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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #divers histoire tag

L'utilisation des gaz militaires pendant la guerre d'Algérie

19 Mars 2025 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Divers histoire, #Colonialisme-impérialisme, #Débats chez les "résistants"

Un très bon documentaire de Claire Millet pour France Télévision, et une très bonne interview au micro de Youssef Boussoumah (chaîne Paroels d'Honneur) dont on a déjà salué le travail sur le Proche-Orient.

Puisque cette documentariste mentionnait son intérêt pour les crimes de guerre, notamment quand elle était en Afghanistan (c'est ce qui l'a aiguillée vers l'Algérie), je lui ai écrit pour lui signaler aussi ceux de l'OTAN en Serbie en 1999 (indépendamment même de la problématique des armes à uranium appauvri) - notamment avec les substances étranges déversées sur Gornji Milanovac.

Je suis plus réservé sur les propos de la réalisatrice concernant l'usage du gaz en Syrie compte tenu des enquêtes de Seymour Hersh là dessus, mais ce n'est pas un point central pour le thème abordé.

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Elsa Triolet, Trump

21 Janvier 2025 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Les Stazinis, #Donald Trump, #1950-75 : Auteurs et personnalités, #Divers histoire, #Lectures

Je lis "Le Destin Personnel" d'Elsa Triolet. C'est la revue communiste "La Pensée" de 1970 (celle qui prononçait son éloge funèbre) qui m'en a donné l'idée. Elle disait qu'Elsa Triolet avait pâti de l'ombre que lui faisait Aragon - l'Eragon et la triolette comme disait Céline - qu'elle était une véritable écrivaine, qu'elle écrivait du réalisme socialiste, le sien, ce qu'elle entendait par là, elle qui n'avait jamais été membre du PCF. J'ai acheté ce qu'on trouve en poche d'elle. "Le Destin personnel". C'est vrai que c'est bien écrit. C'est particulier, ça vous captive d'une page à l'autre. Ca vous tient en haleine.

Je retrouve des mots du XXe siècle, des mots de la génération de mes parents comme "se pomponner". Et même des gestes de cette génération-là, des choses qu'on ne ferait pas aujourd'hui, comme de marcher tous les soirs jusqu'au portail pour attendre le retour quotidien de quelqu'un. Ce n'est rien, quelques pas. Je sais qu'aujourd'hui on ne le ferait pas : on resterait chez soi à regarder son téléphone portable en attendant qu'il rentre dans la maison. Simplement parce qu'on trouverait inutile ou trop servile de marcher. Notre monde est ainsi fait.

Peut-être que si je lis Elsa Triolet, c'est pour sortir du monde actuel, de l'investiture de Donald Trump, du soutien des socialistes à Bayrou, de tous les sentiments de tension que ces nouvelles futiles provoquent chez les gens. Voyez par exemple le déchaînement de satisfaction mêlée de haine violente parce Von Der Layen n'a pas été invitée à l'inauguration présidentielle. Dieu sait combien j'ai combattu l'européisme, le covidisme, la corruption, mais ces sentiments trumpistes contre une "élite" qu'on veut aujourd'hui troquer contre une autre me semblent assez malsains.

Donc ce soir je lis la Triolette...

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Jacques-Marie Bourget : un vestige de ce que fut le vrai journalisme

16 Janvier 2025 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Divers histoire, #Colonialisme-impérialisme, #1950-75 : Auteurs et personnalités, #Le monde autour de nous, #Proche-Orient

Je m'en étais déjà bien rendu compte quand j'étais conseiller du maire de Brosseville : le dernier pays qui institutionnellement, viscéralement défend la mémoire de la résistance à l'impérialisme, au colonialisme, et la défense des opprimés, reste l'Algérie.

Je ne suis donc pas plus surpris que cela de voir que c'est un média algérien, la chaîne de Rafaa Jazayri (cf ci-dessous), qui interviewe (il y a 11 mois) ce monument du journalisme français qu'est Jacques-Marie Bourget, l'homme qui fut le premier Occidental sur place après les massacres de Sabra et Chatila en 1982, puis qui révéla l'affaire du Rainbow Warrior en 1985 (un mérite qui fut ensuite usurpé par Edwy Plenel, mais c'est bien Bourget qui a reçu le prix du scoop à ce titre, et, dans l'interview qu'il donne ci-dessous il révèle que ce navire de Greepeace avait été coulé parce qu'il s'y trouvait des espions britanniques et un Français qui cherchaient à identifier les missiles de nouvelle génération sur le site des tests nucléaires dans le Pacifique). Après la chute de l'URSS Bourget a appris que Maxwell, le magnat de la presse, père de la rabatteuse d'Epstein, qui était agent du Mossad avait servi d'intermédiaire pour des livraisons d'armes de destruction massive russe à l'Irak (au début des années 1990, rien à voir avec la fausse affaire des armes de destruction massive de 2003). Il avait obtenu l'info par un membre du Shin Bet qui le paya dix ans de prison. Bourget, lui, le paya d'une balle d'un sniper israélien dans le poumon. Il a fini par obtenir au bout de longues années de procédure la reconnaissance par le fonds français d'indemnisation des victimes du terrorisme de la responsabilité israélienne et de la qualification d'acte terroriste. Les Palestiniens l'avaient généreusement secouru avec des litres de sang de leur peuple.

L'épouse de Bourget, décédée récemment, était algérienne et Bourget a pris des positions courageuses dans l'affaire Daoud-Sansal.

Je ne suis bien sûr pas d'accord avec lui sur tout, par exemple quand il dit qu'il n'y a pas de peuples qui aient subi "pire saloperie" que les Palestiniens... Quid des Papous et des Timorais en Indonésie ? Quid des Karens en Birmanie ? Des Tutsis au Rawanda ? Des Hutus à l'Est du Congo ? Des Indiens d'Amérique du Nord ? Sans même remonter à la Haute Antiquité... Mais je salue un homme qui a incarné un journalisme courageux et de haut niveau, comme Seymour Hersh aux Etats-Unis, Günter Wallraff en Allemagne, John Pilger en Australie.

Richard Labévière, du temps où je collaborais à Esprit Corsaire, m'en disait du bien. Les deux ont en commun le fait de pouvoir exposer une photo d'eux aux côtés d'Arafat, avec tout l'itinéraire qui va avec. En l'écoutant j'ai songé aux raisons pour lesquelles les Palestiniens ne sont pas très aimés des pays arabes - ils sont des Cananéens.

Quand Piccinin a publié son livre sur l'Ukraine en août dernier, il pensait le transmettre à Afrique-Asie, une revue proche de l'Algérie. Il ne l'a finalement pas fait, mais il est clair que ce n'est que vers cet horizon là que la parole des dissidents oubliés peut être entendue.

Ci-dessous donc les 3 interviews de Bourget par Rafaa Jazayri

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Syrian Girl (Mariam Susli) et le déclin du nationalisme arabe

27 Décembre 2024 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Proche-Orient, #Divers histoire, #Débats chez les "résistants", #Le monde autour de nous

A un certain moment dans mon livre sur Cuba, je m'amuse à comparer ce qu'un Que-sais-je? du début des années 1980 que j'avais dans ma bibliothèque d'adolescent, reflet de la doxa universitaire de l'époque, disait sur ce pays, avec l'idéologie actuelle. Il y avait aussi sur mes étagères un livre sur l'Irak, un sur la Libye, un sur la Syrie.

C'était une époque où les Etats-nations comptaient pour assurer aux gens la sécurité et le progrès matériel ou intellectuel, et tous ceux qui voulaient le bien des pays "en voie de développement" comme on disait, souscrivaient naturellement à leur légitimité dans le cadre de l'ordre "post-colonial" instauré en 1945 par l'ONU, même si on ne savait pas très bien quelles frontières donner à ces Etats (fallait-il créer une "nation arabe" comme l'avait tenté Nasser, une nation panafricaine etc ?).

L'influenceuse Mariam Susli alias "Syrian Girl" qui fut pendant des années une militante active de la défense d'Assad sur les réseaux sociaux et le demeure, petite fille d'un général de l'armée syrienne qui combattit en 1973, a quelque chose d'attachant parce qu'elle est restée profondément attachée à cette tournure de pensée et a sacrifié les meilleures années de sa très jeune vie (ainsi que le souligne Patrick Henningsen à la fin de l'interview ci-dessous). On retrouve d'ailleurs le même état d'esprit chez la journaliste proche du parti socialiste nationaliste syrien libanais Ghadi Francis.

C'est très touchant, à l'heure où la Syrie envahie par les HTC (c'est à dire les Turcs, Syrian Girl parle même de nouvelle invasion turco-mongole à cause de la présence turkmène et ouïghoure dans ces milices, en référence à la catastrophe pour le monde arabe à l'époque du sac de Bagdad par le petit fils de Gengis Khan) au Nord, et Israël au Sud, disparaît de la carte et où on redoute que le Proche-Orient ne soit plus comme au XIXe siècle qu'un champ de luttes entre empires (néo-ottoman, persan, russe et occidental).

Je vous laisse écouter Mariam Susli en anglais ci-dessous, notamment sa remarque savoureuse sur le fait qu'en 2019 Trump s'est vanté d'avoir sauvé la poche d'Idlib et ses terroristes, ce qu'elle rapproche du fait qu'il fut aussi le caniche de Fauci sur la question des vaccins (Trump fut le sauveur d'HTC comme il le fut de Bill Gates).

On a vraiment l'impression que le nationalisme arabe disparaît et avec lui les Arabes eux-mêmes qui, dominés par des milices sectaires dans de nombreux pays, finissent par être totalement vassalisés. Ils ne peuvent compter que sur Ansarallah au Yémen pour sauver encore leur honneur en bombardant avec des missiles étonnamment sophistiqués l'entité qui écrase les Palestiniens.

Le flambeau du sens de l'Etat nation dans le monde arabe ne paraît conservé que plus à l'Ouest, en Algérie. Et encore il y subit des assauts : accusations de financement de djihadistes par la France, prix Goncourt suspect accordé à un plagiaire de dossiers médicaux etc.

L'histoire n'est jamais figée, mais le ressac du nationalisme est assez spectaculaire en ce moment. Il ne l'est pas seulement dans le monde arabe d'ailleurs mais partout sur la planète. Tout le monde, dans l'intelligentsia du moins, semble accepter le retour des empires et le musèlement des peuples. C'est très étrange. Un symptôme de plus de la trahison des clercs.

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Kouchner, les organes du Kosovo, le Saint Germain des Près vendu aux Ténèbres

26 Décembre 2024 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Peuples d'Europe et UE, #Divers histoire

Kouchner fut l'ami de Bush et de la mafia des Clinton. Péan en a parlé jadis Aujourd'hui Jacques Hogard, ancien colonel rappelle : «B. Kouchner a été gouverneur du Kosovo» «Il organisait des enlèvements d’enfants, d’adolescents via l’UCK, prélevait des organes pour les revendre très cher» «Il faut regarder cette séquence où il est interrogé sur ce trafic et éclate de rire, d'un rire maléfique, satanique». Un des visages de ce que fut le Saint-Germain es Près qui nous a gouvernés depuis 40 ans, St Germain des Près luciférien vanté par Ismaïl Kadaré, et en même temps travaillé par la secte sulfureuse de la rue du Bac qui recrutait les meilleurs éditorialistes, tandis qu'au dernier étage de l'Ecole de Médecine on jouait au foot avec les têtes des morts offerts à la science, sous la protection d'Axel Kahn et des autres maçons de son club.

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Mon dernier livre : Prague, une ville au service de l'Empire / séance de signature

24 Novembre 2024 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Peuples d'Europe et UE, #Colonialisme-impérialisme, #Divers histoire, #Actualité de mes publications, #Le quotidien, #Ecrire pour qui pour quoi

Cet ouvrage vient de paraître aux éditions du Cygne. Voici la Quatrième de couverture :

Associée aux dissidences artistiques et intellectuelles, de Jan Huss à 1968, Prague fut aussi une ville impériale, au temps de la scolastique sous Charles IV, ou des alchimistes sous Rodolphe II. Elle le demeure à maints égards aujourd'hui, à l'heure du conflit ukrainien et de la guerre de Gaza.
A travers un récit de voyage qui mêle portraits de Tchèques contemporains et évocations du passé, Frédéric Delorca dépeint ici les paradoxes d'une ville aux multiples facettes.

Pour information, je ferai une séance de signature du livre et de mes autres livres au salon de la littérature russe au Centre spirituel et culturel russe, 1 quai Branly à Paris le 7 décembre à partir de 14 heures 30 au stand des éditions du Cygne. Je serai heureux de vous y croiser.

 

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La belle circassienne

16 Octobre 2024 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Abkhazie, #Divers histoire, #XVIIIe siècle - Auteurs et personnalités, #Les rapports hommes-femmes

 

On a parlé de Pierre Loti, de sa passion pour une Circassienne en Turquie. Du temps où l'on disait les choses ouvertement, il était fréquent de considérer les Circassiens (Abkhazes, Tcherkesses, Tchétchènes) comme les plus beaux êtres humains du monde (voyez le rapport "Circassiens syriens / Unité de renseignement française Damas – Quneitra 1935" ici) et le thème de la belle Circassienne prisonnière du harem du Sultan était si répandu qu'il fut même un sujet d'attraction dans les spectacles forains aux Etats-Unis.

Chose étrange, Paris eut aussi sa belle Circassienne à l'époque de la Régence. Ce fut Mademoiselle Aïssé (1693-1733), que le comte Charles de Ferriol, ambassadeur de France à Constantinople acheta en 1697 (à l'âge de 4 ans). Ferriol était habitué à acheter de belles esclaves au marché turc nous dit Sainte-Beuve "et ce n'était guère dans un but désintéressé" La belle fut mêlée dès sa prime adolescence aux salons parisiens et entretint des correspondances avec les grands esprits du XVIIIe siècle. Son personnage allait inspirer beaucoup d'oeuvres littéraires au siècle suivant.

L'historien légitimiste Capefigue nous dessine, comme nous l'aimons nous autres sociologues, l'espace de sociabilité dans lequel a grandi la belle orientale. Il y avait, nous dit-il, l'épicurien comte de Ferriol (le frère du diplomate qui l'avait achetée), sa femme, Mme de Ferriol   ("soeur de la célèbre chanoinesse et du futur cardinal" écrira Sainte-Beuve), belle, galante, intrigante  "très-protégée par le maréchal d'Uxelle en ce temps de moeurs faciles" (cela signifie qu'il était son amant), deux neveux (le comte d'Argental et le comte du Pont de Veyle), qui furent comme des frères pour Aïssé. "Cette famille appartenait tout entière aux moeurs libres de la Régence : ceux que Voltaire appelait ses chers anges ne se piquaient ni d'austère morale, ni de religion : gens d'esprit, insouciants ils se jouaient avec la vie et leur but était d'en descendre doucement de fleuve" écrit l'historien.  Dans une lettre à Mme Calandrini de Genève, elle dit qu'elle était "le jouet des passions" des  intellectuels qui fréquentaient le salon de son père adoptif. Un portrait l'a immortalisée à 16 ans.

Elle a d'ailleurs peut-être été d'abord l'amante de son propre père adoptif. Une lettre d'amour de celui-ci a été retrouvée et publiée en 1828. La lettre fut écrite quand Ferriol avait 60 ans et Aïssié 17. Sainte-Beuve pense que le comte y parle pour l'avenir pour contrer un rival, mais rien ne prouve, dit-il, qu'Aïssié, qui vivait à plus de mille kilomètres de son père adoptif, puisqu'il était en permanence à Constantinople à partir de 1700, ait accepté (on est donc très loin de la pédophilie brutale et vulgaire de notre époque). Elle habitait rue Neuve-Saint-Augustin, près de l'actuel métro Quatre Septembre chez Mme de Ferrol ce qui la protégeait de toute éventuelle entreprise de son père adoptif. Il a été souligné cette phrase d'Aïssié à Mme de Calandrini "Mon coeur ne pouvait être séduit que par la vertu ou tout ce qui en avait l'apparence". On est quand même loin de la dépravation que nous plaquons rétrospectivement sur la Régence.

Sainte-Beuve a aimé sa conversion à la vertu. Il a écrit "A l’époque la moins poétique et la moins idéale du monde, sous la Régence et dans les année qui ont suivi, Mlle Aïsé offre l'image inattendue d'un sentiment fidèle, délicat, naïf, discret, d'un repentir sincère et d'une innocence en quelque sorte retrouvée". Il y voit même une sorte d'allégorie du salut de la France par l'Orient : "il fallait que cette Circassienne, sortie des bazars d'Asie, fût amenée dans ce monde de France pour y relever comme la statue de l'Amour fidèle et de la Pudeur repentante" (bon, bien sûr ça ce n'est pas ce que la fiche Wikpedia polluée par l'idéologie actuelle en retiendra).

A 7 ans Aïssé (ou Haidée) quand elle représente sous le prénom de Charlotte la marraine du petit comte du Pont de Veyle à son baptême à St Eustache à Paris en 1700, elle ne sait pas signer mais sera instruite par la suite et manifestera dans ses lettres un style élégant et une personnalité délicate. "On ne peut peindre mademoiselle Aïssé, disait sa meilleure amie, qu'en jurant que l'âme d'un ange habitait son corps". Le romantisme allait ensuite célébrer son amour pour le chevalier d'Aydie. Voilà une charmante contribution du Caucase à notre histoire nationale.

 

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Kissinger à l'anniversaire du général Gallois il y a 20 ans

4 Septembre 2024 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #1950-75 : Auteurs et personnalités, #Divers histoire, #Colonialisme-impérialisme, #Peuples d'Europe et UE

Voilà comment on en vient à rattacher tout le monde aux Illuminati de façon un peu abusive : Pierre Hillard racontant (dans une interview chez Jim Leveilleur) comment il a rencontré, en 2004 ou 2005, par l'intermédiaire du général Gallois à l'occasion d'une réunion d'une quarantaine de personnes pour l'anniversaire du père de la dissuasion française où se trouvaient Marie-France Garaud, François,Dorcival patron de Valeurs actuelles, dans un centre gaulliste.

C'est un peu comme lorsque je m'étais retrouvé à serrer la main de Védrine chez Régis Debray en 2000... On l'oublie peut-être mais Kissinger il y a 25 ans s'était opposé au bombardement de la République fédérale de Yougoslavie.

Pour info un Russe a piégé Boris Johnson pour le faire parler de Kissinger et de l'Ukraine en se faisant passer pour Jacques Attali.

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