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Viginum vous regarde
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Viginum service technique et opérationnel de l'État chargé de la vigilance et de la protection contre les ingérences numériques, né le 13 juillet 2021, est chargé de repérer les fake news sur Internet. Il a collecte les données sur les gens qui diffusent ces nouvelles.
La CNIL dans sa délibération du 7 octobre 2021 n'a pas hésité à souligner certaines caractéristiques fâcheuses de son travail : " il implique une collecte automatisée de données publiées sur diverses plateformes (notamment les réseaux sociaux), en très grande quantité et susceptible d'intervenir à tout moment. Ces informations sont susceptibles de révéler des informations sur un nombre important d'aspects de la vie privée des personnes concernées, y compris des informations sensibles, telles que les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ainsi que l'état de santé ou l'orientation sexuelle, alors que de telles données bénéficient d'une protection particulière. Ainsi, le traitement envisagé conduit une autorité publique à collecter des données relatives à l'activité de personnes sur les plateformes en ligne où elles sont inscrites, disposant ainsi, potentiellement, d'une information particulièrement riche et précise sur elles, indépendamment de toute enquête pénale ou procédure judiciaire et en dehors du cadre prévu pour les techniques de renseignement." "Certaines données à caractère personnel, présentes dans les notes d'analyse précédemment évoquées, seront adressées à de multiples services étatiques et administrations ainsi qu'à des homologues étrangers " (traduisez : nos amis de la CIA en tant que de besoin).
Viginum traque ses cibles, nous dit Eric Verhaeghe dans Courrier des Stratèges sur Facebook, Twitter, Youtube, Google search, Linkedin. Officiellement il était surtout actif sur le front de la campagne électorale de 2022 pour contrer les manipulations étrangères. Mais le cap des élections passées la structure veut passer "à la vitesse supérieure" (toujours la tactique du voleur chinois : on commence par une mission restreinte, puis on étend)...
L'équivalent aux USA est le Global Engagement Center créé en 2017, qui a beaucoup œuvré contre les tentatives de réinformation sur le Covid et bien sûr sur l'Ukraine.
Une à deux heures d'éducation sexuelle par semaine
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Hier (30 août) sur Brut en 28e minute de cette interview le ministre de l'édication nationale français Pap Ndiaye déclarait : "Souvent l'éducation à la vie affective et sexuelle passe un peu à la trappe, il faut en faire quelque chose qui soit un succès(...) il faut insister là dessus... il faut une volonté politique forte.. il faut des instruction". Il propose même une heure ou deux par semaine. On sait que cette éducation porte souvent sur un endoctrinement dès l'école primaire sur la liberté de choisir son sexe, la théorie du genre, l'encouragement de l'avortement etc.
Le même jour en Espagne le conseil des ministres approuvait en urgence un projet de loi sur l'avortement qui supprime le consentement parental pour les filles de 16-17 ans ainsi que, pour toutes les femmes, les trois jours de réflexion obligatoires (En Espagne chaque année une femme sur cent avorte). Parmi les points clés du projet : "L'éducation sexuelle sera complète dans les principales étapes de l'éducation".
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Si, sans doute, dans un contexte où la consommation de pornographie explose (au Royaume-Uni en septembre 2020 49 % de la population adulte - majoritairement masculine à 80 % pour ce qui concerne Pornhub - a visité un site pornographie, soit moins qu'Instagram et plus que Twitter, et en France un tiers des 10-18 ans déclare se connecter souvent ou parfois sur des sites X), il peut être utile d'enseigner le libre consentement de chacun et le respect du corps de l'autre, le problème est que le contenu de cette éducation que M. Pap Ndiaye ne se limitera pas à cela.
Un nouveau bras armé pour nos élites : la police verte
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Vous avez aimé la police verbalisant les joggeurs sans masque sur les plages désertes, contrôlant les passes sanitaires dans les restaurants et le journaliste Christophe Barbier demandant aux agents d'aller chez les non-vaccinés pour les convaincre d'accepter la thérapie génique ? Vous adorerez la nouvelle police écologique. Dans le Journal du Dimanche du 20 août dernier, notre ministre de l'intérieur annonçait le recrutement de 3 000 "gendarmes verts".
Seront-ils seulement employés à combattre les feux de forêt ? On peut en douter.
Selon des fuites obtenues par The Counter Signal, au Canada, dont le premier ministre applique aussi l'agenda écologique autoritaire, le ministère de l'Environnement et du Changement climatique (ECCC) construit une nouvelle installation à Winnipeg dans le Manitoba qui abritera un manège militaire, des salles d'interrogatoire, des laboratoires biologiques, des bureaux de relations avec les médias, des « salles silencieuses contrôlées » et des installations de renseignement (cela fait penser aux camps de la FEMA). Va dans le même sens que cette information une petite annonce sur Indeed.com pour le recrutement par l'ECCC à Calgary d'un officier en charge de l'application des lois anti-pollution qui précise non seulement la rémunération et les diplômes requis mais aussi la liste des équipements : "ceinturon de service, gilet pare-balles, menottes, matraque et armes prohibées telles que l'aérosol capsique" (il suffit de cliquer sur le lien de recrutement en bas pour voir que ce n'est pas un fake) :
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En France notre président qui annonce la "fin de l'abondance" dans l'esprit "Great Reset" du Forum économique mondial pourrait par exemple employer cette force au service de l'interdiction des piscines privées (idée dont un eurodéputé macroniste n'a pas hésité à dire du bien récemment), ou toute autre règlementation de plus en plus sévère pour encadrer les pratiques individuelles, l'interdiction de véhicules à moteur dans les villes par exemple. Tout ce qui pourra participer à un "confinement climatique" qu'annonçait le WBCSD en 2020 (un think tank financé par les multinationales).
Le site américain Politico croit discerner une intention similaire dans l'appel du commissaire européen à la Gestion des crises Janez Lenarčič pour la création d'une force de protection civile afin de faire face aux "catastrophes climatiques", force que l'ex-eurodéputé britannique Nigel Farage n'hésite pas à qualifier d' "armée européen" et il est vrai qu'il est assez étrange que le commissaire n'ait pas hésité à demander même une révision des traités pour permettre la création de cette force à un niveau fédéral (ainsi plus facile à soustraire au contrôle démocratique)...
Les globalistes peuvent avoir l'intention de s'inspirer à cet effet du modèle chinois dont Carl Schwab vantait les mérites en janvier dernier. En 2017, les autorités de Pékin ont annoncé la création d'une nouvelle police de l'environnement, qui se concentrera sur les barbecues en plein air, l'incinération des ordures et la combustion du bois. et autre biomasse. Dans ce pays l'armée est aussi employée pour mobiliser les civils au service de la dictature environnementale, mais on ne trouve pas sur Internet d'articles sur la manière dont ces forces agissent concrètement dans la population depuis cinq ans.
En Israël, autre modèle du WEF comme on l'a vu pendant la crise du Covid, la police verte du ministère de l'environnement utilise des drones dotés de caméras spécialisées capables d'enregistrer des vidéos la nuit en utilisant la vision infrarouge ou thermique. Les caméras des drones capturent en haute résolution les visages des criminels environnementaux et les plaques d'immatriculation de leurs véhicules. Les drones peuvent aller jusqu'à 500 mètres sans être détectés...
Agriculture mondiale : la production céréalière pas encore affectée
En Serbie, où l'exploitation agricole est déjà mise à mal par l'industrie minière, notamment un terrible projet de mine de lithium dans la vallée de Jadar que le gouvernement fait semblant à tort d'avoir abandonné, les agriculteurs ont protesté pendant 8 jours contre le prix élevé de l'essence et la limitation du prix du tournesol par les pouvoirs publics avant d'obtenir satisfaction. Les prix des intrants pour la production agricole et les coûts logistiques ont augmenté en Serbie avec la crise du Covid et la guerre en Ukraine. Le blocage des routes a donné une visibilité aux difficultés des agriculteurs, comme ç'avait été le cas avec les 40 000 éleveurs aux Pays-Bas en juin (manifestations que toutefois les écologistes accusent d'être manipulées par le Big business local - mais sans rappeler que la guerre contre la viande a été lancée par le forum de Davos).
Pendant ce temps on apprend qu'aux Etats-Unis plus du tiers des agriculteurs annoncent être incités par le dispositif des assurances à détruire leurs récoltes suite à la sècheresse et vendre leur troupeau plutôt que d'essayer d'assurer l'alimentation de leurs concitoyens. En France on annonce une production céréalière "catastrophique". Le maïs (nécessaire à l'alimentation du bétail) doit notamment régresser pour cause de limitation des ressources en eau, ce qui est aussi le cas dans d'autres pays comme l'Argentine.
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Par ailleurs des débats se poursuivent sur le phénomène des incendies d'usines agro-alimentaires aux Etats-Unis (près d'une centaine en un an). Ces usines ne sont d'ailleurs pas les seules à flamber. En juillet dernier, les paysans néerlandais à un dépôt de produits écologiques (et de viandes synthétiques) subventionnée par la fondation Bill et Melinda Gates à Almelo, qui fournissait la start-up de vente en ligne Picnic.
Cependant ce tableau très noir que nos médias parfois entretiennent de façon sensationnaliste, mérite d'être nuancé. La production mondiale de maïs devrait rester stable grâce à des pays comme le Brésil, l'Afrique du Sud, l'Ethiopie. Celle de blé est en hausse de plus de 4 millions de tonnes (ce qui est insuffisant par rapport à la demande mondiale mais traduit une tendance à la stabilité), grâce au Canada notamment. La reprise des exportations russes et ukrainiennes limiterait donc les problèmes signalés au printemps. Il existe un goulet d'étranglement possible au niveau des intrants (l'engrais) et bien sûr au niveau des sources énergétiques (à cause de la décision absurde d'imposer un embargo gazier et pétrolier à la Russie). Mais pour l'instant la production n'est pas vraiment affectée.
Le "great reset" n'a pas (encore) profondément déstabilisé le système.
Le programme USAID PREDICT et les bio-expérimentations sur les soldats ukrainiens
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Lors d’un point de presse en mars dernier le chef des forces russes de défense contre les radiations, les agents chimiques et biologiques, le lieutenant-général Igor Kirillov, avait affirmé que des laboratoires biologiques soutenus par les États-Unis en Ukraine avaient mené des recherches et des tests cliniques sur des Ukrainiens après avoir utilisé des chauves-souris, et que des échantillons biologiques, y compris des échantillons de sang et de sérum, ont été exportés du territoire ukrainien vers des pays américains et européens, via le laboratoire géorgien du Centre Lougar sur lequel avait enquête la Bulgare Dilyana Gaytandzhieva, pour le compte du programme USAID PREDICT lancé en 2009.
Il ajoutait qu’une déclaration de Jason Crow, membre de la commission du renseignement de la Chambre des représentants des États-Unis, qui avertissait les Américains que leurs échantillons d’ADN pourraient être utilisés pour créer des armes biologiques ciblées, a amené le ministère russe de la Défense à « jeter un nouveau regard » sur les origines de la pandémie de Covid.
On apprenait à cette occasion que les laboratoires biologiques exploités dans le cadre du programme de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) du Pentagone de 2008 à 2017 ont été construits et exploités par Black & Veatch après des travaux estimés à 215,6 millions de dollars . Le projet de construction comprenait des contrats en Ukraine, en Azerbaïdjan, au Cameroun, en Thaïlande, en Éthiopie, au Vietnam et en Arménie. En 2014, une entreprise appelée Metabiota, spécialisée dans la détection, le suivi et l'analyse des épidémies potentielles, a signé un contrat fédéral de 18,4 millions de dollars en tant que sous-traitant pour Black & Veatch en Géorgie et en Ukraine. Google était partie prenante du financement. Le fondateur de Metabiota, le "chasseur de virus" Nathan Wolfe , siège également au conseil d'administration de l'EcoHealth Alliance de Peter Daszak et est membre du Defense Science Research Council de la DARPA et c'était un proche de Jeffrey Epstein et de Ghislaine Maxwell.
Metabiota a été lancé avec l'aide du fils du président américain Joe Biden, Hunter Biden, et de sa société d'investissement Rosemont Seneca Technology Partners (RSTP), qu'il a fondée aux côtés du gendre de John Kerry en 2009.
La firme Hunter Biden a été au centre d'un énorme scandale en 2020 après qu'il a été révélé que l'épouse de l'ancien maire de Moscou avait mystérieusement viré 3,5 millions de dollars au groupe "d'investissement" .
Aujourd'hui le journaliste d'investigation anti-OTAN George Webb sur sa page Twitter dans le cadre d'une enquête à Horsley sur les traces de l'agent secret britannique Christopher Steele (utilisé naguère pour construire un "Russiangate" bidon contre Trump), relaie l'information selon laquelle les Russes ont aujourd'hui 16 000 échantillons (même chiffre que celui des échantillons censément exportés, ce qui est un peu curieux). Il précise que ces échantillons comprennent des variants qui apparaissent avec une distribution géographique étrange. Des anticorps contre la fièvre hémorragique y sont également présents.
Ces informations sont développées ici, sur Bioclandestine.substrack.com. Il s'agit d'une nouvelle conférence de presse du général Kirillov qui a eu lieu hier à propos des échantillons sanguins prélevés par les Russes sur les prisonniers de guerre ukrainiens : ceux-ci comprenaient une grande variété de stupéfiants et d'opioïdes, dont la méthamphétamine et la codéine. Ce propos de Kirillov a été délibérément caricaturé par les médias pro-OTAN (notamment le Daily Beast) qui accusent Moscou de fantasmer sur des "soldats-mutants" que formerait le régime de Kiev avec de la méthamphétamine. En réalité Kirillov n'a jamais parlé de soldats-mutants. Les méthamphétamines ont été abondamment utilisées par les nazis en 1940 pendant le Blitzkrieg. Elles peuvent expliquer le jusqu'au-boutisme de certains bataillons ukrainiens.
Sur le volet coronavirus, Kirillov évoquait la possibilité que Washington ait développé des variants visant spécifiquement des populations russes et ukrainiennes (qui ont des ADN assez homogènes). Kirillov s'est d'ailleurs référé à une déclaration du ponte mainstream Jeffrey Sachs de mai dernier selon laquelle le coronavirus a été créé artificiellement et très probablement avoir été créé à l'aide des avancées américaines en biotechnologie... Les soldats ukrainiens ont pu être des cobayes de la CIA et de Big Pharma à leur insu (ce qui n'a rien de surprenant quand on sait comment le régime de Kiev traite par ailleurs les civils comme l'a montré Amnesty International).
Au passage George Webb souligne aussi que les tensions autour de Taiwan ont un rapport avec les laboratoires biologiques. La création des laboratoires de Wuhan était une réaction au fait que Taïwan disposait de deux laboratoires P-4.
Il existe diverses thèses sur la possibilité que le coronavirus ait été développé à différents endroits simultanément, y compris en Chine.
Des troupes nord-coréennes dans le Donbass ?
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Zakhar Prilepine, écrivain nationaliste russe, ex-conseiller du président de la République populaire de Donetsk, Zakhartchenko, avant son assassinat en 2018, l'a déclaré le 2 août 2022 : la Corée du Nord va envoyer 100 000 soldats dans le Donbass en échange de céréales et de charbon dont la privent les sanctions internationales.
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J'ignore ce que vaut Pripeline comme écrivain, sa collègue
On peut supposer que ses anciennes fonctions à Donetsk lui donne accès à des informations confidentielles. Mais que l'hypothèse soit envisagée ne suppose pas évidemment qu'elle se réalisera forcément.
Reconnaissance des Républiques populaires du Donbass par Pyongyang et une analyse marxiste intéressante à leur sujet
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Après la Syrie, la Corée du Nord reconnaît la République populaire de Donesk ainsi que par la même occasion celle de Lougansk.
On notera que circule en ce moment dans divers milieux communistes "classiques" (par là, j'entends héritiers du soviétisme du XXe siècle) une déclaration de l'Union des communistes d'Ukraine (une groupe marxiste-léniniste né à Lougansk en 1992, et interdite d'activité sur le sol ukrainien par le régime de Kiev depuis 2014) dont voici un extrait intéressant à propos du Donbass :
"Bien que même les participants à cette confrontation (entre le Donbass et Kiev) n'aient pas été conscients de sa nature de classe, mais aient plutôt vu le côté interethnique, il était caractéristique que tous les groupes oligarchiques aient soutenu le gouvernement post-Maïdan et aient donné une apparence de légitimité à ce gouvernement, par leur députés parlementaires alors que pas un seul oligarque, même du groupe de Ianoukovich, n'a fait défection aux côtés des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk.
Dans leur composition sociale, en particulier dans l'ossature de leurs formations armées, les républiques du Donbass étaient de nature prolétarienne. Mais dans leur forme politique, elles étaient des républiques bourgeoises et exprimaient les intérêts à la fois de la bourgeoisie et du prolétariat, qui n'acceptaient pas le nationalisme anti-russe radical du gouvernement post-Maïdan et son cours pro-occidental.
(...)
La bourgeoisie russe a adopté une position contradictoire à l'égard des deux Républiques populaires : d'une part, elle a fourni une aide militaire et économique aux républiques du Donbass, mais d'autre part, elle ne les a pas reconnues politiquement et ne les a pas incorporées dans le Fédération comme la Crimée, tandis qu'elle alla reconnaître la légitimité du régime fantoche pro-fasciste Tourtchinov-Porochenko-Zelensky et signa les accords de Minsk avec ce régime. Cela n'a pas apporté la paix aux républiques populaires et a fait de la guerre un état latent sur la ligne de contact pendant huit ans, permettant ainsi au gouvernement ukrainien de créer une armée forte et motivée par les nazis qui est devenue une menace non seulement pour les Républiques populaires mais aussi pour la Russie elle-même.
L'incohérence interne de la position de l'État bourgeois russe à l'égard des républiques populaires et du gouvernement post-Maïdan tient au fait que ses intérêts économiques étaient étroitement liés à la fois au capital occidental et au capital oligarchique ukrainien. Les politiciens russes ont réprimandé les "autorités de Maidan", tandis que les oligarques russes ont profité avec les oligarques ukrainiens de l'utilisation de pipelines à travers l'Ukraine (le pipeline d'ammoniaque de Togliatti à l'usine portuaire d'Odessa n'a suspendu son fonctionnement que le 24 février 2022), la revente de charbon du Donbass à l'Ukraine dans le cadre du programme "Rotterdam+", revente de produits métallurgiques et autres.
Exactement de la même manière, les oligarques ukrainiens, par la bouche de leurs politiciens, maudissaient « l'agresseur russe », tout en continuant à faire des profits communs. Ce sont les intérêts économiques de la bourgeoisie russe qui expliquent, tout d'abord, pourquoi les républiques populaires se sont si activement opposées aux demandes des travailleurs du Donbass de nationaliser les entreprises appartenant aux oligarques ukrainiens, et pourquoi l'opération militaire contre le régime fantoche pro-fasciste en Ukraine a été retardée. Et ce n'était que secondairement en raison de la nécessité d'acheter le réarmement de l'armée russe qu'elles ont suivi cette politique."
Le texte a le mérite de rappeler la structure profondément ouvrière des Républiques du Donbass, ce qui explique largement pourquoi la presse occidentale (y compris l'intelligentsia soi-disant de gauche) ne s'y sont jamais intéressés. Mais dépendantes de intérêts de la classe dirigeantes moscovites, elles n'ont pu renationaliser les industries soviétiques privatisées par les oligarques.
Des nouvelles du CERN, de Mme Schiappa, des Georgia Guidestones et du Vatican
Quelques nouvelles qui attirent peu ou pas du tout l'attention de nos grands médias, plus soucieux de relayer le retour du fascisme sanitaire revient (l'imposition des masques et des thérapies géniques - bien que la vaccination ARN ne protège pas de la contagion etc).
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Le 4 juillet dernier, le CERN, qui cherche à ouvrir des portiques sur l'autre monde, et récompense fréquemment depuis 10 ans, des artistes tarologues, fêtait le 10ème anniversaire de la "particule de Dieu", le boson de Higs. Il en profitait pour relancer son Large Hadron Collider, à l'arrêt depuis 2018. On nous explique ici que le 4 juillet, jour de la fête nationale des Etats-Unis (alors que la déclaration d'indépendance est du 2 juillet), ancien 23 juin du calendrier julien, et jour où la Terre est la plus éloignée du soleil, correspond à une fête druidique. Le CERN mérite bien les 3 "6" de son logo.
Quelqu'un (un esprit éveillé ? un agent de la CIA ?) a fait sauter dans la nuit du 5 au 6 juillet les Georgia Guidestones, les célèbres mégalithes sur lesquels il était indiqué notamment que la population humaine devait être limitée à 500 millions d'individus. Une aile des "guidestones" était bizarrement alignée sur le CERN...
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Marlène Schiappa est de retour au gouvernement (le gouvernement Borne au service du Great Reset et de l'OTAN). La nouvelle secrétaire d'Etat qui dans "Elle" d'octobre 2019 disait apprécier la sorcellerie, apparaît sur une photo avec une malformation au pied que certains savent commune chez les praticiens de l'occultisme. Un hasard sans doute... (mais rien à voir avec les rumeurs de trafics d'orteils au Zimbabwe).
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Malgré la prise de position courageuse de certains évêques américains, Nancy Pelosi, speaker de la chambre basse américaine pro-avortement, reçoit la communion au Vatican. Tout à fait dans le même ton que la pièce sortie par le Saint-Siège en l'honneur de la thérapie génique anti-Covid, et que la rencontre du pape avec Elon Musk, l'homme qui nous prépare la puce Neuralink et les incubatrices façon "Meilleur des Mondes".
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A part ça, un ex-premier ministre japonais membre d'une secte nostalgique du fascisme (Nippon Kaigi) a été assassiné. Je vous passe les souvenirs des horreurs de la guerre biologique au Manchoukouo, et autres abominations japonaises en Chine, en Corée et ailleurs qui faisaient dire à J. Bergier jadis qu'il eût aimé lancer la bombe atomique sur le Japon (ici minute 22'40). Certains font cependant remarquer que Shinzo Abe fut moins covidiste que la moyenne, sur la question de l'ivermectine notamment. Et les agriculteurs manifestent aux Pays-Bas face à un gouvernement qui veut réduire de 30 % leur cheptel pour aller vers la neutralité carbone, un des multiples épisodes de la guerre des mondialistes contre la viande (le premier ministre de centre droit était à Davos l'an dernier pour parler d'agriculture). Routes et supermarchés bloqués. Des agriculteurs allemands et italiens déclenchent un mouvement de solidarité avec les Hollandais.