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Débat Trump-Harris : la partialité des médias et le sacrifice
Comme au temps du débat Trump-Clinton (voyez mon livre sur les régimes populistes) tous les médias mainstreams en Occident nous offrent une débauche de partialité en faveur de leur marionnette du parti démocrate, cette fois c'est Kamala Harris, qu'on ne peut même pas créditer du même niveau de jugeotte qu'Hillary Clinton. Peu importe que Tulsi Gabard, candidate damocrate anti-guerre (qui n'a pas que des qualités, mais bon...), ou Kennedy (issu d'une famille importante du Parti démocrate) se soient ralliés au leader des républicains, ça ne les fera pas varier d'un iota.
Le mardi 10 septembre, le débat Trump-Harris (dont le pape a renvoyé les protagonistes dos à dos, ce qui est assez amusant, mais sans plus...) a donné lieu à un intéressant procès des fact-checkeurs dont vous n'entendrez pas parler dans vos journaux, donc je vous en donne ici le fin mot : tous les médias de l’oligarchie se sont étranglés parce que Trump a dit que des Haïtiens mangeaient des chats américains à Springfield dans l'Ohio (ce qui semblait faire vaguement écho à un épisode des Simpsons - qui se passe comme toujours dans une bourgade nommée Springfield en 1997 - ).
Le problème, c'est qu'il y a eu vraiment un cas d'un flagrant délit d'assassinat de chat pour le manger : Allexis Telia Ferrell, citoyenne américaine de 27 ans. La vidéo où elle est nuitamment filmée après l'avoir fait circule sur le Net. Ce n'était pas à Springfield mais à Canton à 228 km de là. Il semble que Trump ait confondu avec l'histoire avec une nouvelle publiée ce même 10 septembre, annonçant que deux semaines plus tôt des Haïtiens ont mangé quatre oies dans un parc de Springfield.
Les fact-checkers d'ABC ont immédiatement appelé les autorités de Springfield qui ont démenti l'attaque contre des animaux domestiques par des immigrants (loqique puisqu'à Springfield il s'agissait d'oies). Puis les grands médias sont tombés sur Trump en l'accusant de fantasmer (il y eut aussi le même type de fact-checking très partial sur l'avortement), alors par ailleurs que son opposante, elle, n'est pas fact-checkée et, au contraire, choyée en permanence sur les plateaux de TV qui boivent littéralement ses paroles.
La partialité anti-Trump des médias aux USA est tellement grossière qu'elle fait rire dans ce pays (voyez la vidéo parodique ci-dessous sur le jeu "Qui veut gagner des millions").
Avec le recul on peut se demander pourquoi les polémiques portaient surtout sur des histoires de sacrifice (les enfants dans l'avortement, le vaudou haïtien). Il n'est pas anodin sur le plan spirituel que ce genre de thématique soit mis prioritairement en avant...
On notera aussi que le milliardaire Elon Musk, l'homme qui pause en tenue d'Antéchrist avec un baphomet sur la poitrine, qui avait naguère parlé à tort et à travers du cannibalisme à Haïti, a soutenu Trump en publiant hier sur X une vidéo de Rebekah Faidia, fille de migrant haïtien, qui confirme que dans son pays les gens très pauvres mangent des chats et que cela a aussi un rapport avec le vaudou, ajoutant que les "fact-checkers" devraient se livrer à des vérifications plus approfondies sur le sujet. Comme pour remettre une pièce dans la machine à faire parler sur le sacrifice...
Le club Bilderberg à Madrid
Du 30 mai au 2 juin dernier, le club Bilderberg (incubateur du mondialisme qui fut à l'origine de la création de la Communauté européenne, et à qui Macron, Trudeau, Sanchez etc doivent leur carrière) était réuni à Madrid. La journaliste Cristina Martín Jiménez( CMJ), qui a fait sa thèse dessus, était sur place, comme elle l'expliquait à Aladetres le 1er août dernier.
Elle était la seule journaliste espagnole sur place. Au même moment avait lieu la finale de la Ligue de football et le concert de Taylor Swift.
Aucun journaliste n'en a parlé. Des hélicoptères survolaient la zone. Deux journalistes hollandais étaient là aussi (parce que le club a été fondé en principe par un monarque de ce pays, en tout cas sous ses auspices), ils ont été interrogés par la police pendant trois quarts d'heure puis ils sont repartis directement dans leur pays. On ignore ce qui leur a été dit. Le roi Guillaume-Alexandre des Pays-Bas participait à la réunion. Apparemment, il ne voulait pas qu'on le sache.
CMJ laisse entendre que peut-être Von der Layen y était aussi puisqu'elle était au stade Bernabeu le samedi soir à côté du leader du Parti populaire espagnol Feijóo. Car les membres du Bilderberg dînaient à Cité financière du groupe Santander. Parmi les invités du Bilderberg il y avait Idelfonso Castro le responsable des affaires internationales du Parti Populaire qui pouvait fort bien servir de courroie de transmission avec Ursula qui est de son groupe au parlement européen. Ce même jeudi 30 mai, il y avait aussi à Madrid Charles Michels, chef du Conseil européen aux côtés de Pedro Sanchez. CMJ a vu parmi les voitures aux vitres teintées qui s'arrêtaient à la Cité financière le commissaire européen chargé du Pacte Vert Maroš Šefčovič, qui n'était pourtant pas parmi les invités officiels.
Le concert de Taylor Swift, estime CMJ (minute 12), a bien pu être programmé le 30 mai pour cacher cette venue du Bilderberg dont nul média n'a parlé.
Je précise que je suis d'accord avec 80 % des propos de cette journaliste. Je désapprouve seulement sa confiance en Trump comme "outsider" et son angle d'attaque matérialiste globalistes (elle croit que les élites sont principalement motivées par l'argent, or à l'évidence le mobile est d'abord spirituel - sinon par exemple, les multinationales ne feraient pas de la com' pro-LGBT au risque de faire fuir une partie significative de leur clientèle.
En France, France-Soir avait parlé de cette réunion, en signalant qu'Edouard Philippe, Arthur Mensch, co-fondateur et CEO du fleuron français de l’intelligence artificielle, Mistral AI, ainsi qu’Agnès Pannier-Runacher , ministre déléguée auprès du ministre de l’Agriculture étaient présents.
Mondialisme et pédophilie
L'actualité de la semaine montre qu'une sociologie de l'oligarchie mondiale actuelle peut difficilement faire l'économie d'une interrogation sur la pédophilie.
Prenons le cas d'Henry Kissinger, cacique des relations internationales depuis 70 ans, s'est éteint. Certains membres de la classe politique lui rendent hommage aux Etats-Unis et en Israël. D'autres se souviennent de son bilan en termes de meurtres directs ou par alliés interposés :
Il faut ajouter à ces massacres des assassinats ciblés comme : l'amiral Carrero Blanco (dauphin de Franco qui voulait garder l'Espagne sur une ligne de non-alignement relatif et obtenir l'arme nucléaire), le président du conseil Aldo Moro, le premier ministre portugais Francisco Sá Carneiro en 1980 (l'homme qui en savait trop sur l'entente entre Reagan et l'Iran), etc.
Mais l'erreur des anti-impérialistes est généralement de l'associer au nationalisme américain alors qu'il était un mondialiste militant, et qu'il avait notamment recruté Klaus Schwab aux Forum de Davos. Devant le club de Bilderberg en 1992 à Paris (enregistré par un délégué suisse) il aurait déclaré :
"Aujourd’hui, les Américains seraient indignés si les troupes de l’ONU entraient à Los Angeles pour rétablir l’ordre ; Demain, ils seront reconnaissants. Cela est particulièrement vrai si on leur disait qu’il existe une menace extérieure, réelle ou promulguée, qui menace notre existence même. C’est alors que tous les peuples du monde imploreront les dirigeants du monde de les délivrer de ce mal. la seule chose que chaque homme craint est l'inconnu. Face à ce scénario, les droits individuels seront volontairement abandonnés pour la garantie de leur bien-être qui leur est accordée par leur gouvernement mondial."
Il est certain en tout cas que Kissinger a souvent parlé de "nouvel ordre mondial" et travaillé pour des organes globalistes comme le RIIA et Council on Foreign Relations.
Kissinger lui-même avait été recruté par Nelson Rockefeller. En mars 1987 le journaliste Robert Moskin l'avait déclaré dans un article "Advise and dissent" (Town & Country p. 156) : "Ce fut principalement du fait de sa longue complicité avec Nelson Rockefeller qu'Henry Kissinger devint une force centrale du Council on foreign relations" " (cité par Perloff dans Shadows of power p 145) - il lui a d'ailleurs. Perloff rappelle que malgré sa rhétorique conservatrice Nixon était rallié au keynésianisme et aux idées de gauche, et l'on sait tous les services que la dynastie Rockefeller a rendu aux Soviétiques, aux communistes mexicains comme Diego Rivera : on est là dans le mélange d'aristocratisme et de communisme typique de l'aristocratie rosicrucienne anglaise (la Société fabienne)... Pour cette raison il fut aussi proche de Nixon que des Clinton.
Sur Twitter cette semaine des accusations de pédophilie commencent à refaire surface le concernant. Kay Griggs, épouse de colonel de Marines qui avait enquêté sur son compte (une enquête dont elle avait parlé dans une interview en 1998, je l'ai déjà citée ici et là) raconte qu'il avait violé cinq jeunes conscrits au Cambodge, et surtout l'ancienne esclave du MK Ultra Susan Ford alias Brice Taylor en 1993 a raconté dans Thanks for the Memories a raconté comment Kissinger l'utilisait (avec Bob Hope) comme esclave sexuelle quand elle avait 5-6 ans au service des présidents et monarques de son époque. Evidemment il faut toujours se méfier des rescapés du MK Ultra et de la manière dont ils ou elles sont censés avoir retrouvé la mémoire (parfois par l'hypnose comme les témoins d'enlèvements extraterrestres), mais tout de même vu ce qu'on sait par ailleurs du fonctionnement des sociétés secrètes (et vu l'épouse étrange que Kissinger s'était trouvé), tout cela est fort plausible. Du reste la femme de Kissinger avait toutes les apparences du transgenre comme Michèle Obama.
A noter que Brice Taylor exonère complètement le successeur de Nixon, Jimmy Carter, de toute participation aux orgies qu'aurait organisées Kissinger. "Évidemment, écrit-elle chapitre XX, Jimmy Carter était trop dirigé par son système de croyance chrétien et trop connecté à sa femme pour dévier. Selon mon expérience selon laquelle s'il était coupable d'indiscrétions sexuelles, il ne faisait que convoiter dans son cœur. Je n'ai jamais couché avec Jimmy Carter. Il a cependant écouté et répondu aux messages délivrés de la part du Conseil par mon intermédiaire. Il avait une oreille très attentive et répondait utilement à toutes les demandes, à quelques exceptions près. Il a même mordu un tas d'hameçons qu'Henry Kissinger, lui faisait parvenir par mon. À ce moment-là, Carter pensait que je n'étais qu'un membre du Conseil, il ne savait pas que j'étais lié à Kissinger et Henry aimait l'idée qu'il "utilisait un démocrate comme une marionnette" et "un démocrate qui ne croyait pas en adultère mais prenait quand même des informations top secrètes d'une pute et dirigeait avec ça le pays. » Henry pensait que c’était le truc le plus drôle." (on peut avoir des doutes sur le christianisme de Carter quand on entend chanter "Imagine" de John Lennon aux funérailles de Rosalynn Carter la veille de la mort de Kissinger, et après tout Perloff rappelle que Carter est un bébé de David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski, qui employa autant de membres du CFR dans son administration que Nixon).
A propos de pédophilie et de mondialisme, de ce côté-ci de l'Atlantique, Courrier des Stratèges cette semaine a sorti un autre cas intéressant, français celui-là. La chaîne interviewait Xavier Poussard de Faits et Documents, qui dit avoir l'oreille des services secrets français (ce qui en soit est parfois un peu suspect, mais bon), qui nous parle d'un certain Jean-Marc B. (cf vidéo ci-dessous), né en 1957, un individu assez interlope de la macronie, comme Benalla, provençal entré dans la vie active dans la protection judiciaire de la jeunesse (mais dans un centre où il y eut une affaire de pédophilie, bien qu'il ne soit pas certain que JMB ait été directement impliqué), puis fut investi dans la lutte contre la toxicomanie (mais fut mêlé encore à une affaire de trafic de stupéfiant à la fin des années 1990 - cf Libération 2 juin 1999, l'affaire du Palace) enfin dans l'économie solidaire très subventionnée (mais de l'économie solidaire bourgeoise qui fait de la thérapie "par le luxe", de l'institut des Tournelles, inspirée de Dolto en lien avec le monde des boîtes de nuit de Régine Zylberberg Choukroun - financée par les Rothschild comme elle le raconte dans ses mémoires, décorée par le président israéliens Simon Pérès en 1986, certains évoquent des services possibles en matière de renseignement - le directeur de l'institut fut aussi condamné pour abus d'adolescents alors que JM B était son adjoint). Tout cela est sourcé par des articles de grands médias. (cf Le Monde Diplo sur ses appétits associatifs, l'immobilier est traité par Le Monde).
Et cela fait système, car Régine Choukroun fut la "mentor" de la reine du people qui fut pivot de la com' de Macron (on avait sur ce blog parlé de ses réseaux à propos des activités d'un fils de patron de presse dans une secte satanique). Louis Gallois a dit qu'il était prédominant dans la fondation de la République en Marche. Il aurait rencontré Macron comme prof dans le ScPo de Descoings (le monde appelle cela une "légende officielle"). JM B qui a fréquenté les cabinets socialistes sous Mitterrand et s'est impliqué dans le Sidaction est aussi lié à Michel Bergé. Poussard évoque un déjeuner de ScPo de 2017 (d'ailleurs cité par Camille Kouchner, compagne de Louis Dreyfus très influent au Monde qui a fait monter cette affaire), en présence du directeur Mion, O. Duhamel, Brigitte, et Brigitte Taittinger-Jouillet qui a présidé au choix de Edouard Philippe. Elisabeth Guigou proche de Duhamel (Duhamel a aussi coopté le FM Thierry Solère au Siècle qui organisait de la primaire à droite qui coula Fillon), ex-garde des sceaux et puis chargée de mission inceste jusqu'en 2021 dont elle démissionna précipitamment ce qui ne l'empêche pas d'être ensuite proposée par Macron au Conseil supérieur de la magistrature ; Dupond Moretti avocat des pédophiles d'Outreau (et accusé à demi mots de banaliser l'inceste par Christine Angot parce qu'il avait parlé d'inceste consenti dans une affaire où il défendait une mère) soutenu par Brigitte Macron etc.
Aujourd'hui ce JMB ponte de la macronie plaide contre la restriction de l'immigration en France... Ce site explique quels intérêts économiques directs ce personnage a dans les flux migratoires. Cela rappelle ce qui était ressorti avant l'élection de Trump à propos des intérêts de la Fondation Clinton et de Soros dans les migrations qui fournit de la main d'oeuvre pour des finalités très... diverses. Aux Etats-Unis cette dénonciation avait précipité les conservateurs dans les pièges du trumpisme, comme elle peut pousser les Français dans ceux du zemmourisme. Mais il n'empêche que la réalité que ce genre d'enquête porte au grand jour est factuelle, et qu'on ne peut l'ignorer.
Petit retour à Kissinger. A propos du rapport entre celui-ci et les élites françaises rappelons qu'un article du Point intitulé "M. Attali aimerait vous avoir à dîner" d'Emilie Lanez et Violaine de Montclos (octobre 2014) décrivait des pontes chiraquiens et socialistes (Nathalie Kosciusko-Morizet, Bernard Cazeneuve et Pierre Moscovici) "sagement assis autour de Henry Kissinger" évoquant "la politique extérieure de la France", chez Jacques Attali à Neuilly...
Les limites de la dictature mondiale
Je signale à toutes fins utiles ce bon débat sur la dictature climatique entre Idriss Aberkane et Christian Gérondeau. Ce dernier soutient que les fous furieux climatolâtres ne parviendront pas à imposer leur tyrannie, Aberkane est moins optimiste, les deux ont des arguments sérieux dans les deux sens.
Je suis bien sûr incapable de faire des prédictions, et c'est même un impératif moral que d'interdire aux gens d'en faire, car toute prédiction humaine est blasphématoire (puisque l'avenir appartient à Dieu). Cette position de sagesse est d'autant plus justifiée qu'il existe des paramètres que nous ne maîtrisons pas. Par exemple la question : les maîtres de ce monde emploieront-ils des armes à énergie dirigée comme ils sont suspectés de l'avoir fait à Hawaï ce mois-ci ? Si c'est le cas, avec un bon régime de terreur, ils peuvent faire passer beaucoup de choses.
C'est un fait connu que les multi-milliardaires à la Rothschild ou Rockefeller sont de grands occultistes (d'où le fait que la matrice culturelle qu'ils financent et contrôlent affiche en permanence des signes ésotériques comme l'oeil d'Horus ou le 666). C'est pourquoi je les appelle les "satano-fascistes", ce qui rend compte à la fois de leurs allégeances spirituelles et de leur modus operandi politique.
Nous savons quel est le modus operandi de leur père (le diable) : la séduction (qui en appelle à notre orgueil, ou notre hédonisme) et la peur. Durant l'épisode Covid, nous avons vu que par ces deux voies, ces fanatiques de l'asservissement de l'être humain sont allés très loin, et ont obtenu de très grandes victoires. Cependant, nous avons vu aussi que le satanisme est d'abord une politique de spectacle (à la fois sur le volet de la séduction et de la peur). C'est pourquoi d'ailleurs ceux qui le prennent trop au sérieux font son jeu, comme ceux qui en nient l'existence (seul Dieu peut nous dicter la bonne mesure). Touts ceux qui disent : "les satano-fascistes vont gagner très bientôt, ils vont imposer d'ici 2030 le totalitarisme hygiéno-climatique par toutes sortes de moyens, le règne de l'Antéchrist est proche", risquent de faire leur jeu, en manquant le fait qu'il y a une grande part de bluff dans les méthodes de ces psychopathes.
Qui aurait cru que la dictature covidienne s'effondrerait si rapidement en 2022 ? Ceux qui peinaient à y croire et supposaient que les médias fascistes allaient nous imposer le traumatisme de la variole du singe après celui du Covid 19 se trompaient. Car ce qui se passait était tout simplement que le grand spectacle des occultistes qui nous dirigent était en train d'échouer : trop de gens avaient su garder leur sang froid, ou en tout cas, même s'ils n'étaient pas nombreux, certains avaient gardé leur foi, certains avaient su rester justes, et, comme dans l'épisode de Sodome et Gomorrhe, il suffit qu'un seul reste juste, c'est à dire garde la juste mesure dans la résistance au satano-fascisme, pour que Dieu ne laisse pas les anges détruire la ville.
Il faut donc garder la ligne adéquate : ne pas sousestimer l'adversaire qui va trouver beaucoup de ressources dans le coeur du plus grand nombre à travers les peurs (la terreur climatique ou sanitaire à la prochaine épidémie) et à travers la vanité (tous les gens qui vont se croire intelligent en disant : "ils faut écouter les autorités, détruisons les complotistes"), mais ne pas surestimer non plus le pouvoir de son spectacle creux face à la justice et à la justesse de la minorité qui saura mépriser cette esbrouffe.
Le syndrome paraguayen de l'Ukraine, les services spéciaux kosovars en Serbie, le divorce national étatsunien
A propos de Zelensky, un certain Victor Pakhomov en Russie écrit : "Les événements tragiques en Ukraine rappellent de plus en plus la soi-disant guerre du Paraguay - le massacre le plus sanglant de l'histoire de l'Amérique latine, qui a duré six ans (1864-1870). le dictateur paraguayen Francisco Solano Lopez, en raison de différends territoriaux mineurs qui auraient pu être résolus pacifiquement, a entraîné son petit pays dans un conflit avec l'Argentine, le Brésil et l'Uruguay. La guerre, caractérisée par une cruauté sans pareille, s'est naturellement soldée par la défaite du Paraguay, qui a subi des pertes humaines vraiment énormes. La population du pays a été réduite de deux ou trois fois, au moins 300 000 soldats sont morts au combat, soit 90 % de la population masculine ! Dans les dernières batailles désespérées, même des enfants de 9 ans ont combattu dans l'armée de Lopez ! La guerre n'a finalement pris fin que lorsque le dictateur agressif est mort."
J'ai trouvé l'analogie intéressante, après la très suspecte destruction du barrage sur le Dniepr et les records de pertes de l'armée ukrainienne, quoiqu'elle ait ses limites, comme toute analogie. A part ça la presse russe fait l'inventaire de tout l'anti-américanisme (qui profite à la Russie, à l'Iran, à la Chine), comme la presse française fait l'inventaire de la francophobie en Afrique... quelle époque ! Les Russes, eux, se plaignent de la russophobie en Turquie... La nouvelle guerre froide démultiplie les inimitiés.
Il se passe de drôles de choses en Serbie. Des forces spéciales kosovares y ont été arrêtées. B92 le prouve. Quel était leur objectif ? Est-ce que cela fait partie du plan de l'OTAN pour ouvrir un second front comme en Géorgie ?
J'écoute d'une oreille distraite les débats étatsuniens. Certains suggèrent que les sondages en ce moment "boostent" Trump, pour ensuite annoncer en 2024 qu'il perd face à Joe Biden, ce qui désespèrera les Républicains (car Biden discrédité ne peut gagner que par la fraude) et les acculera à faire sécession - le divorce national, un thème thème très à la mode). Emprisonnés dans les "red States" (Texas, Floride etc), ils seront ensuite à la merci des boycotts des mondialistes... Etrange hypothèse, mais on ne sait jamais après tout...
En tout cas, en France, Macron a sauvé son poste après la réforme inique des retraites. De toute façon il est à peu près sûr qu'aucune opposition de gauche ou de droite ne pourrait faire mieux. Ils ne peuvent que s'aligner sur l'Empire, comme jadis Tsipras en Grèce et aujourd'hui Meloni (ultrachoyée par le G7) en Italie.
A part cela, je continue d'écrire mon livre sur Cuba. Je suis frappé par le travail de nettoyage d'Internet effectué par les grands groupes. Cherchez par exemple "Bacardi, le rhum qui pue", titre d'un documentaire d'Arte d'octobre 2003 : il n'est plus cité qu'ici... Beau travail les algorithmes ! Il n'y aura peut-être bientôt plus aucune trace nulle part des vérités révélées au grand public par l'information alternative depuis vingt ans...
Rishi Sunak et le modèle chinois
Lundi 24 octobre, 28 villes chinoises ont mis en place divers degrés de confinement dans le cadre de la soi-disant lutte contre le Covid 19, avec environ 207,7 millions de personnes touchées. La ville de Pékin notamment a annoncé samedi dernier qu'après cinq jours de mini-vacances, l'accès aux espaces publics continuera d'être restreint. À partir du 5 mai, un test COVID négatif effectué dans les 8 jours précédents sera obligatoire pour entrer dans "de nombreux lieux publics et prendre les transports en commun", selon une annonce sur le compte WeChat de la capitale.
Ces entraves à la circuler s'ajoutent à celles qu'imposent le système de crédit social qui en 2019 interdisait à 23 millions de Chinois de voyager.
Croyez-vous que l'Europe est à l'abri de cela ?
La nomination du nouveau premier ministre britannique Rishi Sunak, ancien ministre des finances, qui est non seulement un ancien de Goldman Sachs mais aussi et surtout l'homme du Forum économique mondial devrait vous mettre en garde.
Le père de l'épouse de Sunak (donc son beau-père), Akshata Murthy (qui n'est pas citoyenne britannique), est le fondateur d'Infosys, une société indienne de technologie de l'information qui fournit des services à une foule d'entreprises et de banques Fortune 500. L'un des principaux services de l'entreprise est Finacle, une plateforme bancaire numérique.
Infosys est répertorié comme partenaire officiel du Forum économique mondial/Forum de Davos (WEF) , qui a été accusé de chercher à développer l'infrastructure technologique pour mettre en œuvre un système mondial de "score de crédit social" à ravers le monde. Le président d'Infosys, Mohit Joshi, a rédigé des articles pour le site en faveur de la banque numérique, qui fournit le cadre technologique du système de « score de crédit social ». Pour défendre le modèle chinois sur le chemin d'une "cashless society" (société sans espèces) il écrivait en août 2020 : "Qui peut alors blâmer la Banque populaire de Chine (PBOC) lorsqu'elle a annoncé en février qu'elle détruirait les espèces collectées dans des environnements à haut risque , tels que les transports publics, les marchés ou les hôpitaux ?". Dans un article d'avril 2021, sur le site du Forum de Davos, il préconise d'accorder à chaque personne une "identité numérique unique" pour effectuer des transactions financières. Il cite le Parti communiste chinois comme un exemple réussi de cette politique. Dans la même veine il y a un an Sunak vantait les Central Bank Digital Currencies (monnaie numérique de banque centrale). Global Times, organe officiel chinois, le 14 juillet dernier vantait le pragmatisme de Sunak dans ses rapports avec Pékin.
Si vous ne voyez pas où cela nous mène pensez aux expérimentations de Deconomy ici. Un épisode de série d'animation "Stretch Armstrong & The Flex Fighters" (2017) sur Netflix en donne aussi un aperçu.
Opération américaine contre le premier ministre pakistanais
Mercredi dernier, sept députés du parti souverainiste de droite Tehreek-e-Insaf ( Mouvement du Pakistan pour la justice) fondé par le premier-ministre Imran Kahn ont annoncé qu'ils passaient à l'opposition, privant celui-ci de sa majorité. Celui-ci a alors pris a témoin le peuple pakistanais en agitant devant les écrans de télévision une lettre démontrant selon lui que "des puissances étrangères sont en train d'organiser un changement de régime au Pakistan".
Les principaux membres du gouvernement, le ministre de la Planification, du Développement, des Réformes et des Initiatives spéciales Asad Umar et le ministre de l'Information Fawad Chaudhry ont tenu une conférence de presse conjointe où ils ont révélé de plus amples détails sur cette lettre controversée. Khan a ensuite invité plusieurs membres de son cabinet, les médias et la communauté de sécurité pakistanaise à la consulter.
Les partis d'opposition ont tenté de ridiculiser cette lettre, Shahbaz Sharif (aspirant au poste de Premier ministre) ironisant en disant qu'il quitterait le navire et rejoindrait Imran Khan si la lettre est authentique.
Parallèlement à ce jeu politique, une mystérieuse requête était déposée auprès de la Haute Cour d'Islamabad (IHC) auprès du juge en chef d'Islamabad Athar Minallah, lequel rendait sur le champ un avis juridique selon lequel Imran Khan ne peut pas partager cette lettre en public en raison de son serment de confidentialité. La rapidité de la décision avait de quoi surprendre...
Le lendemain le Comité de sécurité nationale (NSC) du pays était réuni. Étaient présents le Premier ministre pakistanais, le chef de l'armée, le président des chefs d'état-major interarmées, l'armée de l'air pakistanaise (PAF) et les chefs de la marine, le conseiller à la sécurité nationale (NSA) et plusieurs autres responsables importants. L'opposition avait boycotté cette réunion, mais les participants unanimes décidaient de réprimander publiquement les Etats-Unis pour leur ingérence, et le 31 mars Khan révélait le contenu de la lettre : il s'agissait d'une lettre envoyée par des responsables du Département d'Etat américain à l'ambassadeur du Pakistan à Washington, annonçant le vote d'une prochaine motion de censure contre Khan au parlement et lui enjoignant de ne pas résister sous peine de conséquences terribles pour son pays (on parle maintenant - cf AFP - plutôt d'un câble diplomatique faisant état d'un enregistrement des propos d'un haut fonctionnaire américain à l'encontre du Pakistan).
Khan a ajouté que les rebelles de son parti avaient été achetés.
Le 9 mars l'armée pakistanaise s'est déclarée "neutre", puis a fait évoluer sa position au retour de Pékin du ministre des affaires étrangères pakistanais, ce qui laisse entendre que la Chine a fait pression sur les militaires contre l'ingérence américaine.
Lors de son interview du 1er avril à la télévision nationale (PTV), Imran Khan a exhorté la nation pakistanaise à rejeter l'alliance des partis corrompus et des médias soutenus par l'Occident, et à ne pas craindre les menaces de sanctions économiques contre le pays.
Hier le 3 avril, Imran Khan a échappé à la motion de censure en déclarant le vote inconstitutionnel et demandé au président Arif Alvi de dissoudre l'assemblée, ce qui devrait aboutir à la désignation d'un premier ministre par intérim. Il a ensuite dans la journée précisé au cours d'une réunion des cadres de son parti que l'auteur des menaces contre le Pakistan était le sous-secrétaire d'Etat en charge de l'Asie Donald Lu, qui a reconnu le 2 mars devant une commission du Sénat américain avoir exercé des pressions sur le Sri Lanka et le Pakistan (voir vidéo), tandis que le chef d'Etat major de l'armée pakistanaise avant hier a rappelé les liens de ladite armée avec les Etats-Unis.
Au pouvoir depuis 2018 Khan, ancien champion de cricket a changé de vie, alors qu'il était playboy international connu pour son mariage avec la mondaine Jemima Goldsmith il est devenu un pieux musulman hostile à la politique occidentale. Son épouse qui est de père juif, de mère protestante et de grand mère catholique, est aussi sur une ligne hostile aux injustices de la politique américaine en ce moment. Elle a par exemple condamné le 11 février dernier la décision américaine de dépenser une partie des 7 milliards de dollars d'actifs volés à l'Etat afghan depuis la prise du pouvoir des talibans en Afghanistan pour l'indemnisation des victimes du 11 septembre, alors que des mères afghanes en sont réduites à "vendre leurs organes pour épargner la famine à leurs enfants". Elle retweete aussi des messages de soutien à Julian Assange.
Khan a rencontré Vladimir Poutine le 24 février dernier, et Islamabad s'est abstenu de condamner l'invasion russe de l'Ukraine à l'Assemblée générale de l'ONU le 2 mars et a refusé d'imposer des sanctions à la Russie. Le cheikh soufi Imran Hosein, un leader favorable à l'alliance chistiano-musulmane contre l'impérialisme, le 2 avril a qualifié la période actuelle de "moment de vérité" pour le Pakistan, l'enjeu est de savoir si le Pakistan veut rester un "Etat esclave". Il déclare (15e minute) aux partis pakistanais qui se réclament de l'Islam ont préparé une "révolution de couleur" avec l'argent américain, et en décidant de commettre un "regime change" au début du Ramadan, qu'ils ont commis une faute qui va conduire chaque Pakistanais attaché au Coran à se souvenir de tous les leaders pakistanais (Liaquat Ali Khan, Z.A. Bhutto, Zia al Haq et Benazir Bhutto) qui ont été éliminés à la demande des Occidentaux.
Grand reset et communisme : les debunkers se moquent du monde
Si vous cherchez sur YouTube une courte vidéo capable d'expliquer à vos enfants ce qu'est le "Great Reset", la "grande réinitialisation", vous n'allez pas trouver grand chose en langue française. Seulement cette vidéo "qu'est-ce que la grande réinitialisation" postée sur la chaîne "mainstream" (plus d'1 million d'abonnés) du site Konbini. Une vidéo destinée à "debunker" le point de vue "complotiste".
Une des idées "complotistes" que cette vidéo entreprend de disqualifier est celle selon laquelle Karl Schwab, président du Forum Economique Mondial (World Economic Forum) dit "Forum de Davos", qui a publié en 2020 le livre "Covid 19 : The Great Reset" serait favorable à l'abrogation de la propriété privée.
"On peut lire par exemple, dit l'intervenant à la minute 2'21, que (...) Davos voudrait aller vers une société communiste, ce qui est un peu ironique quand on parle de Davos qui est quand même le temple du libéralisme, il n'est absolument question nulle part d'abolir la propriété privée".
Evidemment, cet homme n'a pas envie que vous alliez vérifier... Donc, pour vous en dissuader, une minute plus tôt, il a employé ce que, dans le programme MK Ultra de la CIA on appelait des "trigger words" : des mots qui vont déclencher des processus dans votre cerveau. Là, le processus est de vous empêcher d'aller vérifier l'information, et les mots sont les suivants : "Trump", "droite", "souverainistes"accompagnés d'une phrase pour expliquer que les complotistes ont le cerveau qui ne raisonne pas bien (alors que ceux qui les critiquent sont forcément plus rationnels et plus intelligents : ils sont dans le camp du Bien).
"Le compotisme est quand même très marqué à droite, dit le "journaliste" en minute 1'22, très, très polarisée autour de Trump et de tous les mouvements souverainistes or Davos incarne exactement tout ce que Trump rejette. Le corpus complotiste se compose souvent de manière régressive c'est-à-dire que l'on identifie un mot clé, on essaye de le rechercher a posteriori dans tout ce qui a été publié et à chaque fois qu'on le trouve on dit 'ah regardez la preuve que ça existe' "
Or, si vous avez la force morale de résister à cette manipulation, cette intox, qui flatte votre Ego en vous faisant croire que vous êtes les plus malins, et vous invite à mépriser le contradicteur, pour surtout ne pas rechercher la vérité, vous allez tout simplement vous rendre sur le site du Forum économique mondial, le World Economic Forum, et vous allez tomber sur cette page datée du 12 novembe 2016, un article de Ceri Parker "commissionning editor" du Forum économique mondial, donc son porte-parole officiel, qui liste 8 objectifs affichés par le Forum à atteindre d'ici 2030 "8 predictions for the world in 2030".
La prévision (présentée positivement, ce qui vaut objectif) affichée en première place, donc prioritaire, inspirée par la député social-démocrate danoise Ida Auken : "1. Tous les produits seront devenus des services. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède ni électroménager ni vêtement », écrit la députée danoise Ida Auken. Le shopping n'est plus qu'un lointain souvenir dans la ville de 2030, dont les habitants ont craqué pour l'énergie propre et empruntent ce dont ils ont besoin à la demande."
Les gens qui ont trouvé ce passage ne sont pas des esprits tordus qui ont raisonné "de manière régressive" en essayant de "rechercher a posteriori dans tout ce qui a été publié" , mais seulement des gens curieux et honnêtes qui ont essayé d'aller regarder par eux-mêmes ce que le Forum économique mondial de Klaus Schwab disait au sujet de la propriété privée.
Veritas index sui, disait le philosophe Spinoza, la vérité se dit d'elle-même, et donc, dès que vous avez fait l'effort de dépasser le mensonge institutionnel (qui joue sur tous vos bas instincts à la fois : orgueil, conformisme, haine des dissidents) vous tombez sur la page du Forum Economique Mondial, qui, elle-même, démontre que le debunkeur essaie de vous enfumer.