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Le blog de Frédéric Delorca

Les mythes spatiaux (suite) après le vol de William Shatner

14 Octobre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Le monde autour de nous, #Les Stazinis

Aujourd'hui A call for an uprising commentait la publicité accordée hier par CNN, le New York Times etc (les grands médias de la Matrice qui donnent le "la" à toute la presse mondiale) au voyage dans l'espace de l'acteur de Star Trek, William Shatner, 90 ans, dans la fusée Blue Origin New Shepard du patron d'Amazon Bezos et la controverse qu'elle a provoquée avec le Prince William membre de la famille royale (maçonnique) britannique.

Pour lui, tout cela est faux. Les images mêmes du décollage de sa fusée et de son retour sur Terre au Texas ne sont tout simplement pas crédibles : c'est du mauvais cinéma. Tout cette comédie serait selon lui seulement destinée à  faire fantasmer les gens sur l'espace et leur faire accepter les visites démoniaques que l'on présentera comme des contacts avec les extraterrestres (tout comme l'avait annoncé le mage Aleister Crowley, idole de la plupart de la pop culture omniprésente aujourd'hui, à travers la figure de son "alien" Lam).

C'est l'occasion de revenir sur le débat sur la question : toute cette  histoire de conquête de l'espace est-elle une vaste escroquerie ? autrement formulé : la NASA n'est elle qu'une vaste entreprise de blanchiment d'argent douteux ? On s'était penché là dessus en décembre 2018 : je vous renvoie aux sujets abordés dans ce billet sur les révélations du cinéaste Stanley Kubrick dans "Shining", l'appartenance à la franc-maçonnerie du cosmonaute Buzz Aldrin.

 

Le mois dernier, Allan Duke, qui est souvent bien informé même s'il est trop "néo-païen" à mon goût, précisait un peu cette thématique en rappelant que dans le film d'animation de Pixar de 1995 Toy Story, l'astronaute Buzz l'Eclair (en référence à Buzz Aldrin) découvre qu'il n'est pas un "ranger de l'espace" mais seulement un jouet. Or, remarque Duke, quand Buzz l'Eclair découvre qu'il n'est qu'un objet incapable d'aller dans l'espace, il le fait sur un fond qui reproduit les motifs de la moquette très "vintage" de Shining où l'on voit un enfant avec une fusée "Apollo 11" sur son pull. Autrement dit Pixar a pu ainsi subliminalement valider la révélation de Kubrick sur le fait que c'est lui qui a filmé l'alunissage.

Duke est très précis sur l'appartenance maçonnique de Buzz, puisqu'il dit qu'il avait la bague maçonnique des shriners, un ordre ouvert au delà du 33ème degré de la maçonnerie du rite écossais. Les shriners organisent la cérémonie de remise des Oscars à Hollywood (le dieu Ptah). Le lien NASA-cinéma passe donc par les sociétés secrètes. Il montre aussi la vidéo d'Aldrin disant à une fillette : "On n'est pas retourné sur la Lune parce qu'on n'y est jamais allés".

Allez, pour terminer et pour le plaisir, j'ajoute cette vidéo d'Italodance de 1985 "Under the Ice" de Topo and Roby (dont le leitmotiv aura servi au générique d'une émission à succès de la très maçonnique chaîne de TV française Canal +). La chanson est un éloge du monde de l'espace et des extraterrestres, avec une chanteuse tout en noir et blanc (un gant noir, un gant blanc), style loge de la franc-maçonnerie : quand elle lève la main droite (en blanc) en baissant celle de gauche, à la septième seconde du clip, on peut se demander si elle ne nous fait pas un "as above so below" occultiste (le bas est comme le haut) à la manière du Baphomet : la main droite vers la lune blanche en haut, la main gauche vers la une noire en bas. Sous des dehors sympathiques et divertissants le morceau est si maléfique qu'il fait même référence au pôle Nord de Saturne, un thème qu'on avait évoqué à propos des démêlées de Pénélope Fillon avec les disciples d'A. Crowley. (D'ailleurs si quelqu'un peu m'interpréter la pochette du disque ici, je suis preneur). Ce sont toujours les mêmes qui nous entretiennent dans les mythes spatiaux. .

J'ajoute que le titre "Under the ice" (sous la glace), qui parle d'un robot androïde aux circuits gelés sous la glace, peut renvoyer à certaines interrogations actuelles sur le fait que les ordinateurs quantiques censés nous ouvrir à de nouveaux univers parallèles (démoniaques ?) ne peuvent fonctionner que dans le froid, ce qui en a poussé d'aucuns à supposer que des manipulations climatiques pour nous amener un froid polaire (sous couvert de lutte contre le réchauffement climatique) en vue de favoriser des importations d'entités de ce "deuxième ciel"... mais je ne développe pas ce point un peu trop spéculatif, à mon sens, du moins pour le moment...

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Poignée de main maçonnique de Pelosi au Vatican

13 Octobre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Vatican, #Avortement, #Les Stazinis, #Peuples d'Europe et UE, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Le monde autour de nous, #Grundlegung zur Metaphysik, #Christianisme, #Débats chez les "résistants", #Colonialisme-impérialisme

La poignée de main entre Nancy Pelosi, speaker democrate de la chambre des représentants américaine, soi-disant catholique, qui a largement contribué à faire passer dans la législation l'avortement jusqu'aux derniers jours de la grossesse aux Etats-Unis avec le Pape François au Vatican le 9 octobre a fait couler beaucoup d'encre. La poignée de main entre les deux personnalités avait toutes les caractéristiques d'une salutation maçonnique selon les règles des sociétés secrètes. Certains comme Taylor Marshall l'identifient même à la poignée de maître à apprenti.

Ce geste des deux mains sur la poitrine (signe égyptien ?) intrigue aussi. Il fait aussi penser au geste de la catholique tendance 666 Arielle Dombasle dans une émission de France O en juin 2019 au moment où elle condamnait "l'intégrisme religieux" (cf la photo ici).

Après avoir rencontré Nancy Pelosi, le pape s'est adressé aux parlementaires qui étaient à Rome pour une réunion préparatoire avant la conférence annuelle de l'ONU sur le climat, qui commence à Glasgow, en Écosse, le 31 octobre. François a fait référence à un appel conjoint que lui et d'autres chefs religieux ont signé ce semaine qui appelle les gouvernements à s'engager sur des "objectifs ambitieux" (dictatoriaux et globalistes) lors de la conférence des Nations Unies, que les experts considèrent comme une opportunité cruciale pour lutter contre la menace du réchauffement climatique.

On apprend aussi que le pape vient d'être nommé guide moral de la fondation créée par Lynn Forester De Rothschild, épouse de Sir Evelyn Robert de Rothschild, un financier britannique très proche de Bill et Hillary Clinton, et de Jeffrey Epstein (puisque son nom figure sur les Lolita Express). Cette fondation s'appelle les "Gardiens". Elle comprend Rajiv Shah, président de la Fondation Rockefeller et ancien partenaire de l'escroquerie de Bill Gates en Afrique appelée AGRA dont on a parlé ici, Darren Walker, PDG de la Fondation Ford, un des pilliers de l'impérialisme américain dans le monde, et le gang bien connu de la vaccination obligatoire, du traçage des gens et de la suppression des monnaies nationales : Visa, Mastercard, Bank of America, DuPont, The Estée Lauder Companies, Johnson & Johnson et BP.

Au moment de la visite de Pelosi, une partie des 500 000 militants anti Green pass (pass sanitaire) réunis dans les rues de Rome, guidés, selon Zagami, par Nicola Franzoni prenaient bizarrement d'assaut les locaux de la CGT italienne plutôt que ceux du Capitole... Le site "FromRomeInfo" explique que Leo Zagami (ex-franc maçon proche de l'AltRight Américaine et d'Alex Jones) veut un coup d'Etat quand Franzoni (entrepreneur ligure anti-FM qui cumule les persécutions judiciaires depuis son engagement anti-dictature sanitaire), serait partisan de la non-violence.

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La nouvelle guerre "cognitive" de l'OTAN

12 Octobre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma, #Colonialisme-impérialisme, #Le monde autour de nous

Benjamin Norton dont on cite parfois les interventions sur Twitter, publie sur The Gray Zone un article intéressant sur le  nouveau type d'action que mène l'OTAN  baptisé "la guerre cognitive". Jusqu'à récemment, explique-t-il, l'OTAN avait divisé la guerre en cinq domaines opérationnels différents : air, terre, mer, espace et cyber-guerre. Elle vise maintenant un sixième domaine : l'humain. Autant dire qu'il s'agit désormais de cibler les gens. Le rapport sur le sujet publié par l'Organisation en 2020 dit explicitement que « l'objectif de la guerre cognitive est de nuire aux sociétés et pas seulement à l'armée ».

Les militaires occidentaux doivent, selon ce rapport, travailler plus étroitement avec les universités pour armer les sciences sociales et humaines  en vue d'accroître « la militarisation de la science du cerveau » pour  « une cinquième colonne intégrée, où chacun, à son insu, se comporte selon les plans de l'un de nos concurrents » (la Chine et la Russie).

En septembre dernier, rappelle Ben Norton, au Canada (qui vient d'interdire, rappelons le, à tous les non-vaccinés de sortir de son territoire), le Commandement des opérations interarmées de l'armée de ce pays a profité de la pandémie de Covid-19 pour mener une guerre de l'information contre sa propre population nationale, testant des tactiques de propagande sur les civils, comme l'a révélé le site Ottawa Citizen.

Deux fois par an, l'OTAN organise ce qu'elle appelle un« défi de l'innovation ». Ces campagnes – l'une organisée au printemps et l'autre à l'automne, par des États membres en alternance – font appel à des entreprises privées, des organisations et des chercheurs pour aider à développer de nouvelles tactiques et technologies pour l'alliance militaire. Le prochain Défi d'innovation de l'automne 2021 de l'OTAN est organisé par le Canada et s'intitule « La menace invisible : outils pour contrer la guerre cognitive ».

Le communiqué de presse du gouvernement canadien précise que : « Son objectif est de semer la dissonance, de susciter des récits contradictoires, de polariser l'opinion et de radicaliser les groupes. La guerre cognitive peut motiver les gens à agir de manière à perturber ou fragmenter une société par ailleurs cohésive. »

François du Cluzel, ancien officier de l'armée française à l'origine en 2013  du NATO Innovation Hub  (iHub) associé de près aux opération de l'OTAN, qu'il gère depuis depuis sa base de Norfolk, en Virginie, dans une conférence du 5 octobre dernier a précisé que la « guerre cognitive est un nouveau concept qui commence dans la sphère de l'information,. C'est une sorte de guerre hybride ».  « Cela commence par l'hyper-connectivité. Tout le monde a un téléphone portable », a-t-il poursuivi. « Cela commence par l'information parce que l'information est, si je puis dire, le carburant de la guerre cognitive. Mais cela va bien au-delà de la seule information, qui est une opération autonome – la guerre de l'information est une opération autonome... il s'agit de tirer parti des mégadonnées ».

Cela va au delà du simple espionnage des sociétés des adversaires ou de la "cinquième colonne" au sein de nos propres sociétés. 

Selon du Cluzel, qui a précisé les choses dans une étude officielle de l'OTAN de novembre 2020 : « Il est crucial de comprendre qu'il s'agit d'un jeu sur notre cognition, sur la façon dont notre cerveau traite l'information et la transforme en connaissance, plutôt qu'un simple jeu sur l'information ou sur les aspects psychologiques de notre cerveau. Ce n'est pas seulement une action contre ce que nous pensons, mais aussi une action contre notre façon de penser, la façon dont nous traitons l'information et la transformons en connaissance. En d'autres termes, la guerre cognitive n'est pas simplement un autre mot, un autre nom pour la guerre de l'information. C'est une guerre contre notre processeur individuel, notre cerveau.» « Tout utilisateur des technologies de l'information modernes est une cible potentielle. Il cible l'ensemble du capital humain d'une nation ». On peut par ces technologies « atténuer l'agressivité et favoriser les cognitions et les émotions d'affiliation ou de passivité ; induire de la morbidité, de l'invalidité ou de la souffrance ; et « neutraliser les opposants potentiels ou entraîner leur mort ».

Le rapport citait le général de division américain Robert H. Scales, qui résumait la nouvelle philosophie de combat de l'OTAN : « La victoire se définira davantage en termes de capture du terrain psycho-culturel plutôt que géographique ».

Pour atteindre le but il s'agira de mobiliser un savoir en sciences humaines, mais aussi les nanotechnologies, la biotechnologie, les sciences cognitives.

Si, comme l'a souligné il y a peu un humoriste, "la police vous parle tous les jours sur BFM TV", il s'avère que derrière les médias et derrière nos instruments technologiques de connexion, ce sont, non plus les policiers, mais directement les armées nationales et l'OTAN qui nous surveillent et nous manipulent. Cette emprise croissante en Occident des armées sur les esprits et les interactions sociales est d'ailleurs facilitée au niveau du conditionnement mental par des opérations du type du remplacement des cars scolaires par des équipements conduits par des militaires aux Etats-Unis ou celui de soignants qui refusent le vaccin par des militaires, ou encore en Espagne l'an dernier l'utilisation de 2 000 soldats pour traquer les nouveaux cas de Covid.

 

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La mainmise de Bill Gates sur le sommet alimentaire mondial de l'ONU

12 Octobre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Bill Gates, #Le monde autour de nous, #Colonialisme-impérialisme

Après l'enquête de l'ECLJ parue cet été sur l'influence de Soros sur les agences de l'ONU en matière de politique du genre, défense des minorités sexuelles, et dynamitage des familles, voici l'article du site Grayzone sur la manière dont Bill Gates a pris le contrôle du 4ème  sommet alimentaire mondial de l'ONU réuni le 23 septembre dernier.

Dans cet article, Nls McCune et Camila Escalante expliquent que le Forum économique mondial de Klaus Schwab (forum de Davos) a détourné les acquis des luttes des mouvements populaires pour faire ouvrir les portes de l'ONU à la société civiles, en faisant valoir que les grandes multinationales elles aussi étaient des  "acteurs sociaux" comme les syndicats et mouvements paysans. Parmi ces derniers la Via Campesina (200 millions d'agriculteurs) avait obtenu en décembre 2018 après 18 ans de négociations la reconnaissance d'un droit pour les ruraux à accéder à l'eau, à la terre, aux semences. 70 % de la nourriture mondiale aujourd'hui est produite par de petits agriculteurs sur un quart des terres agricoles totales.

La Fondation Bill et Melinda Gates pour sa part a créé en 2006 l'Alliance pour une révolution verte en Afrique, ou AGRA, qui a promis de doubler les rendements et les revenus de 30 millions de familles tout en réduisant de moitié l'insécurité alimentaire dans 13 pays africains avant 2020.

L'AGRA a collecté 1 milliard de dollars de dons, et en a dépensé 524 millions dans des programmes promouvant l'utilisation de semences génétiquement modifiées et hybrides, d'engrais commerciaux à base de combustibles fossiles et de pesticides chimiques. Elle a poussé les gouvernements africains à verser un milliard de dollars supplémentaires par an pour subventionner les produits agrochimiques et les semences importées provenant de sociétés agroalimentaires américaines et européennes, ainsi que des politiques de privatisation des terres communales et de réduction des impôts sur les sociétés.

Bilan : une étude de l'Université de Tufts (Massachussets) de 2020 a montré que, dans les 13 pays cibles de l'AGRA, la faim avait augmenté de 30%, les agriculteurs étant poussés à abandonner les polycultures traditionnelles et nutritives pour se concentrer sur les champs de monoculture de semences de maïs importées.

C'est pour résister à ce phénomène que Via Campesina a tenté de gagner sa place dans les instances de l'ONU comme délégué observateur, explique l'article. Trois rapporteurs spéciaux consécutifs des Nations Unies sur le droit à l'alimentation ont largement approuvé les propositions de La Vía Campesina : la réforme agraire redistributive et l'agriculture agroécologique peuvent mettre fin à la faim tout en réduisant l'impact écologique. Mais en juin 2019, le bureau du secrétaire général de l'ONU António Guterres, sans discussion préalable à l'Assemblée générale ou tout autre processus intergouvernemental, a signé un partenariat stratégique avec le Forum économique mondial. C'est dans ce cadre qu'a été organisé le sommet du 23 septembre. Contrairement aux précédents sommets sur l'alimentation, aucun organe intergouvernemental n'a convoqué le sommet.

L'actuelle présidente de l'AGRA, la rwandaise Agnes Kalibata, a été nommée envoyée spéciale du secrétaire général au sommet. Plus de 500 organisations de la société civile en mars 2020 ont dénoncé le programme de ce sommet dont l'objectif (en réalité dépopulationniste) est désormais le zéro carbone. Son but est une mainmise totale sur la biodiversité.

Rappelons que le contrôle des multinationales sur l'alimentation concerne à la fois le Tiers-Monde et les pays riches, car en janvier dernier, plusieurs grands médias américains ont révélé que Bill Gates était le plus grand propriétaire de terres agricoles aux Etats-Unis en lien avec les projets de fabrication de nourriture industrielle artificielle imprimée en trois dimensions qui exploitent du sérum bovin foetal en lieu et place de l'agro-pastoralisme accusé d'émettre du méthane à l'origine du réchauffement climatique. Ce genre de thématique trouve des soutiens dans divers réseaux vendus au système mondialiste comme le Vatican - voir la conférence sur l'alimentation du 11 novembre dernier à l'Académie pontificale des sciences. Nous avons déjà souligné sur ce blog quels intérêts servait l'écologie instrumentalisée par les multinationales, à propos du WWF, et de Greta Thunberg. Dans le cadre de la grande réinitialisation (Great Reset) voulue par le Forum de Davos, le responsable du premier investisseur mondial Blackrock envoie une lettre annuelle aux PDG des grandes entreprises les sommant de publier leur "business model" pour arriver à une émission de carbone nette nulle", tout en continuant lui-même d'investir dans les énergies fossiles et de défendre le libre-échange pollueur. Ces contradictions révèlent que ces lobbies n'ont aucun objectif écologique en tête (tout comme nos gouvernants n'ont pas d'objectifs sanitaires) : le seul objectif est la dépopulation et la dictature mondiale.

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Des Yézidis, des Kurdes, des Syriens, la frontière polonaise

10 Octobre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Aide aux femmes yezidies, #Peuples d'Europe et UE

Un Yézidi de Sinjar coincé dans une forêt avec en Europe de l'Est des gens de son clan explique "notre situation en Irak était difficile, nous sommes venus ici. Aidez nous s'il vous plait. Il y a ici des filles, des enfants, des vieux. Ils vont vous raconter leur histoire. Un Kurde de Zakho ajoute : "Nous sommes ici depuis dix jours, des gens sont morts. On ne nous laisse pas entrer en Pologne ni retourner en Biélorussie. On a faim et soif. On ne nous donne ni nourriture ni eau. Ceux-là sont des Syriens." Les Syriens disent : "Portez nous secours, nous sommes ici avec nos frères Yézidis. Il n'y a pas de nourriture ici." Une femme yézidie ajoute "Une personne meurt ici chaque jour".

 

Le chef du Parti de la Loi et de la Justice et vice-premier ministre en Pologne  Jarosław Kaczyński affirme que les autorités de Minsk envoient des "migrants économiques" en Pologne pour se venger du soutien de Varsovie à l'opposition biélorusse. Il parle d'une "guerre hybride". Il précise que les autorités biélorusse les amènent dans une zone tampon comme cette forêt où ils peuvent avoir une chance de traverser la frontière. Ils sont délibérément placés dans une position précaire pour faire pression sur Varsovie.

Ces gens ne sont pas des pauvres, précise Kaczyński, car ils ont pu payer leur billet jusqu'à Minsk. Ils font simplement l'objet d'une énorme manipulation.

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"Vaincre Macron" du chrétien communiste Bernard Friot

9 Octobre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #La gauche, #Programme pour une gauche décomplexée, #Philosophie et philosophes, #Christianisme, #Débats chez les "résistants"

Il existe une détermination apocalyptique du sens de l'histoire, mais on ne peut en déduire qu'il faille s'abandonner à la contemplation passive des complots antéchristiques pour, au sein des élites, réduire l'humanité en esclavage (qui ne sont qu'une partie des complots des forces des Ténèbres menés à tous les niveaux contre l'humain, et dont nous sommes complices par nos vices et nos aveuglements) : le devoir de charité nous impose de continuer, humblement, à tenter d'aider la société dans laquelle nous vivons et oeuvrer à son organisation pour limiter les effets désastreux (aliénants) de l'exploitation économique et morale. C'est pourquoi on ne peut pas négliger l'analyse économique pour s'en tenir à une posture purement moralisatrice, même si la morale est aussi nécessaire et non entièrement réductible à l'économie.

Et donc, à titre personnel, même si j'ai dépassé le clivage droite gauche, je continue d'évoquer de temps en temps la réflexion sur la transformation sociale que j'avais menée dans mon livre (ma brochure) "Programme pour une gauche française décomplexée" (paru il y a quatorze ans au Temps des cerises, et republié depuis) et continue à dialoguer avec la pensée marxiste, comme je l'ai fait il y a peu à propos du "chrétien révolutionnaire" communiste Loïc Chaigneau. Je veux aujourd'hui parler d'un autre chrétien communiste, ex prof de sociologie à Paris X-Nanterre, membre du PCF, Bernard Friot, et plus précisément de son livre publié en 2017 "Vaincre Macron".

L'intérêt premier de ce livre, dont je trouve le titre un peu réducteur, est de rappeler que le travail doit appartenir aux travailleurs. Par là ceux-ci peuvent s'approprier le pouvoir social sur le monde et sur eux-mêmes, ce qui est une façon de poser la question sociale en des termes diamétralement opposés aux théories de la régulation et au misérabilisme du discours en faveur du revenu universel garanti que même Soros soutient en vue d'imposer un gouvernement mondial (mais c'est la même chose pour ceux qui soutiennent le projet au niveau national). Comment prétendre encore sauver le pouvoir du travailleur sur le fruit du travail quand la religion actuelle de l'intelligence artificielle menace de supprimer tout travail humain ? Voilà une question qui vient immédiatement à l'esprit et l'on peut se demander si l'espoir communiste de réappropriation du travail ne procède pas d'une volonté chimérique de repousser une apocalypse déjà largement commencée dans le processus du Great Reset du Forum de Davos, mais c'est un point que nous ne pourrons aborder qu'après avoir détaillé plus en détail les thèses du "Vaincre Macron".

Le point important du livre de Friot est qu'il part de l'existant, et notamment de l'héritage communiste qui existe en France à travers la grande conquête que fut la création de la Sécurité sociale sous la houlette du PCF en 1946 (une expérience que j'avais évoquée dans mon livre sur la résistante communiste Denise Albert), un héritage que la culture bourgeoise mainstream déforme, mais qui au départ était conçue pour permettre aux salariés de contrôler directement la redistribution au titre de l'assurance maladie et des retraites d'un tiers du fruit de leur travail prélevé sous forme de cotisations obligatoires. Friot fait un récit brillant et synthétique de cette conquête sociale qui ne doit rien contrairement à ce que prétend l'histoire officielle à une harmonie préétablie gaullo-communiste.

L'autre conquête de nature communiste quoique moins directement liée à l'exercice formel du pouvoir politique par le PCF c'est la définition du salaire comme attaché à une qualification, donc à une participation au procès de production, une valeur propre de l'individu dans son emploi et même au delà et non pas à la valeur de la force de travail, salaire attribué à vie indépendamment de sa part dans la valorisation du capital (que ce soit pour un médecin à qui la sécurité sociale fournit une rémunération après même la fin de son activité professionnelle, par répartition de la part de richesse socialisée, pour un fonctionnaire à travers son statut).

Le salariat n'a donc pas été seulement une prison pour la classe ouvrière comme l'a prétendu par exemple Castel, mais par les revendications syndicales (spécialement de la CGT au XXe siècle), qui ont abouti à la définition du patron comme employeur (astreint aux obligations du code du travail), il a abouti à une sorte de front commun des salariés, ouvriers et cadres confondus a pu se créer (p. 44), ce qui explique que le capitalisme aujourd'hui s'acharne à détruire le salariat pour le remplacer par la sous-traitance et le travail indépendant comme au XIXe siècle.

Il y a donc eu une mise en place d'une sortie du capitalisme déjà présente. Par exemple avec la fonctionnarisation des soignants (même libéraux) qui inaugure les "prémices d'une production communiste de la santé".

Le problème avec le néo-libéralisme, nous dit Friot, c'est moins le déplacement de la répartition de la valeur au bénéfice du capital, mais celui du contrôle accru de la bourgeoisie sur la production. Face à cela il ne faut pas demander une meilleure répartition de la richesse mais une meilleure valorisation du producteur. La caisse d'amortissement de la dette sociale est une machine à payer des intérêts aux créanciers. Le gel des cotisations remet en selle les régimes complémentaires aux coûts de gestion bien plus onéreux que le régime général de sécurité sociale. L'indemnisation des chômeurs au pro rata des cotisation brise la logique d'un salaire à la qualification personnelle à vie hors du cadre de l'emploi, de même que l'indexation (en 1986) des retraites sur les prix et non sur les salaires pour ne plus en faire un salaire continué, le projet de Macron de transformer la retraite en récupération des cotisations versées, l'alignement du salaire sur la performance etc. Le RMI est une "aide aux pauvres" dont le concept se substitue à celui de salaire.

Pour contrer cette réaction Bernard Friot propose un combat pour un statut économique des personnes non négociable et inscrit dans la constitution ainsi que pour la propriété d'usage de l'outil de travail par le travailleur (qui choisira les stratégies, les investissements, les financements) et pour un recentrage complet de la démocratie autour du travail (au point qu'il n'y aurait plus d'impôts mais uniquement des prélèvements de l'entreprise que l'Etat tirait le financement de ses services publics et du salaire à vie, et les banques seraient remplacées par des caisses d'investissements gérées par les travailleurs, ce qui prolongerait le geste de collectivisation inauguré par la Sécurité sociale de 1946 au delà du seul domaine de la santé).

Je trouve le travail de Friot très utile pour éclairer le sens des mots des luttes sociales à la lumière de leur histoire réelle, en se désintoxiquant du lexique bourgeois médiatique. Il souligne aussi l'importance de réfléchir à la souveraineté du travailleur entendu au sens large (amener ses enfants à l'école c'est un travail), une souveraineté-dignité qui se retrouve tout d'abord dans les mots (refuser de parler de "dépenses de santé" en lieu et place de "travail de soin médical", refuser la "victimisation" du pauvre, la simple demande de rééquilibrage des répartitions de richesse etc). Mais il me semble que son discours est plus spirituel (il a failli devenir prêtre voyez la vidéo ci-dessous) que marxiste en ce sens que sa revendication vise principalement à l'inscription dans le droit d'un statut du travailleur libéré des caractéristiques de l'emploi et de sa participation à la valorisation du capital. C'est un marxisme réformiste et non de rupture, très axé sur le juridisme, qui pense changer les choses en changeant la loi. L'apport chrétien "dé-virilise" ici un peu le marxisme. Et je ne suis pas étonné que Friot avoue sans s'en repentir avoir adhéré aux sottises de l' "eurocommunisme" dans les années 1970.

C'est à divers égards une dévaluation du marxisme (même s'il en réhabilite l'utilité pour la réflexion sur la praxis quotidienne des gens), qui, en retour, dévalue aussi le christianisme, parce qu'il laisse entendre en filigrane qu'on contribue à la venue du Royaume de Dieu en oeuvrant à l'émancipation du travail du cadre capitaliste, ce qui est une façon de dire que le Royaume pourrait n'être "que ça". Or rappeler que l'Evangile ne cesse de parler du "travail" et de la justice (mais n'oublions pas que la justice de Dieu n'est pas celle des hommes... voyez les ouvriers de la 11ème heure...) est utile, penser la charité (au sens le plus fort du terme) à ce niveau l'est aussi, mais rabattre le christianisme sur cette dimension (ce fut une tentation très forte chez les chrétiens de gauche dans les années 1970) n'est pas seulement blasphématoire et suicidaire pour les âmes individuelles : cela conduit aussi à désarmer les peuples dans le combat titanesque qui s'annonce contre le globalisme luciférien avançant aujourd'hui sous le drapeau de la pseudo-pandémie. Le travail de Bernard Friot est donc à prendre pour le moins avec des pincettes...

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Les "Duke" et les symboles

8 Octobre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Christianisme, #Débats chez les "résistants"

Une très bonne vidéo ici d'Allan Duke (sans doute un pseudo) sur l'union du masculin et du féminin sacrés et l'étoile de David chez les francs-maçons (illustré par le compas et l'équerre et l'étoile de David, le carré et le cercle, l'homme de Vitruve etc). Il montre que Mickey (My-Key, ma clé) a une tête à trois cercles en forme de triskèle. Cette forme est liée aussi aux trois phases de la lune, la femme à ses trois âges. La souris, qui accompagne le dieu éléphant Ganesh en Inde, représente l'Atman, le souffle divin, qui, sous le nom de Timothée (celui qui honore Dieu) chez Walt Disney (l'ancien des clubs De Molay) souffle ce qu'il doit faire à l'éléphant Dumbo, "le bête". La petite créature ou la souris qui conseille revient toujours dans ce genre de dessin animé. La petite souris est la source mère. Allan Duke remarque que l'astronaute Buzz Aldrin sur lequel on avait précisé ici qu'il était franc-maçon comme tous à la NASA, portait une montre Mickey.

Il résume aussi l'utilité des symboles dans la diffusion énergétique. De bonnes remarques aussi sur les égrégores liés aux tatouages. Je n'approuve pas le néo-paganisme des "Duke" qui les porte vers la magie et l'alchimie (avec tout ce que cela implique de négation du grand apport du zoroastrisme au judaïsme, au christianisme et à l'Islam : le dualisme), mais on peut retenir le contenu informatif de leurs vidéos qui sont assez érudites. La question qu'on peut se poser, c'est de savoir si nous devons, pour restaurer un peu de Bien en ce monde, récupérer les symboles qui nous sont balancés dans un sens négatif via la matrice culturelle en en inversant le sens, ou s'il suffit de rester dans une pratique spirituelle "pure" sans s'occuper des symboles et de leurs effets sur nous. Le théologien orthodoxe canadien Jonathan Pageau sur YouTube pose aussi ce genre de question.

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Satanisme à l'opéra

3 Octobre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Le monde autour de nous

On parlait l'an dernier de l'occultisme dans la musique classique. Voici un nouvel exemple avec l'opéra. Cela s'est passé dans une ville de province hier soir, à quelques semaines de Halloween, peu importe où, de toute façon il suffit de regarder la vidéo pour le savoir, ça aurait pu être n'importe où en France. C'était une représentation du Trouvère de Verdi, dans le théâtre régional le plus officiel qui soit, payé par les impôts des habitants. A partir de la 38 ème minute, on vous sert en "live" un sabbat de sorciers avec cornes de Baphomet comme les cérémonies du CERN.

Rien ne manque, ni le clin d'oeil à l'anarchie.

Ni celui à la Wicca (la néo-sorcellerie contemporaine) ni le sacrifice humain  (je vous laisse retrouver cela par vous-mêmes dans la vidéo, je ne prends que quelques captures d'écrans pour le jour où YouTube supprimera la vidéo). Ajoutons d'ailleurs que parallèlement au dessus de la scène de grands écrans diffusaient des images "dystopiques" de ce que sera la ville dans quelques décennies livrée aux flammes et à la misère (une façon de faire accepter aux gens la catastrophe comme le show de Madonna à l'Eurovision 2019.

Un chrétien présent sur place qui m'a parlé de cette représentation a précisé qu'il avait ressenti physiquement le malaise, car, bien sûr, ces spectacles sont en réalité de vrais rituels destinés à agir sur la psyché, sur l'âme et sur la vie des gens, comme les concerts de Lady Gaga. Ce sont autant des cérémonies que des spectacles et souvent des ustensiles de sabbats authentiques sont utilisés sur la scène, je vous renvoie à mes remarques sur le miroir de Bela Lugosi. Il devait être le seul à le ressentir car les gens, accoutumés à Harry Potter ou à Billie Eilish et à tous les pentagrammes et toutes les pyramides glissés subrepticement dans les films, ont fait de ces images leur "alcool" habituel, tout comme ils ont trouvé "normal" qu'à l'entrée l'ouvreuse les ait félicités à chaque fois qu'ils présentaient leur pass sanitaire.

Les mêmes trouvent normal que Biden déclare hier :  "Doesn't matter whether it's in 6 minutes, 6 days or 6 weeks, we're going to get it done" (affichant ainsi le 666), ou antérieurement en juillet "‘I don’t care if you think I’m Satan reincarnated’" ou l'obsession publique du président américain pour le fait de boire le sang des enfants.

A ce stade d'anesthésie (et d'envoûtement) de l'opinion publique, tout passe. Les cohortes de zombies sont là pour nous dire "c'est de l'humour", "c'est normal", "détendez vous" comme me l'avait lancé le possédé le jour où je faisais une conférence où je mentionnais le lien de Soros avec le Pizzagate. Les thèmes infernaux sont omniprésents : soit on ne les voit pas, soit il faut en rire, mais il est bien sûr interdit d'y voir "les signes des temps" que la Bible (Matt 16:2-3) nous exhorte à décoder !

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