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Le blog de Frédéric Delorca

Le H1N1 grande répétition du Covid

23 Août 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma

Courant mars 2009, un virus H1N1, qui avait déjà été responsable de la grippe espagnole en 1918 (laquelle fut un petit cadeau des Rockefeller à l'humanité),  a fait sa réapparition au Mexique puis s'est rapidement propagé dans le monde. Ce fut un avant goût de la politique du Covid. Comme l'expliquait feu Claire Séverac dans cette conférence de 2015,  tout comme le brevet d'un vaccin Covid avait été déposé bien avant l'épidémie de fin 2019, Baxter avait déposé le brevet du H1N1 un an avant la pandémie et le process de fabrication était déjà prêt. Le vaccin a été testé en Ukraine sur des hamsters et les hamsters sont tous morts. Baxter a allégué des problèmes de surveillance. Aux Etats-Unis et en France était passée une loi instaurant une immunité pour les fabricants de vaccins. L'OMS décrétait un niveau de pandémie 6 alors qu'il n'y avait aucun cas, ce qui lui permettait d'imposer des directives.

Sur l'hépatite B il y a 80 000 enfants avec des scléroses en plaque. Le vaccin anti-papillona pour l'utérus concerne seulement deux ou trois types de papillona alors qu'on en a des centaines dans le corps. Il y a du borax dedans (de la mort-aux-rats) - voir le procès dans les Landes. DT Polio à 7 euros remplacé par un autre plus cher qui vaccine aussi contre l'hépatite b (cf travaux du Pr Joyeux). Problème du mercure dans les vaccins aussi, du squalène, du formol etc.

Actualisation 28 oct 2022 - voir aussi ce que dit sur CNews Laurent Toubiana du rapport du Sénat sur cette épidémie (commission d'enquête présidée par F. Autain, année 20, qui met en cause les mêmes acteurs que pour le Covid 19.

On y lit notamment

p. 152 "les experts soumis à des liens d’intérêt directs ou indirects
avec les fabricants n’ont pas contribué à clarifier les nombreuses incertitudes
liées à l’évaluation du risque, bien au contraire"

p. 154-155 :

"Si la gravité de la pandémie était naturellement impossible à apprécier
à son début, il n’en reste pas moins que rapidement le Gouvernement a pu
disposer d’un certain nombre d’éléments de nature rassurante.

Dès le 22 mai 2009, le Center for Disease Control (CDC) estimait
« encourageant de constater que [le] virus n'[avait] pas l'air jusqu'à présent
plus sévère qu'une souche de grippe saisonnière », par ailleurs il indiquait que
les souches du virus issues de prélèvements effectués aux Etats-Unis et au
Mexique étaient très homogènes sur le plan antigénique, ce qui constituait un
gage de stabilité dans le temps et de la bonne réactivité du vaccin.

En juin 2009, l’Institut de veille sanitaire (InVS) indiquait qu’il « se
confirme que la majorité des cas sont bénins, et la létalité du même ordre de
grandeur que celle de la grippe saisonnière. La pandémie est qualifiée de
« modérément grave » sur l’échelle de l’OMS. Les hypothèses les plus
pessimistes sont abandonnées » (...)

La commande des vaccins s’est fondée sur un avis du Comité de Lutte
contre la grippe : saisi le 8 mai 2009 par le directeur général de la santé, ce
comité a rendu sa copie en 48 heures, se contentant d’effectuer un « copier-
coller » d’un avis pris par le Haut conseil de la santé publique en décembre
2008 concernant la grippe H5N1.


Dans ces conditions, il apparaît que la décision d’achat n’a pas été
fondée sur des considérations scientifiques : elle est de nature politique."

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