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Le scandale "Nth room" en Corée du Sud

Je vous avais parlé il y a quelque temps de cet étrange passage d'un membre du groupe de rap Wu-tang Clan (nom dans lequel on peut entendre Wu-Han) en 1996 "Six millions de diables viennent de périr de la peste bubonique ou du virus Ebola, sous le règne du roi Cyrus" (Cyrus= Trump=le serpent couronné=Miley Cyrus ?). Le morceau s'appelait "The 4th chamber"... Le membre s'appelait GZA et l'image de sol maçonnique sur la pochette du disque était très évocatrice.
Autres paroles "My own phone sex
Mon propre téléphone sex
Watch out for Haiti bitches
S'occupe des putes d'Haïti
I heard they throw hex
J'ai entendu dire qu'elles jettent des sorts
Yo, Wu whole platoon
Yo, tout le staff Wu
Is filled with rac-coons
Est plein de ratons laveurs"
Wu-tang-Clan a inspiré divers remix, dont "Nth Chamber" en 2013.
En Corée du sud vient de sortir un scandale sexuel au nom équivalent : "Nth Room" (Enième pièce, énième salle).
Les Nth Rooms sont des salles de chat sur l'application de messagerie Telegram où les utilisateurs produisent et échangent illégalement des images déshumanisantes de femmes. Les victimes, souvent mineures, sont fréquemment contraintes par les utilisateurs de Telegram à s'infliger à elles-mêmes des sévices.
Le groupe d'origine de ces chats appelé "nth room" aurait vu le jour sur Telegram en 2018 ou au début de 2019. Il existe maintenant un réseau entier, chacun avec des noms différents comme "esclave room", "female child room" ou "violate your acquaintance room" (pièce pour violer une connaissance).
Les filles mineures y sont dégradées, forcées d'aboyer comme des chiens ou de se coucher nues sur le sol des toilettes publiques pour hommes, de se faire des scarifications etc. Ces victimes (parmi lesquelles de smineures) ont souvent été dupées pour donner des informations personnelles aux agresseurs, puis ont été victimes de chantage pour obéir aux caprices sexuels des utilisateurs de cette application.
L'histoire a été révélée pour la première fois par un reportage dans le journal coréen Hankyoreh en novembre dernier. Un reportage de Kookmin Ilbo qui a suivi au début du mois de mars, détaillant les actes horribles, a déclenché un tollé à l'échelle nationale. Cela survient quelques mois seulement après la révélation du scandale Burning Sun , qui impliquait des stars de la K-pop dans un réseau de prostitution à Séoul, et alors que la colère continue de mijoter contre d'autres formes d'abus sexuels contre les femmes, y compris les crimes généralisés par caméra espion .
Il s'agit de phénomènes de chantage à grande échelle impliquant des centaines de jeunes victimes et des centaines de milliers de voyeurs (dont 80 % d'adolescents) dont certains sont prêts à payer jusqu'à 1 200 dollars.
Le cerveau présumé d'une des réseaux, un jeune nommé Cho Joo-bin/Tcho Ju-bin (25 ans) qui vient d'être arrêté aurait payé ses administrateurs en crypto-monnaies, avec des liens vers des paiements suspectés de monero (XMR) . Mais les enquêteurs n'ont pas encore les moyens légaux pour enquêter sur ces modes de paiements qui pourraient révéler l'identité desdits administrateurs. Il semble bien qu'il y aurait aussi un mystérieux "docteur" derrière tout cela.
Phénomène purement "local", endémique à la Corée du Sud ? Où existe-t-il des ramifications ?
Bill Gates et Marina Abramovic : l'occultisme à domicile

L'artiste d'origine serbe Marina Abramovic est une occultiste (sorcière) new-yorkaise haut placée dans l'Establishment américain qui, sous couvert d'art, organise des rituels comme ses séances de "cuisine spirite" (dont le contenu évoquait le cannibalisme) auxquels elle invite des célébrités elles aussi adeptes de l'oeil d'Horus comme Lady Gaga, le frère du chef de campagne d'H. Clinton Tony Podesta (lié au scandale de la sulfureuse pizzeria washingtonienne Comet Pingpong financée par Soros - voir les fuites de Wikileaks sur ce sujet il y a quelques années).
Nous vous avions signalé, il y a près d'un an, que pour sensibiliser les gens à la lutte contre le réchauffement climatique, elle avait lancé une application qui montrait un avatar d'elle-même entouré de calottes glaciaires en fusion, à l'intérieur d'un réservoir en verre qui se remplit lentement d'eau qu'elle présentait à la galerie Ca 'Rezzonico de Venise...
Cette année, le 10 avril 2020, en pleine crise sanitaire du coronavirus, Microsoft lançait une vidéo de promotion de sa "performance" appelée "The Life" (La Vie). "Pour la première fois, explique le site de Microsoft, les téléspectateurs peuvent expérimenter l'art de la performance sans frontières - et sans que l'artiste soit techniquement «présent». Dès qu'ils mettent le casque HoloLens 2, la forme pleinement réalisée d'Abramović prend forme sous leurs yeux."
"N'importe quel médium - visuel, sonore, même matériel - n'est vraiment qu'un canal pour l'énergie de l'artiste pour atteindre la compréhension du public. " explique le producteur de la performance Todd Eckert (un ancien acteur de films très axés sur l'érotisme virtuel) dans un vocabulaire qui évoque typiquement l'occultisme (le terme "énergie" a remplacé celui de "fluide" dans le vocabulaire de la médiumnité). Car il faut bien comprendre, comme on l'avait expliqué à propos de la pyramide PY1, que ces "performances" sont en fait des cérémonies occultes, qui touchent autant à la mobilisation de forces parapsychiques qu'à de la manipulation mentale (mind control), et que la réalité virtuelle, les hologrammes ne sont que des moyens d'avoir de la magie "à domicile", comme avec le "oui-ja" (voyez notre billet sur les cas de possession au collège d'Orthez à l'automne). Bientôt chacun pourra faire de la cuisine spirite chez lui avec Marina Abramovic en grande prêtresse, grâce à Microsoft, avec les applaudissements de Bill Gates.
En 2010, pour The Artist Is Present, Abramović s'était assise dans l’atrium du Musée d'Art moderne de New York et avait rencontré et observé plus de 1 000 visiteurs du musée, un par un, en face à face, et en silence, durant les heures d’ouverture du musée pendant trois mois, dans un exercice qui évoque l'hypnose. Cette fois-ci, elle "offre une rencontre numérique intime avec" elle, "son hologramme de l’artiste apparaît, et fait les cent pas autour d’un cercle (magique) de cinq mètres avant de s’évaporer dans les airs".
Nul doute que l'empire de Bill Gates, qui a recruté Madonna pour faire la promotion de ses vaccins avec un démon sur son T-Shirt pourra compter sur cette période de confinement obligatoire pour donner une large diffusion à cette nouvelle étape de l'implantation de l'occultisme au sein du domicile de tout un chacun.
(Et il faudrait aussi garder un oeil sur les liens Bill Gates/Peter Nygard, le Jeffrey Epstein canadien, et sur les rapports tout aussi directs entre Gates et Epstein lui-même)
Mon article sur George Soros dans la Revue Droits 2019/1

Vient de paraître (seulement en ligne par ces temps de coronavirus) dans la revue Droits 2019/1 (n° 69) - Presses universitaires de France - pages 129 à 157, mon article "Le programme mondialiste à la lumière de l’activisme du financier George Soros " qui est en fait le texte de mon intervention dans le cadre du cycle « Oligarchies » du centre Dogma - Institut pour l’étude des disciplines dogmatiques et l’histoire générale des formes le 14 septembre 2018. Le texte aborde les dimensions géopolitiques (les "révolutions de couleur") et sociétales (légalisation de la drogue, avortement, immigration, soutien aux minorités ethniques et sexuelles, agitprop pour obtenir la destitution de Donald Trump) de la politique de ce financier controversé à travers son réseau Open Society Foundations. J'y dis aussi un mot du Pizzagate, ce qui n'est pour le moins pas habituel dans les milieux universitaires, et m'avait valu en 2018 une volée de bois vert d'un individu dans le public ! L'article est payant à 5 euros ici d'après les règles habituelles de la revue. Mon article ne se fonde que sur les mails fuités par Wikileaks et non contestés par la grande presse (mais rien qu'avec ça, le portrait de l'action du personnage est des plus saisissants - et, pour mémoire, même les éléments sur Pizzagate sont dans les mails de Wikileaks, il n'est pas nécessaire de broder autour comme hélas trop de commentateurs l'ont fait pour être "surpris" - doux euphémisme - par les milieux auxquels Soros était mêlé en 2016...).

Quand une Madonna sataniste promeut les vaccins de Bill Gates

Un point qui n'est peut-être pas si anecdotique que ça, relevé par l'ex-franc maçon Leo Zagami :
Il y a seulement trois semaines, la Fondation Bill & Melinda Gates, Welcome Trust et Mastercard ont annoncé le lancement du soi-disant accélérateur thérapeutique COVID-19, un fonds de 125 millions de dollars destiné à lutter contre la pandémie. Vendredi dernier, le 3 avril, , la Fondation Gates a fait part du soutien de trois autres partenaires dans ce projet mondialiste : le gouvernement britannique, la Chan / Zuckerberg Initiative (Facebook,) et la chanteuse occultiste Madonna. Celle-ci a lancé une collecte de fonds pour le projet en portant un t-shirt avec Satan à la place de Jésus sur la croix.
Zagami rappelle que l'an dernier en mai 2019, lors du concours de l'Eurovision en Israël (Zagami explique que le lieu peut très bien avoir été choisi à dessein par les organisateurs qui truquent facilement cette compétition pour faire passer un message religieux), la chanteuse a singé (avec son X de Nemrod sur l'oeil) l'Antéchrist sur scène (lequel est censé se manifester à ma fin des temps à Jérusalem, selon la Bible) et qu'à un moment de ce show ses danseurs précédemment habillés en moines tombent au sol tout en portant des masques à gaz d'apparence militaire souvent utilisés pour la guerre biologique... Etrange coïncidence non ?
Peut-être un élément supplémentaire du dispositif symbolique autour de la maladie, après le serpent de Miley Cyrus et les éléments de programmation prédictive déjà évoqués sur ce blog.
Le 5 avril sur Fox News, Bill Gates a fait savoir qu'il n'y aurait pas de retour à la normale tant que son vaccin n'aura pas été diffusé dans le monde entier... Nous voilà avertis...
Et, si le très propagandiste Le Monde le 6 février faisait remarquer qu'on lui fait dire à tort qu'il fallait réduire de 15 % la population par la vaccination (c'est un propos de 2010 un peu biaisé), il y a bien cette lettre annuelle de la fondation Gates de 2016 qui expliquait que la quantité de CO2 dans l'atmosphère découlait de P X S X E X C avec P pour population multiplié par S pour les services utilisés par les gens, multiplié par E pour l’énergie nécessaire pour faire fonctionner ces services, multiplié par C pour le carbone utilisé par cette énergie. Une équation que répète Bill Gates dans ses conférences en laissant bien entendre que la variable "p" pose un vrai problème... Les Guidestones de Georgie depuis 1980 ne prônent-elles pas un plafonnement de la population humaine à 500 millions d'âmes ? Pour Gates dont les parents militaient dans le planning familial ces choses vont de soi.
Rappelons nous aussi qu'en 1996, au forum de Granada, Henry Lamb (1938-2012) Vice-président exécutif de The Environmental Conservation Organization, Inc vantait la notion de "zones protégées" sans êtres humains, qui figurait dans un document de travail des Nations-Unies intitulé "Global diversity assessment". Ce texte, disait-il, met en valeur en p. 993 le Wildland project, inventé par un certain Dave Foreman, et dont un des objectifs est de transformer 50 % des terres américaines en terres sauvages, en isolant les gens sur 25 % du territoire, et en laissant 25 % de zones tampon. La carte qui concentre la population humaine dans des espèces de Bantoustans pour rendre à la nature ses droits fut citée dans une conférence de 2010 David de Rothschild fondateur de Adventure Ecology, qui avait été surpris à la sortie de son monologue par des militants audacieux (tout cela avait été repris par Infowars le 2 août 2010).
Vaccins, dépopulationnisme, satanisme. On retrouve toujours les mêmes thématiques troubles quand on se penche sur ces milieux-là.
L'avortement, même en période de coronavirus

La sénatrice socialiste Laurence Rossignol, ancienne ministre des Droits des femmes (soupçonnée d'appartenance au Grand Orient de France comme Manuel Valls, JY Le Drian et F. Rebsamen, et qui s'était distinguée le 5 avril 2013 à Ce soir ou jamais en disant que les "enfants n'appartiennent pas à leurs parents"), a déposé le jeudi 19 mars (bien sûr la revue "Elle" et "Marie Claire", en assuraient la propagande ) avec ses collègues Meunier, Kanner, de Gontrie, Leconte, Temal et Monier un amendement visant à allonger le délai légal d'avortement de deux semaines et à supprimer la seconde consultation pour les mineures.
Le gouvernement a dans un premier temps rejeté la proposition, rompant peut-être ainsi avec les engagements de la précédente ministre de la santé qui aimait bien montrer son oeil d'Horus et s'habiller en noir et blanc.
Puis dans un second temps, sous la pression de la Coordination des associations pour le droit à l'avortement et à la contraception (Cadac), le Planning familial et de nombreuses organisations féministes, il a fait savoir que les IVG médicamenteuses pourront être prescrites et suivies entièrement par téléconsultation, et a indiqué dans un communiqué, "avoir saisi en urgence la Haute Autorité de Santé" sur la possibilité d'étendre le délai pour ces IVG de 7 à 9 semaines.
L'usine pour Moloch doit continuer de tourner.
Aux Etats-Unis certains Etats ont considéré que l'avortement ne relevait plus de l'urgence. Le droit à l'avortement est un des chevaux de bataille de groupes occultistes comme le Satanic Temple. Demandez vous pourquoi.
Miley Cyrus, le serpent couronné, le tarot des Visconti, le vampirisme et le coronavirus

J'ai hésité avant de publier ce billet, pour plusieurs raisons. La première est que ma réflexion sur le sujet que je vais traiter ici n'est pas arrivée à son terme. C'est un sujet en chantier. Je ne peux donc pas faire une démonstration irréprochable à son sujet. Je peux seulement reprendre les réflexions que jette dans ses vidéos, au fil de ses recherches un citoyen du Connecticut, EnterTheStars, un "truthseeker" que j'ai déjà cité dans mon billet sur l'adrénochrome qui est très lu en ce moment.
La deuxième raison est qu'on est là sur un sujet très épineux qui requiert beaucoup de connaissances et qui ne relève pas de la science exacte. C'est l'herméneutique des signes que produisent les sociétés secrètes qui aujourd'hui dominent la production culturelle de masse globalisée.
Il est très difficile de parler de ces sujets parce que les gens sont conditionnés à voir dans les faits qu'on avance de simples coïncidences, des théories hasardeuses, du "complotisme" (mot clé - trigger-word - pour déclencher le mépris). Amoureux des faits objectifs, j'ai longtemps été comme eux. Pourtant un certain nombre de recoupements que j'évoque souvent sur ce blog montrent bien que oui, il y a une allégeance de beaucoup d'artistes de premier plan, de scientifiques, d'hommes politiques, à une religion occulte (voyez l'affaire Epstein très éclairante à ce sujet). Et, parce que cette religion implique qu'on annonce en avance d'une façon codée (c'est ce qu'on appelle la "programmation prédictive") ce que l'on va faire et le sens de ce qu'on fait pour que ça hypnotise les gens, et les faire participer "énergétiquement" aux processus, il faut prendre du recul à l'égard de ces signes, et savoir les décoder.
Donc, oui, cela vaut la peine de se pencher sur ces sujets, mais il faut le faire très prudemment, sans sauter aux conclusions tout de suite, sans quoi on peut se ridiculiser très vite, ce qui donne des armes aux adversaires.
Justement la prudence pourrait me commander d'attendre un peu, d'avoir plus d'éléments, pour pouvoir faire une démonstration plus structurée. Mais il se peut que pendant des mois rien d'autre ne me soit donné que les éléments dont je dispose aujourd'hui (qui sont, pour l'essentiel, ceux que EnterTheStars a mis sur la table, parfois un peu en désordre dans ses vidéos). Donc voici ce qu'il y a à dire sur ce sujet qui, comme on va le voir, touche aux plans apocalyptiques des sociétés secrètes qui dirigent l'industrie du divertissement (et probablement une partie des scientifiques).
Avançons pas à pas.
Il y a quinze jours, le club des artistes occultistes Ariana Grande, Taylor Swift et Miley Cyrus lançaient un appel au confinement. Cette dernière depuis lors multiplie les émissions sur You Tube pour distraire ses fans. Cette créature du système Disney, est en général un peu bon "baromètre" de ce qui se manigance dans ce monde pour nous enfermer dans une toile d'araignée. Parce que, comme la plupart des stars du système Disney, elle a été préparée depuis son plus jeune âge à être ce qu'elle est devenue et elle est même contrôlée dans tous les messages dont elle est le support (ces programmes de contrôle et de dressage ont été décrits par des transfuges du système comme Cathy O'Brien). On l'a vue afficher des pizzas (symbole pédophile) sur Instagram alors même qu'elle se disait allergique au gluten, se mobiliser pour l'avortement quand Trump nommait un juge "pro-life" à la cour suprême, défendre le pansexualisme, le transgenre, l'Agenda 21 écologiste etc, bref tous les thèmes à l'agenda des groupes maçonniques ou paramaçonniques au niveau planétaire actuellement, avec un sens très poussé de l'affichage des signes occultistes : oeil d'Horus, sols en damiers, colonnes de temples, pyramides, baptême rituel etc.
Nous allons donc "tirer ici" un fil d'enquête autour d'elle, en montrant quelques unes de ses implications possibles, notamment en lien avec le coronavirus, mais sans tirer aucune conclusions pour l'heure parce que, comme on l'a dit, le principe même de l'exégèse autour de l'occultisme est de faire preuve de prudence et de patience : on n'exclut aucune hypothèse a priori, mais, humblement, on ne s'emballe pour aucune d'entre elles tout de suite.
Voyons donc.
En août 2019, la presse people relatait cette nouvelle : Miley Cyrus, après avoir quitté son mari Liam Hemsworth (alors qu'elle était enceinte depuis fin juillet - cf Gossip.net du 22 oct 2019), s'est rendue à Milan pour se faire faire un tatouage. Cosmopolitan expliquait que ce tatouage symbolisait le clan Visconti qui dominait Milan au Moyen Age et représentait un serpent dévorant un homme (biscione). Ce sceau, repris par les successeur des Visconti, les Sforza, et d'autres familles est aussi utilisé, par une équipe de foot, par une chaîne de TV, par les voitures Alfa Romeo etc.
Ce genre de voyage n'est jamais gratuit . Tout cela est mis en scène pour manipuler un public dont on cherche à capter une énergie. On ne choisit pas Milan au hasard, ni le tatouage non plus.
Ceux qui veulent échapper à l'effet d'hypnose doivent donc se demander : pourquoi le serpent, pourquoi Milan, pourquoi à ce moment-là ?
En lisant les recherches de Alison Manges Nogueira, du musée d'art de Venise, mises en valeur par EntertheStars Reloaded, on apprend un élément surprenant : le troisième duc de la dynastie Sforza qui avait succédé aux Visconti (et avait adopté leur serpent) Ludovico Sforza (1452-1508) avait présidé à la publication d'un manuel enluminé pour légitimer la succession des Visconti, le Codex Sforza.
Dans ce manuel occupait une place très importante la figure antique de Cyrus roi des perses...
Filelfo, l'auteur du codex, dans une lettre du 20 février 1477 écrite à Bonne de Savoie après l'assassinat de son mari, Galeazzo Maria, comparait le jeune orphelin Gian Galeazzo Sforza (Jean Galéas Marie Sforza), deuxième duc de Milan, au roi Cyrus, qui était aussi orphelin. En choisissant les illustrations du Codice Sforza, Filelfo avait mis l'accent sur le roi Cyrus, et placé son portrait en premier, parmi les héros représentés, peut-être pour relier le roi Cyrus à Ludovico, dont le père était mort peu avant la production du manuscrit se qui faisait de Filelfo, un nouveau Xénophon auteur d'une nouvelle Cyropédie.
Etrange "coïncidence", n'est-ce pas ? comme j'avais trouvé étrange aussi dans mon livre sur les régimes populistes que le prédicateur Lance Wallnau, un des premiers à avoir prévu l'élection de Trump qui serait le "nouveau Cyrus" (le reconstructeur du temple de Jérusalem - "LA" solution au coronavirus selon certains rabbins israëliens), "45 ème président annoncé dans Isaïe 45", l'ait décrit comme la "wrecking ball" (boule de destruction) de la "political correctness"... alors que c'était le titre d'une chanson de... Miley Cyrus...
Pourquoi est-ce qu'on fait coïncider Miley Cyrus avec Trump et le Troisième temple ? Pourquoi est-ce qu'on fait croiser le Cyrus des Sforza avec Miley Cyrus ?
Et souvenez vous, quand j'ai parlé de la programmation prédictive autour du coronavirus, je vous ai aussi signalé cet étrange passage du groupe de rap Wu-tang Clan (nom dans lequel on peut entendre Wu-Han) en 1996 "Six millions de diables viennent de périr de la peste bubonique ou du virus Ebola, sous le règne du roi Cyrus".
Pour EntertheStars Reloaded les "handlers" (dresseurs) de Miley Cyrus auraient même pu choisir de nommer la chanteuse ainsi dès sa naissance en référence aux Sforza. Dans la mesure où ces artistes appartiennent souvent à des lignées occultes, ils peuvent se voir attribuer des noms de famille sur commande en fonction d'un projet de vie déterminé par leurs "grands maîtres", nous dit-il. C'est peut-être aller trop loin dans les hypothèses, encore que... mais continuons d'avancer...
Le choix du serpent des Sforza (qui est très semblable au serpent à plumes amérindien qui dévore un humain), de la part d'une artiste souvent obligée de tirer la langue d'une façon reptilienne sur les clichés, est très lié au monde démoniaque par le fait que cette famille fut à l'origine d'un des premiers, voire le premier des jeux de tarot divinatoires connus dans l'Histoire, le tarot Visconti-Sforza.
J'ai déjà remarqué en août dernier, justement quand Miley Cyrus traînait à Milan, combien les tarologues avaient le vent en poupe, aussi bien au Centre de recherche nucléaire européen (CERN) qu'au Vatican, voyez mon billet ici.
Dans "The Vampire Tarot" publié en 2009 par l'alchimiste Robert Michael Place, on peut lire : "Dans une lettre écrite en 1449 à la reine Isabelle de Lorraine, son agent décrivait deux jeux qu'il avait acquis pour elle mais qui étaient à l'origine créés par Filippo Maria Visconti, Duc de Milan (1392-1447). On y trouve la description de ce qui peut être le plus vieux jeu de tarot. Des deux jeux le plus ancien avait été conçu par l'astrologue du duc, Marziano Rampini di S. Aloisio, appelé da Tortona (...) Le plus ancien jeu de Tarot encore présent aujourd'hui semble avoir été créé par Filippo Maria Visconti, qui était un grand amateur de jeux de cartes. Le jeu est maintenant à la librairie de l'université de Yale (USA). Il est connu comme le "Cary-Yale Visonti Tarot".(...) Dans une note intéressante, l'historien Ross Gregory Caldwell nous informe que lorsque l'empereur de Constantinople Jean VIII Paléologue (1390-1448) visita le nord de l'Italie en 1424 pour trouver des alliés chrétiens et du soutien financier pour résister aux Turcs, le saint empereur romain Sigismond (1368-1437), qui fut le modèle probable de la carte de l'empereur dans les tarots, envoyéason vassal Vlad Dracul (mort en 1447) pour l'accueillir à Venise et lui servir de guide. Après leur séjour à Venise, Vlad et Paléologue passèrent trois mois à Milan comme hôtes de Philippe Marie Visconti. Sans doute a-t-il pu les distraire avec des jeux de tarot entre autres plaisirs. Vlad Dracul était le père de Vlad Tepes Dracula... qui défendit la Transylvanie contre les Turcs."
Evidemment la connexion tarots-Yale (siège de la société secrète des Bush-Kerry and co les Skull and Bones)-vampirisme de Dracula active les imaginaires. Et tout cela recoupe l'engagement véhément de Miley Cyrus pour l'avortement qui a aussi une dimension vampirique et sanglante liée au culte de Moloch (bon, ne perdez pas le fil de la recherche - et gardez à l'esprit que Miley Cyrus est enceinte quand elle se fait tatouer le serpent qui avale l'enfant...).
On retrouve aussi le coronavirus dans cette herméneutique autour du fait que corona veut dire couronne. Il n'y a pas que l'université de Yale dans le Connecticut qui ait aimé le serpent à couronne. Il y a aussi cette école Sandy Hook dans laquelle une tuerie a eu lieu en 2012 et dont les locaux ont été aménagés exactement dans la forme de ce serpent couronné avalant un enfant.

Dans une vidéo sur You Tube du 26 mars dernier EnterThestars Reloaded faisait aussi remarquer que les ducs de Milan avec leur serpent couronné, se sont distingués pendant la peste noire de 1348, à la différence de beaucoup d'autres princes de l'époque, par leur zèle a enfermer les gens chez eux... "Les Visconti, seigneurs de Milan, prirent des mesures extrêmes pour conjurer la peste et avec succès. Eux aussi (comme les dirigeants actuels) introduisirent la quarantaine, bouclant la ville, mais son arrivée a provoqua la panique parmi la population, d'autant qu'il y eut un tremblement de terre pendant l'épidémie. Luchino Visconti prit alors la mesure ultime, ordonnant aux autorités de la ville de fermer les maisons dans lesquelles il y avait des cas de maladie, isolant les personnes en bonne santé avec les malades."
FoxNews a souligné récemment (et ça, c'est un fait très brut) qu'une étude chinoise a montré qu'il n'y avait pas de chauves-souris au wet market de Wuhan, et donc les chances ne sont pas minces que le coronavirus soit venu d'un des deux centres de recherches biologiques de la ville dont un des deux (pour mémoire) situé au 666 (nombre apocalyptique) de la route de Gaoxin - n'oubliez pas que ces gens ne choisissent pas leurs adresses au hasard, voyez le gendre de Trump achetant à prix d'or le 666 de la 5e avenue à New York - dont Soros fut un temps actionnaire. A partir de là on peut facilement supposer qu'un plan de longue date, visant à mettre en place le gouvernement mondial (voir les propos de Gordon Brown il y a peu) soutenu depuis longtemps par la mouvance new-age et maçonnique, une petite action dépopulationniste à travers la vaccination obligatoire façon Bill Gates, et diverses autres mesures liberticides ait été soigneusement monté, depuis plusieurs décennies, éventuellement avec l'aide de médiums, avec ce virus "couronné" comme instrument, clin d'oeil au serpent couronné qui avale les enfants des hommes. Le tatouage de Miley Cyrus à Milan l'été dernier pourrait être une des étapes du déroulement du processus, dans lequel on montre en cachant, et on cache en montrant.
On pourrait montrer dans ce billet d'autres éléments de programmation prédictive sur le Covid 19, comme deux passages des films Indiana Jones liés à Wuhan et au nom du virus (avec un symbole de croix inversée satanique très éloquent) ainsi que des passages du film "I'm a legend" de 2007 avec Will Smith, mais cela nous mènerait un peu trop loin.
Restons pour le moment concentrés sur ce serpent couronné meurtrier (biscione/Quetzalcoatl - euh, au fait et si c'était le Q de QinetiQ ?) et la visée antéchristique qu'il recèle.
Et encore un dernier mot : ce serpent est aussi le symbole de Berlusconi. Pas de chance : il y a un an mourait une dame qui aurait pu apprendre des choses à la justice sur ce que ce symbole signifiait chez cet ex-président du conseil italien...
Donald Trump reprend-il le contrôle de la Réserve fédérale ?
Le 27 avril 1961, le président John F. Kennedy (1917-1963) déclarait : "Nous sommes confrontés dans le monde entier à une conspiration monolithique et impitoyable qui repose principalement sur des moyens secrets pour élargir sa sphère d'influence - sur l'infiltration au lieu de l'invasion, sur la subversion au lieu des élections, sur l'intimidation au lieu du libre choix, sur la guérilla la nuit au lieu d'armées le jour. C'est un système qui a mobilisé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d'une machine très soudée et très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques."
La banque centrale américaine (Federal Reserve System/Fed) a joué un rôle important dans ce complot dénoncé par le Pdt Kennedy. Aujourd'hui les partisans de Donald Trump mettent en avant la "guerre silencieuse" que celui-ci mène contre cet organisme pilier de l'économie mondiale. C'est ce que nous allons tenter d'expliquer ici, mais tout d'abord un petit rappel historique.

En 1952 paraissait « Les Secrets de la réserve fédérale » écrit par Eustace Mullins , en collaboration avec le poète Ezra Pound, lequel était à l’époque interné à l’hôpital psychiatrique Sainte Elizabeth à Washington (une hospitalisation politique comme on en réserve souvent à ceux qui en savent trop) - il existe sur Wikipedia tout une page qui essaie de démonter le livre de Mullins comme relevant de la propagande conspirationniste et antisémite (argumentaire classique contre toute volonté de questionner un peu le système politico-économique actuel), mais rien dans cette page ne permet d'invalider complètement les éléments factuels avancés par Mullins sur l'aspect particulier de la création de la Réserve fédérale. Celui-ci y explique comment la banque fédérale américaine (« Réserve fédérale ») a été fondée contre l’opinion publique des Etats-Unis qui y était hostile, sur la base d’un plan monté par un groupe de banquiers réunis en secret en 1910 (après une panique financière créée en 1907) sur l’île de Jekyll, en Géorgie, propriété de John Pierpont Morgan. Le père de JP Morgan, Junius Spencer Morgan, a construit son empire en collaboration avec le banquier George Peabody, qui aida Nathan Rothschild à régler ses différends avec la famille royale anglaise. En retour grâce aux fonds de la Banque d’Angleterre contrôlée par les Rothschild, Morgan & Co avait pu survivre au krach bancaire de 1857 . Il est souvent avancé aussi que Morgan a également sauvé en 1893 le gouvernement américain de la panique bancaire grâce à un apport financier des Rothschild, ce qui en fait aux yeux de beaucoup un agent de ces derniers.
Bien que la banque centrale américaine, créée par une loi de décembre 1913, soit dite fédérale, elle appartient à des financiers privés et ne reçoit pas d'instructions du président des Etats-Unis ou du Congrès. Les 7 membres de son conseil des gouverneurs sont nommés par le président avec l'accord du Sénat pour quatorze ans sur proposition des milieux financiers (en fait parmi les membres du très confidentiel Council on foreign relations). Lorsque la Fed a été créée, cinq banques new-yorkaises - Citibank, Chase (toutes les deux contrôlées par Rothschild), Chemical Bank, Manufacturers Hanover et Bankers Trust - détenaient une participation de 43% dans la Fed de New York. En 1983, ces cinq mêmes banques détenaient 53% de la Fed de New York. En l'an 2000, Citigroup, JP Morgan Chase et Deutsche Bank (allemande), récemment fusionnés, combinaient des parts encore plus importantes.
La Fed a permis aux banques privées de contrôler l'édition de la monnaie et de bénéficier de divers prêts gagés sur des fonds publics. Selon une étude du Government Accountability Office (GAO) entre 2007 et 2011 la Fed a fourni aux grands groupes financiers 16 000 milliards de dollars (2,5 à Citigroup, 2,04 à Morgan Stanley etc) - cf le discours de Bernie Sanders du 21 juillet 2011.
Sous la houlette de la Fed, le système mondial international s'est peu à peu détaché de l'étalon-or qui servait de gage à l'émission de la monnaie dans le monde (l'émission de monnaie se faisait en fonction de la quantité d'or stocké, système qui a été peu à peu abrogé si bien que cette production aujourd'hui n'est plus indexée sur rien). Les États-Unis en sont sortis en 1933 sous Franklin D. Roosevelt (le président à qui l'on doit la présence de la pyramide avec l'oeil d'Horus sur le billet d'1 dollar et la construction du Pentagone en forme de coeur de pentagramme occulte), et ce même pays a mis fin à la convertibilité internationale du dollar en or en 1971.
Le président Trump durant la campagne électorale s'était dit favorable au retour de l'étalon-or mais avait reconnu que cela serait difficile car les Etats-Unis n'avaient plus d'or. En juillet dernier il a d'ailleurs annoncé son intention de nommer au comité des gouverneurs de la Fed l'économiste Judy Shelton, favorable à ce retour à l'étalon-or (tout comme le libertarien Ron Paul).
En juillet 2018, le spécialiste des stratégies financières Richard Bove sur CNBC avait relevé les critiques de Trump contre la politique de taux d'intérêts élevés de la Fed et prédit que le président s'apprêtait à remettre la Fed sous sa coupe, en rappelant qu'à l'origine elle était censée être présidée par le secrétaire au Trésor.
Le projet de nomination de Judy Shelton a été saluée par un post de Qanon du 9 juillet 2019, lequel avait déjà précisé en 2018 que l'étalon-or "détruirait la Fed". Il semblerait que les Etats-Unis aient assez de tonnes métriques d'or estimées (plus de 8 400 tonnes en 2008, devant le Chine, l'Allemagne, l'Italie, la France et la Russie) pour effectuer ce retour.
Le 27 mars, l'économiste de Bloomberg Jim Bianco, estimait que "la récente annonce (du 23 mars) de la Réserve fédérale donne un contrôle énorme sur ses opérations au département du Trésor" (le ministère de l'économie) de l'administration Trump. Il s'agit d'un plan de la Fed pour le rachat sans limite, avec l'expertise stratégique de BlackRocks, de toutes sortes de créances publiques pour amortir les effets de la crise du coronavirus.
Techniquement cela implique que "la Fed financera un véhicule à usage spécial (SPV) pour chaque acronyme pour mener ces opérations. Le Trésor, en utilisant le Fonds de stabilisation des changes, fera un investissement en fonds propres dans chaque SPV et sera en position de «première perte». Qu'est-ce que ça veut dire? En substance, c'est le Trésor, et non la Fed, qui achète tous ces titres et appuie les prêts; la Fed agit en tant que banquier et fournit du financement. La Fed a engagé BlackRock Inc. pour acheter ces titres et gérer l'administration des SPV au nom du propriétaire, le Trésor. Autrement dit, le gouvernement fédéral nationalise de larges pans des marchés financiers. La Fed fournit l'argent pour le faire. BlackRock fera les échanges." Conclusion de Bianco, largement reprise par les partisans de Trump sur les réseaux sociaux : puisque le Trésor (le ministère des finances) contrôlera les SPV "ce schéma fusionne essentiellement la Fed et le Trésor en une seule organisation. Alors, rencontrez votre nouveau président de la Fed, Donald J. Trump."
On savait que la Chine et la Russie depuis quelques années préparaient un retour à l'étalon-or chez elles de crainte d'un crash financier. A supposer que la reprise en main de la Fed par Trump à la faveur de la crise du coronavirus soit aussi effective que le prétend Bianco, se peut-il qu'elle soit une étape dans le retour des Etats-Unis eux-mêmes à l'étalon-or, et donc la fin d'une dévalorisation de la monnaie entretenue par les milieux financiers depuis 50 ans ?
Covid 19 : le mot de Gordon Brown, le combat des pro-Trump
Dans le Guardian, le 26 mars dernier, l'ex-premier ministre travailliste britannique Gordon Brown, qui avait renfloué les banques en 2008, demandait que, pour combattre le virus bizarre (dont on ne sait pas s'il est né naturellement au wet market** de Wuhan, au centre de biotechnologie dont Soros a été actionnaire en 2011 dans cette ville, dans les laboratoires du Pirbright Institute subventionné par Bill Gates, de l'Institut Pasteur, quelque laboratoire militaire américain qui l'aurait véhiculé via les compétitions militaires internationales de Wuhan etc) la mise en place d'«une forme temporaire de gouvernement mondial» avec des pouvoirs spéciaux attribués à l'Organisation mondiale de la santé (actuellement dirigé par un quasi-génocidaire) et à l'Organisation des nations unies. Il disait ainsi tout haut ce que beaucoup de mondialistes pensent tout bas, alors que l'effet immédiat de l'épidémie a été plutôt d'aboutir à la fermeture des frontières (qui était le seul moyen d'empêcher les contaminations entre personnes) et de créer des tensions considérables au sein de l'Union européenne entre l'Allemagne et les Pays-Bas d'une part et les pays du méditerranéens d'autre part.
(Au passage notez que le système financier mondial a offert à Brown, pour le récompenser de ses efforts en 2008, une sympathique retraite comme conseiller du fonds d'investissement californien PIMCO - Pacific Investment Management Company, LLC - ce qui lui permet de financer un système de fondation-arnaque comme Bill Gates)
Au même moment se développait chez les partisans de Trump l'idée que la propagation de ce coronavirus/Covid19 pouvait être destinée à ruiner l'économie américaine et empêcher la réélection de leur leader, ce que celui-ci a aussi laissé entendre à demi-mot dans une conférence de presse. C'est que la mouvance patriote américaine, sur la foi des posts de Qanon, continue de penser que le président mène une guerre secrète contre l'Etat profond.
En février Q avait attiré l'attention sur la démission soudaine en 48 h des PDG ou hauts responsables de Disney, Mastercard, Salesforce, L Brands, Uber Eats, Hulu, MGM, IBM, LinkedIn, Bayer, Aurora cannabis, laissant entendre que c'était un des effets de cette guerre secrète et des menaces de poursuites judiciaires.

Un élément nouveau est apparu la semaine dernière au sujet de cette guerre secrète : le docteur Anthony Fauci, directeur depuis 30 ans de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, l'homme qui s'est récemment opposé ouvertement sur CNN à la position de Trump sur la chloroquine et qui a critiqué ses mesures de relance de l'économie, lors d'un forum sur les pandémies organisé à l'université de Georgetown, le 11 janvier 2017 avait annoncé que l'administration Trump pendant son mandat ne serait pas confrontée (challenged) aux menaces sanitaires globales déjà en cours comme la grippe et le SIDA mais aussi par le déclenchement d'une "nouvelle maladie surprise". Simple constat d'un scientifique sur une menace qui était "dans l'air du temps" ? ou promesse, voire "programmation prédictive" d'un "insider" bien informé, comme on a pu le penser aussi des propos de Bill Gates il y a un an sur une pandémie qui viendrait de Chine ?
Dans un mail du 26 janvier 2016 fuité par Wikileaks, Fauci avait écrit à Hillary Clinton en se présentant comme son "admirateur". Le 2 juin 2012, il écrivait à Cheryl Mills avocate des Clinton qu'un discours d'Hillary l'avait "ému aux larmes".

Ce fan d'Elton John (artiste de triste réputation dans les milieux informés sur les sociétés secrètes) en 2009 avait contribué au lobbying pour les commandes actives de centaines de millions de vaccins contre le virus H1N1 des marques GlaxoSmithKline (the Wellcome Trust), Sanofi, AstraZeneca et Novartis (Bill and Melinda Gates Foundation), en collaboration avec le Merial Animal Heath Institute (GB & China), et le Pirbright Institute. Les pro-Trump accusent Fauci d'agiter la peur pour continuer de couler l'économie et faire le jeu du lobby planétaire du Big Pharma (on parle même de Pharmaggedon !), comme il l'avait déjà fait à plus petite échelle en 2009, en lien avec les banquiers (qui possèdent nos médias), l'ONU, le Council on foreign relations etc.
Voyez aussi ci-dessous son rôle dans l'arrestation en Californie de la chercheure Judy Mikovits qui avait mis en lumière le lien entre les rétrovirus présents dans les vaccins et la fatigue chronique (cf son livre).
Peut-être faudra-t-il donc garder à l'esprit ce conflit entre les trumpiens et le lobby pharmaco-financier mondialiste dans les semaines qui viennent.
Pour le reste je note que ce blog bat des recors d'affluence en ce moment en raison probablement du confinement. Le billet sur l'adrénochrome qui est pourtant difficile à lire car très documenté en peu de lignes a été consulté par plus de 1 000 personnes ce mois-ci. Je maintiens mes humbles conseils spirituels pour ceux qui dépriment dans l'isolement.
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Actualisation 2 avril 2020 : le 1er avril sur Twitter Paul Watson attirait l'attention sur une info de Fox News révélant qu'une enquête de l'université chinoise du Sud (en ligne depuis deux mois, mais personne ne l'avait regardée) mentionnait le fait qu'une soixantaine d'usagers du Wet Market de Wuhan certifiaient ne pas y avoir vu de chauves-souris suspectées d'avoir diffusé le coronavirus, mais qu'en revanche les deux centres de recherche travaillant sur le coronavirus étaient suspectés dont celui dont Soros avait été actionnaire.