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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #cinema tag

Chagrin d'Amour et Patrick Dewaere

10 Avril 2024 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Cinéma

Il m'est arrivé parfois de signaler sur ce blog des traces d'inspirations Illuminati dans les productions françaises et non seulement américaines, britanniques ou espagnoles - comme récemment autour du panda.

La chaîne "Documents rares et inédits" a fait de même il y a peu sur une période plus ancienne en montrant que la citation "clac fait Dewaere en tombant sur le lino" (au lieu de "le verre") dans le tube à succès du groupe Chagrin d'Amour le 1er janvier 1982 pouvait faire référence à la mort prochaine - le 16 juillet suivant - de l'acteur qui tournait, au même moment dans le film d'Alain Jessua "Paradis pour tous" qui parle des manipulations médicales sur un mode très orwellien.

Cette chaîne évoque un "avertissement" que les sociétés secrètes auraient adressé à Dewaere, acteur qui avait fait la voix de Peter Pan en 1953 thème disneysien lié au MK Ultra. Mais on peut parler aussi bien d'une simple programmation prédictive dans le cadre d'un sacrifice rituel.

Jessua avait déjà réalisé Armaguedon en 1976, histoire d'un rebelle qui combat un monde totalitaire. Dans le film le héros joué par Jean Yanne saisit dans une librairie le livre "Gouvernants invisibles" du franc-maçon ésotériste Hutin. Sur le même présentoir il y a "Des fleurs pour Algernon" roman de Daniel Keyes, marqué par les prémices du transhumanisme, le film qui en est tiré étant très marqué par la l'imagerie de la chouette. L'oeil est omniprésent dans Armaguedon (comme il l'est dans les films de Verneuil).

Un mur couvert d'affiches où l'on voit Delon (qui joue dans Armaguedon), Marylin Monroe (esclave du MK Ultra) et l'affiche d'I comme Icare de Verneuil sur l'assassinat de Kennedy, dans le clip de Chagrin d'Amour "Chacun fait c'qui lui plait" (un titre à la Aleister Crowley) pourrait faire le lien entre toutes ces thématiques. Le chanteur du groupe avait un côté un peu pédophile (cf sa chanson 13 ans et demi de 1979) une de ses chansons faisait aussi la promo du LSD lancé par la CIA...

 

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Leave The World Behind

21 Décembre 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Barack Obama, #Les Stazinis, #Grundlegung zur Metaphysik, #Cinéma

Un mot sur le film "Leave the World behind" co-produit par le couple Obama, un films apocalyptique sur les fréquences sonores destructrices. Le réalisateur Sam Esmail a aussi  réalisé Homecoming, un film qui a juste "par hasard" l'oeil d'Horus sur son affiche.

Au début de "Leave the World behind", juste après les tracts appelant à la mort de l’Amérique. La tasse, l'horloge puis l'autre horloge affichaient ensemble 666 (un 6 sur chacune).

Bien sûr les yeux sont aussi présents, de même que les damiers maçonniques.

Cette scène a aussi fait parler (à rapprocher de ce que nous avons dit sur Macron et Obey Giant).

Il est étrange que Yahoo ait délibérément effacé "Obey" dans sa présentation du film.

 

"Obéissez à la Nasa" avec la photo de l'oeuvre de Shepard Fairey (voyez aussi du côté de l'Elysée ici) renvoie au fait que la NASA, repaire de la francs-maçons autour duquel Obama a déjà fait des mises-en-scènes, gère des programmes secrets tournés contre l'humanité (notez aussi que l'artiste a fait un portrait d'Obama cf l'image ci dessous à droite).

Sur l'affiche, l'alignement des noms des acteurs donne verticalement en leur milieu les lettres "BAAL"

Evidemment  la série renvoie à plusieurs reprises à la série Friends dont Anthony Bourdain, le cuisinier sacrifié en 2018 en France, avait souligné le côté satanique. La mort récente d'un de ses héros Matthew Perry (qui disait avoir scellé un pacte pour réussir) le 28 octobre jour l'anniversaire de Julia Roberts (héroïne de Leave the World qui avait un peu joué dans Friends), les confidences de Jennifer Aniston sur ses "cercles magiques" vont dans ce sens.

 

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Barbie, le luciférisme et le gnosticisme

1 Août 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Cinéma, #Christianisme

Une très bonne vidéo de Doreen Virtue contre la poupée Barbie et contre le récent film sur cette poupée.

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Angélique et le Roy

9 Avril 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Cinéma, #Le monde autour de nous, #Les rapports hommes-femmes, #Grundlegung zur Metaphysik, #Divers histoire, #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #Colonialisme-impérialisme

Je regardais tantôt, en déjeunant, sur Paramount TV, un morceau d' "Angélique et le Roy", charmant petit film des années 1960 qui rappelle le temps où la France avait encore une culture sûre d'elle, qu'elle mettait même en scène dans ses bleuettes pour caissières de Prisunic.

On ne se torturait point l'esprit, en ce temps là, avec le "wokisme"(une idéologie qui n'a cependant pas que des défauts, même si elle en a beaucoup). On mettait en avant un féminisme de pacotille, qui servait plus à jouer avec le mâle qu'à le haïr. Et bien sûr il y avait alors un dedans et un dehors : dehors se trouvait le barbare - cet ambassadeur de Perse qui n'est bon qu'à violer. Les frontière entre les deux comme entre le haut et le bas étaient très claires, et, de ce fait, on pouvait s'amuser à tenter (mais tenter seulement) de les transgresser parfois.

L'ouvrier devait rêver (mais rêver seulement , en salle obscure) de marquisat. "Vous me trouverez à la cour, dont je suis" lance la marquise à l'ambassadeur après qu'il eût tenté de jouer avec elle. Dont je suis, dont vous n'êtes pas... et dont le téléspectateur n'est pas non plus.

Le film ne dit rien de la France de Louis XIV, et tout du regard que la bourgeoisie parisienne (ou parisianisée) des années 1960 portait sur elle, ou ce qu'il pouvait en rester à son époque... dans cette France qui se voulait encore un peu au dessus du monde...

Cette bourgeoisie qui commandait encore au pays en 1980 et 1990 n'était bien sûr pas disposée à m'intégrer en son sein. J'ai eu beau avoir ses diplômes, je n'ai jamais maîtrisé ses codes (ses manières, son accent), ni sa tournure d'esprit.

Il n'y a par exemple jamais eu la moindre familiarité entre moi et les lieux de la noblesse du bassin parisien comme Reims, Versailles ou Senlis, lieux dans lesquels nos bons bourgeois projetaient leur imaginaire (je suis un homme des périphéries, voyez ce livre, comme l'amusant et chaotique Juan Branco qui disait il y a cinq jours avoir défendu face à Mélenchon la grandeur de Louis XIV, mais lui a grandi à Paris et dans les jupons occultistes de Catherine Deneuve... pas moi).

Qu'aujourd'hui cette bourgeoisie en ait enfanté une autre qui a vendu l'âme de la France à l'empire américain et à son élite sataniste et globaliste est son problème plus que le mien. Asselineau a beau agiter les grigris eurasiatiques pour rompre cet envoûtement, ce n'est pas par cette voie qu'il arrachera sa terre au purgatoire.

La bourgeoisie des années 1960 avait préparé le chemin, non seulement en s'apprêtant à voter pour Giscard et Mitterrand dix ans plus tard, mais déjà en méprisant le christianisme et les racines spirituelles profondes de l'hexagone. Dans Angélique on vénère les richesses matérielles, les belles robes, le sexe de la femme que les nobles se disputent... et l'on cherche des substances alchimiques pour acquérir des pouvoirs magiques.

Comme dans Pif Gadget (alors communiste), Dieu est absent.

Aujourd'hui Pif Gadget interviewe Macron. Si la Marquise des Anges reprenait vie, elle aurait maintenant les traits d'un "transgenre" amoureux de notre président, dans un monde sans frontière (plus de haut, plus de bas, plus de nous et plus d'eux, plus de mâles ni de femelles, plus de bien plus de mal), et sans l'artifice de l'élégance versaillaise, même une élégance kitsch, pour dissimuler la chute du pays.

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Nos Frangins de Rachid Bouchareb

24 Décembre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #La gauche, #Cinéma, #Béarn

Sur les conseils d'un ami béarnais avec lequel je manifestais dans les rues de Pau en 1986 contre la loi Devaquet, je suis allé voir le film "Nos frangins" de Rachid Bouchareb  sur les affaires Oussekine et Benyahia qui ont éclaté au milieu de notre mouvement.

Je n'ai pas regretté d'être allé le regarder. C'est un bon film documentaire même si, comme le relèvent les critiques, cela manque un peu de ressort dramatique. J'ai été de ceux qui ont manifesté en hommage à Malik Oussekine, et pourtant il y a des choses que je ne connaissais pas à son sujet, notamment sa conversion au christianisme. Je n'avais pas non plus entendu parler de l'affaire Benyahia. En tout cas, elle ne m'a pas marqué. Je ne savais pas non plus que les voltigeurs des la police ont été réintroduits en 2018 au moment de la crise des Gilets Jaunes. L'ex-patron du Raid devenu Macronien en mai 2019 avait lui même télescopé les deux époques d'une manière sensationnelle... Il y avait un gros problème de racisme dans les forces de l'ordre en 1986... et il a perduré...

Le dimanche 7 décembre 1986, 254 114ème jour de ma vie (j'avais fait le décompte), j'écrivais : "La tournure que prennent les événements est préoccupante... Avec une incroyable intransigeance , nos dirigeants ont attendu que le mouvement s'essouffle de lui-même.

Hélas jeudi soir les manifestants pacifiques des universités ont été débordés par des éléments extrémistes qui ont enclenché un cycle de violence dans le cadre des grèves ; les forces de l'ordre ont adopté une attitude totalement indigne, à la limite de la barbarie. Les seules victimes de la répression furent évidemment les étudiants non-violents, tandis que les marginaux se sont appliqués à entretenir durant tout le weekend un climat insurrectionnel dans la capitale.

Pendant ce temps, les grévistes modérés qui portent le deuil d'un des leurs tué par un policier dans la nuit de vendredi à samedi radicalisent leurs positions tandis que le gouvernement se refuse toujours à retirer le projet de loi qui a suscité l'apparition du mouvement contestataire il y a plus de dix jours.

En jouant la politique de l'attente sereine, le gouvernement prenait le risque de voir les jeunes grévistes politiser leur action ou même rejoindre l'état d'esprit de mai 68." Je noircissais ensuite quelques pages dans un style un peu convenu sur la jeunesse qui ne veut plus des sacrifices ni du désengagement de l'Etat.

En novembre 86 j'avais aussi tenu la chronique de ma participation aux grèves et aux manifestations dans mon lycée. L'adolescent que j'étais n'avait visiblement bien écouté les informations, puisque je prenais Malik Oussékine pour un gréviste alors qu'il ne périt que comme un passant qui s'est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Les réalités parisiennes, à ce moment-là, étaient à 900 km de mon quotidien...

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