebook et Twitter qu'il s'est entretenu par visioconférence avec le ministre de la Défense de la Croatie, Mario Banožić et que celui-ci s'est engagé à soutenir la demande de l'entité d'adhésion de l'entité de Pristina à l'Organisation du traité de l'Atlantique nord.

Pourtant le Kosovo n'a pas d'armée et une telle adhésion serait contraire à la résolution de l'ONU 1244, qui régit la situation du Sud de la Serbie depuis 1999.

Le ministre croate a visité en décembre dernier le Kosovo où se trouve une centaine soldats croates dans le cadre des contingents de la KFOR au camp Villlagio Italia, près de Peć dans l'Ouest du Kosovo, dirigé par un sémillant colonel italien (voir ici).

La demande d'adhésion accélérée du Kosovo à l'OTAN a été votée par le parlement de cette entité hier, par 94 voix sur les 120. La dépêche de Reuters qui rapporte l'information précise que l'entité pourrait se doter prochainement d'une armée de 5 000 hommes en violation de la résolution de l'ONU (mais que valent ces résolutions en ce moment quand l'ambassadeur Ukrainien à l'assemblée générale demande que la Russie perde son statut de membre permanent du conseil de sécurité ?).

La session s'est accompagnée d'une vaste démonstration de soutien à l'Ukraine comme le montre la photo à gauche de la députée kosovare Doarsa Kica (ex avocate et boursière de l'université jésuite de Chicago, c'est toujours intéressant pour la sociologie politique...) .

Des affiches "We stand with Ukraine" avaient été placés en début de session sur les bureaux des 120 députés (ce qui révèle en soi le caractère assez totalitaire et unanimiste du parlement kosovar). Les 10 députés de la Liste serbe les ont retournés à l'envers en signe de protestation avant de quitter la salle.

Selon Visegrad 24 le Kosovo pourrait accueillir 5 000  réfugiés ukrainiens. Déjà 20 journalistes ukrainiens ont été installés à Pristina, avec l'aide de l'European Center for press and media freedom (probablement un organe lié à l'Open society de Soros, mais il devient de plus en plus difficile de "tracer" les financements de ces ONG). Pendant que le Kosovo et notamment Doarsa Kica soutiennent les journalistes ukrainiens, cette vaillante députée travaille à interdire le pluralisme de nos médias (et de journalistes free lance comme Anne-Laure Bonnel dans le Donbass). 

Hier après midi elle expliquait fièrement sur son profil Facebook : "Avec l'eurodéputée (écologiste allemande) Viola Von Cramon, nous avons parlé de bloquer les portails qui diffusent de fausses informations, de la propagande et généralement de bloquer les chaînes, les pages et les nouvelles venant de la Fédération de Russie et les agendas pro-russes". Von Cramon supervisait les élections du soi-disant Kosovo de 2019 pour le compte de l'UE et était présente à la délibération du parlement de l'entité de Pristina.

 

Vote AG ONU sur l'invasion de l'Ukraine 2 mars (les pays les plus peuplés et 17 Etats africains s'abstiennent)

Vote AG ONU sur l'invasion de l'Ukraine 2 mars (les pays les plus peuplés et 17 Etats africains s'abstiennent)

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Mon livre sur l'ingérence de l'OTAN au salon du livre de Novi Sad (Serbie)

2 Mars 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Actualité de mes publications, #Peuples d'Europe et UE, #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #Débats chez les "résistants"

Mon livre sur l'ingérence de l'OTAN en Serbie sera en vente à la Foire internationale du livre de Novi Sad en Serbie à partir de ce mercredi. 5 000 visiteurs sont attendus sur une semaine.  Mon éditeur y tient un stand. Novi Sad, fière cité de la Voïvodine, a été nommée par la commission européenne capitale européenne de la culture pour l'année 2022.

N'oublions pas que, semblable à l'actuelle russophobie, il y a 23 ans il y avait en France et en Europe une serbophobie extrême dont les promoteurs étaient les mêmes. L'OTAN à l'époque bombardait sauvagement les ponts de Novi Sad sur le Danube avec des bombes à l'uranium appauvri à la grande satisfaction de Monsieur Tout-le-monde autour de moi.

PS : Bon, un peu dommage que le salon s'appelle "Migration des âmes" dans un sens chamanique et accueille un groupe musical sataniste comme Enigma... Mais les œuvres des Ténèbres se glissent partout hélas... Serait-il plus rigoureux de ma part de demander à mon éditeur de brûler tout mes livres et de ne plus chercher à faire entendre mes témoignages nulle part ?

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L'heure est à la russophobie

1 Mars 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Peuples d'Europe et UE, #Débats chez les "résistants", #Le monde autour de nous

Au Conseil de sécurité de l'ONU, les pays les plus peuplés du monde (Chine, Inde) se sont abstenus de condamner l'invasion de l'Ukraine, de même que les Emirats arabes unis. Mais le sommet de la pyramide mondialiste, lui, veut attiser le conflit. Kira Rudik députée ukrainienne le déclare sur Fow News (minute 1'51 de la vidéo) : "We don't only fight for Ukraine, we fight for this New World Order". C'est donc bien ce fameux "nouvel ordre mondial" qui est en jeu. Le World Economic Forum (le forum de Davos) a d'ailleurs manifesté son soutien à Kiev.

Un peu tous les sorciers de haut vol (je ne parle pas des petits bricoleurs locaux, mais de ceux qui étaient aussi dans l'opération Covid 19 au niveau mondial) sont d'ailleurs maintenant sous la bannière ukrainienne, à commencer par Marina Abramovic (souvenez vous) dans une vidéo récente, Lady GagaMadonna...

L'ostracisme anti-russe croissant rappelle la folie anti-allemande avant 1914, dénoncée par Benda dans la Trahison des clercs quand il soulignait que les intellectuels organiques français en venaient à dénier tout intérêt à la philosophie ou à la musique allemande par pur conformisme chauvin. Même processus aujourd'hui à l'égard de la Russie la Philharmonie de Paris annule des concerts d'un chef d'orchestre accusé d'être "pro-Poutine"

Et les mondialistes ne reculent devant aucune mauvaise foi. "J'ai soutenu que lorsque vous envahissez une nation souveraine, c'est un crime de guerre", disait le journaliste Harris Faulkner sur Fox News le 27 février devant l'ex-secrétaire d'Etat de Bush Condoleezza Rice, qui hochait la tête en signe d'accord apparent. "Je veux dire, je pense que nous sommes juste à un point réel, basique, basique là-bas." "- Eh bien, c'est certainement contraire à tous les principes du droit international et de l'ordre international", a répondu celle-ci. Pour mémoire Rice fut une des architectes de la conquête de l'Irak en 2003. Ces gens prennent vraiment leur public pour des gogos. Ce sont les mêmes d'ailleurs qui ont soutenu le bombardement la Serbie pendant deux mois pour obtenir la sécession du Kosovo, les champions de l'ingérence tous azimuts dans toutes les zones géopolitiques clés.

On retiendra aussi la déclaration du premier ministre ukrainien Denys Shmyhal demandant aux Occidentaux le 25 février d'interdire le ciel ukrainien aux russe, au risque d'entraîner une confrontation directe. Les pressions pour une guerre ouverte avec la puissance nucléaire russe sont nombreuses sur les plateaux de télévision de la part de ceux qui ont déjà leur place dans des bunkers sécurisés. Un sondage de Gallup de 2015 montrait qu'une minorité de gens en Europe occidentale sont prêts à prendre les armes pour leur pays. Les peuples sont toujours plus sages... surtout quand le risque est l'anéantissement de toute la planète...

Je suis personnellement assez impressionné de voir la présidente de la commission européenne - un personnage que personne n'a élu, et qui est corrompu jusqu'à l'os comme l'a montré l'affaire des commandes de vaccins anti-Covid et de ses textos avec le PDG de Pfizer - annoncer un gel des avoirs de la banque centrale russe au risque de compromettre l'accès des citoyens de ce pays à leur épargne et à la production de monnaie. « Immobiliser la banque centrale d’un pays majeur est complètement fou, et sans précédent », a écrit sur Twitter, Steven Hamilton, professeur à l’université américaine George-Washington et ancien du Trésor australien. Se livrer à ce genre d'expérimentation sur une puissance nucléaire est effectivement aussi fou que de forcer des dizaines de millions de gens à accepter un vaccin non homologué face à une maladie qui cause 0,05 % de mortalité. Nos dirigeants n'ont plus de limites dans le délire destructeur.

Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères le 28 février a eu une remarque intéressante sur Telegram : "La fourniture d'armes aux héritiers idéologiques du complice nazi Stepan Bandera nous amène, que cela nous plaise ou non, à poser une question rhétorique - dans quelle mesure le processus de dénazification en Allemagne elle-même a-t-il été complet après la défaite de la Seconde Guerre mondiale ? ". La même question s'était posée dans les années 1990 du temps où l'Allemagne soutenait des nostalgiques de la SS en Croatie (chez les nationalistes catholiques) et en Bosnie (y compris dans les rangs des Musulmans), et quand on sait ce que fut l'ambiguïté de l'Union européenne sous le magistère allemand dans les années 2000 à l'égard des révisionnistes baltes, on peut penser que le débat que suggère Zakharova à ce sujet n'est pas complètement absurde. Mais ce débat n'aura pas lieu sur les plateaux de télévision, et les sources d'information alternative, comme pendant la guerre du Kosovo et celles qui ont suivi, comme pendant la dictature covidiste (qui d'ailleurs n'est pas terminée, on aura l'occasion d'y revenir) sont marginalisées voire censurées (voyez ce qu'il arrive à RT et Sputnik).

La pente de l'humanité vers l'instinct guerrier, la bêtise et la tyrannie est vraiment admirable. L'humain est très doué pour livrer le pire de lui-même.

 

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