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Elon Musk, l'Etat profond et l'affaire Epstein
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On sait qu'Elon Musk, le patron de Tesla, pseudo-héros de l'Amérique conservatrice, a décidé en 2022 de mettre son dispositif de satellites Starlink à disposition du régime de Kiev après l'attaque russe. Sans cela, l'Ukraine n'aurait plus eu d'accès à Internet et le conflit serait terminé depuis longtemps (c'est-à-dire que les 500 000 soldats ukrainiens ne seraient pas mots pour rien et l'Occident aurait économisé les dizaines de milliards d'euros engloutis dans cette cause perdue). C'est parce qu'il a rendu ce service à l'Etat profond américain (qui voulait cette guerre, précieusement secondé dans sa préparation par François Hollande et Angela Merkel), qu'il a pu ensuite proposer (pour la forme ?) un plan de paix hâtivement rejeté par Zelensky. Ce qu'on ignore plus souvent, c'est que ce faiseur de guerre et de paix a aussi empêché Kiev (sans doute aussi avec la bénédiction de Washington) d'attaquer la flotte russe à Sebastopol. C'est Walter Isaacson qui le révèle dans un livre à paraître dans plusieurs langues, en français le 11 septembre prochain chez Fayard (date très symbolique dans les milieux occultistes, il semble que l'éditeur ait changé cette daté récemment, mais elle était bien celle initialement retenue cf capture d'écran) :
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Isaacson y explique que Musk a ordonné à ses ingénieurs de fermer le réseau Starlink quand Kiev a vous attaquer Sébastopol. Musk sur X ex-Twitter qu'il possède a précisé "qu'il n'avait pas ordonné que les satellites Starlink soient éteints , mais qu'ils n'étaient même pas allumés.", une pirouette qui ne piègera que le gogo. "Si j'avais accepté leur demande, Space X aurait alors été complice d'un acte de guerre majeur et d'une escalade du conflit" a expliqué le milliardaire.
Musk veut se donner l'image d'un libre-penseur, par exemple quand il déclare le 15 mai dernie que le milliardaire pro-démocrate Soros lui fait penser à Magneto, l'adversaire de l'humanité dans la BD X-Men,
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Whitney Webb, 33 ans, qui a travaillé sur l'affaire Epstein dans toutes ses dimensions pédophiles mais aussi sur les partenariats public-privé et la corruption générale de l'Etat (par exemple le détournement de l'aide à l'Ukraine vers le Parti démocrate via la société de crypto-monnaie FTX) rappelait il y a trois mois sur Valuetainment de Patrick Bet-David que Musk doit une bonne partie de sa fortune aux contrats d'Etat avec le Pentagone sous le mandat de Trump, et qu'avant même cela il avait été introduit dans les cercles d'Epstein et Maxwell (liés au Mossad, au MI6 et à la CIA). Kimbal Musk, frère cadet d'Elon, membre du conseil d'administration de Tesla et de SpaceX a été présenté à une membre de l'entourage d'Esptein qui vivait au 301 Est de la 66ème rue à Manhattan où habitaient des mannequins de son réseau, ce qui a pu faciliter le développement de Space X.
James Stewart du New-York Times a révélé en août 2019 qu'Epstein avait prétendu avoir aidé Musk à trouver un autre président pour Tesla, au moment où il était proche du leader saoudien Ben Salmane (lui-même dans la mouvance de Jared Kushner; le gendre de Trump). Le patron de la CIA en 2019 qui était proche de Muhammad Ben Nayef évincé en 2017 a d'ailleurs pu jouer un rôle dans l'arrestation d'Epstein pour mettre en difficulté l'axe Kushner-Ben Salmane.
Whitney Webb fait référence à la galaxie d'affaires Jonathan Barrett, Luminous, LS Power, Bear Stearns, Marc Rich. Parallèlement au réseau sexuel, Epstein utilisait pour ses "influence ops" des jeunes femmes diplomées dont il encadrait les études et qu'il aidait à se marier avec des gens puissants. La petite amie de Trump avant Mélania, la norvégienne Celina Midelfart, petite fille du fondateur de l'entreprise de cosmétiques Midelfart, diplômée de l'école de commerce de l’université de new York en 1998 aurait été présentée à Trump par Epstein. Melanie Walker liée à la connection Bill Gates-Epstein fut une de ces diplômées utilisées pour la politique d'influence d'Epstein. La fondatrice de holding Nicole Junkermann, ancienne modèle maintenant mariée à un milliardaire septuagénaire italien du pétrole, aussi est une de ces femmes, semble-t-il. En septembre 2002, juste avant la guerre d'Irak, dans une maison qui appartient à Wexner, elle était au bras d'Epstein avec une femme brune inconnue et a été "prêtée" à deux sénateurs américains. Vous avez le pédigrée de Nicole Junkermann ici où elle est présentée comme la "parfaite James Bond Girl" Elle est l'une des directrices de Carbyne. solution pour appels d'urgence intégré, fondée par des vétérans israéliens de l'unité 8200 (renseignement électromagnétique), qui collabore avec les centres d'urgence américains 911 . Le président du conseil d'administration est Ehud Barak, ancien Premier ministre d'Israël, ancien chef du renseignement militaire d'Israël et proche d'Epstein. A la tête de NJF Holdings, elle a investi dans Space X (et une de ses entités va fournir de la nourriture hors sol à Space X). Ces gens sont engagés dans la lutte pour la propriété des datas sur les gens qui est le pétrole du XXI siècle pour tout contrôler (voir aussi le projet ID-2020 partenariat public-privé sous les auspices de l'ONU et la Fondation Rockefeller et Gavi avec toute la logique de l'analyse prédictive pour ficher les gens en vertu de leur "criminalité potentielle dans l'avenir, Junkermann est aussi infiltrée dans le système de santé britannique, voyez aussi la livraison des data de l'Health Data Hub français et la trahison de Von Der Leyen en 2022).
Dans cette logique de la course aux datas, le chinois Tencent qui possède WeChat est le premier investisseur de Tesla, ce qui rend également suspecte la volonté officielle de Musk de contrer la Chine, tout autant que sa prétention à n'avoir aucun rapport avec la mouvance Soros-Epstein-Gates.
Le syndrome paraguayen de l'Ukraine, les services spéciaux kosovars en Serbie, le divorce national étatsunien
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A propos de Zelensky, un certain Victor Pakhomov en Russie écrit : "Les événements tragiques en Ukraine rappellent de plus en plus la soi-disant guerre du Paraguay - le massacre le plus sanglant de l'histoire de l'Amérique latine, qui a duré six ans (1864-1870). le dictateur paraguayen Francisco Solano Lopez, en raison de différends territoriaux mineurs qui auraient pu être résolus pacifiquement, a entraîné son petit pays dans un conflit avec l'Argentine, le Brésil et l'Uruguay. La guerre, caractérisée par une cruauté sans pareille, s'est naturellement soldée par la défaite du Paraguay, qui a subi des pertes humaines vraiment énormes. La population du pays a été réduite de deux ou trois fois, au moins 300 000 soldats sont morts au combat, soit 90 % de la population masculine ! Dans les dernières batailles désespérées, même des enfants de 9 ans ont combattu dans l'armée de Lopez ! La guerre n'a finalement pris fin que lorsque le dictateur agressif est mort."
J'ai trouvé l'analogie intéressante, après la très suspecte destruction du barrage sur le Dniepr et les records de pertes de l'armée ukrainienne, quoiqu'elle ait ses limites, comme toute analogie. A part ça la presse russe fait l'inventaire de tout l'anti-américanisme (qui profite à la Russie, à l'Iran, à la Chine), comme la presse française fait l'inventaire de la francophobie en Afrique... quelle époque ! Les Russes, eux, se plaignent de la russophobie en Turquie... La nouvelle guerre froide démultiplie les inimitiés.
Il se passe de drôles de choses en Serbie. Des forces spéciales kosovares y ont été arrêtées. B92 le prouve. Quel était leur objectif ? Est-ce que cela fait partie du plan de l'OTAN pour ouvrir un second front comme en Géorgie ?
J'écoute d'une oreille distraite les débats étatsuniens. Certains suggèrent que les sondages en ce moment "boostent" Trump, pour ensuite annoncer en 2024 qu'il perd face à Joe Biden, ce qui désespèrera les Républicains (car Biden discrédité ne peut gagner que par la fraude) et les acculera à faire sécession - le divorce national, un thème thème très à la mode). Emprisonnés dans les "red States" (Texas, Floride etc), ils seront ensuite à la merci des boycotts des mondialistes... Etrange hypothèse, mais on ne sait jamais après tout...
En tout cas, en France, Macron a sauvé son poste après la réforme inique des retraites. De toute façon il est à peu près sûr qu'aucune opposition de gauche ou de droite ne pourrait faire mieux. Ils ne peuvent que s'aligner sur l'Empire, comme jadis Tsipras en Grèce et aujourd'hui Meloni (ultrachoyée par le G7) en Italie.
A part cela, je continue d'écrire mon livre sur Cuba. Je suis frappé par le travail de nettoyage d'Internet effectué par les grands groupes. Cherchez par exemple "Bacardi, le rhum qui pue", titre d'un documentaire d'Arte d'octobre 2003 : il n'est plus cité qu'ici... Beau travail les algorithmes ! Il n'y aura peut-être bientôt plus aucune trace nulle part des vérités révélées au grand public par l'information alternative depuis vingt ans...
Elon Musk contre Bill Gates ?
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Réelle opposition ou façon artificielle de monter un pseudo-rivalité comme autrefois entre Steve Jobs et Bill Gates ? Voici en tout cas qu'on nous présente un affrontement entre le fondateur de Tesla Elon Musk et celui de Microsoft Bill Gates.
On a déjà évoqué l'idéologie du contrôle des naissances de Bill Gates, et son projet de traçage par la luciférase sous un brevet qui compte 666 dans ses chiffres. Elon Musk, lui, se vante d'avoir eu dix enfants, et affirme que le surnombre de l'humanité peut être absorbé par la conquête de Mars à 54,6 millions de km de la Terre à bord du "Starship".
Bill Gates n'ayant pas adhéré au projet de Tesla (voitures électriques) sur le changement climatique, Musk en avril dernier a refusé une offre d'action philanthropique commune avec sa fondation. Gates n'a pas caché non plus qu'il ne croit pas en l'option de la conquête de Mars. Le chinois Jack Ma fondateur d'Alibaba, en août 2019 lors de la conférence mondiale sur l'IA où il avait rencontré Musk a souligné qu'il croyait plus lui aussi aux actions sur la Terre. Bill Gates croit à l'hydrogène comme source d'énergie, Elon Musk au solaire.
Les prises de position de Musk sont appréciées par la droite américaine et européenne, et par les défenseurs des libertés individuelles, malgré le contenu clairement transhumaniste de beaucoup d'entre elles. Beaucoup ont cultivé de faux espoirs quand Musk a annoncé vouloir racheter Twitter et assouplir sa censure. Mais l'heure est plutôt au refroidissement autour de Musk en ce moment, et Trump cet été a rappelé dans un meeting que Musk lui mangeait jadis quasiment dans la main quand Tesla et SpaceX avait besoin des milliards de dollars du budget fédéral américain.
Les adversaires de la guerre en Ukraine ont aussi eu un élan de sympathie récemment en voyant Musk proposer la paix dans ce pays, et se faire blacklister par le régime de Kiev.
Depuis le printemps dernier 20 000 unités satellites Starlink fabriqués par SpaceX d'Elon Musk ont été mises à disposition de l'Ukraine, permettant à son armée de rester connectée même si les réseaux de téléphonie cellulaire et Internet ont été détruits par les Russes. Mais l'opération a coûté 80 millions de dollars à SpaceX et dépassera les 100 millions de dollars d'ici la fin de l'année, ce qui est trop pour SpaceX a fait savoir la firme. En juillet le général Valerii Zaluzhniy, a demandé 8 000 terminaux Starlink supplémentaires. SpaceX demande au Pentagone de payer l'addition.
Musk a déclaré que, ce faisant, il ne faisait que suivre à la lettre la recommandation de l'ambassadeur d'Ukraine en Allemagne, Andrij Melnyk, qui a répondu plus tôt ce mois-ci au plan de paix revendiqué par Musk pour la guerre de la Russie en Ukraine en disant sur Tweeter: "F *** off est ma réponse très diplomatique à vous @elonmusk." (preuve du niveau de vocabulaire des diplomates du régime de Kiev). Le fonctionnement de Starlink est marqué par diverses pannes sur le terrain au coeur de la contre-offensive ukrainienne.
Les pays de l'Union européenne, toujours stupides, envisagent de mettre la main au porte-feuille.
Musk, le fléau des Papous, va-t-il rentrer dans le rang dans l'affaire ukrainienne comme il l'a fait sur le projet d'achat de Twitter ? Ce n'est pas impossible. Comme le rappelait George Webb récemment, Musk est un ancien de la Mafia de Paypal au passé peu reluisant qui a aussi engendré le patron de YouTube.
Shalom Girl qui dit être rescapée des Illuminati et avoir été employée de maison chez les Musks en Californie. Selon elle, le vrai nom est El Elyon du fondateur de Tesla et a vocation à présenter la marque sans laquelle selon l'Apocalypse on ne pourra ni acheter ni vendre. Mais cette femme n'a pas l'air très crédible et ses affirmations sont assez gratuites et peu circonstanciées.
Quoi qu'il en soit le fait que Musk soit le principal co-contracteur du Département de la défense, comme l'a confié Kash Patel, ancien collaborateur de Trump sur Fox News, est en soi suffisamment significatif sur ses liens avec l'Etat profond. Et les petits éléments ci-dessous aussi. Il n'ira pas contrebalancer Bill Gates.
-- Posté sur Tweeter puis retiré juste après, hier (dans la série "art des fausses alertes")
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--- Posté par un observateur : le parfum de Musk qui évoque l'enfer
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Trump en embuscade : les étranges dispositifs symboliques à son sujet
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Il existe un dispositif étrange autour de Donald Trump dans les productions hollywoodiennes, un dispositif qui a des ramifications de tous les côtés, dans la presse, dans la musique, et que Casey Brown (EnterTheStars) étudie depuis des années. Ce dispositif symbolique associe parfois Trump au 11 septembre (par exemple sur NBC News en 1980 quand on l'interviewe sur son intention d'acheter le World Trade Center en insistant sur le fait qu'il a 33 ans - chiffre maçonnique - ou quand une publicité pour un ordinateur Toshiba de 1996 montre un jeune homme qui écoute la radio sur 101.9 MHz/119, puis juste après un répondeur téléphonique qui dit "C'est Donald Trump"). Il l'associe aussi au voyage dans le temps, à Tesla, à Abraham Lincoln - rappelez vous des éléments de programmation prédicative déjà mentionnés à son sujet dans Back to the Future II, ou dans Donnie Darko. Quand on sait que la haute politique se joue de pair avec la sorcellerie comme nous le rappelait Jacques Attali qui accordait une belle place à ce concept dans son Dictionnaire du XXIe siècle, on ne peut pas exclure que toutes ces correspondances ne soient pas totalement gratuites.
Quel intérêt, direz-vous, puisque Trump n'est plus président ? Il se trouve qu'il reste en embuscade et pourrait être prochainement réélu. Et beaucoup de ses fans vont jusqu'à le considérer comme l'équivalent de Jésus-Christ (voyez par exemple le livre bizarre du Sud-Africain Helgard Müller paru en janvier 2022 "President Donald J. Trump, The son of Man - The Christ" qui circule dans les meetings du Parti républicain américain), tandis que certains de ses adversaires, voient parfois en lui l'Antéchrist. Simples querelles de fanatiques ? Possible. Après tout ils sont nombreux à avoir théorisé le fait qu'Obama, le pape, et tant d'autres avant eux étaient l'Antéchrist (ce qui bibliquement n'est jamais faux puisque les Antéchrists sont nécessairement nombreux avant l'ultime). Mais il y a quand même anguille sous roche si l'on en juge par toutes les représentations qui l'évoquent dans la matrice culturelle dominante, et, s'agissant d'un personnage qui avait annoncé vouloir faire reconstruire le Temple de Jérusalem (condition d'avènement du dernier Antéchrist) et dont le gendre avait acheté à prix d'or le bâtiment sulfureux situé au 666 de la 5e Avenue à New York (et mis à l'honneur dans beaucoup de films par les sociétés secrètes hollywoodiennes), et il y a peut-être matière à y regarder.
Revenons donc aux travaux de Casey Brown (EnterTheStars) qui récemment se penchait sur le film Gremlins 2, sorti en 1990, où les références à Trump sont pléthoriques, et dans un système serré de correspondances avec le 11 septembre, le Covid 19 etc.
On ne développera pas toutes les spéculations de Brown sur ce film. Seulement quelques unes en suivant chronologiquement ce qu'il démontre. Ca commence par une jeu bizarre où Daffy Duck prend le pouvoir sur le bouclier de Bugs Bunny. On ne comprend pas trop ce que signifie ce préambule dans le film, sauf à voir dans Daffy Duck le pendant noir de Donald Duck (dans une logique maçonnique du noir et blanc, ce n'est pas absurde), or beaucoup on comparé Donald Trump à Donald Duck (et les jeux de mots sur Don, Donnie dans les films font souvent système avec des références possibles à Trump). Le vilain canard narcissique qui prend le pouvoir contre le gentil lapin, ça pourrait être Trump... Puis la première image est un zoom sur les Twin Towers à Manhattan. On pourrait croire que cela est gratuit. Sauf que le héros du film est Daniel Clamp (ce qui sonne comme Donald Trump) qui est un magnat de l’hôtellerie comme Trump dont l'empire dans le film lui-même est comparé à une pieuvre. Pour que personne n'ait de doute sur l'identification entre Trump et Clamp, on notera que que lorsque la guide de l'immeuble de Clamp (Brown le montre à la minute 16'17 de sa vidéo le livre de Clamp intitulé "I took Manhattan" la couverture est à maints égards semblable à celle de "Art of the Deal" de Trump).
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Ce qui conduit à penser que le zoom initial sur les Twin Towers (qui reviennent souvent dans le film) n'a rien de gratuit, et qu'il s'agit bien de lier Trump au 9/11 est cette scène où les journalistes interviewent Clamp, et les micros devant lui forment un 9/11 (rappelons que le film est de 1990), avec d'ailleurs cette manière très particulière de styliser le 11 comme deux tours ce que firent aussi les Simpsons dans de la programmation prédictive de 1997 (voir ici).
Or, ce qui est très intéressant c'est non seulement que le film lie Trump au 11 septembre 2001, mais aussi qu'il est imprégné d'un bout à l'autre d'allusions au vampirisme (avec un Dracula qui passe souvent) et à la recherche scientifique sur les virus et sur l'ADN. Car un laboratoire travaille pour Clamp. Et d'ailleurs vampirisme et recherche médicale se recoupent dans le fait que l'acteur qui joue le Dr Cushing Catheter dans Gremlins 2 a aussi joué Dracula par le passé, il s'agit de Christopher Lee. Or Christopher Lee, n'est pas un "acteur amusant" parmi tant d'autres. C'est quelqu'un qui est engagé dans l'occultisme, et qui avait expliqué dans une interview en 1975 que de véritables rituels incantatoires peuvent être filmés sur scène et infligés aux spectateurs - voyez mon billet sur le vampirisme ici. Là où s'affiche la comédie peut donc se jouer quelque chose de beaucoup plus sérieux, et beaucoup plus dangereux. Le danger et la tromperie de la magie réside là-dedans.
L'intrigue basique tient au fait que le milliardaire Clamp veut acheter des Gremlins à un Chinois. Or les Gremlins sont des virus qui se multiplient lorsqu'ils sont mouillés.
Cela renvoie au jeu trouble qui a existé autour d'un autre 11 septembre, le 11 septembre 2019, dans la période précédant les jeux militaires de Wuhan sur lesquels enquête George Webb. Trump achetant le virus aux Chinois pour asseoir son pouvoir, est une hypothèse étonnante. C'est en tout cas ce qu'un certain décodage du film laisse entendre.
Brown montre que le film nous donne à voir apparemment sans raison un Rambo lançant une flèche, qui peut correspondre au fameux paradigme d'Apollon cher à Celeste Solum et Tim Alberino qui était aussi annoncé dans l'Apocalypse de Jean... La flèche du vaccin qui est aussi celle qui donne la maladie (Apollon étant le dieu de la peste de sa guérison tout à la fois). L'allusion à la flèche se retrouvera plus loin avec un Robin des Bois qui brise sa flèche (encore une image qui n'a aucun sens dans le film mais en prend un dans la logique occultiste de la trame cachée du film). Juste après cette image, le Chinois se met à tousser. Puis on voit deux écrans jumeaux qui renvoient au fait que Trump est du signe des Gémeaux (ce qui a souvent été aussi souligné par les occultistes, avec le côté Janus de ce milliardaire). La gémellité revient souvent dans le film, avec notamment à un moment un laborantin qui est double.
Sur la dualité et la gémellité, il y a une image intéressante que Brown montre en minute 7'07 de son second décryptage du film. On voit un tableau représentant un projet immobilier, où les Twin Towers, les tours jumelles, avoisinent deux autres bâtiments jumeaux, des bâtiments chinois, avec au milieu un dragon qui envahit les arbres. Brown ayant observé dans ses précédents décodages que souvent à Hollywood les arbres peuvent être identifiés aux êtres humains, et que le serpent dans la poitrine, ou toute autre forme de reptile, est à la fois symbole de maladie (un des jumeaux un peu plus tard ppellera les Gremlins des reptiles et l'autre dira "non ce sont des virus") et de possession, on pourrait y voir l'exposition d'un projet de possession générale de l'humanité, articulé autour de la gémellité.
Le film regorge d'allusions plus ou moins voilées à des sujets qui en 1990 n'intéressaient personne et étaient inconnus : la manipulation de la double hélice d'ADN, au contrôle climatique et aux "smart cities" (la guide y fait référence dans la tour de Clamp) au "mind control" avec la vache qui a un casque de fer sur la tête, à la grippe du singe (voir au paradigme plus général du singe autour de 12 Monkeys), au traçage des gens avec le code-barre (pas encore le R code), l'omniprésence des caméras, le culte solaire (avec "Sunworshiper film" et l'affiche SOL- Spice o'life), aux ruches hexagonales où dorment les Gremlins/démons (je ne vous refais pas le cours sur les hexagones du graphène, du World Economic Forum, et de la ruche de Beyonce "queen of the bees"). Et puis il y a carrément de l'occultisme pur et dur avec la femme aux cheveux rouges, et une chèvre représentant le Baphomet.
Brown y voit des confirmations sur ses analyses antérieures à propos du chiffre 58 lié à Trump (les 58 étages de Trump Tower) qui revient dans le film sous forme inversée, les parapluies analogues aux seringues, ou encore sur le lien entre Trump et le papier toilette (souligné en 2016 par The Economist qui renvoie en fait aux origines écossaises de Trump), le lien entre pandémie et imagerie des chauves-souris etc. Toutes ces choses dont, encore une fois, la présence dans le film peut sembler absurde si on ne la relie pas à une trame secrète.
Pour finir sans trop nous appesantir soulignons que Trump lui-même a parfois parlé des Gremlins en bien, et dans les mêmes termes dont en parlait l'auteur du film dans les années 1990, ce qui est un peu étrange quand on songe que ces bestioles ont un aspect clairement démoniaque, notamment dans leur faculté à se démultiplier.
Surtout il existe une étrange petite vidéo que Casey Brown/EnterTheStars a déterrée dans laquelle le rappeur Kodak Black, d'origine haïtienne, récemment converti à la religion israélite, fait aussi un lien entre Trump et les Gremlins. C'est en apparence une vidéo purement humoristique mais de cet humour complètement stupide, n'ayant ni queue ni tête, comme il y en a souvent dans les émissions américaines à forte inspiration maçonnique comme par exemple SNL, et ou l'émission d'Helen DeGeneres. Dans cette vidéo de février 2022, intitulée "Sundae Conversation with Caleb Pressley", le rappeur précise en minute 1'07 qu'il a été gracié par Trump en 2021, malgré son port illégal d'armes, parce qu'il lui a rendu un service, et il appelle Trump son "Jumeau Gémeau" et ajoute que Trump est un "super Gremlin" et qu'il est un "vautour au corps entier qui peut se lever et marcher" (full body vulture who can stand up and walk"). Super Gremlin est un chanson que le rappeur a sortie en 2021 (le soir d'Halloween). Plus loin dans l'interview il parle de tunnels et de souterrains à propos de Trump. Des mots qui sont soit absurdes soit codés, comme les images de Gremlins 2...
Les biolaboratoires mobiles français en Chine selon George Webb
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L'enquêteur George Webb n'en démord pas : les papiers concernant le président Macron saisis dans la résidence de Donald Trump ne concernent pas sa femme Brigitte qui serait un homme, comme l'ont soutenu successivement une journaliste free-lance du Sud-Ouest, la TV russe et même la TV albanaise.
Non. La vraie piste d'investigation serait du côté du coronavirus. Cette fois-ci le chercheur ne s'intéresse plus à l'attaque informatique sur la laboratoire P4 de Wuhan, mais aux laboratoires mobiles "de fin du monde" français (les "Doomsday Labs").
De quoi s'agit-il ?
Il faut partir de l'histoire mise au jour notamment par Antoine Izambard. En 2003 la Chine, comme une grande partie de l’Asie, est frappée par une pandémie de pneumonie atypique (SRAS), qui est selon l’OMS la première "nouvelle" maladie infectieuse du XXIe siècle à être transmise de l'animal à l'homme. Elle souhaite avoir à Wuhan un laboratoire P4 comme celui qui a été inauguré à Lyon en 1999 et qui peut avoir une fonction aussi bien civile que militaire.
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Un détail intéressant : le journaliste Matthew Pottinger conseiller adjoint à la sécurité nationale de la présidence américaine de 2019 à 2021, très impliqué dans l'opération Warp Speed, fut un des premiers à suivre de près en 2003 pour le Wall Street Journal l'épidémie de SRAS à Hong Kong.
Après une enquête minutieuse du Secrétariat général à la Défense, Jacques Chirac et son Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, donnent leur feu vert au projet, mais sous condition, d'autant qu'on apprend en juin 2004 que les Chinois veulent en construire 5 autres, 3 civils et 2 militaires.
Dans un premier temps Matignon autorise l'exportation de quatre laboratoires mobiles P3 en Chine. Et le sort de ces laboratoires mobiles est devenu très vite incertain.
Antoine Izambard rapporte un témoignage d'un fonctionnaire français sur la période qui suivit : " Nous leur avons demandé [aux Chinois] ce qu’étaient devenus les P3 et ils nous ont répondu que certains, situés dans une région proche de l’Himalaya, avaient gelé durant l’hiver et que d’autres avaient disparu. C’était assez déroutant. "
Dans un article de 2020 pour Challenge Izambard allait cependant relativiser cette affirmation : " Expert technique sur le P4 auprès de l’ambassade de France à Pékin de 2012 à 2017, écrit-il, Gabriel Gras pointe pour sa part certains "fantasmes". "Bien sûr que l’on doit être prudent et vigilant mais il faut aussi déconstruire certains mythes, juge-t-il. Par exemple, les quatre laboratoires P3 mobiles, que j’ai pu contrôler, sont tous en Chine, à Canton, Shanghai et Pékin. Ils n’ont absolument pas été détournés de leur usage initial. Quant au P4, oui les travaux ont pris du temps, cela a été difficile, mais il fait partie des plus beaux et plus sécurisés au monde." "
Les laboratoires mobiles chinois ont-il disparu ou pas ?
George Webb pense qu'ils ont vraiment disparu durant la période critique juin 2019-février 2020, période de "live exercices" des jeux olympiques militaires de Wuhan et qu'ils ont pu en outre participer à une "énorme projet de cartographie de l'exosome humain". L'exosome est un complexe protéique capable de dégrader les différents types de molécules d'ARN. Ces vésicules d'excrétion de la cellule constituent en quelque sorte un moyen de communication privilégié entre les différentes cellules de l'organisme. Chaque exosome représente une forme de colis dans laquelle la cellule est capable d'inclure différentes protéines ou des ARN. Arrivé à destination, l'exosome va fusionner avec la membrane de la cellule cible et son contenu va être pris en charge. Des projets visent à l'utiliser pour soigner le cancer.
BioMerieux qui vend les laboratoires mobiles est spécialiste de l'isolement des exosomes. Se peut-il, demande George Webb, que Pottinger, qui ne serait en fait qu'un émissaire de l'Etat profond (il serait lié à Henry Kissinger par son patron à la NSA Robert O'Brien et par son père le haut fonctionnaire Stan Pottinger), ait "littéralement déplacé des biolabs mobiles comme un cirque pour cartographier l'ensemble de l'exosome en créant de petites pandémies de feu de brousse pour tester différentes parties de l'exosome" des gens ? Il avance d'ailleurs l'hypothèse audacieuse selon laquelle les biolabs mobiles chinois ou des labos assimilés aient pu parcourir l'Afrique en 2014-2016 et provoqué des épidémies d'ébola, de zika.
A vrai dire, quelques unes des hypothèses de Webb laissent assez sceptique. Fondées sur de simples recoupements, elles font penser à certaines pistes que lançait QAnon naguère pour dénoncer des complots de l'Etat profond que Trump serait censé combattre. Ici Webb paraît de plus en plus enclin à charger Pottinger qui serait une sorte de marionnette de Kissinger (peut-être comme Macron), une marionnette d'ailleurs très liée au Big Pharma (son frère a travaillé sur les dispositifs de test Covid) et qui serait directement l'informateur du FBI pour les investigation à Mar-a-Lago... Mais cela revient une fois de plus à disculper un peu facilement Trump de toutes ses indulgences (pour ne pas dire plus) à l'égard de Fauci and co. Les questions qu'il pose à propos des biolabs mobiles, ceux vendus à la Chine, mais aussi indirectement ceux que l'Institut Mérieux peut vendre à d'autres pays, sont intéressantes, mais cela mériterait d'être complété par d'autres investigations de journalistes free-lance ou de lanceurs d'alertes... voire, qui sait, des enquêtes de justice...