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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #souvenirs d'enfance et de jeunesse tag

L'illuminisme français et les chaussures rouges

20 Août 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #Cinéma

Quoi que l'on fasse, il y a des gens qui vous diront que le culte illuminati n'existe pas. Et si Madonna, au début du clip "Into the Groove" de 1985 porte sur le dos une pyramide surmontée de l'oeil d'Horus avec la mention "Novus Ordo Seclorum" MDCCLXXVI (l'année de la fondation des Illuminés de Bavière), son appartenance aux illuminati ne peut relever que des "folles rumeurs" comme disait NRJ France en octobre 2019...

De même que même si je vous démontre que dans l'affaire Epstein que dans la maison du milliardaire à New-York se trouvaient des symboles pédophiles comme la pyramide en forme de spirale dont on a déjà parlé à propos du pape - des photos l'ont montré -, il y aura toujours des sots pour affirmer que le milliardaire aimait seulement les jeunes femmes un peu précoces (comme par hasard l'article que j'avais dénoncé l'an dernier à ce sujet a été supprimé du site). Dans son "temple" d'Epstein au sommet d'une colline sur les îles Vierges perquisitionné par le FBI le 12 août 2019, la présence d'un cacatoès à crête de soufre à son sommet sont certains affirment qu'il est connu pour s'accoupler avec sa progéniture avant qu'elle ait atteint sa maturité est aussi un signe de l'existence de rituels dans cette demeure, mais malgré les avertissements de Qanon du 11 novembre 2017 beaucoup refusent encore d'y voir un culte.

Parmi ceux eux qui admettent qu'il y a là des cultes sataniques derrière tout cela, beaucoup préfèrent penser que cela n'existe qu'au delà de l'Atlantique. Qui se souvient que Ghislaine Maxwell, la recruteuses de jeunes filles pour Epstein, est née à Maison-Laffitte, dans les Yvelines et que le carnet de ses contacts en France était volumineux ? (On attend notamment toujours l'arrestation de Jean-Luc Brunel, de son vrai nom Benchamoul, recruteur de mannequins mineures pour l'agence du chanteur Claude François dans les années 1970, puis pour Karin Models, proxénète à ses heures, qui fournit des "masseuses" à Epstein dans les années 2000 via son agence MC2).

Qui se soucie de savoir ce que signifie cette image de Catherine Ringer des Ritamitsouko (à gauche) ?

Ou celle-ci d'Etienne Daho (à droite) ?

Celle-ci de Vanessa Paradis (si semblable à celle du bébé Disney Ariana Grande) ?

Celle-ci de Marc Lavoine... Ca vaudrait la peine d'enquêter un peu du côté de notre hexagone aussi, non ?

Evidemment si l'on ne veut pas voir, ne pas comprendre, on ne pourra pas saisir non plus pourquoi Marc Lavoine porte le conte "Les Souliers rouges" aux Folies bergères en février 2020. Les chaussures rouges sont un symbole de sacrifice de sang - voir ici - vous noterez d'ailleurs que les danseuses de ballet étaient masquées (une façon déjà de programmer l'atmosphère occultiste autour du masque que nous avons aujourd'hui ?) . "Meuh non, allez-vous me dire, le sympathique Marc Lavoine a simplement mis en scène un conte d'Andersen". Andersen c'est innocent... comme Alice au Pays des Merveilles et son lapin blanc (le lapin blanc est symbole d'adrénochrome dans les sociétés secrètes actuelles). Je vous croirais si vous pouviez m'expliquer pourquoi le chanteur fait l'oeil d'Horus à la "une" du magazine Psychologies... "right in your face" comme disent les Américains... D'ailleurs Jennifer M. Miskec de l'université de Longwood en Virginie s'est penchée sur ce conte d'Andersen et a reconnu dans son article qu'il ne s'agissait pas précisément d'un conte pour enfants...

«Les chaussures rouges» raconte l'histoire de Karen, une jolie jeune orpheline, sauvée de la pauvreté par une vieille femme bienveillante. A l'âge de sa confirmation, la vieille femme emmène Karen pour qu'elle porte des vêtements d'église appropriés. Karen choisi des chaussures rouges brillantes qui sont impudiques et "flashy". Malgré les regards et le jugement - et la façon dont les chaussures détournent Karen de ses prières - Karen est trop amoureuse de ses jolies chaussures rouges pour porter autre chose. Puis un vieil homme mystérieux tapote les semelles des jolies chaussures de danse rouges de Karen et elles deviennent enchantées, fusionnant finalement à ses pieds et la faisant «danser dans [ses] chaussures rouges jusque sa peau se dessèche comme une momie » (ce qui fait penser au cas de possession de 1518 à Strasbourg où les gens furent atteints de chorémanie, la folie de la danse).

"Les chaussures rouges ont une présence en forme de palimpseste, note Miskec dans certains endroits improbables, à savoir dans certains livres d'images commercialement populaires qui ne reconnaissent jamais ouvertement la source de son iconographie de la chaussure rouge comme Andersen, mais la désignent tout de même - sans problème apparent." Elle ajoute que cette présence actuelle détourne le conte d'Andersen en lui ôtant sa portée morale qui était au XIXe siècle de dissuader les enfants de s'entêter dans l'orgueil... Le disciple d'Aleister Crowley David Bowie vantait les "chaussures rouges" dans "Let's Dance" en 1983. Kate Bush, danseuse ouvertement païenne, qui s'est d'ailleurs filmée dans un clip dansant sur des squelettes (voir mon dossier là dessus ici) en a fait le titre de son album au début des années 1990. Pour ce qui est de la suppression de l'instruction morale, c'est évident puisque dans le spectacle de Marc Lavoine l'héroïne n'est plus qu'une danseuse qui ... fait un pacte avec le diable (comme Johnny Hallyday et quelques autres...), l'aboutissement logique de l'éloge de l'ambition façon Ballerina.

Virginie Sélavy, dans le magazine Electric Sheep est plus directe dans son titre du 1er février dernier que l'analyse universitaire de Miskec (ce qui prouve que les universitaires contribuent davantage a camoufler la vérité qu'à la révéler) : "Les chaussures rouges, pas d'art sans sacrifice" ! Elle y fait la critique de la remasterisation du film britannique de 1948 "The red shoes" de Michael Powell. Virginie Sélavy sait bien de quoi elle parle... Elle a été jusqu'en 2017 instructrice dans un institut d'études sur les créations d'épouvante (si si !) qui remet ses diplômes au temple maçonnique de l'Hotel Andaz de Londres. "You can't make this stuff up !" (Ca ne s'invente pas) comme disent les Américains... Effectivement beaucoup d'artistes illuminati sont soupçonnés d'avoir sacrifié des proches pour franchir des étapes dan leur carrière, et affichent ensuite le deuil... Sélavy décrit le visionnage de ce film comme  "une expérience somptueuse qui vous intoxique" ("sumptuous and intoxicating experience"). Au même moment il y avait une tournée à travers le Royaume Uni d'une adaptation en ballet par Matthiew Bourne du film de Michael Powell, maintenant même transformée en "Red Shoes from home" (Covid oblige), comme le One World Together at Home..

Au fait, cette répétition autour des souliers rouges cette année, ça ne fait pas un peu "mind control" (contrôle mental) ? Marc Lavoine l'ami de l'oeil d'Horus monte les Souliers rouges aux Folies bergères en février, il y a au même moment l'article sur la remasterisation des Souliers rouges d'une habituée des remises de prix dans un hôtel maçonnique fait le commentaire, la tournée du ballet Red Shoes en Angleterre et puis ce mois ci, pour nos chers enfants... Hong Sung-Ho chez Walt Disney sort "Blanche Neige, les souliers rouges et les 7 nains". Un peu trop à mon goût en tout cas...

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Quand Kate Bush faisait l'apologie de Wilhelm Reich

21 Décembre 2019 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #Les rapports hommes-femmes, #Divers histoire

Tous les lettrés de notre époque savent que Wilhelm Reich était un psychanalyste marxiste apôtre de la révolution sexuelle dans les années 1950/60. Très peu savent que la chanson de Kate Bush, "Cloudbusting" de 1985, que j'entendais encore récemment dans un supermarché, était un hommage à celui-ci.

Kate Bush était dans les années 1980 une chanteuse sorcière, ouvertement païenne, qui s'est d'ailleurs filmée dans un clip dansant sur des squelettes (c'est Lindsay Kemp, qui lui a appris à le faire, comme  David Bowie,le mime s'était lui-même distingué en 1973 dans le très druidique-satanique film d'horreur The Wickerman/Le Dieu d'Osier ). Dans "Them heavy people", elle parle de gourous qui l'ont initiée aux thèse de l'occultiste Gurdjieff" (voir aussi les sources "gothiques" de ses autres chansons).

Elle s'est inspirée pour écrire Cloudbusting d'un livre du fils de Wilhem Reich, qui avait vu son père arrêté sous ses yeux. Reich avait joué les chasseur de nuages. Le principe de sa découverte était que l'on pouvait prendre de l'énergie sexuelle (orgone) stockée dans des armoires métalliques, la placer dans des tuyaux en cuivre ou en acier assemblés et l'envoyer vers les nuages pour les chasser. Dans la vidéo K. Bush joue le rôle du fils du savant.

On ne s'étonnera pas que ce clip ait été tourné par Terry Gilliam des Monthy Python, dont le film "Sacré Graal" avait été financé par des satanistes célèbres.

Reich de son vivant a été soupçonné de pédophilie. Kate Bush elle-même a dû se justifier en 2014 (voir Daily Mail du 27 juillet) de sa longue collaboration artistique avec le pédophile notoire Rolph Harris, et la question de sa propre implication dans cette pratique avait été posée dès 1980 à propos de sa chanson "Infant Kiss".

La diffusion persistante de la chanson de Kate Bush sur les ondes des radios entretient le culte de Reich, de la provocation sexuelle, et du commerce avec les forces occultes.

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In memoriam : Maja Nikolic (1964-2019)

4 Septembre 2019 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Le quotidien, #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #Actualité de mes publications

La graphiste belgradoise Maja Nikolic, webmestre du premier site d'information alternative que j'ai dirigé en 2000 - je l'avais mentionnée dans divers de mes ouvrages et plusieurs billets de ce blog (dont la dernière fois il y a une dizaine de jours ici) - est décédée la nuit dernière du cancer qu'elle combattait depuis six ans. Elle n'avait pas 55 ans (elle allait faire 56 ans en décembre).

Inutile d'en dire davantage.

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16 septembre 1982

28 Juin 2018 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #Ecrire pour qui pour quoi

Je regardais tantôt cette vidéo (ci-dessous) : les informations télévisées d'Antenne2 du 16 septembre 1982. Le temps où les trois chaines de TV faisaient de vrais journaux, structurés, avec des nouvelles bien hiérarchisées commençant par l'international, et finissant par des faits divers. On y faisait de vraies phrases, on cherchait parfois des formules élégantes sans peur du ridicule. On croyait encore un peu aux mots, hors du piège des images et de l'obsession corporelle.

Ca commençait avec les troupes israéliennes à Beyrouth, ça continuait avec les funérailles de Béchir Gémayel, puis la visite de Sékou Touré en France. J'ai souri devant la scène un peu surréaliste de Sékou Touré montrant aux journalistes français un reportage sur Kim Il Sung ! Triste dictateur qui se saoulait du souvenir de son "non" à De Gaulle pour faire oublier qu'il écrasait son peuple (bien sûr je ne dis pas que la dictature de Soros, de Bolloré et de WallStreet qui l'a remplacé à la fin des années 80 en Guinée comme ailleurs valait mieux). Puis les états d'âme des parlementaires socialistes et communistes devant la politique fiscale du gouvernement, tandis que PPDA (déjà lui) donnait la parole aux entrepreneurs, évidemment. On n'était pourtant pas encore à l'heure du grand ralliement de Mitterrand à l'austérité au nom de l'européisme. Un mot de l'enterrement de Grace Kelly, un autre des assurances automobiles.

J'ai gardé un souvenir très précis de tout cela. J'avais presque 12 ans. Je venais d'entrer en 5ème au collège. Je gardais en archive chaque jour la "Une" du journal local La République des Pyrénées, et je dévorais les "Que-sais-je". J'étais de plain pied dans l'actualité de ce monde. Je voulais devenir journaliste. J'appréciais les interventions de Georges Marchais à la TV que je croyais utiles à la condition de mes deux parents ouvriers (qui pourtant n'étaient pas communistes). J'étais naïf. Je croyais que parce que j'étais premier de la classe je ferais quelque chose de beau de ma vie. Je ne voyais pas combien déjà ma vanité et mon égoïsme me vouaient à n'en rien faire du tout. Le ver était dans le fruit de mon existence, et je ne le voyais pas, comme la société de l'époque ne voyait pas qu'elle préparait le chemin à la disparition de tout un tas de choses positives que l'on croyait durables (l'intelligence, la France, la SNCF, les abeilles dans les champs, le respect de l'orthographe). On ne savait pas qu'on formait une génération de zombies qui elle même allait enfanter une série de cerveaux au QI beaucoup plus faible (voyez l'article sur la baisse du QI à cause des écrans) dans un monde de plus en plus cynique et hypocrite (je repense au type sur une radio parisienne qui disait que l'autolib à Paris doit être abandonné à cause des dégradations par les utilisateurs - ô les généreux bobos incapables de prendre soin de ce qu'on leur confie !) où la vie ne compte plus pour rien (7 milliards de gens sur terre, combien ont l'eau courante ?).

C'était il y a longtemps, oui, très longtemps. Aujourd'hui je suis presque quinquagénaire. Je n'ai pratiquement rien apporté à mon époque à part trois ou quatre livres que personne n'a lus. Je ne m'en plains pas. En quoi cela aurait-il été utile que je sois un Jérôme Guedj (avec qui j'ai cohabité à Madrid en 1994) ou un Michel Onfray ? Faire des apparitions dans les médias pour occuper du temps d'antenne, participer à un théâtre de pantins, entretenir les gens dans le mensonge et l'illusion. Mieux vaut s'abstenir. J'ai juste diffusé une ou deux infos sur des blogs que les grands médias ne voulaient pas faire entendre, posé une ou deux questions. Cela me suffit bien. Personne n'en voulait davantage de toute façon. Aujourd'hui je ne me pose plus de questions sur mon rôle comme je le faisais à 30 ou 40 ans. Je réponds au coup par coup, ponctuellement, quand des choses me sont demandées, en mon for intérieur, ou par tel ou tel de mes contemporains. Si l'on me demande un coup de main ou un avis je le donne, et si je ressens que rien de moi n'est attendu je m'abstiens, voilà tout. Un ancien collègue aujourd'hui à la retraite a pris sur lui de tenter de faire passer une recension de mon livre sur le populisme dans une revue juridique. Je lui souhaite une bonne chance. A l'heure actuelle seul Labévière a pris le risque de parler de ce bouquin sur la toile. Ca n'a aucune importance à mes yeux. J'ai pondu ce livre sans arrière pensée, aussi naturellement que je respire. Et je le livre au flot de la volonté qui me dépasse, celle d'en haut.

Tournons la page de 1982, comme celle de l'égo. De toute façon la nostalgie est un piège à cons. L'histoire est utile à la réflexion, mais il faut d'abord faire face au présent, même dans les moments où l'on a l'impression qu'on n'a rien de spécial à y faire. N'en doutons pas, quelques sollicitations reviendront, et parmi elles certaines qu'on ne souhaite pas du tout affronter. Certaines seront peut être intéressantes ou agréables. Il faudra être alors être "simple comme une colombe et méfiant comme un serpent" comme le dit l'Evangile. On verra bien...

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La canalisation de Plotin

6 Septembre 2017 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #Philosophie et philosophes, #Grundlegung zur Metaphysik

Quand je préparais ma licence de philo à 20 ans à la Sorbonne, il y avait dans notre cours un jeune normalien qui voulait faire sa maîtrise sur Plotin, philosophe néoplatonicien de l'antiquité tardive. Je trouvais cela étrange parce que mon entourage ne jurait que par les philosophes modernes (postérieurs à Descartes). En plus Plotin me paraissait ennuyeux avec ses hypostases et son végétarisme.

L'historien anglais ER Dodds évoque dans son célèbre livre sur l'irrationnel chez les Grecs une anecdote survenue à Plotin au début de sa carrière et que raconte son disciple Porphyre - je lisais cela la semaine dernière. Comme un prêtre égyptien venait à Rome, il lui aurait proposé de lui révéler quel Dieu animait sa vie intellectuelle et morale. Plotin accepta. Ils firent donc un rituel de canalisation qui m'a rappelé ma canalisation d'Isis chez une médium en novembre 2014, et ils le firent dans l'Isiacum de Rome parce que c'était le seul endroit pur (Dodds précise que les temples égyptiens étaient les seuls où l'on ne pouvait entrer qu'après avoir jeûné, et je crois que nos églises devraient s'inspirer de cette règle). Le prêtre fit son rituel, et une entité apparut qui révéla que Plotin était inspiré par un Dieu et non par un simple daimon (une entité inférieure). Mais au moment d'interroger l'entité sur le nom du dieu, l'assistant fut pris d'une sorte de folie (peut-être mêlée de jalousie dit Porphyre) et tua les oiseaux postés en défense, ce qui fit échouer la canalisation.

Un des aspects intéressants de l'anecdote est le rôle que jouent les oiseaux dans l'histoire. Il paraît qu'ils avaient une fonction apotropaïque. En étranglant les oiseaux, on empêchait la parole de l'entité de se donner en toute sécurité ou en toute pureté. C'est une historiette bien étrange...

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Génération

4 Juillet 2015 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Souvenirs d'enfance et de jeunesse

La voyante Maud Kristen et moi avons des points communs inattendus : nous avons lu Bourdieu l'un et l'autre, nous avons connu la société parisienne des années 80, qui était celle du mépris en cascade (telle qu'elle la décrit dans son autobiographie). Ce sont des points communs générationnels. Elle et moi appartenons à un monde qui était bien plus gris (sans les façades blanchies, la novlangue, et tous les artifices actuels), mais bien moins con, que celui dans lequel les trentenaires ont baigné. Je pense que je ne peux parler la même langue que des gens qui ont moins de 35 ans, et réciproquement.

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Dust

8 Juin 2015 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Souvenirs d'enfance et de jeunesse

Souviens toi, Rafaela, il faisait beau sur Chatelet ce jour-là... tra la la...

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Send me an angel

7 Avril 2015 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Souvenirs d'enfance et de jeunesse

ISIS2Bon, je serai plus impressionné quand ils nous feront "Dance with me" de Lords of the New Church en chants grégoriens. Mais "Send me an angel", ce n'est déjà pas mal. Ca vaut Soeur Cristina chantant "Like a Virgin", non ? ste baume

 

 
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