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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #grundlegung zur metaphysik tag

La luciférase dans le patch quantique de Bill Gates

8 Mai 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma, #Bill Gates, #Grundlegung zur Metaphysik, #Christianisme, #1910 à 1935 - Auteurs et personnalités, #Divers histoire

On a parlé le mois dernier, du  nouvel implant invisible appelé « tatouage à points quantiques» (un patch de micro-aiguilles) conçu par Microsoft pour suivre qui sera vacciné contre le coronavirus et qui ne le sera pas, sous le numéro du brevet WO/2020/060606.

Quand on commence à lire des informations à ce sujet on se croirait en plein "fake", en pleine contrefaçon complotiste, et pourtant qui peut invalider celle-ci ? Ce dispositif breveté qui se présente comme un "passeport immunitaire" (immunity passport) repose sur l'introduction sous votre peau d'une enzyme, la luciférase, qui est nécessaire pour qu'une machine puisse lire l'information inscrite dans votre tatouage. C'est une enzyme dont la bioluminescence est proche de l'infrarouge.

Le nom, qui renvoie à Lucifer, intrigue. Même le plus naïf, le plus anti-chrétien, le plus de mauvaise foi des lecteurs peut se demander "pourquoi avoir appelé une enzyme ainsi" ? Une question que Wikipedia en version française ne se pose évidemment pas. La première réponse qui vient à l'esprit, pour cette structure dont le génome a été décodé en 1987, c'est que Lucifer en latin, veut dire "porteur de lumière", comme l'entreprise allemande qui a équipé l'observatoire astronomique du Vatican aux Etats-Unis.

Ce peut être une façon de se rassurer si l'on décide par ailleurs  d'oublier qu'on a affaire là à des gens qui pratiquent l'occultisme dont ils affichent délibérément les signes (l'oeil d'Horus par exemple, ou pensez à Apple dont le logo évoque le jardin d'Eden vendant son premier ordinateur en 1976 à 666,66 dollars), et si l'on oublie que Lucifer est le dieu de la franc-maçonnerie si influente dans le milieu médical comme au sein de la Silicon Valley.

En réalité, si l'on se penche sur l'inventeur des mots "luciférine" et "luciférase", on découvre qu'il s'agit d'un certain Dr Raphaël Dubois. Dubois, professeur de physiologie générale et comparée à l'Université de Lyon, spécialiste des photobactéries, était au début du XXe siècle un anarchiste de salon, et un collaborateur de la revue "La Vie universelle, bulletin de l'Association internationale biocosmique" selon Vittorio Frigerio "Nouvelles anarchistes : La création littéraire dans la presse militante" p. 261. On peut trouver sur Internet une conférence de ce Dubois sur la paix en Europe, qui fait l'éloge de Pythagore - ce qui sent la référence maçonnique - (p. 4), et théorise sur les champs magnétiques terrestres y compris leur influence sur les épidémies (p. 7-8)... non non ne pensez pas à la 5G...

Voilà qui probablement exonère Bill Gates de l'accusation simpliste selon laquelle il aurait au sein d'une société secrète planifié d'introduire une enzyme au nom satanique dans son patch quantique, mais qui, en revanche, rattache clairement son entreprise à une tradition très marquée sur le plan de l'antichristianisme et des recherches occultes. De quoi encore renforcer la méfiance.

Au fait : a-t-on la moindre idée des effets secondaires de la présence de cette enzyme dans un organisme humain ? (tout comme d'ailleurs de ceux des effets de ce vaccin mal testé, préparé à la hâte, que les médias nous conditionnent chaque jour à désirer de toutes nos forces ?)

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Ne soyez pas égoïstes - faites circuler l'information : si un billet de ce blog vous intéresse, partagez le par mail ou sur les réseaux sociaux.

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Biopolitique : la dictature mondiale en marche

3 Mai 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Donald Trump, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Grundlegung zur Metaphysik, #Bill Gates, #Les Stazinis, #Christianisme

Pour que tout le monde aux Etats-Unis puisse être vacciné d'ici là fin de l'année, Donald Trump annonce la mise en place d'une «Opération Warp Speed», programme qui réunira des sociétés pharmaceutiques privées, des agences gouvernementales et l'armée pour tenter de réduire le temps de développement d'un vaccin à huit mois (c'est à dire sans le tester correctement, au risque de tuer plus de gens que le Covid-19, même problème en Europe d'ailleurs), le tout sous la responsabilité d'un général et d'un amiral ! Il le compare au Manhattan Project qui déboucha sur la réalisation de la bombe atomique américaine - une référence bien morbide s'il en est.

Il l'annonce en faisant avec les mains un signe occultiste. Et, ce faisant, il semble réaliser une programmation prédictive des Simpsons (une de plus) dans laquelle un homme voulait enfermer Springfield et en détruire la population - l'homme faisait le même geste avant d'annoncer cela. Dans la magie sataniste d'Aleister Crowley il s'agit du signe de l'eau de la déesse égyptienne Auramoth, gardienne des morts (les morts que nous sommes censés être ?).

Quoi qu'on pense des signes occultes, le fait que l'on place ce programme sous l'autorité des militaires est une réalité. Et ce n'est pas tout : il y a trois jours le Washington Post annonçait que des chiens étaient entraînés à détecter le coronavirus. Folie américaine ? Non, l'essai est aussi lancé en France ! Comme si les chiens pouvaient détecter les maladies. Comme après le 11 septembre on veut vous faire renoncer à vos libertés, vous habituer à vous faire flairer par des chiens qui vous feront placer en quarantaine au moindre aboiement.

En France encore, le nombre des amendes infligées approche les un million, on instaure  un partage des données médicales «sans le consentement» des malades. Personne ne résiste - la gauche ne sait que demander toujours plus de mesures de protection collective, la droite moins d'impôts, comme si l'essentiel était là...

Le professeur Raoult a beau expliquer que la choloroquine (et peut-être aussi l'artemisia annua ?) a été efficace contre le virus partout et que la seconde vague de la pandémie annoncée par Bill Gates n'est qu'"une fantaisie", les médias ne jurent que par elle. Au besoin on vous la produira dans un nouveau laboratoire façon Pirbright si c'est la condition pour vous faire accepter le vaccin, et le tracking qui ira avec (le tatouage à points quantiques, et l'application NSO, les drones et le reste).

Et pendant ce temps sur France Info TV ce soir (3 mai), à l'émission "Soyons Claire", Claire Chazal interviewe chez lui par Skype le sociologue soi-disant démystificateur de fausses croyances, Gérald Bronner, qui doit ainsi révéler sa déco intérieure (ses inspirations "artistiques"), et, que voit-on derrière lui pendant toute l'interview, bien en vue pour tous les spectateurs ? Un tableau qui représente un grand démon ailé. "You can't make this stuff up" comme diraient les Américains. Il suffit d'être éveillé : tous les signes sont donnés.

Continuez de vous armer spirituellement.

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Danny Boyle l'ami des épidémies

23 Avril 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma, #Les régimes populistes, #Bill Gates, #Grundlegung zur Metaphysik

Le 3 août 2012, le Dailymail s'exclamait devant la cérémonie d'ouverture des jeux olympiques de Londres orchestrée par le réalisateur anglais Danny Boyle : "Le reste du monde était peut-être perplexe, mais ce sont 20 minutes qui ont permis à la Grande-Bretagne de se sentir mieux dans sa peau. Les médecins dansants, les infirmières dans leurs uniformes à l'ancienne, les enfants mignons qui rebondissent sur 300 lits lumineux qui forment ces trois lettres sacrées: NHS.

Quoi d'autre aurait pu symboliser la Grande-Bretagne dans ce qu'elle a de meilleur que l'hommage de Danny Boyle au Service de santé national lors de sa cérémonie d'ouverture olympique à vous couper le souffle?

Au milieu des moulins sataniques sombres et des punks pogo, c'était un moment spécial pour remercier et louer quelque chose de britannique que le monde nous envie."

"La Grande-Bretagne dans ce qu'elle a de meilleur ?" voire... car il y avait sur scène beaucoup de représentations de démons et de pyramides, avec des infirmières qui mettent leur doigt sur la bouche en signe de silence comme tant de stars occultistes. Plutôt un spectacle Illuminati dans toute sa platitude habituelle et, peut-être, un avant goût des pandémies qui viennent ? D'ailleurs la scène avait la forme d'un grand coronavirus.

Boyle, grand admirateur des Beatles occultistes auxquels il a dédié un film en 2019, est aussi un grand amateur de pandémies. Dans 28 jours plus tard en 2003,  il imaginait un monde désert où la majorité de la population a été décimée par un virus. Libéré par des défenseurs de la nature infiltrés illégalement dans un laboratoire pour sauver des chimpanzés, ce virus faisait des ravages et ne laissait aucune chance à personne. La revue Glamour, sadique, en recommandait le visionnage, le 28 janvier dernier parmi "les 6 films et séries pour se préparer à l'arrivée du virus en France"(sic) une sorte de haie d'honneur si l'on veut. Ah mais oui bien sûr la journaliste qui signait le papier était en marinière noir et blanc sur la photo comme Madonna dans Papa don't preach, peut-être histoire que vous sachiez bien à quelle loge elle se rattache, non ? Juste une hypothèse bien sûr...

Allez, ne soyez pas trop sévères avec Glamour. D'autres grands médias avaient pour script de recommander le film de Boyle pendant la quarantaine. Par exemple ZoomTV, ou Awardcircuits, FilmSchoolrejects etc. Il fallait vous maintenir dans cette ambiance même chez vous.

Danny Boyle tous les médias l'aiment. Un an après cette si touchante cérémonie "London 2012" il lançait dans le cadre du rassemblement "Big IF", "un appel passionné aux dirigeants du G8 (à l'embryon de gouvernement mondial) pour mettre un terme à la faim dans le monde" (comme USA for Africa en 1985) et il était rejoint sur scène... "par le philanthrope Bill Gates" ! (source Save the children UK 18 juin 2013).

Normal qu'ensuite une acteur de son film sur les Beatles ait reçu le Global Citizen Prize en 2019. Ce prix est remis par Global Citizen, vous savez : le sponsor de "Together at home" le show qui vous encourageait à rester chez vous pendant le confinement, organisé par les méga-corporations depuis qu'elles ont lancé le mouvement au Vatican en décembre 2016.

A l'heure où Bill Gates vous promet une "Pandémie 2" après la "Pandémie 1" de cette année, un conseil : n'investissez rien émotionnellement dans les productions de ce genre d'amis des virus et du monde unifié. Les démons qu'ils mettent en scène vous sont réellement destinés. Détournez vous de leur monde. Appelez en à la transcendance. La porte de sortie pour vous viendra d'en haut, pas des slogans qui vous enferment dans un univers virtuel  façon Hololens et une fausse unité mondiale en réalité esclave de leur sorcellerie.

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"Together at home", le grand show mondialiste du 18 avril 2020

19 Avril 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Les régimes populistes, #Grundlegung zur Metaphysik, #George Soros, #Bill Gates, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Vatican

Ca y est, nos grands occultistes qui contrôlent l'industrie du divertissement ont eu leur nouveau Woodstock, leur nouveau Wembley, et cette fois-ci, grâce au confinement, ils ont pu en diffuser les sortilèges directement chez vous, comme Marina Abramovic avec le casque HoloLens de Bill Gates et ses ratons laveurs...

C'était hier soir 18 avril aux Etats-Unis, ce matin en France, sur Internet. 

Cela s'appelait "One world together at home" (Un monde rassemblé à la maison - le logo d'ailleurs parle de lui-même) un titre qui évoque le slogan "together as one" que vous entendez sans le savoir depuis votre enfance, par exemple dans "We are the world" la chanson de Michael Jackson et Lionel Richie qui dit aussi que nous devons transformer les pierres en pain comme Dieu nous l'a appris (sauf que dans l'Evangile c'est Satan qui demande cela à Jésus, on voit ainsi qui est leur Dieu). Dans "together as one" on entendait ce fameux "one one one" du monde antéchristique unifié que Freddy Mercury (l'homme qui se vantait d'avoir passé un pacte avec le diable) et tant d'autres martelaient sur scène "One dream, one soul, one prize, one goal One golden glance" (dans "A kind of magic" en 1986 et depuis lors en concert, sur You Tube etc). On remplace "one" par "home" et les inconscients anglicistes entendent la même chose : "together as one". Les voilà au garde à vous. 

Qui finance l'événement ? Le mouvement Global Citizen (citoyen global, citoyen du monde). C'est-à-dire ? Une organisation créée fin 2016 par les grandes corporations qui contrôlent cette planète en réaction au Brexit et à l'élection de Trump. UK Column en 2017 (le 10 mars) en expliquait l'origine (peut-être d'ailleurs en tronquant une partie de l'histoire), et l'on croit rêver : "En décembre dernier 2016, un groupe de ces PDG sans sommeil (à cause de ce qui s'était passé en 2016) se sont réunis dans une salle opulente et majestueuse au Vatican. C'était la conclusion du Forum mondial, un événement annuel pour les grandes sociétés internationales comme Monsanto, Bayer, Google, Microsoft et bien d'autres. Alors que les banquiers ont leur réunion annuelle à Davos, les économistes du monde entier assistent au Forum international de Saint-Pétersbourg et les gouvernements se rendent à leur Sommet mondial des gouvernements, le Forum mondial est le lieu où d'illustres entreprises abordent des questions qui pourraient avoir un impact sur leur capacité à faire des affaires la communauté mondiale. Mais ce Forum mondial Time + Fortune 2016 était différent: ils avaient été invités par le pape François lui-même." Au bout de deux jours de travail au Vatican,  les grands patrons ont pondu un document intitulé Working Group Solutions , présenté au Pape pour sa bénédiction, et UK Column le décrit comme devant donner "un contrôle total sur les citoyens du monde à une infime poignée de personnes". Il s'inscrit dans la lignée du Global Poverty Project (GPP) fondé grâce à des subventions des Nations Unies en 2008. Déjà en 2012, un site Web intitulé Global Citizen promouvant un Global Citizen Festival avait été créé. "Cette campagne Global Citizen est présentée, nous dit UK Column, comme une force utopique pour le bien: éradiquer la pauvreté, promouvoir la santé, fournir de l'eau potable et l'accès à d'autres ressources, et protéger les droits humains de chaque personne sur la planète. " Si on regarde son conseil d'administration et ses financeurs on comprend tout de suite : Johnson & Johnson, Hewlett Packard, Ericsson, Caterpillar, Microsoft, Monsanto, Siemens, Virgin Group, Novartis. Les lobbies de l'informatique-intelligence artificielle, de la bio-chimie (pharmaceutique et autre). Et ce consortium de trusts a réfléchi très en détail à la "mobilisation des citoyens" qu'ils veulent promouvoir : "Le plan de base est que chaque être humain sur la planète reçoive une identité financière numérique (alias le numéro d'identification fiscale mondial). Ce sera le fondement de tous les aspects de notre vie à partir de maintenant:  déterminer où nous travaillerons et vivrons, comment nous mangerons, dormirons, voyagerons, communiquerons et même comment nous penserons et prierons. En bref, tout sera connecté via l'Internet des objets, l'Internet des valeurs (d'où la  fièvre des bases de données block chain alimentant une nouvelle monnaie mondiale) et l' Internet des objets en mouvement . Une nouvelle technologie révolutionnaire sera utilisée pour faire du concept Global Citizen une réalité, tandis que les techniques d'ingénierie sociale nous persuaderont que nous devons tous sacrifier quelque chose pour le bien commun de l'humanité et pour notre planète bien-aimée (un concept intégré pour la première fois par le Club de Rome à la fin des années 1960)." - On sacrifie à l'écologie, ou on sacrifie à la santé collective, à la paix mais on sacrifie. Finies les libertés. 

Donc voilà ce qu'il y a derrière ce happening d'hier, l'autre sponsor étant l'Organisation mondiale de la santé, cette espèce de ministère de la santé mondial appelé par Gordon Brown de ses voeux, et maintenant principalement financé par Bill Gates et le lobby pharmaceutique et biotechnologique.

La présentation "One world together at home - OWTH - est un show de deux heures qui inclut des performances des meilleurs artistes et comédiens du monde, ainsi que des 'experts mondiaux' - global experts - ", avec Lady Gaga, et les grands présentateurs (de la mafia clintonienne) Stepehn Colbert de CBS, Jimmy Fallon de NBC, Jimmy Kimmel d'ABC (tous connus pour divers clins d'oeil aux agendas occultistes mondiaux répétés à longueur d'années). Lady Gaga y précise que la collecte d'argent (qui participe à l'opération magique d'envoûtement des conscience) est terminée. On ne demande donc pas d'argent aux gens.

Les artistes présentes étaient tous des adeptes du sol en damier, de l'oeil d'Horus, des bains rituels dans le sang et dans le lait, des papillons monarques et des larmes noires signes de possession :Elton John, les Rolling Stones, Paul McCartney, Jennifer Lopez, Céline Dion, Stevie Wonder ou encore Chris Martin de Coldplay, Alicia Keys, Taylor Swift, Pharrell Williams et Chris & The Queens, Billie Eilish, Lizzo et Charlie Puth, la chanteuse belge Angèle, les  acteurs et actrices (Idris Elba, Matthew McConaughey, Sarah Jessica Parker, Amy Poehler…), des personnalités (Oprah Winfrey) et des sportifs (la footballeuse Megan Rapinoe, le pilote Lewis Hamilton).

Un virus sort d'un laboratoire (de plus en plus de médias "mainstream" envisagent l'hypothèse ouvertement) - peut-être un labo financé par Bill Gates qui depuis longtemps nous parle de pandémie, de virus qui attaquera les bronches etc et qui recherche des vaccins dans ce secteur là - on vous enferme chez vous avec la technologie de Bill Gates (les ordis, Internet), on vous fait peur par les grands médias vendus aux grands groupes mondialistes, on vous détend par ce genre de show (heureusement avec le décalage horaire c'était en pleine nuit de 2h à 4h ce matin, mais beaucoup le regardera en différé), tout en continuant à capter votre énergie à leur service par ce biais, et, par derrière, on expérimente : la distanciation sociale (comme dans le film Vivarium de 2019, mot à rapprocher de Scytonema varium, la protéine antivirale du coronavirus), la monnaie unique, la disparition des billets, le tracking avec vos portables. On ne vous impose pas cela d'un coup mais on utilise ce coronavirus comme une étape. Ca résiste encore : Bill Gates se fait incendier sur les réseaux sociaux, l'Amérique profonde manifeste contre le confinement, Trump est de plus en plus obligé de lâcher son conseiller Fauci, Macron doit faire semblant de s'intéresser à la chloroquine (encore que personnellement je ne suis pas convaincu à 100 % du désintéressement du Pr Raoult qui a parmi ses soutiens un ancien patron d'Unitaid et un maçon célèbre ex conseiller de Valls - diviser pour régner, toujours pareil). Restez vigilants !

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HoloLens, Abramovic, Gates, Raccoon City et l'appel de Lady Gaga à Macron

16 Avril 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Bill Gates, #coronavirus-vaccination-big pharma, #George Soros, #Grundlegung zur Metaphysik

On a parlé le 11 avril de la vidéo de la veille(depuis supprimée de You Tube) de l'artiste occultiste Marina Abramovic dont le spectacle virtuel "The Life" (La Vie) était promu par l'empire Microsoft et son casque "HoloLens 2", ainsi que de son producteur, un ancien acteur de série B, et sa société Tin Drum.

L'américain anonyme du Connecticut EnterTheStars (que je cite parfois sur ce blog) fait remarquer que dans la Bible il est souvent dit que "La Vie est dans le Sang" ce qui explique que l'artiste soit dans une robe rouge (qui renvoie aussi à la prostituée de Babylone et divers rituels occultistes sanglants autour de cela).

Il se penche aussi sur le mot "HoloLens" et regarde ce que Wikipedia dit de ce dispositif de Microsoft. Or voici comment il est défini : "Le HoloLens est une unité d' affichage montée sur la tête connectée à un bandeau intérieur rembourré réglable, qui peut incliner HoloLens de haut en bas, ainsi que vers l'avant et vers l'arrière. Pour porter l'appareil, l'utilisateur place le HoloLens sur sa tête, en utilisant une molette de réglage à l'arrière du serre-tête pour le fixer autour de la couronne, en soutenant et en répartissant le poids de l'appareil de manière égale pour le confort, avant incliner la visière vers l'avant des yeux." Il se demande : pourquoi dire que l'HoloLens se porte autour de la "couronne" et non du "crâne" ? Couronne comme corona (et ce fameux Lance Corona joué en 2011 - il y a 9 ans 9/11 - par un Tom Hanks très mobilisé cette année par la propagande sur le Covid-19 - pour un décorticage en anglais du film Larry Crowne/Il n'est jamais trop tard avec ses allusions à la toux, à la distanciation sociale etc voir ici) et comme la couronne de ce mystérieux serpent dévoreur d'enfants couronné que Miley Cyrus se fit tatouer, peu de temps avant l'épidémie, dans la ville fief des nobles tarologues spécialistes de la mise en quarantaine (Enterthestars travaille depuis des années sur ces couronnes et leur mise en scène par les sociétés secrètes qui nous dirigent). 

Autre "bizarrerie" autour de ces casques "HoloLens" : ils ressemblent à des "raccoon masks" (des masques de ratons laveurs) très populaires en période d'Halloween (fête de sorciers), notamment depuis que Marvel a fait de ce petit animal un super héros (mais bon avant il y avait eu aussi le Rocky Raccoon des très occultistes Beatles). Bizarre, parce que ces ratons laveurs sont de la même famille - et même en anglais le mot est le même - que les chien viverrins ou chiens-martres qui ont partie, selon le narratif officiel, comme les chauves-souris rhinolophes des principaux vecteurs de la transmission du SRAS et du Covid-19 à l'homme (voir la rubrique "diseases and parasites" de la page que Wikipedia leur consacre). En réalité c'est tout le dispositif HoloLens qui est placé sous le signe du "Raccoon". Comme on le voyait dans une page de Microsoft sur ce casque en mai 2019, la mascotte d'HoloLens est... un raccoon (raton laveur)... et même il s'appelle Bit the Raccoon. Bit, c'est une unité informatique... mais c'est aussi le participe passé du verbe mordre en anglais...mordu par le raton laveur/chien viverrin on attrape le Covid.

 

Pour comprendre jusqu'où va cette "bizarrerie" (qui du coup peut participer d'un sortilège occultiste - la programmation prédictive) il faut faire un détour par l'univers des jeux vidéos. Pour ce faire quoi de mieux que cet article de Manon Carpentier sur Comiga.fr (e français pour une fois), le 28 janvier dernier, qui expliquait que le jeu vidéo Resident Evils sorti en 1996 met en scène une ville décimée par une pandémie. Le laboratoire d'où est sorti le virus dans ce jeu s'appelle Umbrella et son logo est le même (à une différence de couleur près) que le laboratoire de rechercher biologique RLSW à Wuhan (un logo qui d'ailleurs évoque un peu les chevaliers de Malte ou les Templiers...). Dans quelle ville se situe ce jeu ? Raccoon City... Et au passage raccoon est l'anagramme de corona (comme couronne et coronavirus)...

Allez, pour en finir avec le raccoon/raton laveur/chien martre, une dernière remarque : quand GZA du groupe Wu-tang Clan chantait, en 1996, dans "The 4th Chamber" : "Six millions de diables viennent de périr de la peste bubonique ou du virus Ebola, sous le règne du roi Cyrus", juste avant dans le même morceau que certains classent dans la programmation prédictive du Covid-19 il disait "Yo, Wu whole platoon is filled with raccoons" (toute mon équipe est remplie de ratons laveurs)...

Si on s'intéresse au nom de la société de production Tin Drum, cela renvoie au film Le Tambour de Volker Schlöndorff palme d'or à Cannes en 1979, film assez sulfureux sur l'affiche duquel le tambour représente un antiprisme... L'antiprisme est aussi la forme des molécules de soufre (symbole satanique) en forme de couronne... A recouper aussi avec le film "Imagine that" (Dans ses rêves, 2009 - il y a 11 ans, 11/9) avec Eddy Murphy qui  porte une couronne à la fin (le film est très axé sur la musique des Beatles et une couverture magique des Sioux "wakalyapi blanket") mais Enterthestars ne développe pas ce point à ce stade.

Il y aurait donc là une forme de spirale mentale composée du serpent, de la couronne, de l'antiprisme, du raton laveur, des cultes sanglants le mélange entre le réel et le virtuel et le sort auquel tout cela se rattache (sort d'où est sorti la coronavirus, la création en laboratoire, puis sa diffusion et le conditionnement mental par le confinement et les médias) ne pourrait être brisé qu'en découpant un par un les symboles dans lesquels notre inconscient est entraîné par les productions culturelles et médiatiques de masse.

Des gens comme EnterTheStars pensent que l'affrontement entre Trump et son conseiller le très clintonien Dr Fausti, ou entre Trump et le directeur pro-chinois de l'Organisation Mondiale de la Santé (ce qui  reviendra à rendre l'OMS plus dépendante de Gates, Soros, de l'Union européenne et des dons du lobby pharmaceutique) ne sont que des éléments de spectacle pour tromper les gens par rapport à toute cette sorcellerie, toute cette manipulation des symboles qu'il y a eu dans l'industrie du spectacle en amont de la vague de coronavirus.

Dirait-il la même chose de l'étrange appel de l'actrice occultiste Lady Gaga au président français Emmanuel Macron, d'engager son "leadership mondial" (comme il l'avait fait au service de l'Agenda 21 l'an dernier)  "avec les Nations unies, la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations et Gavi (Global Alliance for Vaccines and Immunization financée par Bill Gates), l'Alliance du vaccin" dans la recherche d'un vaccin contre le Covid-19 ? L'artiste, dont le message est relayé par toute la presse people, en appelle aussi à  Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, qui «en tant que docteur, sait que cette maladie n’a pas de frontières» et au Premier ministre canadien Justin Trudeau. Elle a elle-même récolté plus de 30 millions d'euros dans ce cadre - les collectes d'argent sont des actes magiques qui engagent le public dans le pacte collectif avec les sorciers (voir aussi la collecte de Madonna).

Au fait, en juillet 2019 Lady Gaga n'avait-elle pas fait savoir qu'elle était prête à doubler dans le film Les Gardiens de la Galaxie volume 3 la voix de la loutre Lady Lylla... la petite amie de... Rocket Raccoon ? La spirale tourne toujours.

NB : A propos de Macron, certains ont fait remarquer qu'alors que Trump a décidé de déconfiner les Américains le 1er mai jour de la fête occultiste celtique de Beltane (et l'état d'urgence avait été déclaré un vendredi 13 mars), notre président, lui, a choisi la fête juive de Lag Baomer qui célèbre la sortie de l'épidémie qui selon le Talmud décima les disciples du grand sage Rabbi Akiva.

 

Dans George Magazine de février 1997, Bill Gates parlait déjà d'une maladie virale des poumons qui frapperait une planète "surpeuplée"

Dans George Magazine de février 1997, Bill Gates parlait déjà d'une maladie virale des poumons qui frapperait une planète "surpeuplée"

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Le scandale "Nth room" en Corée du Sud

13 Avril 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Les rapports hommes-femmes, #Grundlegung zur Metaphysik, #Le monde autour de nous

Je vous avais parlé il y a quelque temps de cet étrange passage d'un membre du groupe de rap Wu-tang Clan (nom dans lequel on peut entendre Wu-Han) en 1996 "Six millions de diables viennent de périr de la peste bubonique ou du virus Ebola, sous le règne du roi Cyrus" (Cyrus= Trump=le serpent couronné=Miley Cyrus ?). Le morceau s'appelait "The 4th chamber"... Le membre s'appelait GZA et l'image de sol maçonnique sur la pochette du disque était très évocatrice.

Autres paroles "My own phone sex
Mon propre téléphone sex
Watch out for Haiti bitches
S'occupe des putes d'Haïti
I heard they throw hex
J'ai entendu dire qu'elles jettent des sorts
Yo, Wu whole platoon
Yo, tout le staff Wu

Is filled with rac-coons
Est plein de ratons laveurs"

Wu-tang-Clan a inspiré divers remix, dont "Nth Chamber" en 2013.

En Corée du sud vient de sortir un scandale sexuel au nom équivalent : "Nth Room" (Enième pièce, énième salle). 

Les Nth Rooms sont des salles de chat sur l'application de messagerie Telegram où les utilisateurs produisent et échangent illégalement des images déshumanisantes de femmes. Les victimes, souvent mineures, sont fréquemment contraintes par les utilisateurs de Telegram à s'infliger à elles-mêmes des sévices.

Le groupe d'origine de ces chats appelé "nth room" aurait vu le jour sur Telegram en 2018 ou au début de 2019. Il existe maintenant un réseau entier, chacun avec des noms différents comme "esclave room", "female child room" ou "violate your acquaintance room" (pièce pour violer une connaissance). 

Les filles mineures y sont dégradées, forcées d'aboyer comme des chiens ou de se coucher nues sur le sol des toilettes publiques pour hommes, de se faire des scarifications etc. Ces victimes (parmi lesquelles de smineures) ont souvent été dupées pour donner des informations personnelles aux agresseurs, puis ont été victimes de chantage pour obéir aux caprices sexuels des utilisateurs de cette application.

L'histoire a été révélée pour la première fois par un reportage dans le journal coréen Hankyoreh en novembre dernier. Un reportage de Kookmin Ilbo qui a suivi au début du mois de mars, détaillant les actes horribles, a déclenché un tollé à l'échelle nationale. Cela survient quelques mois seulement après la révélation du scandale Burning Sun , qui impliquait des stars de la K-pop dans un réseau de prostitution à Séoul, et alors que la colère continue de mijoter contre d'autres formes d'abus sexuels contre les femmes, y compris les crimes généralisés par caméra espion .

Il s'agit de phénomènes de chantage à grande échelle impliquant des centaines de jeunes victimes et des centaines de milliers de voyeurs (dont 80 % d'adolescents) dont certains sont prêts à payer jusqu'à 1 200 dollars.

Le cerveau présumé d'une des réseaux, un jeune nommé Cho Joo-bin/Tcho Ju-bin (25 ans) qui vient d'être arrêté aurait payé ses administrateurs en crypto-monnaies, avec des liens vers des paiements suspectés de monero (XMR) . Mais les enquêteurs n'ont pas encore les moyens légaux pour enquêter sur ces modes de paiements qui pourraient révéler l'identité desdits administrateurs. Il semble bien qu'il y aurait aussi un mystérieux "docteur" derrière tout cela.

Phénomène purement "local", endémique à la Corée du Sud ? Où existe-t-il des ramifications ?

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Bill Gates et Marina Abramovic : l'occultisme à domicile

11 Avril 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma, #Grundlegung zur Metaphysik, #George Soros, #Bill Gates

L'artiste d'origine serbe Marina Abramovic est une occultiste (sorcière) new-yorkaise haut placée dans l'Establishment américain qui, sous couvert d'art, organise des rituels comme ses séances de "cuisine spirite" (dont le contenu évoquait le cannibalisme) auxquels elle invite des célébrités elles aussi adeptes de l'oeil d'Horus comme Lady Gaga, le frère du chef de campagne d'H. Clinton Tony Podesta (lié au scandale de la sulfureuse pizzeria washingtonienne Comet Pingpong financée par Soros - voir les fuites de Wikileaks sur ce sujet il y a quelques années).

Nous vous avions signalé, il y a près d'un an, que pour sensibiliser les gens à la lutte contre le réchauffement climatique, elle avait lancé une application qui montrait un avatar d'elle-même entouré de calottes glaciaires en fusion, à l'intérieur d'un réservoir en verre qui se remplit lentement d'eau qu'elle présentait à la galerie Ca 'Rezzonico de Venise...

Cette année, le 10 avril 2020, en pleine crise sanitaire du coronavirus, Microsoft lançait une vidéo de promotion de sa "performance" appelée "The Life" (La Vie). "Pour la première fois, explique le site de Microsoft, les téléspectateurs peuvent expérimenter l'art de la performance sans frontières - et sans que l'artiste soit techniquement «présent». Dès qu'ils mettent le casque HoloLens 2, la forme pleinement réalisée d'Abramović prend forme sous leurs yeux."

"N'importe quel médium - visuel, sonore, même matériel - n'est vraiment qu'un canal pour l'énergie de l'artiste pour atteindre la compréhension du public. " explique le producteur de la performance Todd Eckert (un ancien acteur de films très axés sur l'érotisme virtuel) dans un vocabulaire qui évoque typiquement l'occultisme (le terme "énergie" a remplacé celui de "fluide" dans le vocabulaire de la médiumnité). Car il faut bien comprendre, comme on l'avait expliqué à propos de la pyramide PY1, que ces "performances" sont en fait des cérémonies occultes, qui touchent autant à la mobilisation de forces parapsychiques qu'à de la manipulation mentale (mind control), et que la réalité virtuelle, les hologrammes ne sont que des moyens d'avoir de la magie "à domicile", comme avec le "oui-ja" (voyez notre billet sur les cas de possession au collège d'Orthez à l'automne). Bientôt chacun pourra faire de la cuisine spirite chez lui avec Marina Abramovic en grande prêtresse, grâce à Microsoft, avec les applaudissements de Bill Gates.

En 2010, pour The Artist Is Present, Abramović s'était assise dans l’atrium du Musée d'Art moderne de New York et avait rencontré et observé plus de 1 000 visiteurs du musée, un par un, en face à face, et en silence, durant les heures d’ouverture du musée pendant trois mois, dans un exercice qui évoque l'hypnose. Cette fois-ci, elle "offre une rencontre numérique intime avec" elle, "son hologramme de l’artiste apparaît, et fait les cent pas autour d’un cercle (magique) de cinq mètres avant de s’évaporer dans les airs".

Nul doute que l'empire de Bill Gates, qui a recruté Madonna pour faire la promotion de ses vaccins avec un démon sur son T-Shirt pourra compter sur cette période de confinement obligatoire pour donner une large diffusion à cette nouvelle étape de l'implantation de l'occultisme au sein du domicile de tout un chacun.

(Et il faudrait aussi garder un oeil sur les liens Bill Gates/Peter Nygard, le Jeffrey Epstein canadien, et sur les rapports tout aussi directs entre Gates et Epstein lui-même)

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Quand une Madonna sataniste promeut les vaccins de Bill Gates

10 Avril 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma, #Bill Gates, #Christianisme, #Grundlegung zur Metaphysik

Un point qui n'est peut-être pas si anecdotique que ça, relevé par l'ex-franc maçon Leo Zagami

Il y a seulement trois semaines, la Fondation Bill & Melinda Gates, Welcome Trust et Mastercard ont annoncé le lancement du soi-disant accélérateur thérapeutique COVID-19, un fonds de 125 millions de dollars destiné à lutter contre la pandémie. Vendredi dernier, le 3 avril, , la Fondation Gates a fait part du soutien de trois autres partenaires dans ce projet mondialiste : le gouvernement britannique, la Chan / Zuckerberg Initiative (Facebook,) et la chanteuse occultiste Madonna. Celle-ci a lancé une collecte de fonds pour le projet en portant un t-shirt avec Satan à la place de Jésus sur la croix.

Zagami rappelle que l'an dernier en mai 2019, lors du concours de l'Eurovision en Israël (Zagami explique que le lieu peut très bien avoir été choisi à dessein par les organisateurs qui truquent facilement cette compétition pour faire passer un message religieux), la chanteuse a singé (avec son X de Nemrod sur l'oeil) l'Antéchrist sur scène (lequel est censé se manifester à ma fin des temps à Jérusalem, selon la Bible) et qu'à un moment de ce show  ses danseurs précédemment habillés en moines tombent au sol tout en portant des masques à gaz d'apparence militaire souvent utilisés pour la guerre biologique... Etrange coïncidence non ?

Peut-être un élément supplémentaire du dispositif symbolique autour de la maladie, après le serpent de Miley Cyrus et les éléments de programmation prédictive déjà évoqués sur ce blog.

Le 5 avril sur Fox News, Bill Gates a fait savoir qu'il n'y aurait pas de retour à la normale tant que son vaccin n'aura pas été diffusé dans le monde entier... Nous voilà avertis...

Et, si le très propagandiste Le Monde le 6 février faisait remarquer qu'on lui fait dire à tort qu'il fallait réduire de 15 % la population par la vaccination (c'est un propos de 2010 un peu biaisé), il y a bien cette lettre annuelle de la fondation Gates de 2016 qui expliquait que la quantité de CO2 dans l'atmosphère découlait de P X S X E X C avec P pour population multiplié par S pour les services utilisés par les gens, multiplié par E pour l’énergie nécessaire pour faire fonctionner ces services, multiplié par C pour le carbone utilisé par cette énergie.  Une équation que répète Bill Gates dans ses conférences en laissant bien entendre que la variable "p" pose un vrai problème... Les Guidestones de Georgie depuis 1980 ne prônent-elles pas un plafonnement de la population humaine à 500 millions d'âmes ? Pour Gates dont les parents militaient dans le planning familial ces choses vont de soi.

Rappelons nous aussi  qu'en 1996, au forum de Granada, Henry Lamb (1938-2012) Vice-président exécutif de The Environmental Conservation Organization, Inc vantait la notion de "zones protégées" sans êtres humains, qui figurait dans un document de travail des Nations-Unies intitulé "Global diversity assessment". Ce texte, disait-il, met en valeur en p. 993 le Wildland project, inventé par un certain Dave Foreman, et dont un des objectifs est de transformer 50 % des terres américaines en terres sauvages, en isolant les gens sur 25 % du territoire, et en laissant 25 % de zones tampon. La carte qui concentre la population humaine dans des espèces de Bantoustans pour rendre à la nature ses droits fut citée dans une conférence de 2010 David de Rothschild fondateur de Adventure Ecology, qui avait été surpris à la sortie de son monologue par des militants audacieux (tout cela avait été repris par Infowars le 2 août 2010).

Vaccins, dépopulationnisme, satanisme. On retrouve toujours les mêmes thématiques troubles quand on se penche sur ces milieux-là.

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