Articles avec #les stazinis tag
La pizza party de Jeff Bezos
/image%2F1562800%2F20250629%2Fob_8cc8d0_bezos.png)
Les grands médias s'extasient à l'occasion du mariage du patron d'Amazon à Venise : "Exclusif : Dans les coulisses de la « soirée pizza » extravagante de Jeff Bezos et Lauren Sanchez – et les invités de marque que vous n'avez pas vus" (Hello). Et l'on nous déroule une liste de célébrités associées à l'occultisme, de Leonardo di Caprio à Oprah Winfrey.
/image%2F1562800%2F20250629%2Fob_7c73e5_thumbnail-adrenochrome.png)
/image%2F1562800%2F20250629%2Fob_900939_doctor-pizza-connvicted-march-2020.jpg)
Biens sûr ici le mot pizza est à prendre dans le sens satanique du terme, comme dans la vidéo "No more pizza" du groupe corée (k-pop band) aespa le mois dernier où le lapin était opportunément présent du fait de sa ressemblance avec la molécule d'une certaine substance rouge... Une vieille histoire...
Trump menace Sanchez sur la question des dépenses militaires
/image%2F1562800%2F20250626%2Fob_990527_sanchez.jpg)
Après l'opposition américano-espagnole sur la question de la Palestine, celle sur les 5 % du PIB consacrés aux dépenses militaires. Trump menace l'Espagne (pays à problèmes, pas seulement parce qu'un jeune sur quatre s'y déclare bisexuel) de doubler les droits de douane en raison de la position du premier ministre socialiste Pedro Sánchez à cause de ce désaccord.
Sanchez, homme des réseaux de Soros,, est fragilisé par un scandale impliquant le numéro trois du parti socialiste,Santos Cerdán (très proche du premier ministre) et deux autres cadres du parti.
Cependant la gauche espagnole reste mobilisée contre la décision de Washington de forcer l'Europe à acheter massivement ses armes (une pression destinée à continuer de ruiner économiquement l'Europe rival commercial potentiel de Washington).
77 organisations réunies à Madrid les 20 et 21 juin ont dénoncé les pressions de Trump. "Seule une forte pression sociale pourra contraindre le gouvernement à renoncer à l'augmentation des budgets militaires, précisent-elles. Nous dénonçons le fait que cette augmentation budgétaire ne soit pas demandée par le peuple espagnol ni par son Congrès, mais par un président étranger, M. Donald Trump, un président néofasciste à la tête de l'empire, qui l'exige de tous les alliés européens de l'OTAN, et que les élites européennes ont malheureusement déjà acceptée, sous réserve d'un pourcentage précis." Elles appellent aussi à la disparition des bases américaines en Europe.
Rappelons aussi que des groupes comme la coalition Izquierda Unida exigent que l'Espagne et ses partenaires européens "rompent toutes leurs relations diplomatiques, économiques et militaires avec Israël en raison du génocide contre le peuple palestinien". C'est aussi la position de Podemos depuis 2024 et de Sumar qui a introduit une proposition de loi dans ce sens.
Guerre au Proche-Orient : atouts et faiblesses des protagonistes
/image%2F1562800%2F20250620%2Fob_50839d_ivg.jpg)
Tous les observateurs s'accordent sur cette analyse : l'avenir du conflit au Proche-Orient dépend 1) des ressources réelles d'Israël et de l'Iran en termes d'armements d'attaque et de protection antimissile 2) de la capacité du régime à résister à une infiltration de l'intérieur (la cinquième colonne s'étant avérée particulièrement efficace le 13 mai) 3) de la rationalité des acteurs (les Occidentaux vont-ils aller jusqu'à bombarder des installations nucléaires civiles ?).
Ce qui est sûr c'est 1) que si le régime ne tombe pas il peut se trouver pris dans une longue guerre d'attrition comme le gouvernement d'Assad naguère 2) que le régime a été complètement naïf (comme Kadhafi avant lui qui avait liquidé ses stocks d'armes de destruction massive pour négocier, et Assad qui avait refusé la protection iranienne pour se rapprocher des monarchies corrompues du Golfe), en ne donnant aucun contenu militaire à l'accord de coopération signé avec la Russie en janvier dernier, ratifié il y a seulement 4 jours ! (source Mark Sleboda chez Rachel Blevins, confirmé par Poutine). Alejandro Cao des Benos spécialiste de la Corée du Nord rappelait dans un post sur X hier que les Iraniens en visite à Pyongyang il y a 15 ans se plaignaient de ne pas y trouver d'enseignes commerciales américaines...
L'Iran très isolé par la chute de l'axe de la Résistance (et celle du régime d'Assad en Syrie) n'a pas énormément de cartes en main. Israël n'en a pas infiniment non plus (du reste beaucoup de colons commencent à fuir vers Chypre), ni non plus les Etats-Unis où le despote Trump incapable d'aucune réflexion de long terme risque de se trouver dans une situation de chaos à l'irakienne, même s'il parvenait à renverser les mollahs. Avec un gros risque de retour de bâton sous forme d'attaques terroristes diverses et variées comme dans les années 2000 (mais ce sont des situations que les impérialistes ou l'Etat profond affectionnent et même encouragent par l'action de leurs services secrets) pour accrôître ensuite leur emprise sur leur propre population (rappelez vous le Patriot Act, dont les effets peuvent être démultipliés par l'intelligence artificielle).
L'IA et les oligarques américains
/image%2F1562800%2F20250617%2Fob_d12ead_musk-oeil-beurre-noir.jpg)
Candace Owens (44e minute ici) revient sur les raisons de la brouille entre Musk et Trump de début juin à la suite du refus de Trump (inspiré par Sergio Gor) de nommer Jared Isaacman à la tête de la NASA. Musk voulait le contrôle de la NASA pour avoir des data (comme il a utilisé DOGE au sein du département du Trésor dans le même but). Il lui fallait le contrôle des data de la NASA dans le cadre de ses rivalités avec son ancien protégé Sam Altman.
Altman et lui avaient lancé Open AI ensemble en 2015. Il est celui qui a révélé que Musk n'avait pas créé Tesla et n'était pas le génie qu'on croit mais seulement le gosse de riche installé au bon poste au bon moment (les vrais fondateurs sont Martin Eberhard et Marc Tarpenning). Les data auraient permis à Musk de battre Altman. Musk n'a pas hésité à porter plainte contre ceux qui démentent qu'il est co-fondateur de Tesla.
L'influenceur malaisien Ian Miles Cheong (qui a récemment suggéré à Musk dont il est proche de déplacer SpaceX aux Emirats arabes unis) a réclamé l'impeachement de Trump s'était réjoui de ce que JD Vance pourrait le remplacer simplement parce qu'ils n'avaient pas pu faire nommer Jared Isaacman. Est-ce parce que Vance est un protégé de Peter Thiel, membre de la mafia PayPal qu'ils veulent qu'il soit président ? Vance serait-il un pion pour faire avancer le projet de "Technocracy" du grand-père fasciste d'Elon Musk ?
Pendant ce temps la famille Trump lance un téléphone à intelligence artificielle, le Trump mobile, qui semble surtout destiné à son électorat de droit par nature plus méfiant à l'égard des technologies. « Les Américains qui travaillent dur méritent un service sans fil abordable, qui reflète leurs valeurs et qui offre une qualité fiable sur laquelle ils peuvent compter », a déclaré le président américain et milliardaire dans un communiqué.
Il y a de fortes chances que ce téléphone soit lié à Palantir. Le 30 mai l'administration Trump a signé avec Palantir le 30 mai dont le logiciel va être installé dans plusieurs agences fédérales dont les impôts et la sécurité sociale. Tout cela a à voir avec le "predictive policing" (la prévision policière, un concept déjà promu en 2007 par le président Sarkzoy - aujourd'hui déchu de sa légion d'honneur, et son acolyte Bauer qu'on voit encore commenter les guerres impériales sur les plateaux TV) étendue à toute la population. Un groupe d'élus démocrates a signalé que la mégabase de données consultable est un « cauchemar de surveillance » qui permettrait également au président Trump d'« espionner et de cibler plus facilement sa liste croissante d'ennemis et d'autres Américains ». Mais en réalité comme l'Etat profond est transpartisan, cela pourra servir à l'espionnage des citoyens et à leur formatage par les deux partis suivant les alternances politiques, voire pour le parti unique si un système fasciste technocratique se met ouvertement en place. L'automated decision-making qui équipera ce mobile (prise de décision automatisée) est l'analogue pour les individus de celui qui est censé être installé dans les agences fédérales et qui inquiète tant les antii-trumpistes.
/image%2F1562800%2F20250617%2Fob_98725c_ceo-palantir.jpg)
Palantir, une excroissance de la CIA (son nom vient d'un outil de communication magique omnivoyant dans le Seigneur des Anneaux) qui a été fondée par Thiel dont on parlait plus haut, est en ce moment très actif dans le système de Hunger Game et de nettoyage ethnique mis en place à Gaza et en Cisjordanie car il travaille avec l'armée israélienne (ces territoires sont le laboratoire de ce qui arrivera prochainement à toute l'humanité si on laisse faire). La plateforme d'intelligence artificielle (AIP) de Palantir est déjà active en Ukraine, où elle est utilisée pour traiter les données du champ de bataille en temps réel, automatiser les décisions de ciblage, gérer la logistique et même contribuer à la documentation des crimes de guerre. Aux États-Unis, Palantir est à l'origine de TITAN, le système de renseignement militaire de 480 millions de dollars qui fusionne les données satellitaires, les flux de drones et les données des capteurs pour suggérer les prochaines actions. L'entreprise développe également MASS (Maven Smart System), une version améliorée du projet Maven, un programme d'IA initialement abandonné par Google après les protestations des employés.
Nous avions signalé dès 2021 que Palantir équipait aussi la DGSI française. Le contrôle total des comportement est en jeu. Diverses manifestations ont fréquemment lieu aux USA depuis 2018 contre Palantir à cause de sa participation au contrôle des migrants. Son PDG, donateur de la campagne de Trump, était à la réunion annuelle du club Bilderberg à Stockholm il y a deux jours, avec des hauts responsables de l'OTAN, des services secrets, du groupe français Thales, ou du groupe Anduril.
Qui prend l'avantage entre Israël et l'Iran ?
/image%2F1562800%2F20250617%2Fob_73c096_greater-israel.jpg)
Comme toujours dans les conflits entre les alliés des Occidentaux et leurs adversaires, il est difficile de faire la part entre les différentes propagandes de guerre. On se souvient du temps où l'Occident annonçait l'effondrement imminent des troupes de Poutine sur le front ukrainien, ou la défaite des Talibans en Afghanistan. A l'inverse on sait aussi que les anti-impérialistes ont souvent exagéré la capacité de résistance des opposants à l'Occident comme Saddam Hussein ou Kadhafi. Ils ont surtout sousestimé la permabilité de ces régimes à la corruption qui entraîne leur effondrement soudain comme ce fut le cas du système de Bachar El-Assad en Syrie.
Ici dans l'affaire iranienne, même le journaliste palestino-syrian Laith Marouf interviewé par Rachel Blevins hier et visiblement favorable à la résistance de l'Iran reconnaissait que les meurtres de généraux dans ce pays étaient le fruit de frappes de proximité et non de bombardements extérieurs, ce qui prouve qu'il y a bien une "cinquième colonne" corrompue au sein de l'Iran, la même Cinquième colonne qui avait été à l'origine de l'assassinat de Nasrallah au Liban... La trahison intérieure peut accélérer beaucoup de processus. Mais on ne peut pas non plus la surestimer concernant l'Iran compte tenu du haut niveau de patriotisme de la population.
Alors que Netanyahou comme à son habitude se répand en tartarinades sur le fait qu'il peut obtenir un changement de régime quand il veut et qu'il est maintenant "chez lui" dans l'espace aérien iranien, Laith Maroud développe un optimisme symétrique. Selon lui, les drones iraniens lors de la première attaque ont forcé la défense israélienne à la frontière libanaise et syrienne à se révéler, ce qui en a fait des objectifs pour les missiles iraniens. Ceux-ci ont brisé le dome de fer permettant une attaque significative sur la raffinerie (pour l'approvisonnement en fioul des bombardiers) de Haifa ainsi que de ce port et de l'aéroport Ben Gourion, obligeant les bombardiers israéliens à s'approvisionner sur les bases anglaises de Chypre et sur le territoire de la Syrie tandis que les régimes arabes traîtres comme l'Egypte et la Jordanie approvisionnent maintenant la population israélienne en électricité au détriment de leurs propres nationaux.
Deux millions d'Israéliens auraient réservé des billets d'avion pour fuir mais seraient retenus par leur propre gouvernement. La prochaine étape, alors que les sionistes ont bombardé un réseau d'adduction d'eau en Iran, pourrait être que l'Iran s'en prenne aux usines de désalinisation de l'eau de mer qui approvisionnent une bonne partie des colonies dans le Néguev ce qui ruinerait le mythe colonial israélien.
Laith Marouf espère aussi que la révélation du cynisme sioniste poussera l'opinion occidentale à s'opposer à l'entrée en guerre directe des Etats-Unis (qui sont déjà sans doute impliqués à travers la fourniture de missile set de bombardiers), et que, si Israël commet la folie de bombarder des centrales nucléaires cela pourrait pousser le Pakistan, puissance nucléaire potentiellement elle aussi dans le collimateur occidentale (à ce propos je signale que des bizarreries sur la chute récente du Boeing 787 en Inde pourrait être imputée au Pakistan pour focaliser les attaques contre ce pays), voire aussi pour la Chine.
Une partie de ces analyses relèvent sans doute du wishful thanking symétrique de la propagande de nos médias.
Quoi qu'il en soit Chris Hedges, ancien reporter du New-York Times,souligne qu'une attaque iranienne sur les bases américaines provoquerait l'intervention américaine, mais que selon lui cela n'arrivera pas. On peut oberver à ce stade que même des anciens trumpistes comme Candace Owens font campagne contre une guerre américaine au service d'une pax iudaica. Trump parle encore de négociations. Un pays de 90 millions d'habitants bien armé ne peut pas être mis à genoux par de simples vagues de bombardement s'il n'y a pas de trahisons au plus haut sommet de l'Etat, et les Etats-Unis n'ont pas les moyens d'uen intervention terrestres. Peuvent-ils s'engager dans une guerre d'attrition ? La question posée ici est la même que celle de la soutenabilité par l'Occident de la guerre d'Ukraine sur le long terme. Chris Hedges envisage pour l'Occident un "nouveau fiasco d'un Empire qui se meurt".
Hommage au Dr Mohammed Alssaka
/image%2F1562800%2F20250605%2Fob_2d60da_cgt-dockers.jpg)
Médecin volontaire à Gaza, à l'heure où Washington met son veto à une résolution du conseil de sécurité de l'ONU exigeant un cessez-le-feu. Continuez de fauire pression sur vos élus, sur les livraisons d'armes françaises, sur les grands groupes qui font du commerce avec les colonisateurs auteurs des massacres.
Sherri Tenpenny, les ondes électro-magnétiques et l'identité biométrique globale
/image%2F1562800%2F20250531%2Fob_d7d419_vaccine.png)
Le Conseil médical de l'État de l'Ohio (USA) a réautorisé il y a un an l'exercice de la médecine le 20 avril 2024, par la Dre Sherri Tenpenny une chercheuse de vérité (violemment attaquée par la gauche en 2021) qui avait affirmé lors de son audition à l'époque du Covid devant la commission de la santé de la Chambre des représentants de l'Ohio : « Certaines personnes soupçonnent depuis longtemps l'existence d'une sorte d'interface, et cette interface tend à être de plus en plus établie, entre le contenu de ces injections et toutes les antennes 5G. Certes cela n'a pas encore été prouvé. » Elle avait également affirmé que les personnes recevant le vaccin contre la COVID étaient devenues « magnétiques » et que le vaccin provoquait plusieurs problèmes de santé graves, y compris chez les personnes qui n’étaient pas vaccinées.
La chaîne Faits et Documents Rares en profite ce mois-ci pour faire un inventaire des publications scientifiques résumées par Chat GPT su les méfaits des ondes électro-magnétiques sur les cellules humaines.
Un sujet qui reprend de l'actualité avec un nouveau variant Covid NB.1.8.1 qu'on nous annonce en France.
La Dre Sherri Tenpenny continue à militer contre la dictature sanitaire et tehnocratique, notamment le nouveau traité de conclu le 16 avril dernier et le Pacte pour l'Avenir de l'ONU publié en septembre dernier qui préconise une identité numérique biométrique globale et la punition (interdictions de voyages, blocage des comptes bancaires etc, le dispositif habituel...) de ceux qui diffuseront des soi-disant "fake news" sur les dispositifs numériques.
Bien sûr le projet de dôme d'Or de Trump (et les répliques qui trouvera chez ses rivaux russes et chinois) a aussi tout à voir avec ce projet d'enfermement numérique des population : rappelez vous que le logo de la force spatiale de Trump (Space Force) inversé est la tête du Baphomet.
/image%2F1562800%2F20250531%2Fob_1afc57_spaceforce.jpg)
L'oeil au beurre noir d'Elon Musk
/image%2F1562800%2F20250531%2Fob_5819f0_x-mirrored.jpg)
En février 2022, j'ai évoqué cette bizarrerie d'un Poutine qui s'était montré (dans les années 2000) avec un oeil au beurre noir, comme à d'autres moments le pape, le prince Philip d'Angleterre, Richard Branson, ou le président Obama et d'autres célébrités. Aujourd'hui c'est le tour d'Elon Musk au moment où il abandonne le projet de ministère transversail "DOGE" et où on annonce la chute de ses satellites. Sauf que lui c'est le droit alors que plus souvent c'est le gauche (mais il y a eu d'autres cas comme lui, par exemple David Bowie, Jennifer Lopez, Doja Cat).
L'AFP avance un explication officielle : "Elon Musk, coutumier des apparitions publiques bizarres, n’a pas dérogé à la règle vendredi, avec son ecchymose bien visible à l’œil droit. Le multimilliardaire a assuré qu’il avait reçu un coup de son fils : «Je m’amusais avec le petit X [de son nom complet X Æ A-12, ndlr] et je lui ai dit de me frapper au visage. Et il l’a fait.»" Ce peut être à double sens quand on sait que dans l'occultisme X est un symbole antéchristique. On n'en saura pas plus...
/image%2F1562800%2F20250531%2Fob_23e190_musk-oeil-beurre-noir.jpg)
Trump joue les suprémacistes blancs et finance NEOM
Le travail de destruction des Etats-Unis par Trump se poursuit. Un diplomate de son administration a acueilli à l'aéroport un groupe de 59 Sud-Africains blancs arrivé aux États-Unis avec la promesse d' obtenir le statut de réfugié. La nouvelle énerve la gauceh qui trouve injuste que ces soi-disant réfugiés (des fermiers pour la plupart qui se disent victimes des lois de confiscation des terres) passent devant les centaines de réfugiés non-blancs d'autres pays qui ont enduré des sévices importants.
/image%2F1562800%2F20250514%2Fob_b4aa35_fraternal-order.jpg)
En réalité, la nouvelle a un objectif de communication : certains peuvent penser que c'est celui de punir l'Afrique du Sud pour son soutien à Gaza, C'est là peut-être un but acessoire, mais le message est surtout destiné au peuple américain : il est destiné à camper Trump dans le rôle du suprémciste blanc (et pas seulement du patriote), un rôle que beaucoup de démocrates lui reprochaient déjà d'endosser. Ainsi le président américain ravive le débat racial. Ce faisant il agit symétriquement aux Black lives Matter (l'organisation subventionnée par l'Open Society de Soros) et par ceux qui ont instrumentalisé l'affaire Floyd (rappelez vous Floyd l homme qui avait "ordo ab chao" tatoué sur la poitrine).
Objectif, la guerre civile. Qui s'en étonnera quand on sait que Trump était soutenu pendant sa campagne par des organismes comme le Fraternal Order of Police and International Association of Chiefs of Police un ordre qui affiche fièrement l'oeil omnnivoyant, le pentagramme et le damier dans son logo (cf à gauche ici).
Le 13 mai on apprenait aussi que Trump signait à Ryiad un accord d'investissement de 600 milliards de dollars avec le Prince Ben Salmane, investissements dont une partie iront à NEOM selon Reuters. Qu'est-ce que NEOM ? une future prison à ciel ouvert, prison de luxe pour les partisans du mondialisme écolo high tech. En lien avec Gaza, fruit symbolique de son sacrifice. Il faut aller toujours plus loin dans l'abject. C'est la règle du jeu.
USA-Russie : le consensus spatial
Outre le contexte occultiste qui entoure le thème de la conquête de l'espace (voir ici et ici), je suis frappé par la propension des grands médias à gober les pires mises en scènes à ce sujet (voir récemment l'affaire de Blue Origin ici). Cela à soi-seul devrait suffire à discréditer toute la presse mainstream sur tous les sujets importants de ce monde.
Le point important aussi sur ce thème est qu'il transcende toutes les tension géopolitiques, et les oppositions soi-disant irréductibles dont les journalistes stipendiés nous abreuvent quotidiennement.
/image%2F1562800%2F20250506%2Fob_5ff54a_usa-russia-space.png)
Ainsi le 11 septembre (date chère aux ésotéristes, et qui fait en partie allusion à Apocalypse 9:11) 2024, au coeur des pires tensions entre l'administration Biden et la Russie de Poutine (je dois cette information à la chaîne They Live Truth, chaîne dont je désapprouve le parti-pris platiste, mais qui fait de bonnes remarques par ailleurs), la fusée Soyouz MS-26 au départ de Baïkonour convoyait trois astronautes Don Pettit (le vétéran, 70 ans), Alexei Ovtchinine et Ivan Vagner, dont le premier est un Américain vers la station spatiale ISS, ce qui donnait lieu à une belle photo des drapeaux russe et américains réunis à l'arrière-plan du portrait des astronautes. Pas question de sanctions américaines contre la Russie dans ce domaine...
Les trois astronautes sont d'ailleurs revenus sur Terre il y a trois semaines, le 19 avril heure américaine - le 20 avril heure kazakhe. Ce jour là l'ingénieure pilote Nicole Ayers censée être restée sur ISS a d'ailleurs twitté un message d'adieu aux trois astronautes, ce qui a posé la question de savoir comment elle avait accès à X depuis l"espace, mais la question a déjà reçu une réponse officielle...
"Si la coopération spatiale survit aux crises géopolitiques, nous explique la presse officielle (cf Ouest-France du 20 avril dernier) c’est aussi parce qu’elle répond à une logique pragmatique. La Station spatiale internationale, laboratoire scientifique en orbite depuis plus de vingt ans, repose sur une interdépendance technique entre les différents modules américains, russes, européens et japonais. Impossible, pour l’instant, d’y faire cavalier seul." Mais ce n'est peut-être pas la vraie raison...
Voilà qui rappelle aussi la collaboration de la Russie aux exercices du Forum économique mondial sur les cyber-attaques jusqu'en 2022...