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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #cinema tag

Les chemtrails et les stupéfiants

12 Janvier 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Cinéma, #Les Stazinis, #coronavirus-vaccination-big pharma

Il y a deux ans et demi, j'ai soulevé très prudemment la question des chemtrails (ces rejets des avions de ligne que certains estiment potentiellement toxiques) et du projet Cloverleaf, puis en mai dernier celle des épandages. Ensuite en octobre je me suis aventuré à examiner le rapport de certains membres des élites internationales à l'ayahuasca, à rapprocher aussi de l'engagement de Soros sur le cannabis (sans aller jusqu'à suivre Gérard Fauré dans ses témoignages sur la cocaïne).

J'ai aussi expliqué en quoi les mises-en-scènes de Hollywood, des jeux vidéos, des jeux de société ou des clips musicaux peuvent avoir valeur de programmation prédictive ou en tout cas révéler en cachant (selon des mécanismes classiques en sorcellerie) qui disent sur le mode de la plaisanterie et du divertissement quelque chose de profond sur ce qui se passe ou va se passer dans la réalité.

Parmi les vidéos "tendance" sur You Tube en ce moment (déjà 2 millions de vues en 21 heures), s'en trouve une qui fait converger sur un mode apparemment léger mais instructif les chemtrails, les drogues, et la possession démoniaque (que favorisent les enthéogènes - c'est à dire des stupéfiants qui mettent en contact avec des entités - comme le LSD et l'ayahuasca).

Cette vidéo, qui s'adresse aux adolescents, s'appelle "Chemtrails Over the Country Club" de Lana Del Rey (une vidéo d'ailleurs valorisée par la très démoniaque revue "Rolling Stones").

Chemtrails au dessus du countryclub. Les paroles sont troublantes :

"There's nothing wrong contemplating God
Under the chemtrails over the country club"

(Il n'y a rien de mal à contempler Dieu/ Sous les chemtrails au dessus du Country club)

"LSD, normality settles down over me
I'm not bored or unhappy, I'm still so strange and wild"

(le LSD, la normalité qui s'installe en tombant sur moi/ Je ne m'ennuie pas, je ne suis pas malheureuse, je me sens pourtant si bizarre et folle)

"My Cancer is sun and my Leo is moon" (Mon Cancer est soleil, mon Lion est lune - il faut peut-être penser à l'opposition soleil-lune dans la représentation du Baphomet)

Les images sont aussi très parlantes. Beaucoup de références au coronavirus : les masques, la ventilation... Beaucoup d'occultisme très classique : les chaises de jardin en noir et blanc couleurs maçonniques (minute 1'50), le volatile noir et blanc à la minute 2'08, la robe rouge de la prostituée de Babylone (ou du Babalon work, dans la magie noire, c'est d'autant plus malsain ici qu'il s'agit d'une fillette) devant le miroir (min 2'30) - le miroir étant une référence classique dans la recherche du dialogue avec les entités et le voyage dans l'autre monde, pas seulement dans Alice au Pays des Merveilles -, la consommation (un peu particulière, sans le peler) du citron, symbole lunaire dans l'occultisme (minute 2'51). Vous noterez qu'à la minute 3'07, au milieu d'images sexuelles très rapides presque subliminales, qui deviendront plus explicites ensuite, la pleine lune apparaît (toujours propice aux exercices de magie sexuelle crowleysienne). Puis à la minute 3'07 quand le citron a été consommé, les entités de l'au-delà font leur apparition, puis les loups (toute l'imagerie du loup-garou à la pleine lune dans le paganisme, peut-être aussi à rapprocher des expériences de Castaneda sous enthéogènes qui lui faisaient voir un coyote). Minute 3'38, les yeux brillants évoquent clairement la possession. Les sorcières lesbiennes retournent à l'état de nature. A la minute 4'32 le miroir est traversé.

Bon, vous ne serez pas étonnés d'apprendre que la chanteuse Lana Del Rey (qui a 10 millions d'abonnés sur YouTube) joue à peu près tout le temps dans sa carrière avec l'imagerie de la sorcellerie (une façon de vous dire, comme Asia Argento, Rose McGowan ou Stevie Nicks dans la génération antérieure) qu'elle la pratique aussi, et donc qu'elle est réellement une sorcière. Voyez la en "une" de Rolling Stones de juillet 2014 montrer l'oeil d'Horus à côté d'un chat noir. Elle n'a pas caché avoir fait un rituel contre Trump en 2017.

En janvier 2016 elle donnait un concert dans le Temple maçonnique de Detroit. Et dans "Happiness is a butterfly", elle vous faisait savoir qu'elle était liée aux papillons monarques et au programme du même nom qui régit le contrôle mental dans certains milieux... Donc dites vous bien que rien de ce qu'elle produit (comme la plupart des stars internationales dans les années 2010-2020) n'est gratuit, spontané, et dénué d'arrières-pensées manipulatrices.

Une fois cet exposé terminé, vous pouvez vous faire votre propre opinion et penser, soit que cette vidéo n'est qu'une petite création artistique sans importance, soit qu'elle est destinée à faire fantasmer les ados sur la possession et les drogues d'une façon certes malsaine mais sans autre intention, ou qu'au contraire elle annonce un réel de diffusion de drogues enthéogènes sur les populations et cherche à préparer la jeunesse à cela en le valorisant sur un mode positif. L'avenir le dira, mais ceux qui auront eu tendance à minimiser la gravité de ce genre de vidéos sont aussi ceux qui, demain, trouveront naturel l'épandage d'enthéogènes si cet épandage se réalise. 

En tout cas, il est pour le moins curieux qu'une vidéo aux accents très occultistes promeuve ainsi positivement les chemtrails, vous ne trouvez pas ? Bien sûr on peut dire qu'elle cherche seulement à tourner en dérision les "complotistes" qui croient en leur existence. Je le croirais si elle n'affichait pas par ailleurs tout cet ésotérisme. Ca ne sent pas le simple "surréalisme", l'humour au second ou troisième degré. Ca sent la manipulation, la volonté de faire accepter le chemtrail sous un angle particulièrement inquiétant. Et donc après ce genre de chose, comme après ce qu'on avait vu en 2020 avec la programmation prédictive autour de Wuhan et du raton laveur à propos du coronavirus, il devient très difficile d'écarter l'hypothèse "haute" des conspirationnistes (c'est à dire celle de l'existence d'un projet machiavélique autour du phénomène).

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Send in the clowns

8 Janvier 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Les Stazinis, #Donald Trump, #Les régimes populistes, #Colonialisme-impérialisme, #Grundlegung zur Metaphysik, #Cinéma

Il est très important de rire de ce que vous présente la télévision. Non pas d'un rire désespéré, mais, nourri de votre foi, d'un rire sain, détaché, qui sait que le théâtre d'ombres médiatique est la plus ridicule des inventions destinée à ceux qui, au fond, victimes de leur peur, ont délibérément choisi de ne jamais rien savoir ni rien jamais comprendre.

J'ai bien ri ce matin en regardant cette vidéo de "A Call for an uprising" qui, à force d'être censuré par YouTube (comme je le suis moi-même : ma vidéo sur Soros sur TV Delorca - abonnez vous ! - a été détruite, et mon droit à publier suspendu pour deux semaines) ne publie plus que des séquences courtes et allusives, mais c'est comme avec les aphorismes : plus c'est court plus c'est drôle. De peur que même sa petite séquences soit censurée, et pour ceux d'entre vous qui ne comprennent pas l'anglais, je vous résume son propos : "Ha ha, de toutes les opérations psychologiques (psy ops) de la CIA celle-ci est vraiment la plus drôle. On pourrait l'appeler 'Send in the clowns'. Regadez ça : les gens rentrent dans ce bâtiment - la Capitole - sans dispositif policier, c'est comme entrer avec un bazooka dans un aéroport avec les félicitations du personnel de sécurité. Cette opération psychologique c'est 'Send in the clowns'. Regardez ces scènes surréalistes de types qui escaladent les murs comme des Spidermen. Quel citoyen ordinaire pourrait faire ça ?"

Et pour compléter cette présentation je vous mets ici (sur Dailymotion) le petit diaporama qu'il a fait sur la prise du Capitole par les partisans de Trump sur fond de "Send in the Clowns" (Faites entrer/envoyez les clowns), chanson interprétée jadis par Frank Sinatra (puis par Barbra Streisand et quelques autres).

Il est toujours délicat de devoir expliquer pourquoi quelque chose est drôle, mais il est clair qu'il faut avoir en tête une ou deux choses pour pouvoir apprécier le sel de cette lecture de l'actualité par "A Call for an uprising". Tout d'abord il faut savoir ce que c'est qu'une "psy op" de la CIA : c'est une opération de manipulation des foules : il y en a eu beaucoup au temps de la guerre froide (voyez cette video mainstream à ce sujet). On recrutait une équipe de psys avec un but particulier : désamorcer la résistance communiste dans tel ou tel pays (les Philippines, les Sud Vietnam, le Guatemala). Et on définissait un modus operandi : par exemple envoyer des agents sous des couvertures bidons (instituteurs, prêtres etc) pour aller convaincre les paysans des vertus du dictateur en place, ou monter une énorme intox contre un opposant. Ca marchait aussi dans les milieux intellectuels. Il a fallu du temps pour comprendre que ces psy ops étaient aussi menées chez les alliés (en France par exemple), et contre la population américaine elle-même. En fait tout le monde est la cible de ces opérations, comme tout le monde est la cible de l'espionnage comme l'a montré Snowden.

Bien sûr cette opération burlesque d'invasion du Capitole après un discours de Trump a toutes les apparences d'une "psy op" pour liquider ce qui reste du trumpisme.

Peu importe que ce soit la CIA elle-même qui l'ait conçu, ou toute autre officine privée, publique, parapublique, tout cet Etat profond américain et qui, en réalité n'est même pas américain (il est transnational au service des milieux financiers mondialistes). Tous ces organismes maintenant sont interchangeable : CIA, officine de sécurité israélienne ou turque, blackmatters, entreprise informatique française ou britannique, ONG artificielle : ce sont les mêmes managers qui naviguent de l'une à l'autre.

Connaissant l'état d'esprit des types qui dans ces organisations conçoivent la manipulation des foules, on imagine bien que l'un d'entre eux aurait pu se dire avec leur cynisme nihiliste habituel : "Appelons cela 'Send in the clowns' " . On ne saura peut être jamais qui a défini l'opération d'hier ni comment ils l'ont appelée, mais l'idée de A Call for an uprising à ce sujet cible au coeur même du réel, et le synthétise au mieux, car c'est au fond effectivement ce qu'ils ont fait : ils ont attrapé un paquet de clowns dans la manif de Trump pour les faire entrer au Pentagone. Tandis qu'en direct des abrutis de nos grands médias titraient "Coup d'Etat aux Etats-Unis". Tout cela est d'un ridicule achevé. "But the joke is on you" comme disent les Américains, la plaisanterie (joke) est sur vous et contre vous, comme un joug (yoke). En balançant ce genre de sketch aux spectateurs et en sachant que beaucoup y adhèreront, ces manipulateurs ne font que leur prouver qu'ils sont vraiment devenus un troupeau décérébré.

Cela fait longtemps (bien avant le film "le Joker") que dans le cinéma et les jeux, le système de la société du spectacle valorise le clown comme nouveau héros/anti-héros. Peut-être même la chanson de Sinatra participait-elle d'une programmation prédictive sur ce thème. C'est une façon de tourner en dérision l'humanité et de lui renvoyer en miroir sa propre folie, de lui montrer qu'elle n'est plus qu'un rat de laboratoire qui tourne dans sa roue (et qui, pour cette raison, est bonne pour la vaccination obligatoire, le masque et toutes sortes de dynamitages - voyez ce qu'en a dit Cathy O'Brien, elle a connu le sujet dans sa chair...).

Donc, oui, les clowns ont été envoyés au Capitole. Des partisans de Trump sur Twitter hier montraient que certains visages parmi eux avaient été aussi photographiés dans des manifestations d'antifas... C'est très probable (on a même dans la "troupe" un supporter du régime de Kiev que les grands médias font passer pour pro-russe). Mais ça n'a guère d'importance. Qu'ils soient trumpiens, antifas ou contorsionnistes dans des cirques, les gens qui sont employés dans ce genre de "performances" sont aussi polyvalents que leurs employeurs. Un jours ils sont ici. Un autre là.

Ils ont en tout cas ainsi parachevé le travail de sape du trumpisme, qu'avaient déjà bien développé pendant le mois de décembre l'establishment républicain lequel avait progressivement lâché le président sortant, ne laissant la place qu'à acharnés un peu ridicules façon Sydney Powell (la dame qui croyait que le fantôme de Chavez avait manipulé les résultats électoraux de 2020) intoxiqués par Qanon. L'opération a été ficelée comme les pires révolutions colorées de Géorgie ou d'Ukraine. On crée du spectacle télévisé, on verrouille les pouvoirs institutionnels. La Géorgie, aux mains des Républicains, bascule dans le camp démocrate pour livrer à ceux-ci le Sénat (ils ont ainsi les pleins pouvoirs). Ted Cruz et le dernier quarteron des résistants (même l'irréductible Rand Paul, le fils de Ron) doivent reconnaître la (fausse) victoire de Biden... End Game.

Après on fait le nettoyage... On veut provoquer un impeachment de Trump en le faisant passer pour fou, comme on a tenté de faire passer pour fous Fourtillan et Assange dans les attendus du jugement qui refuse son extradition en Amérique. Les vieilles recettes brejnéviennes ont séduit nos décideurs. Psychiatriser les gêneurs, c'est tellement plus facile. Et tant pis pour la fragilité des institutions : tant pis si un impeachment de Trump à quelques jours de la fin du mandat ouvrirait la voie à un précédent dangereux pour d'autres présidents ultérieurs. Seul le spectacle compte. Et tant pis aussi si cela plonge ses partisans dans toujours plus de désespoir et d'extrémisme. Tant pis s'ils fomentent des révoltes sporadiques ici ou là dans les années qui viennent. Le chaos est si agréable aux yeux de nos chefs... "Ordo ab chao" voilà leur slogan.

Devra-t-on regretter Trump ? On ignore quelle part de lui aura été sincère et laquelle relevait de l'illusionnisme ou même d'une dangereuse magie occultiste, pas seulement parce que son gendre avait acheté le 666 de la 5e avenue à New York. Je publierai prochainement des éléments sur la symbolique de sa campagne de vaccination qui risquent de vous sidérer. De toute façon il n'est pas fini. Ce genre de personnage est utile au système quoi qu'il advienne, et beaucoup de "bons esprits" peuvent le garder en réserve comme ils le font avec Sarkozy ou Hollande. Il faut des marionnettes pour le spectacle. Voyez combien le Parti démocrate américain est toujours sur le point d'imploser entre son aile gauche et son aile droite dès qu'il n'y a plus la haine commune de Trump pour le fédérer. Le ressortir des cartons de temps à autre sera toujours utile.

En tout cas n'investissez aucune passion dans les farces que vous présentent en boucles vos écrans. Ni dans les affects des médias mainstreams qui veulent vous mobiliser sur le thème "faites vous vacciner, obéissez nous, résistez au fascisme, au complotisme, au terrorisme", ni dans ceux des "alternatifs" sur Internet qui vous embrigadent dans des révoltes stériles lesquelles pourraient bien finir plus mal que la pantomime du Capitole (rappelez vous des LBD pour les Gilets Jaunes). Le plus important pour l'avenir du monde ne se joue pas dans ces théâtres d'ombres... mais d'abord dans vos coeurs !

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Donald Trump a-t-il un rapport avec le voyage dans le temps ?

21 Novembre 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Donald Trump, #Christianisme, #Grundlegung zur Metaphysik, #Les Stazinis, #Les régimes populistes, #Cinéma

Casey Brown, le chrétien américain qui anime EnterTheStars sur You Tube n'est pas toujours facile à suivre, et la manière dont il intègre au canon le Livre d'Hénoch est un peu intrépide, mais je prends ses intuitions au sérieux depuis qu'il m'a montré divers aspects du culte de l'adrénochrome (voir ici) et qu'il m'a enseigné comment le logo du laboratoire de Wuhan figurait dans un jeu vidéo anticipant sur le Covid à travers notamment la figure du raton laveur "raccoon" (anagramme de c-corona) également utilisé par Microsoft (voir ).

Il est maintenant persuadé que, dans l'économie des sociétés secrètes et de l'ésotérisme, Trump est lié à Abraham Lincoln (sur le mode de Janus, du double), et que tout cela peut avoir un rapport avec le cuivre, la 5G et les machines à remonter le temps. Bien sûr, il n'a pas une thèse là dessus, mais il essaie de comprendre comme nous tous en tâtonnant. Mais je suis convaincu que sa méthode, fondée sur l'exégèse des productions culturelles de masse comme les séries hollywoodiennes, est pertinente et inspirée par Dieu. D'ailleurs il a des milliers d'abonnés aux Etats-Unis pour cette raison. Et ceux qui, en France, likent en masse en ce moment mon billet sur le rapport malsain de Joe Biden aux jeunes filles, feraient bien mieux de s'attacher à mes billets sur EnterTheStars, car ce sont eux qui peuvent les aider à sortir de la "matrice" culturelle dans laquelle Hollywood (saturée de sociétés secrètes) et les médias tentent de nous enfermer. Evidemment c'est un travail lent, ingrat, qui requiert de la patience et de l'humilité, mais je pense qu'il en vaut la peine (St Paul dit qu'il faut fixer le regard sur les choses éternelles).

J'en veux pour preuve le fait que récemment il est apparu que l'intuition d'EnterTheStars sur le lien Lincoln-Trump via l'inventeur serbe de Croatie Nikola Tesla (dont l'oncle de Trump a récupéré les papiers pour le FBI, ça c'est un fait historique) a été confirmée par un prédicateur évangélique dominicain, Lorenzo Soto Garcia, qui n'est pas du tout du même bord que Casey (Casey qui refuse maintenant le paradigme gauche droite était plutôt proche des républicains au départ alors que ce prédicateur comme beaucoup d'hispanos est de gauche), et qui n'avait aucun contact avec lui (c'est un abonné d'EnterTheStars qui a souligné la "synchronicité"). Je ne vous conseille pas du tout de lire la brochure "Tesla, Lincoln, Trump et la machine à remonter le temps", publiée en mai 2020 de Soto Garcia qui est mal écrite. Disons simplement qu'il y  raconte comment Nikola Tesla, ayant appris à construire une machine pour voyager à travers le temps, se téléporte à l'époque d'Abraham Lincoln, puis, va s'allier au "meilleur président républicain de l'histoire", pour empêcher Donald Trump de provoquer une guerre mondiale en 2022. Le point intéressant est que sa façon de relier Tesla-Lincoln-Trump et la machine à remonter le temps recoupe exactement, par la voie de l'imagination, ce que Casey pendant l'été 2020 a repéré au terme d'une étude serrée de diverses productions hollywoodiennes notamment celles qui mettaient en scène la Tour de Trump comme "Person of Interest".

Il y a un mois, le 12 octobre, Casey dans une vidéo s'intéressait à une série tournée sur l'île natale de la mère de Donald Trump, l'île de Lewis au Nord de l'Ecosse : Outander.

Cette série, sortie en 2014, parle aussi du voyage dans le temps, mais ce n'est pas la seule bizarrerie que Casey y a dénichée...

Dans l'épisode 18 (saison 4) de Quantum Leap/Code Quantum (série parue en 1989), Justin Thompson joue le rôle de Donald Trump quand il avait 12 ans, le 10 mai 58 (46 ème anniversaire de sa mère). 58 est le parallèle nord qui passe par l'île de Lewis (et la tour de Trump à NY a 58 étages).

L'île de Lewis, où se passe Outlander, c'est l'île de Lugh. Lugh est le dieu ou le héros lumineux (assimilée par les Romains à Hermès-Mercure) qui tua une sorte de cyclope géant (en enfonçant son "troisième oeil" avec la pierre d'une fronde, comme David le fit avec Goliath). Selon des légendes locales de l'île de Lewis, les mégalithes (Callanish standing stones) étaient des géants qui ont refusé d'être convertis par Saint Kieran de Saighir (un des "douze apôtres" irlandais compagnons de St Patrick) et transformés en pierre à titre de punition. Le plus grand géant attesté de l'histoire non pathologique Angus MacAskill, 2,36 m né en 1825 (et mort un 8/8) était aussi originaire de Lewis. On peut aussi estimer que l'ile est liée aux Nephilim avec les "hommes bleus de Minch", créatures marines d'un détroit qui borde l'île.

La mère de Trump  (était-elle versée dans la sorcellerie ?) est née à une vingtaine de kilomètres des mégalithes de cette île qui sont mis en scène dans la série "Outlander" comme des instruments de voyage dans le temps. L'actrice principale d'Oustlander, l'irlandaise Caitriona Balfe, qui est née un 4 octobre (10/4) à 88 jours de la fin de l'année (8/8 est un chiffre souvent mis en scène dans les films qui parlent de voyage dans le temps). L'horloge de Doc Brown dans Back to the future (sorti en 1985) marque 10h04 quand commence le voyage dans le temps. Elle a donc été choisie dans le casting pour la connexion de sa date de naissance avec le voyage dans le temps. On peut se demander d'ailleurs si cela ne fait pas système avec le fait que la chanson phare de Back to the Future de 1985, "The Power of Love" ait été chanté par Huey... Lewis - un commentateur d'EnterTheStars rappelle qu'une autre chanson de Back to the future "Johny B. Goode" a été chantée par Chuck Berry en 1958, ce qui renvoie à Quantum Leap et au parallèle de l'Ile de Lewis...

L'actrice dans le film est une infirmière, Claire Randall, mais en fait on comprend à demi-mots qu'il s'agit d'une sorcière (on ne s'étonnera pas que la série dans le premier épisode de la deuxième saison en 2016 ait fait de la programmation prédictive, comme le laisse entendre le York Dispatch de juin dernier, ait fait de la programmation prédictive sur la fermeture des commerces pour éviter la propagation d'un virus, en faisant d'ailleurs allusion à l'alchimiste "comte de Saint Germain", qui a acquis l'éternité et voyage dans le temps lui aussi). Elle va donc utiliser les mégalithes pour voyager dans le temps, après un sacrifice rituel de samhain (le halloween gaélique). Casey va jusqu'à supposer qu'elle peut être une sorte d'analogue de la mère de Trump, y compris dans le fait qu'à un moment elle épouse un homme qui va grimper dans l'échelle sociale à travers la franc-maçonnerie, ce qui est peut-être aussi le cas du père de Trump.

EnterTheStars s'est aussi demandé si le lien entre Unilever (qui produit du savon et du papier toilettes, promeut des bains de bouche contre le Covid en ce moment, et a fait de l’argent sur le papier toilette via sa filiale Seventh Generation pendant le confinement) et Lewis ainsi qu'entre Unilever et Trump pouvait expliquer que la  carte "Jugement" du tarot en "Une" du magazine The Economist (des Rothschild occultistes) de 2017 aient représenté le président américain sur du papier toilettes, mais on peu en douter. Son argument est que sur cette image le président Trump porte à la main droite le globe emblématique des tweed Harris. Le fondateur d'Unilever, le vicomte William Lever a possédé l'île de Lewis, et cette île, dans sa partie nord appelée Harris, est bien le berceau des célèbres tweeds...

C'est en tout cas clairement vers l'île natale de la mère de Trump que The Economist a pointée en 2017.

Pendant la campagne électorale de 2016, 88 jours après le 88 ème jour de l'année, le 25 juin, Trump est allé parler au cours de golf qu'il possède à Aberdeen en Ecosse et déclarer qu'il se sentait complètement écossais. La référence à l'Ecosse dans une combinaison de chiffres 88 (176 ème jour du calendrier grégorien) pourrait souligner le rattachement de Trump aux prophéties gaéliques et à ce qu'il se joue de magie autour des mégalithes de l'île de Lewis.

Il faut aussi, pour comprendre ces voyages dans le temps, les penser à la lumière de Donnie Darko, film sorti le 9 janvier 2001 qui met en scène le 88 (cf image à gauche )et fait aussi système avec Quantum Leak, Back to The Future et Outlander. C'est un film  qui fait des références à "Back to the future" et opère une remontée dans le temps à travers des sacrifices. Il est en outre chargé de références prédictives au 11 septembre 2011 : la scène au ralenti d'un moteur à réaction déchirant un drapeau américain inversé au plafond de la chambre de Donnie Darko vers la fin du film, sauf que le crash de l'avion sur la maison du Middlesex a lieu le 1er novembre 1988 (toujours 88...) - il y a aussi des détails qu'on obtient par arrêt sur image, par exemple le 1:16 sous "Twin pines mall" (référence aux tours jumelles) qui à l'envers (non pas de droite à gauche, mais renversé) donne 9:11 (voir ici mn 36'11) ou encore quand le Dr Emmit Brown attend au Twin Pines Mall le 26 octobre 1985, et montre deux mini-horloges qui affichent 1:19 (ici min 41:07). Il est chargé de références à l'oeil d'Horus (la constellation Sirius), aux portails interdimensionnels, notamment la Porte du Lion du mois de juillet, aux éclipses qui peuvent avoir joué un rôle dans la préparation du 11 septembre (pour l'ouverture de possibilités d'accès aux mondes parallèles) comme dans la préparation de l'affaire du Covid (on en avait déjà parlé en mai dernier ici). EnterTheStars évoque un lien possible avec Trump à travers la mention "triumph" sur le T-Shirt du héros, ce qui renvoie aussi aux Arcs de Triomphe, portiques de communication avec les mondes invisibles, comme l'arche de Baal à Palmyre. Je ne développe pas... Il y a de nombreuses vidéos d'EnterTheSTars et de TheologyEd là dessus, qui utilisent d'ailleurs un peu les mêmes matériaux, notamment le court-métrage d'animation canadien "I, Pet Goat II" de 2012 (rempli aussi d'ésotérisme, et de programmation prédictive qui recoupe en partie les films précités) que vous pouvez parcourir si vous comprenez l'anglais. Je reviendrai sur le sujet quand j'aurai un peu avancé dans la recomposition de ce puzzle.

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Le sang de Prométhée et la plante magique de Médée

4 Septembre 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Abkhazie, #Antiquité - Auteurs et personnalités, #Cinéma, #Divers histoire

Divertissons nous un peu des tristes nouvelles du moment. J'ai appris ceci en travaillant sur les mémoires d'un ancien combattant abkhaze pendant le confinement : non seulement le Caucase était connu pour être la patrie du titan Prométhée, mais il existe en Abkhazie une grotte de Prométhée dans laquelle se passent des phénomènes "spirituels" étranges. Or je regardais tantôt ce film de 1963 qui fit les délices de mes 11 ou de mes 12 ans, "Jason et les Argonautes" - film au demeurant très chrétien car, quoiqu'il mettre en scène très délicatement les jeux des Olympiens, il annonce aussi leur fin prochaine...

J'ai été étonné de voir que ce film à un certain moment évoque subtilement le lien de la Colchide (dont une partie est l'Abkhazie actuelle, ce dont, comme je l'avais évoqué dans mon livre il y a dix ans, même les observateurs russes présents avec moi il y a 10 ans avaient conscience) avec le Titan supplicié. C'est lorsque la sorcière-prêtresse Médée donne au héros Jason un baume magique issu du sang de Prométhée.

Quand on regarde d'où vient cette histoire de baume, on trouve Apollonios de Rhodes, le poète alexandrin exilé par Ptolémée II, qui, à 18 ans (encore un surdoué précoce, un peu comme Lucain sous Néron), composa les Argonautiques. Apollonios y décrit en détail ce remède et explique même comment la magicienne le recueillit "par ses enchantements" du suc d'une fleur née des gouttes du sang de Prométhée dans une coquille, "au bord de la Mer Caspienne". Il précise que pour ce faire elle s'est lavée sept fois dans des eaux "qui ne tarissent jamais" (comme l'âne d'Apulée s'immerge sept fois à la mode pythagoricienne dans la mer pour être sauvé par Isis) et a appelé sept fois sa nourrice d'enfance.

En 1961, Christian Lacombrade, helléniste de l'université de Toulouse, soulignait que toute cette affaire révélait "l'engouement du public (d'Apollonios de Rhodes) pour la magie", bien plus intense selon lui à l'époque hellénistique qu'à l'époque classique. Il remarquait aussi que, non seulement Apollonios s'inspirait, dans la description de la plante, de l'herbe magique que Circé donne à Ulysse dans l'Odyssée, mais aussi que le détail du rituel suivi par Médée pour la cueillir ressemble à ceux que Théophraste exposait à propos des fabricants de philtres, et que l'Alexandrin recopiait peut-être dans son poème un grimoire occultiste de son époque (voilà qui intéresserait sans doute les divers naturopathes et aromatothérapeutes qui se mobilisent contre le fascisme sanitaire en ce moment).

Dans ses "Coupeuses de racines" (ouvrage dont ne subsistent que quelques fragments) Sophocle décrivait Médée recueillant le suc des plantes (selon Macrobe). Apollonios a donc repris une longue tradition concernant la magicienne. Le tragédien rattachait-il déjà une plante de Médée au sang de Prométhée ? On ne le saura jamais avec certitude, mais dans une autre tragédie, "Les Colchidiennes", il mentionne Prométhée quand Médée conseille Jason devant une épreuve.

Moi qui vous ai souvent parlé des stoïciens avant ma conversion, y compris dans un billet d'août 2010, huit mois après mon voyage en Abkhazie, où j'abordais leur cas juste après celui des Argonautes (voir ici), je ne puis rester insensible au fait que le stoïcien Cléanthe (330-232 av JC) se serait lui aussi intéressé à la "plante prométhéenne" et aurait écrit selon un fragment analysé par l'exégèse allemande qu' "il pousse sur le Caucase,  une plante que l'on appelle prométhéenne. Médée la recueillit et la réduisit en poudre pour s'en servir contre les antipathies de son père". Lacombrade imagine même la possibilité d'une rencontre entre l'athénien Cléanthe et Apollonios à Alexandrie. En tout cas les deux naviguaient dans le sens des théories des grandes correspondances cosmiques qui allaient exalter le néo-platonisme au IIIe siècle de notre ère et qui connaissent un très grand succès de nos jours.

Pourquoi Sophocle et Cléanthe s'intéressèrent-ils tant à Médée et aux Argonautes ? On l'ignore.

Quoi qu'il en soit, pour ma part, je suis moins surpris de retrouver la sorcellerie des plantes et des astres (Médée est aussi la prêtresse qui fait tomber la Lune du ciel) autour des montagnes abkhazes qui en sont saturées (même le récit de mon ancien combattant en parlait) que de dénicher dans un peplum des années 60 une si grande fidélité érudite à un poème alexandrin des années 270 av JC... En tout cas jetez y un coup d'oeil si vous aimez les mythes et les origines de notre culture. Je le poste en lien ci-dessous.

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L'illuminisme français et les chaussures rouges

20 Août 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #Cinéma

Quoi que l'on fasse, il y a des gens qui vous diront que le culte illuminati n'existe pas. Et si Madonna, au début du clip "Into the Groove" de 1985 porte sur le dos une pyramide surmontée de l'oeil d'Horus avec la mention "Novus Ordo Seclorum" MDCCLXXVI (l'année de la fondation des Illuminés de Bavière), son appartenance aux illuminati ne peut relever que des "folles rumeurs" comme disait NRJ France en octobre 2019...

De même que même si je vous démontre que dans l'affaire Epstein que dans la maison du milliardaire à New-York se trouvaient des symboles pédophiles comme la pyramide en forme de spirale dont on a déjà parlé à propos du pape - des photos l'ont montré -, il y aura toujours des sots pour affirmer que le milliardaire aimait seulement les jeunes femmes un peu précoces (comme par hasard l'article que j'avais dénoncé l'an dernier à ce sujet a été supprimé du site). Dans son "temple" d'Epstein au sommet d'une colline sur les îles Vierges perquisitionné par le FBI le 12 août 2019, la présence d'un cacatoès à crête de soufre à son sommet sont certains affirment qu'il est connu pour s'accoupler avec sa progéniture avant qu'elle ait atteint sa maturité est aussi un signe de l'existence de rituels dans cette demeure, mais malgré les avertissements de Qanon du 11 novembre 2017 beaucoup refusent encore d'y voir un culte.

Parmi ceux eux qui admettent qu'il y a là des cultes sataniques derrière tout cela, beaucoup préfèrent penser que cela n'existe qu'au delà de l'Atlantique. Qui se souvient que Ghislaine Maxwell, la recruteuses de jeunes filles pour Epstein, est née à Maison-Laffitte, dans les Yvelines et que le carnet de ses contacts en France était volumineux ? (On attend notamment toujours l'arrestation de Jean-Luc Brunel, de son vrai nom Benchamoul, recruteur de mannequins mineures pour l'agence du chanteur Claude François dans les années 1970, puis pour Karin Models, proxénète à ses heures, qui fournit des "masseuses" à Epstein dans les années 2000 via son agence MC2).

Qui se soucie de savoir ce que signifie cette image de Catherine Ringer des Ritamitsouko (à gauche) ?

Ou celle-ci d'Etienne Daho (à droite) ?

Celle-ci de Vanessa Paradis (si semblable à celle du bébé Disney Ariana Grande) ?

Celle-ci de Marc Lavoine... Ca vaudrait la peine d'enquêter un peu du côté de notre hexagone aussi, non ?

Evidemment si l'on ne veut pas voir, ne pas comprendre, on ne pourra pas saisir non plus pourquoi Marc Lavoine porte le conte "Les Souliers rouges" aux Folies bergères en février 2020. Les chaussures rouges sont un symbole de sacrifice de sang - voir ici - vous noterez d'ailleurs que les danseuses de ballet étaient masquées (une façon déjà de programmer l'atmosphère occultiste autour du masque que nous avons aujourd'hui ?) . "Meuh non, allez-vous me dire, le sympathique Marc Lavoine a simplement mis en scène un conte d'Andersen". Andersen c'est innocent... comme Alice au Pays des Merveilles et son lapin blanc (le lapin blanc est symbole d'adrénochrome dans les sociétés secrètes actuelles). Je vous croirais si vous pouviez m'expliquer pourquoi le chanteur fait l'oeil d'Horus à la "une" du magazine Psychologies... "right in your face" comme disent les Américains... D'ailleurs Jennifer M. Miskec de l'université de Longwood en Virginie s'est penchée sur ce conte d'Andersen et a reconnu dans son article qu'il ne s'agissait pas précisément d'un conte pour enfants...

«Les chaussures rouges» raconte l'histoire de Karen, une jolie jeune orpheline, sauvée de la pauvreté par une vieille femme bienveillante. A l'âge de sa confirmation, la vieille femme emmène Karen pour qu'elle porte des vêtements d'église appropriés. Karen choisi des chaussures rouges brillantes qui sont impudiques et "flashy". Malgré les regards et le jugement - et la façon dont les chaussures détournent Karen de ses prières - Karen est trop amoureuse de ses jolies chaussures rouges pour porter autre chose. Puis un vieil homme mystérieux tapote les semelles des jolies chaussures de danse rouges de Karen et elles deviennent enchantées, fusionnant finalement à ses pieds et la faisant «danser dans [ses] chaussures rouges jusque sa peau se dessèche comme une momie » (ce qui fait penser au cas de possession de 1518 à Strasbourg où les gens furent atteints de chorémanie, la folie de la danse).

"Les chaussures rouges ont une présence en forme de palimpseste, note Miskec dans certains endroits improbables, à savoir dans certains livres d'images commercialement populaires qui ne reconnaissent jamais ouvertement la source de son iconographie de la chaussure rouge comme Andersen, mais la désignent tout de même - sans problème apparent." Elle ajoute que cette présence actuelle détourne le conte d'Andersen en lui ôtant sa portée morale qui était au XIXe siècle de dissuader les enfants de s'entêter dans l'orgueil... Le disciple d'Aleister Crowley David Bowie vantait les "chaussures rouges" dans "Let's Dance" en 1983. Kate Bush, danseuse ouvertement païenne, qui s'est d'ailleurs filmée dans un clip dansant sur des squelettes (voir mon dossier là dessus ici) en a fait le titre de son album au début des années 1990. Pour ce qui est de la suppression de l'instruction morale, c'est évident puisque dans le spectacle de Marc Lavoine l'héroïne n'est plus qu'une danseuse qui ... fait un pacte avec le diable (comme Johnny Hallyday et quelques autres...), l'aboutissement logique de l'éloge de l'ambition façon Ballerina.

Virginie Sélavy, dans le magazine Electric Sheep est plus directe dans son titre du 1er février dernier que l'analyse universitaire de Miskec (ce qui prouve que les universitaires contribuent davantage a camoufler la vérité qu'à la révéler) : "Les chaussures rouges, pas d'art sans sacrifice" ! Elle y fait la critique de la remasterisation du film britannique de 1948 "The red shoes" de Michael Powell. Virginie Sélavy sait bien de quoi elle parle... Elle a été jusqu'en 2017 instructrice dans un institut d'études sur les créations d'épouvante (si si !) qui remet ses diplômes au temple maçonnique de l'Hotel Andaz de Londres. "You can't make this stuff up !" (Ca ne s'invente pas) comme disent les Américains... Effectivement beaucoup d'artistes illuminati sont soupçonnés d'avoir sacrifié des proches pour franchir des étapes dan leur carrière, et affichent ensuite le deuil... Sélavy décrit le visionnage de ce film comme  "une expérience somptueuse qui vous intoxique" ("sumptuous and intoxicating experience"). Au même moment il y avait une tournée à travers le Royaume Uni d'une adaptation en ballet par Matthiew Bourne du film de Michael Powell, maintenant même transformée en "Red Shoes from home" (Covid oblige), comme le One World Together at Home..

Au fait, cette répétition autour des souliers rouges cette année, ça ne fait pas un peu "mind control" (contrôle mental) ? Marc Lavoine l'ami de l'oeil d'Horus monte les Souliers rouges aux Folies bergères en février, il y a au même moment l'article sur la remasterisation des Souliers rouges d'une habituée des remises de prix dans un hôtel maçonnique fait le commentaire, la tournée du ballet Red Shoes en Angleterre et puis ce mois ci, pour nos chers enfants... Hong Sung-Ho chez Walt Disney sort "Blanche Neige, les souliers rouges et les 7 nains". Un peu trop à mon goût en tout cas...

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