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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #espagne tag

Cao de Benos arrêté à Madrid

3 Décembre 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Colonialisme-impérialisme, #Le monde autour de nous, #La gauche, #Espagne

Jeudi dernier, 30 novembre, à la gare TGV(AVE) d'Atocha, des policiers espagnols en civil ont arrêté Alejandro Cao de Benos (un pittoresque aristocrate rouge connu pour être le visage de la Corée du Nord ans le monde hispanique), en vertu d'un mandat d'Interpol émis par le FBI, reçu par les autorités espagnoles au mois d'octobre.

L'inculpation repose sur la loi américaine des pouvoirs économiques en situation d'urgence nationale IEEPA de 1977 (une loi qui a valu quelques problèmes au deuxième plus gros revendeur de tabac au monde il y a peu). Cao de Benos explique dans son communiqué sur Twitter que cette inculpation que son avocat a attaquée reposerait sur une fausse accusation d'avoir sollicité les services du hackeur Virgil Griffith pour contourner les sanctions économiques qui frappent la Corée du Nord. D'après lui cette nouvelle demande d'extradition serait montée de toute pièce, les précédentes n'ayant pu aboutir.

Il souligne que les policiers ont été très cordiaux à son égard. Il dénonce les bobards du journal El Mundo du 1er décembre qui le traite de fugitif. "Je suis depuis 7 ans et demi sans passeport et sans possibilité de sortir d'Espagne sur ordre d'un juge, écrit-il, signant tous les lundi au greffe du tribunal" (il conseille aux journalistes d'aller vérifier auprès du bureau du juge d'instruction n°3 de la charmante ville de 30 000 habitants appelée Totana près de Murcia.

Au bout de 24 heures de garde à vue il a été laissé en liberté provisoire. J'ignorais de Cao de Benos n'allait plus en Corée du Nord. En tout cas il reste interviewé de temps en temps par CNN et Sputnik.

En février dernier, un certain Christopher Douglas Emms, 31 ans, ressortissant britannique et investisseur cryptomonnaie, a été arrêté à Moscou sur ordre d'Interpol, accusé d'aider la Corée du Nord  après avoir organisé la planifié et organisé en 2019 la «Pyongyang Blockchain and Cryptocurrency Conference» au complexe Sci-Tech. En 2022 alors qu'il était en Arabie Saoudite, il avait été arrêté, mais avait réussi à obtenir sa libération sur la base de l'illégalité du mandat d'arrêt. Il s'était alors réfugié à Moscou. Son arrestation en pleine guerre d'Ukraine aide à relativiser, une fois de plus, la profondeur de l'affrontement russo-américain.

Il y a 5 mois, Jean Lee, journaliste, racontait pour la BBC qu'elle avait rencontré Alejandro Cao de Benos qui se faisait appeler en Corée Cho Sun-il (elle avait d'ailleurs assisté à la conférence de 2019). A noter que dans ce documentaire l'importance de cette conférence est assez minimisée par certains participants, ce que faisait concernant l'action de Griffith un contributeur italien de cette conférence où beaucoup de gens dormaient. Cependant d'après le jeune italien un taiwanais a essayé de les approcher après la conférence pour faire du commerce de pétrole offre qu'ils ont refusée. Griffith et lui s'étaient plutôt rendus en Corée du Nord par curiosité et par envie idéaliste (ou narcissique d'après ce qu'allait en dire un juge) d'aider le peuple là bas, indépendamment de la politique. Mais il avait commencé les actions pour contourner les sanctions avant la conférence, et le FBI avait même une transcription de ses propos à la conférence.

Nous avons là une illustration complémentaire de l'hubris détestable des Américains et de leur juridiction universelle.  Comme on le voit ni l'Espagne, ni non plus la Russie n'y résistent réellement...

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Ordo ab chao espagnol et européen

18 Novembre 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Espagne, #La gauche, #La droite, #Peuples d'Europe et UE, #Débats chez les "résistants"

La politique d’instabilité et de confrontation se poursuit dans le monde occidental pour fragiliser les opinions publiques et provoquer la mise en place d’une dictature mondiale.


On a vu des stratégies du choc être mises en place depuis quelques années avec la « guerre contre le terrorisme », la crise sanitaire de 2020, la guerre d’Ukraine, et récemment le « 11 septembre israélien ». Par ailleurs des combats « sociétaux » totalement artificiels sont suscités sur l’avortement, l’euthanasie, l’identité de genre etc pour fragiliser le sens de l’identité de tout un chacun et hystériser les rapports sociaux. La politique migratoire a aussi été instrumentalisée dans ce but à l’échelle même des continents (on a vu récemment l’action de Soros au Guatemala pour relancer les migrations vers les Etats-Unis, ou son lobbying au sein de la Cour européenne des droits de l’homme).


L’Espagne a été un « terrain de jeu » particulièrement privilégié pour cela. Tirant profit d’un certain enthousiasme des Espagnols pour le « progressisme » après la dictature franquiste, les mondialistes ont tiré à boulets rouges sur toutes les institutions morales de ce pays en faisant avancer des agendas pro-avortement, pro-transgenre etc, avec un pendant migratoire qui a permis de faire monter, en réaction, un groupe d’extrême droite, dont j’ai démontré sur ce blog les origines dans des milieux sectaires mexicains, et, du coup, probablement chez certains oligarques mondialiste nord-américains.


Ce groupe d’extrême-droite est largement instrumentalisé pour empêcher un processus d’alternance qui ramènerait les conservateurs au pouvoir, mais ce n’est pas tout : le socialiste Pedro Sanchez pour garantir sa reconduction à la tête du gouvernement après des élections qui plaçaient le Parti Populaire en tête n’a pas hésité à signer un pacte impliquant une amnistie avec le mouvement indépendantiste catalan qui a organisé un référendum insurrectionnel illégal en 2017 – j’ai montré dans mon livre « Les Régimes Populistes » et dans des billets de ce blog que ces indépendantistes étaient en fait eux aussi très liés à Soros et aux travaillistes israéliens.


Ce pacte s’accompagnait d’un discours populiste qui prétendait que les institutions judiciaires espagnoles étaient engagées dans un « lawfare » contre l’indépendantisme. Lawfare est un terme emprunté à la gauche latinoaméricaine pour stigmatiser une utilisation du droit à des fins de persécution politique. Il a soulevé une levée de bouclier dans les milieux juridiques espagnols (de droite comme de gauche), mais aussi une très forte mobilisation des conservateurs, qui étaient près d’un million à défiler dans toute l’Espagne il y a cinq jours (sous les ricanements de l'ambassadrice d'Allemagne), et qui sont encore très nombreux aujourd’hui, sur des slogans politiques très durs, après le vote d’investiture de Pedro Sanchez aux Cortes.


Le fossé entre les deux Espagnes n’a jamais été aussi profond depuis cinquante ans. Les conservateurs voient dans la démarche anti-institutionnelle de Pedro Sanchez une forme de chavisme qui menace la paix civile dans le pays, une importation des pratiques venezuéliennes. Or si le chavisme a pu avoir une légitimité du temps où ce pays (dans les années 2000) était un vassal des Etats-Unis soumis aux pires diktats du Fonds monétaire mondial, il en a perdu depuis quelques années maintenant qu’il est délibérément asservi aux intérêts des oligarques des BRICS contre son propre peuple comme on l’a rappelé récemment ici.  Et surtout, importer en Espagne une démarche chaviste  (sans les mesures sociales qui peuvent aller avec vu que l’Union européenne et l’OTAN verrouillent tout à ce niveau) peut être très dangereux car, cibler les institutions espagnoles comme l’autorité judiciaire c’est menacer directement l’unité du pays. Et beaucoup ont d’ailleurs fait remarquer que la prochaine cible sera probablement la monarchie accusée par les indépendantistes d’avoir été complice du « warfare » contre eux.


Or, ne nous y trompons pas : si Soros et certains milieux mondialistes associés ont soutenu l’indépendantisme catalan comme ils ont soutenu l’extrémisme des combats « sociétaux », ce n’est pas spécialement par amour pour les « idéaux de gauche ». C’est parce que, comme en ex-Yougoslavie ou en ex-URSS, ils savent que si le chaos que cela provoque ne débouche pas sur des guerres ouvertes, cela risque de provoquer par retour de bâton des dictatures militaires. Ainsi si Sanchez ne va pas au bout de la création d’une sorte de république confédérale « néo-chaviste » anomique en Espagne, il y aura un retour de bâton sous la forme d’une dictature militaire d’extrême droite dans ce pays qui fera aussi le jeu de l’oligarchie mondialiste internationale : la liberté des citoyens en sortira perdante quoi qu’il advienne, d’autant que les créanciers du pays sont déjà là à frapper à sa porte pour demander toujours plus de mesures d’austérité.


A côté de cette tragédie espagnole, la comédie de la démission d’un autre gouvernement de gauche, celui du Portugal, pris en flagrant délit de corruption grossière, ferait presque rire, si son résultat ne devait pas être, là aussi, une fragilisation des institutions et une plus grande latitude d’action contre elles du futur gouvernement mondial.


On cherche vainement quel pays parvient à échapper en Europe au vacillement général : l’Allemagne et le Royaume Uni déclinent économiquement, l’Italie est totalement aux ordres du Parti démocrate américain malgré une devanture « de droite », la Pologne bascule dans le camp des eurocrates alors que le parti de droite jusque là au pouvoir jouissait encore du plus grand nombre de suffrages.


La France ne fait pas exception où sont désormais mélangés les pires aspects à la fois de la IVe République (le fait que les centristes occupent la totalité de l’espace politique rejetant dans des impasses l’opposition de gauche et de droite) et ceux de la Ve République (l’autoritarisme d’un président immature).
Les petits jeux de ralliement du Rassemblement national et de LR n’intéressent plus personne dans ce dispositif où les alternatives sont de toute façon interdites.


J’ai été frappé de voir cette tempête dans un verre d’eau qui a éclaté cette semaine dans les seuls milieux qui pourraient desserrer l’étau globalistes dans notre pays : les souverainistes. Le premier à ouvrir le feu fut le nihiliste Asselineau qui a accusé F. Philippot (l'homme qui met du orange partout - "orange en gematria = 33), JF Poisson et N. Dupont Aignan de s’être rendus à un happening des Républicains américains à Paris le 10 novembre dernier. Asselineau, admirateur des divinités hindouistes comme ses alter égos du CERN, et qui confond les Actes des Apôtres et les Epitres de Paul (ça c’est pour l’inculture spirituelle, mais mine de rien cela compte dans la façon de se positionner en politique) reproche à ses pairs souverainistes d’avoir « servi la soupe » aux zemmouriens en se rendant là-bas. Ce à quoi Philippot lui a répondu non sans raison qu’il ne s’agissait que d’un colloque, ce qui n’engage à rien.


Cependant Asselineau n’a pas tout à fait tort : si les Trumpiens s’intéressent aux Patriotes ou à Debout la République, c’est qu’il y a quand même anguille sous roche. Et je ne donne pas cher de la capacité de Philippot qui déjà fait l’éloge du bilan de Trump (sans percevoir son propre potentiel antéchristique et mondialiste caché, notamment du côté de la reconstruction du Temple à Jérusalem) face à Biden, ou de Dupont Aignan (« young leader d’un jour, young leader toujours ») à s’opposer au magnat américain s’il revenait aux affaires. Si un jour Marine Le Pen accablée par les affaires judiciaires cède le pas comme plan B des mondialistes, tout comme Zemmour qui de toute façon n’a aucune popularité en France, je ne pense pas que ces zozos là pourraient incarner la moindre résistance au rouleau compresseur washingtonien ; l’égocentrique Asselineau non plus d’ailleurs…

Et la gauche française dans tout ça ? me direz-vous... Tant que sa priorité reste d'inscrire le droit à l'IVG dans la constitution, et à se quereller autour du leadership de Mélenchon, on peut parier qu'elle ne va nulle part.

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Crimes ancestraux

31 Mai 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Espagne, #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #Grundlegung zur Metaphysik

Peu après mon passage à Cienfuegos fin avril, je parlais, avec un guide cubain dont voici la photo à droite.

Je lui disais que mon arrière-grand père espagnol (à gauche ici) en 1898 s'était engagé pour aller faire la guerre à Cuba contre les Américains, dont il a d'ailleurs été ensuite prisonnier pendant plusieurs années.

"Ah ! s’il est venu à Cuba, me répondit le guide, tu dois avoir des tas de petits cousins inconnus sur cette île, vu les mœurs de l’époque", façon élégante de dire qu’il avait probablement engrossé de gré ou de force pas mal de filles créoles, noires ou mulâtres… Je lui ai raconté aussi que, de retour à son village en Aragon, il dansait la rumba d'une manière telle que les paysans pensaient qu'il était possédé. Alors le guide lâcha une bombe qui ne figurait pas dans le Guide du Routard : la rumba est au départ une danse religieuse de la santeria, en l’honneur de la déesse aquatique Yemayá. Y aurait-il donc eu de la réelle possession ou un pacte inconscient avec une mauvaise entité dans tout cela ?

En tout cas, sur le volet tout simplement de la mémoire familiale des traumatisme et des crimes, certes le bisaïeul est rentré en Espagne anti-militariste et professait des idées de gauche (si bien que toute sa famille fut républicaine en 1936-1939 et contrainte à l'exil), mais cela ne le blanchit pas pour autant de tout ce qu'il a pu faire sur la grande île. Ai-je à effectuer un tiqqun, une réparation sur ce plan là ?

J'ai repensé à cela en regardant cette émission sur une Alsacienne qui porte la culpabilité d'un oncle criminel de guerre.

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Tour d'horizon

24 Janvier 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Espagne, #Peuples d'Europe et UE, #Colonialisme-impérialisme, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Revue de presse, #Le monde autour de nous

Début d'année assez difficile pour les peuples.

Les responsables du "Big five" (les grandes puissances occidentales) débarquent à Belgrade pour dire aux Serbes "Reconnaissez le Kosovo, laissez le entrer à l'ONU, ou nous retirons nos investissements de chez vous". Le président de ce pays lance des appels pathétiques pour dire qu'on l'étrangle à la table des négociations (il est même allé à Davos, certains estiment qu'il en fait trop). Au Nord-Est de l'Europe l'Estonie menace de bloquer Saint Petersbourg en modifiant sa frontière, et les fous furieux polonais ainsi que Washington pressurisent Berlin pour les livraisons de chars Léopard. Macron bien sûr n'a rien à dire, sauf qu'il est d'accord pour débloquer un projet d'approvisionnement en hydrogène de l'Europe du Sud-Ouest.

L'Union européenne se tire plutôt bien pour l'instant sur le plan énergétique de son engagement délirant en Ukraine grâce aux températures hivernales clémentes de début janvier, mais tout repose sur le charbon et sur des contrats gaziers à court terme (donc les prix resteront volatiles)

On assiste à un intéressant rapprochement par delà le clivage droite-gauche : le premier ministre croate de gauche soutient Orban à Budapest contre l'Union européenne. Tandis que les alliés de Washington, eux, jouent des coudes pour profiter des tensions Est-Ouest : la Bulgarie qui revend son pétrole (russe, raffiné par Loukoil) à Kiev, l'Albanie qui crée son petit Kosovo en Epire.

On suit avec intérêt le déclin de la présence française en Afrique (Ouagadougou met fin aux opérations des forces spéciales de l'ancienne puissance coloniale) et le déplacement de Lavrov en Afrique du Sud (qui provoque une levée de bouclier de  l'opposition dans ce pays), avec un projet d'entrainement militaire russo-chinois au large du Cap. Egalement la réunion de la Celac en Argentine, organe à l'origine anti-impérialiste, mais auquel le président argentin a convié Biden par vidéo (et des hauts fonctionnaires américains seront présents). Diaz-Canel de Cuba (au fait, je serai bientôt dans ce pays), Lula et quelques autres y seront : au menu le développement d'une monnaie régionale le "Sur".

Sur l'Asie je recommande cette petite interview de Cao de Benos sur la Corée du Nord, y compris la 31ème minute où il dit que le sécessionnisme catalan était très soutenu par Israël (je l'avais signalé dans mon livre sur les régimes populistes).

En Europe les socialistes espagnols s'accrochent à leur culte de Moloch en faisant barrage à Vox qui voudrait que les femmes avorteuses puissent entendre le battement de coeur de leur bébé comme en Hongrie.

Au niveau social, il y a 6 mois le système médiatique délirant voulait nous faire paniquer pour une "variole du singe" ultra-minoritaire. Cet hiver tout le monde a des virus plus baroques les uns que les autres. Certains (pourtant jeunes) sont terrassés par des grippes qui les conduisent même à l'hôpital. Mais les médias n'en disent rien. Allez comprendre...

Une bonne nouvelle en France : alors que Micron déjeune avec les dix principaux éditorialistes pour leur dicter leurs éléments de langage, la mobilisation massive pour la sauvegarde de la retraite à 62 ans. Pourvu que cela se confirme...

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Une à deux heures d'éducation sexuelle par semaine

31 Août 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Les rapports hommes-femmes, #Avortement, #Espagne, #Peuples d'Europe et UE

Hier (30 août) sur Brut en 28e minute de cette interview le ministre de l'édication nationale français Pap Ndiaye déclarait : "Souvent l'éducation à la vie affective et sexuelle passe un peu à la trappe, il faut en faire quelque chose qui soit un succès(...) il faut insister là dessus... il faut une volonté politique forte.. il faut des instruction". Il propose même une heure ou deux par semaine. On sait que cette éducation porte souvent sur un endoctrinement dès l'école primaire sur la liberté de choisir son sexe, la théorie du genre, l'encouragement de l'avortement etc.

Le même jour en Espagne le conseil des ministres approuvait en urgence un projet de loi sur l'avortement qui supprime le consentement parental pour les filles de 16-17 ans ainsi que, pour toutes les femmes, les trois jours de réflexion obligatoires (En Espagne chaque année une femme sur cent avorte). Parmi les points clés du projet : "L'éducation sexuelle sera complète dans les principales étapes de l'éducation".

Si, sans doute, dans un contexte où la consommation de pornographie explose (au Royaume-Uni en septembre 2020 49 % de la population adulte - majoritairement masculine à 80 % pour ce qui concerne Pornhub - a visité un site pornographie, soit moins qu'Instagram et plus que Twitter, et en France un tiers des 10-18 ans déclare se connecter souvent ou parfois sur des sites X), il peut être utile d'enseigner le libre consentement de chacun et le respect du corps de l'autre, le problème est que le contenu de cette éducation que M. Pap Ndiaye ne se limitera pas à cela.

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