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Le gouvernement francais livre les dossiers médicaux des administres à Microsoft
Selon l’historiographie officielle[1], le 31 mars 2019, le Président de la République française a lancé un plan « intelligence artificielle » (IA). En réalité le processus a débuté un an plus tôt. Le 28 mars 2018, Cédric Villani mathématicien et député de La République en Marche rendait public un rapport sur l’intelligence artificielle. Le 16 avril 2018[2], Emmanuel Macron recevait à l'Elysée le fondateur (et encore actionnaire) de Microsoft, Bill Gates... La suite de l'article est ici.
Le coronavirus risque de propager la famine
Première réussite pour les dépopulationnistes du club de Bill Gates (contre qui 400 000 personnes ont déjà signé une pétition) : le Covid-19 risque de propager la famine dans le monde. En Thaïlande des milliers de personnes, bloquées et privées de revenus, doivent s’en remettre aux distributions d’aide alimentaire et se disent prêtes à tout pour survivre. En Australie, le professeur Friel et le PDG de VicHealth, Sandro Demaio, écrivent dans le Medical Journal of Australia : "Le Covid-19 aura des impacts significatifs sur les inégalités de santé en Australie à travers les retombées économiques et sociales résultant des mesures d'atténuation de la pandémie nécessaires aggravant une société déjà inéquitable". Aux Etats-Unis le Washington Post rapporte que si 14% de la population du Michigan est noire, 40% des décès dus au Covid-19 sont parmi les Noirs (parmi lesquels les plus pauvres sont atteints en priorité), et le confinement va développer dans cette population les problèmes liés à la malnutrition. En France, à Marseille la Banque Alimentaire 13 voit le nombre de demandes de personnes en détresse exploser depuis le début du confinement, même chose à Bordeaux, ou à Rennes, et l'on ignore ce qu'il en sera dans quelques mois si l'activité économique ne reprend qu'au compte-gouttes. En Afrique, certains pays comme la Guinée Equatoriale ou le Congo-Brazzaville se tournent vers le médicament malgache Covid-Organics à base d'artémisia pour enrayer la pandémie, mais pour l'ensemble subsaharien le FMI le mois dernier prévenait : son économie "devrait enregistrer une contraction de 1,6 % cette année, le pire résultat jamais enregistré. La crise économique exacerbera les conditions sociales et aggravera les vulnérabilités économiques existantes, tandis que les mesures d’endiguement et de distanciation sociale compromettront inévitablement les moyens d’existence d’innombrables personnes."
Nul doute que la "grande faucheuse" en tirera le plus grand profit.
Espionnage et totalitarisme au menu des prochains mois ?
En février dernier, je vous ai parlé d'un grand diplomate français assez suspect lié à l'International Crisis Group de la galaxie Soros et vendu à une société d'espionnage para-étatique israélienne NSO Group.
NSO, vous avais-je expliqué, fait partie du volet "sécurité" au service de la transclasse internationale. Il est sous investigation du FBI pour avoir piraté (selon les accusations de Facebook) les comptes WhatsApp de 1 400 journalistes, professeurs etc. Ils avaient entre autres ciblé l'entourage de Khashoggi avant son assassinat. Richard Attias et associés (basé au Delawaere et aux Iles vierges).
Hé bien NSO fait son grand retour à la faveur de la crise sanitaire du coronavirus !
Il y a deux jours la chaîne américaine NBC expliquait que NSO a développé un nouveau programme appelé «Fleming» qui utilise un téléphone portable et des données de santé publique pour identifier où se trouvent les personnes infectées par le coronavirus et avec qui elles entrent en contact. La chaîneisraélienne I24 avait devancé NBC pour interviewer le fondateur officiel de NSO le 23 avril, lequel expliquait « Nous voulons fournir aux gouvernements la possibilité de tracer les contacts et de comprendre comment l’infection se propage. Quelles personnes ont pu être infectées durant les 15 derniers jours, afin d’alerter et de leur proposer des tests de dépistage, ou de les mettre en quarantaine. C’est au niveau tactique. » Le journal suisse Le Temps, lui, estime qu'il s'agit d'une "simple adaptation d’un programme déjà vendu aux régimes autoritaires dans le but de traquer les opposants, défenseurs des droits de l’homme et journalistes, et qui aurait déjà fait ses preuves contre… Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon et propriétaire du Washington Post.L’utilisation de Fleming, d’après ceux qui l’ont vu en application, est frappante de simplicité".
"Sans faire référence explicitement à la firme NSO Group, ajoutait ce journal, le ministre israélien de la Défense, Naftali Bennett (qui avait défendu devant la Knesset l'utilisation de leur logiciel), a confirmé que ce système attribuait à chaque individu une note allant de 1 à 10, et qu’il permettait ainsi de connaître sa «dangerosité». Un contact étroit avec un porteur du virus revient à se voir donner une note de 8 ou de 9. Partager un même espace général revient à récolter un 3."
Le principe d'attribuer des notes aux citoyens comme à l'école est répandu en Chine depuis quelques années. Les mal notés sont littéralement mis au ban de la société. A l'occasion de l'épidémie de Covid-19, Pékin a rendu le traçage des téléphone portable obligatoire, un modèle totalitaire que NSO compte exporter vers les "démocraties" occidentales.
On voit aussi se mettre en place la continuité entre le flicage issu de la soi-disant lutte contre le terrorisme post-11 septembre et celui qui s'instaure avec la pandémie : lorsque NSO a proposé son système au gouvernement israélien fin mars, ses adversaires dans pays ont noté que "dans le passé, ce type d'effort de surveillance puissant a été utilisé uniquement dans la lutte contre le terrorisme, pas dans le cas des citoyens israéliens qui n'ont pas été accusés d'un crime." (TOI 31 mars 2020). Finie la vie privée. Big Brother veut tout savoir.
De Stockholm à Hanoï : un tableau bien peu réjouissant
"Frihet under ansvar","la liberté sous la responsabilité". Quand on a un bon système de santé en Suède, sans pénurie de lits d'hôpitaux, avec des gens qui intériorisent beaucoup les ordres venus d'en haut, on peut se permettre d'ériger un Anders Tegnell en gourou (dans l'ordre de l'expertolâtrie) contre le gourou Bill Gates (dans l'ordre de la folie pseudo-messianique). Pas sûr que le résultat en termes d'hygiène mentale soit très bon : un groupe de plusieurs milliers de femmes qui se vantent de rêver la nuit de Tegnell s'est créé sur Facebook, et les relents de narcissisme national de très bas étage autour de ce culte de Tegnell n'ont pas manqué de frapper de nombreux observateurs.
Certains gouverneurs des Etats-Unis, Bolsonaro au Brésil, Loukachenko en Biélorussie dans un style plus rustique tentent la même opération - miser sur l'immunité collective -, mais avec moins de rigueur morale luthérienne, et avec un risque d'échec assez important au bout du compte. Boris Johnson, pour sa part, y a renoncé.
A l'autre extrémité du spectre, dans le pays qui idolâtre Bill Gates, et qui fut aussi autoritaire que la Chine en matière de confinement, le Vietnam, on savoure une apparente jugulation totale de l'épidémie et on présente un robot stérilisant de fabrication locale. La distanciation sociale y est devenue une religion comme elle risque de l'être aussi durablement sous nos latitudes dans les années à venir.
Bienvenus dans "1984"...
Et n'oublions pas l'Afrique... Un prêtre béninois m'écrit : " J'échangeais avec certains prêtres hier ce n'est pas le virus qui va nous tuer mais la famine : plus de messes ni de quête et les prix des denrées alimentaires ont flambé".
Bill Gates et Rafael Nadal
Au début de ce mois d’avril, Toni Nadal , l'oncle et entraîneur du champion de tennis Rafael Nadal, avait fait un aveu étonnant sur les ondes de la radio espagnole Onda Cero (Emission El Transistor) : "En février, alors que Rafa jouait en Afrique du Sud avec Roger Federer, il a discuté avec Bill Gates et il a averti Rafael que ce qui se passait en Chine allait empirer. Il a dit à mon neveu que nous ne savions pas si nous pourrions voyager à partir de mars. Il savait déjà, grâce à sa connaissance du sujet et à ses contacts, comment cette situation allait évoluer." et Gates avait ajouté que les politiques "devaient laisser plus entre les mains des médecins" (cf We love Tennis 2 avril 2020) - Pour mémoire Gates a aussi déclaré - cf vidéo de Paul Romano minute 0'55 - récemment être souvent en contact avec Fauci, le très controversé conseiller médical de Trump (on se demande bien à quel titre, Gates n'étant pas médecin...).
Toni Nadal faisait référence là à la sixième édition de The Match in Africa qui s'est tenue le 7 février au Cap opposant Roger Federer et Bill Gates d'une part à Rafael Nadal et Trevor Noah d'autre part.
Invité de la Cadena Cope, Rafael Nadal a été interrogé sur le sujet. Et le numéro 2 mondial n’a pas souhaité s’étendre sur cette discussion avec Bill Gates, le patron du géant de l’informatique : « C’est une conversation entre lui et moi. S’il m’a dit que cela allait arriver, je dois le garder pour moi, c’est une conversation privée, entre nous. Je n’ai pas le pouvoir de divulguer des informations. » (We love tennis, 16 avril 2020).
Dès début février Gates savait comment évoluerait la pandémie alors que les grands médias la comparaient à une simple grippe. D'où tenait-il l'information ? Une question qui renvoie au rôle de sa fondation dans la recherche sur le Coronavirus, peut-être aussi dans sa diffusion vu ses diverses déclarations depuis 2017 sur les maladies pulmonaires qui pourraient se répandre sur le globe.
Le 9 avril dernier Robert Francis Kennedy, fils du sénateur assassiné en 1963 Bob Kennedy, et neveu du célèbre président des Etats-Unis, président du conseil d'administration de l'ONG écologiste Waterkeeper Alliance, dénonçait "l'obsession de Gates pour les vaccins (qui) semble alimentée par une conviction messianique qu'il lui est ordonné de sauver le monde avec la technologie et une volonté divine d'expérimenter la vie de petits humains".
"Promettant, ajoutait-il à titre d'exemple, d'éradiquer la polio avec 1,2 milliard de dollars, Gates a pris le contrôle du National Advisory Board (NAB) en Inde et a mandaté 50 vaccins contre la polio (contre 5 auparavant) à chaque enfant avant l'âge de 5 ans. épidémie de polio qui a paralysé 496 000 enfants entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a annulé le plan vaccinal de Gates et expulsé Gates et ses copains du NAB. Les taux de paralysie de la polio ont chuté brutalement. En 2017, l'Organisation mondiale de la santé a admis à contrecœur que l'explosion mondiale de la poliomyélite est principalement une souche vaccinale, ce qui signifie qu'elle provient du programme de vaccination de Gates. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, aux Philippines et en Afghanistan sont toutes liées aux vaccins de Gates. En 2018, ¾ des cas mondiaux de polio provenaient des vaccins de Gates." Suite de ce dossier accablant ici.
Attention, pour le Coronavirus, Bill Gates n'a pas seulement un projet de vaccin à l'étude (qu'il nous sortira dans un an quand tout le monde suppliera de l'avoir après les traumatismes de la "seconde vague") : il a aussi un nouvel implant invisible appelé « tatouage à points quantiques» qui suivra qui a été testé pour le COVID-19 et qui a été vacciné contre lui (Reddit Ask Me Anything 18 mars 2020). Ca aussi c'était dans les tiroirs depuis un certain temps... Dans les tuyaux aussi (est-ce que ça peut être combiné avec le contrôle du coronavirus ?) un projet qui concerne l’extraction de crypto-monnaie, dont le brevet vient d'être déposé. Celui-ci permet la création d’un appareil qui suit l’activité physique ou les réactions d’un humain à certaines tâches à l’aide d’une variété de capteurs, et génère une crypto-monnaie en réponse. Il brevette aussi un réseau qui peut donner des instructions spécifiques aux humains portant l’appareil. Numéro du brevet : WO/2020/060606 - le 666 est visible...
A part ça pour votre réflexion sur le Covid-19, je vous recommande aussi cette vidéo de Hacking The Headlines qui reprend ce petit "rush" tourné avant une conférence de presse de Trump où l'on voit le photographe du New York Times Doug Mills et le correspondant de la Maison Blanche de Fox News, John Roberts dire qu'ils sont déjà "vaccinés" contre le coronavirus (quel vaccin ?). Ils admettent aussi que les taux de mortalité avancés étaient surestimés et l'un d'eux demande même si c'était un canular (hoax). Simple échange de plaisanteries ? Le ton est ambigu...
La 5 G augmente-t-elle la propagation du Coronavirus ?
"Les enchères d’attribution des fréquences de 5 G entre Orange, SFR, Bouygues Telecom et Iliad (Free), qui devaient se tenir mardi 21 avril, sont reportées sine die pour cause de Covid-19. Et, avec elles, l’ouverture au grand public, prévue pour la fin de l’année" expliquait Le Monde le 19 avril, mais, ajoute le journal "La pandémie, qui freine le déploiement de la 5G, pourrait bien avoir d’autres conséquences à plus long terme. Non seulement elle démontre l’utilité de cette technologie, mais elle pourrait aussi permettre aux Américains, grands perdants de la bataille actuelle, de profiter de la confusion pour revenir dans la course aux équipements dominée par le chinois Huawei et ses concurrents européens Nokia et Ericsson.".
Ce genre d'articles ne permet pas de rendre compte de la carte ci-dessous en espagnol qui établit une corrélation entre la 5G et le coronavirus. Cette carte trouvée sur Twitter est-elle un fake ?
Martin L. Pall professeur émérite de l'université d'Etat de Washington (à Pullman) déclarait dans une conférence le 18 février 2020 : "Wuhan est la première ville « intelligente » connectée en 5G en Chine // NB sur les "smart cities" et Soros voyez ce billet// et c’est également là que se trouve la première autoroute 5G de Chine. Elle est également l’épicentre de l’horrible épidémie de coronavirus. En 2019, environ 10 000 antennes 5G ont été installées et mises en service à Wuhan, dont environ 8 000 au cours des deux derniers mois de 2019. Cette période de deux mois et demi a également été la période approximative pendant laquelle l’épidémie de coronavirus, y compris le taux de mortalité, s’est aggravée. Tout cela peut être une coïncidence et il peut sembler peu probable que les rayonnements de la 5G puissent exacerber l’épidémie de coronavirus. Mais considérez ce qui suit : Cinq effets en aval produits à la suite d’expositions aux champs électromagnétiques (CEM) ont des rôles importants dans la cause des infections à coronavirus, notamment la libération de nouveaux virions pour qu’ils puissent infecter d’autres cellules et d’autres personnes, l’excès de calcium intracellulaire, le stress oxydant, l’élévation du NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose. La cause prédominante de décès de l’épidémie de coronavirus serait la pneumonie et la pneumonie est également exacerbée par ces mêmes cinq effets en aval à la suite d’une exposition aux CEM. Par conséquent, ce qui pouvait sembler très improbable, est en fait très plausible sur la base de mécanismes connus."
Le scientifique s'inquiète aussi des effets neurologiques de la 5G, et de la stérilité masculine qu'elle entraîne.
Il cite des scientifiques ostracisés qui sont sur la même logne que lui : Allan Frey, William Rea, David Carpenter, Om Gandhi, Cindy Sage, Lennart Hardell, Franz Adlkofer, Hugo Rüdinger, Dominique Belpomme, Olle Johansson et Dimitris Panagopoulos. En septembre 2017, plus de 170 scientifiques issus de 37 pays avaient signé une tribune réclamant un moratoire en attendant de meilleures évaluations scientifiques. L'étude internationale Mobi-kids financée notamment par l'Union européenne en 2009 sur le sujet ne sort toujours pas ce qui en dit long sur l'action des lobbies.
Dans le monde entier, des centaines d’associations et collectifs — en France beaucoup d’anti-Linky — se sont rassemblés pour dénoncer le déploiement de cette cinquième génération de réseau téléphonique. En ce moment des installations sont incendiées dans toute l'Europe même en période de confinement. La chute de 120 oiseaux dans le canton de Thurgovie en Suisse a relancé le débat. Le professeur Pall inclut les crises cardiaques d'oiseaux dans les effets possibles de la 5G. La presse mainstream objecte en sortant une étude de Joe Kirschvink, biophysicien au California Institute of Technology selon laquelle les ondes moyennes (AM) de la radio perturbent le champ magnétique des oiseaux, pas les téléphones cellulaires. Mais ce n'est pas le sujet puisqu'on parle de crises cardiaques.
On peut trouver ici une carte des lieux d'expérimentation de la 5G en France.
La presse mainstream explique encore que selon le Times, à mesure que les fréquences radio augmentent, notre peau les bloque, ce qui rend les ondes radio plus sûres à mesure qu'elles augmentent en fréquence (jusqu'à un certain point). Concernant spécifiquement le Covid-19, elle dénonce une vidéo de l'anthroposophe Thomas Cowan selon laquelle les ondes de la 5G ont pu favoriser le Covid-19 comme les ondes radio la grippe espagnole, et oppose, avec la BBC, l'argument cité par Simon Clarke, professeur associé en microbiologie cellulaire à l’Université de Reading, selon lequel " Les ondes radio peuvent perturber votre physiologie en vous chauffant, ce qui signifie que votre système immunitaire ne peut pas fonctionner. Mais [le niveau des] ondes 5G sont minuscules et ils sont loin d’être assez forts pour affecter le système immunitaire". Il y a aussi cet avis de l'enseignant-chercheur Carlos Bader, spécialiste 5G de Centrale Supélec, dans une vidéo de novembre 2019 intitulée : La 5G est-elle dangereuse pour la santé ? « Nous ne sommes pas dans une phase opérationnelle de massification de la 5G dans sa version performante. Nous sommes encore sur la bande de basses fréquences. » Le niveau de rayonnement, affirme-t-il, est donc en deçà des niveaux censés endommager les cellules du corps humain.
Pas d'affaiblissement de l'organisme au contact des ondes donc, en tout cas pas pour l'instant, et encore moins une communication des virus par les ondes électromagnétiques.
Qui croire ?
Le scandale "Nth room" en Corée du Sud
Je vous avais parlé il y a quelque temps de cet étrange passage d'un membre du groupe de rap Wu-tang Clan (nom dans lequel on peut entendre Wu-Han) en 1996 "Six millions de diables viennent de périr de la peste bubonique ou du virus Ebola, sous le règne du roi Cyrus" (Cyrus= Trump=le serpent couronné=Miley Cyrus ?). Le morceau s'appelait "The 4th chamber"... Le membre s'appelait GZA et l'image de sol maçonnique sur la pochette du disque était très évocatrice.
Autres paroles "My own phone sex
Mon propre téléphone sex
Watch out for Haiti bitches
S'occupe des putes d'Haïti
I heard they throw hex
J'ai entendu dire qu'elles jettent des sorts
Yo, Wu whole platoon
Yo, tout le staff Wu
Is filled with rac-coons
Est plein de ratons laveurs"
Wu-tang-Clan a inspiré divers remix, dont "Nth Chamber" en 2013.
En Corée du sud vient de sortir un scandale sexuel au nom équivalent : "Nth Room" (Enième pièce, énième salle).
Les Nth Rooms sont des salles de chat sur l'application de messagerie Telegram où les utilisateurs produisent et échangent illégalement des images déshumanisantes de femmes. Les victimes, souvent mineures, sont fréquemment contraintes par les utilisateurs de Telegram à s'infliger à elles-mêmes des sévices.
Le groupe d'origine de ces chats appelé "nth room" aurait vu le jour sur Telegram en 2018 ou au début de 2019. Il existe maintenant un réseau entier, chacun avec des noms différents comme "esclave room", "female child room" ou "violate your acquaintance room" (pièce pour violer une connaissance).
Les filles mineures y sont dégradées, forcées d'aboyer comme des chiens ou de se coucher nues sur le sol des toilettes publiques pour hommes, de se faire des scarifications etc. Ces victimes (parmi lesquelles de smineures) ont souvent été dupées pour donner des informations personnelles aux agresseurs, puis ont été victimes de chantage pour obéir aux caprices sexuels des utilisateurs de cette application.
L'histoire a été révélée pour la première fois par un reportage dans le journal coréen Hankyoreh en novembre dernier. Un reportage de Kookmin Ilbo qui a suivi au début du mois de mars, détaillant les actes horribles, a déclenché un tollé à l'échelle nationale. Cela survient quelques mois seulement après la révélation du scandale Burning Sun , qui impliquait des stars de la K-pop dans un réseau de prostitution à Séoul, et alors que la colère continue de mijoter contre d'autres formes d'abus sexuels contre les femmes, y compris les crimes généralisés par caméra espion .
Il s'agit de phénomènes de chantage à grande échelle impliquant des centaines de jeunes victimes et des centaines de milliers de voyeurs (dont 80 % d'adolescents) dont certains sont prêts à payer jusqu'à 1 200 dollars.
Le cerveau présumé d'une des réseaux, un jeune nommé Cho Joo-bin/Tcho Ju-bin (25 ans) qui vient d'être arrêté aurait payé ses administrateurs en crypto-monnaies, avec des liens vers des paiements suspectés de monero (XMR) . Mais les enquêteurs n'ont pas encore les moyens légaux pour enquêter sur ces modes de paiements qui pourraient révéler l'identité desdits administrateurs. Il semble bien qu'il y aurait aussi un mystérieux "docteur" derrière tout cela.
Phénomène purement "local", endémique à la Corée du Sud ? Où existe-t-il des ramifications ?
Mon article sur George Soros dans la Revue Droits 2019/1
Vient de paraître (seulement en ligne par ces temps de coronavirus) dans la revue Droits 2019/1 (n° 69) - Presses universitaires de France - pages 129 à 157, mon article "Le programme mondialiste à la lumière de l’activisme du financier George Soros " qui est en fait le texte de mon intervention dans le cadre du cycle « Oligarchies » du centre Dogma - Institut pour l’étude des disciplines dogmatiques et l’histoire générale des formes le 14 septembre 2018. Le texte aborde les dimensions géopolitiques (les "révolutions de couleur") et sociétales (légalisation de la drogue, avortement, immigration, soutien aux minorités ethniques et sexuelles, agitprop pour obtenir la destitution de Donald Trump) de la politique de ce financier controversé à travers son réseau Open Society Foundations. J'y dis aussi un mot du Pizzagate, ce qui n'est pour le moins pas habituel dans les milieux universitaires, et m'avait valu en 2018 une volée de bois vert d'un individu dans le public ! L'article est payant à 5 euros ici d'après les règles habituelles de la revue. Mon article ne se fonde que sur les mails fuités par Wikileaks et non contestés par la grande presse (mais rien qu'avec ça, le portrait de l'action du personnage est des plus saisissants - et, pour mémoire, même les éléments sur Pizzagate sont dans les mails de Wikileaks, il n'est pas nécessaire de broder autour comme hélas trop de commentateurs l'ont fait pour être "surpris" - doux euphémisme - par les milieux auxquels Soros était mêlé en 2016...).