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Le blog de Frédéric Delorca

Articles récents

Satanisme à l'opéra

3 Octobre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Le monde autour de nous

On parlait l'an dernier de l'occultisme dans la musique classique. Voici un nouvel exemple avec l'opéra. Cela s'est passé dans une ville de province hier soir, à quelques semaines de Halloween, peu importe où, de toute façon il suffit de regarder la vidéo pour le savoir, ça aurait pu être n'importe où en France. C'était une représentation du Trouvère de Verdi, dans le théâtre régional le plus officiel qui soit, payé par les impôts des habitants. A partir de la 38 ème minute, on vous sert en "live" un sabbat de sorciers avec cornes de Baphomet comme les cérémonies du CERN.

Rien ne manque, ni le clin d'oeil à l'anarchie.

Ni celui à la Wicca (la néo-sorcellerie contemporaine) ni le sacrifice humain  (je vous laisse retrouver cela par vous-mêmes dans la vidéo, je ne prends que quelques captures d'écrans pour le jour où YouTube supprimera la vidéo). Ajoutons d'ailleurs que parallèlement au dessus de la scène de grands écrans diffusaient des images "dystopiques" de ce que sera la ville dans quelques décennies livrée aux flammes et à la misère (une façon de faire accepter aux gens la catastrophe comme le show de Madonna à l'Eurovision 2019.

Un chrétien présent sur place qui m'a parlé de cette représentation a précisé qu'il avait ressenti physiquement le malaise, car, bien sûr, ces spectacles sont en réalité de vrais rituels destinés à agir sur la psyché, sur l'âme et sur la vie des gens, comme les concerts de Lady Gaga. Ce sont autant des cérémonies que des spectacles et souvent des ustensiles de sabbats authentiques sont utilisés sur la scène, je vous renvoie à mes remarques sur le miroir de Bela Lugosi. Il devait être le seul à le ressentir car les gens, accoutumés à Harry Potter ou à Billie Eilish et à tous les pentagrammes et toutes les pyramides glissés subrepticement dans les films, ont fait de ces images leur "alcool" habituel, tout comme ils ont trouvé "normal" qu'à l'entrée l'ouvreuse les ait félicités à chaque fois qu'ils présentaient leur pass sanitaire.

Les mêmes trouvent normal que Biden déclare hier :  "Doesn't matter whether it's in 6 minutes, 6 days or 6 weeks, we're going to get it done" (affichant ainsi le 666), ou antérieurement en juillet "‘I don’t care if you think I’m Satan reincarnated’" ou l'obsession publique du président américain pour le fait de boire le sang des enfants.

A ce stade d'anesthésie (et d'envoûtement) de l'opinion publique, tout passe. Les cohortes de zombies sont là pour nous dire "c'est de l'humour", "c'est normal", "détendez vous" comme me l'avait lancé le possédé le jour où je faisais une conférence où je mentionnais le lien de Soros avec le Pizzagate. Les thèmes infernaux sont omniprésents : soit on ne les voit pas, soit il faut en rire, mais il est bien sûr interdit d'y voir "les signes des temps" que la Bible (Matt 16:2-3) nous exhorte à décoder !

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"Stranger Thing" et la promotion du créateur de SESAME au sein du CERN

2 Octobre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Débats chez les "résistants", #Le monde autour de nous, #Christianisme

Il y a un mois, la série Netflix Stranger Thing appâtait le public de sa saison 4 pour 2022 avec une nouvelle bande annonce (cf ci dessous).

Des esprits avertis ont remarqué que ce "trailer" comprend des références occultistes avec notamment en minute 1'29 la pendule qui marque 3 heures du matin (l'heure des possessions démoniaques), et cet extrait du Chien des Baskerville (A. Conan Doyle l'auteur de Sherlock Holmes était un occultistes notoire) en min 1'03 "Le monde est plein de choses claires que personne ne remarque" '("the world is full of obvious things that nobody by any chance ever observes"). La bande annonce insiste sur l'ouverture aux univers parallèles qui permettrait de voyager dans le temps (ce qui est aussi l'objectif de l'informatique quantique). L'ouverture de portails interdimensionnels, ajoutent les commentateurs, qui permettent ces voyages dans le temps et dans des mondes parallèles, constitue l'objectif de l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) dont on suit sur ce blog régulièrement les remises du prix "Collide International" (lequel revient chaque année à des artistes liés à l'occultisme et la tarologie). La série viserait à révéler à la conscience des gens, sur un mode ludique pour mieux la faire accepter, l'action occulte de cette structure financée par nos impôts (qui a le 666 dans son logo).

Le CERN possède un colliseur (27 kilomètres de tunnels autour de Genève où circulent des protons à la vitesse de la lumière pour détecter le boson de Higgs) et ne cache pas chercher à ouvrir des trous noirs quantiques, une entreprise qui "ne présenterait aucun danger" selon le CERN, mais qui, selon beaucoup de chrétiens, connecte à des dimensions démoniaques et constitue un véritable crime contre l'humanité, ne serai-ce que du fait de l'effet explosif potentiel de ces expériences sur des particules de matière très instables : un certain "Mike" qui se disait "insider" du CERN au micro du pasteur Paul Begley décrivait le CERN comme un moyen d'examiner les particules dans leur état initial au moment du Big Bang, pour comprendre comment les particules tiennent entre elles et ce qu'est l'anti-matière, laquelle attire beaucoup de phénomènes paranormaux. L'interview de ce "Mike" dans la partie concernant l'énergie de la "matière obscure" que le CERN essaie d'importer dans notre monde est très instructive. Il évoque les cauchemars et violences qu'ont vécues les étudiants d'une université où de la matière obscure a été stockée. Les gens peuvent produire de la matière noire du fait de leurs émotions négative, a-t-on découvert. Il serait un peu long de développer tout cela (et de le discuter car tout n'est pas incontestable dans ce "témoignage", loin s'en faut). En tout cas on entrevoit le lien intellectuel avec la matière noire et le graphène dont on parlait en septembre.

C'est dans ce contexte qu'on apprend qu'Israel, qui a eu l'insigne "honneur" d'être le premier membre observateur non européen du CERN, en 2011 puis membre à part entière en 2014,  s'est félicité la semaine dernière de l'élection du Professeur Eliezer Rabinovich, chercheur en théorie des cordes à l'Université hébraïque de Jérusalem, pour un an, au poste de président de ce Centre de recherche sulfureux (le 24 septembre).

Dans les années 1990, Eliezer Rabinovich fut à l'origine d'un comité régional de scientifiques comprenant des Jordaniens, des Egyptiens, des Marocains, des Palestiniens et des Israéliens. Des Pakistanais l'ont également intégré (le Pakistan étant la seule puissance nucléaire musulmane au monde), ce qui a permis de présenter le projet sous l'angle de la paix entre les peuples (l'Antéchrist vient au nom de la paix). Cela a débouché sur la construction en partenariat avec le CERN d'un complexe "Sesame" (Synchrotron-Light for Experimental Science and Applications in the Middle East ) au sud de la Jordanie, pour un montant 98 millions de dollars surtout financé par l'Union européenne. Ce complexe héberge le premier accélérateur de particules du Proche-Orient.

Avoir construit un "sous-colliseur" du CERN qui travaille, on ne sait trop dans quel but, sur de la matière noire à quelques kilomètres de Jérusalem, où siègera l'Antéchrist selon la Bible (2 Thess  2.3–4), voilà qui méritait bien une promotion dans les instances du 666...

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Loïc Chaigneau et le dialogue marxisme-christianisme

30 Septembre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Philosophie et philosophes, #La gauche, #Christianisme, #Débats chez les "résistants"

Ma conversion et mon intérêt maintenant pour la sémiologie apocalyptique ne me font pas dédaigner complètement mes apprentissages antérieurs en philosophie et en sociologie. Il y a une raison profonde à cela. Un chrétien doit placer la Révélation scripturale au dessus des spéculations humaines, et donc aussi de la raison humaine, tout en laissant également une place à l'action de l'Esprit saint dans sa vie quotidienne pour l'éclairer. Mais ce principe ne saurait faire regarder comme vaine toute rationalité. Ce serait là céder à une facilité qu'apprécient les charismatiques mais qui peut faire verser dans un obscurantisme dangereux. Le Livre de la Sagesse dans l'Ancien Testament, la désignation de Jésus comme Logos dans l'Evangile de Jean, le fait que Saint Paul se soit donné la peine d'argumenter devant l'Aréopage d'Athènes sont une preuve que cette fonction rationnelle introduite par Dieu en l'homme n'est pas supposée être éradiquée, même s'il convient de fortement l'endiguer et d'empêcher sa fétichisation orgueilleuse.

L'histoire du christianisme occidental est celle de la difficile localisation de la place légitime de la raison, avec des poussées en sa faveur (dans la scolastique, dans le classicisme de Bossuet, dans le christianisme libéral français - quoique ce fût avec une coloration romantique très sulfureuse, comme pour les théologies de la Libération au siècle suivant) et des retours vers l'intuition charismatique en réaction (le mysticisme du XVII ème siècle, la charge de Léon Bloy contre les dominicains et contre le christianisme de salon à la fin du XIX ème siècle etc).

Un enjeu important de cette place à donner à la rationalité est de savoir quel poids il faut accorder aux lois de l'économie, car dans cette thématique se glisse toute la problématique de la pauvreté matérielle et culturelle, et celle du juste salaire qui est très importante déjà dans le Nouveau Testament (mais aussi dans l'Ancien), ce qui signifie qu'elle l'est aussi pour Dieu, ce que les chrétiens bourgeois évidemment évitent de prendre en considération en se contentant de diaboliser le communisme et les mouvements révolutionnaires. Si l'on est purement charismatique, on se borne à mener une action spontanée inspirée au service des pauvres comme l'a fait Savonarole à Florence avec tous les égarements apocalyptiques que cela a entraîné (car aucune inspiration n'est à 100 % exempte d'influence démoniaques). Si l'on laisse une place à la raison, il faut entretenir une forme de dialogue avec les sciences sociales athées (marxisme, bourdieusisme etc), sans se laisser prendre au piège de leurs présupposés antéchristiques mais en conservant seulement ce qui dans leur méthode d'analyse relève d'un exercice de la raison et d'une défense du bien commun conformes aux lois divines.

Dans le cadre de ce "maintien du dialogue", j'ai été intéressé par les prises de position du jeune Loïc Chaigneau, ancien professeur de philosophie de lycée, et membre du Parti communiste français, marxiste "classique", qui peut m'être sympathique à la fois parce qu'il défend une position réellement conforme aux intérêts des classes populaires françaises (refus du pass vaccinal anti-Covid, refus des mythes écologistes, défense de la démocratie directe et de la sortie de l'Union européenne), et parce qu'il adhère aussi dans le même mouvement au christianisme révolutionnaire.

Il faudrait prendre du temps pour discuter des thèmes qu'il traite dans ses vidéos et dans le cadre de son "Institut Homme Total". Je me contenterai simplement pour l'heure de brèves observations. Lorsqu'il instruit le procès du bourdieusisme ou du spinozo-bourdieusisme dans cette vidéo contre le salaire universel recommandé par Frédéric Lordon, il relance le vieux débat entre idéalisme et matérialisme dialectique, en reléguant Bourdieu clairement dans le premier camp (Bourdieu étant pour lui réduit à sa composante wébérienne), là où Marx permettrait de penser une praxis des classes populaires, beaucoup plus fondamentale et efficiente, par delà le jeu des catégorisations. Il s'agit là d'un procès ancien fait à Bourdieu qui néglige le fait que celui-ci entendait synthétiser à la fois Weber-Durkheim et Marx dans un structuralisme à la fois linguistique et pratique, pour intégrer en quelque sorte toutes les interactions ou inter-implications pourrait-on dire entre la structure et la superstructure. Bourdieu prétendait laisser toujours une place à la praxis, contrairement à ce que laisse entendre Loïc Chaigneau.

On peut penser qu'il le faisait insuffisamment parce qu'il laissait une place excessive au constructivisme néo-kantien qui réduit la réalité sociale à des représentations. C'est ce que j'ai développé il y a plus de dix ans maintenant dans mon article sur Bourdieu et Chomsky ici. Loïc Chaigneau combat cette dérive qu'il qualifie de "contre-révolutionnaire" au nom d'une philosophie de l'histoire (que l'on peut qualifier d'eschatologique) qui restitue à la praxis sociale son autonomie indépendamment du langage. La révolution devrait être pensée à partir de cette praxis seule, et à partir des contradictions systémiques qu'elle révèle. Je ne sais pas trop ce que cela peut signifier concrètement. Ce que je sais c'est que cette analyse du sens de l'histoire ne peut pas reposer sur un matérialisme dialectique, puisque la matière par elle-même ne pense pas. Sauf à la considérer sous l'angle du travail et la praxis le partenariat entre Dieu et l'âme humaine (l'idée promue par le Nouveau Testament que Jésus partage le joug avec ses disciples), dans la définition concrète au niveau du travail d'un horizon social nouveau. C'est peut-être ce que Loïc Chaigneau désigne quand il fait référence dans une autre de ses vidéos au fait que le Royaume de Dieu est à la fois à venir et toujours déjà. Mais cela pose un problème premièrement à l'égard du marxisme : car si c'est de la présence de Dieu qu'il s'agit, il n'est plus question ici d'une matière qui se donne à elle-même ses propres loi, et pourquoi devrait-on étudier les lois qui régissent les facteurs de production, si l'issue historique peut dépendre du lien privilégié de l'âme à Dieu, ou au diable d'ailleurs (comme on le voit souvent avec l'émergence des leaders providentiels ou démoniaques dans l'histoire des peuples) ? Le deuxième problème est à l'égard du christianisme : concevoir le Royaume de Dieu comme simplement un horizon d'émancipation sociale, c'est, comme Joaquim de Flore, intercaler un possible millénarisme avant la fin définitive des temps (ce que je retrouve aussi dans les prophéties catholiques sur le Grand Monarque). Mais intercaler des millénarismes, des sortes d'Age d'Or de Saturne, qui retardent la fin dernière, c'est possiblement désarmer les croyants qui sont censés veiller spirituellement, et au contraire les endormir sous un règne antéchristique (car George Soros et Bill Gates peuvent très facilement vous pondre un Grand Monarque ou une République communiste égalitaire dont ils tireront les fils en vous disant : voici le Royaume de Dieu sur Terre). Et c'est aussi ré-introduire la possibilité d'un temps cyclique chère au paganisme et à l'hindouïsme (et à sa synthèse New Age), dans lequel les apocalypses ne seraient que des événements périodiques sans que la regénérescence complète du monde matériel et spirituel ne soit vraiment envisageable.

Si, comme le laisse entendre Loïc Chaigneau la révolution n'est pas seulement affaire de déterminations (ou de volonté divine) mais aussi de volonté humaine (de participation de nos âmes), ce qui est effectivement conforme à l'image du partage du joug dans l'Evangile que je citais plus haut, alors on peut penser aussi que l'Apocalypse finale ne peut être le fruit que d'une volonté conjointe de Dieu, des incroyants et des croyants. La somme des trois étant ce qui aboutit à la révélation de l'Antéchrist et au retour de Jésus. Mais si le Royaume est pensé en des termes économicistes marxistes sous la catégorie de la fin de l'exploitation (ou de la fin du néo-fascisme capitaliste actuel), je crois qu'on ne fera que retarder cette Apocalypse, et donc retarder la venue de ce que doit être réellement le Royaume de Dieu, un Royaume dont l'économie n'est qu'une  partie et non pas le centre.

NB : actualisation 2023 : Une vidéo de fin 2022 fait remarquer que Loïc Chaigneau naguère se présentait comme un coach en PNL et développement personnelle, on voit bien les risques de se dire "hérétique" sur le plan spirituel, en toute bonne conscience

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Piraterie internationale : libération de la numéro deux de Huawei

29 Septembre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Colonialisme-impérialisme, #Les Stazinis, #Peuples d'Europe et UE, #Le monde autour de nous

Dans le cadre d'un échange de prisonniers le Canada Meng Wanzhou, numéro deux (et fille du numéro un) du géant chinois des télécoms Huawei qui avait été placée en résidence surveillée par le gouvernement d'Ottawa dans l'attente de son extradition a été libérée. Le placement en résidence surveillée de l'intéressée procédait d'une application de la loi américaine aberrante au regard du droit international qui permet aux autorités judiciaires fédérales de poursuivre n'importe quelle société étrangère (principe d'extra-territorialité) faisant du commerce avec l'Iran. Les Chinois ont analysé à juste titre cette affaire comme une volonté de fausser la concurrence et d'exercer des pressions politiques sur Huawei. Pour eux la libération de leur ressortissante est une victoire diplomatique car elle avait mis un point d'honneur pour sa dignité et celle de son pays à refuser de plaider coupable (alors que le système américain  persuade en général la plupart des accusés y compris innocents à plaider coupable pour obtenir des réductions de peine).

La presse française souligne que l'arrestation avait eu lieu il y a trois ans sous pression de Trump, mais c'est une fois de plus une façon de dédouaner facilement l'establishment américain dans son ensemble, alors qu'on a vu de quoi il était capable à l'occasion de l'affaire des sous-marins australiens.

L'affaire Meng Wanzhou rappelle l'arrestation en 2013 à New York du cadre d'Alstom Frederic Pierucci qui avait permis aux Etats-Unis de mettre la main sur notre fleuron industriel national. La presse chinoise rappelle que 29 sociétés européennes ont dû payer à la justice américaine des amendes de plus de 100 millions de dollars du fait de l'extension extraterritoriale (impérialiste) de la portée du Foreign Corrupt Practice Act. La piraterie judiciaire de Washington n'épargne personne.

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La matière noire des clips et le graphène

26 Septembre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Le monde autour de nous, #coronavirus-vaccination-big pharma

Beaucoup de spéculations ont été développées sur la matière visqueuse noire qu'on voit sortir des visages et des corps des gens dans beaucoup de clips, par exemple dans la chanson de la sataniste Billie Eilish "When the party's over".

 

Ou Lady Gaga ici :

Ou le film Venom (2018) :

Certains ont rapproché cela de l'espèce de suie noire qui sort des sarcophages égyptiens. Mais d'autres explorent une autre piste (pas forcément exclusive d'ailleurs de la référence ésotérique à l'Egypte) : ces clips n'annonceraient-ils pas le graphène noir qui pourrait bien se trouver dans les vaccins, dont la formule chimique est symbolisées par des hexagones popularisés notamment par le programme Cyberpolygon du Forum économique mondiale. L'oxyde de graphène ou ferrofluide que l'on peut activer à distance avec un aimant a en effet des caractéristiques qui évoquent beaucoup cette suie.

Ce weekend, la nouvelle couverture du supplément dominical du Guardian accroît le soupçon. On y voit la jeune Greta Thunberg, icône de l'écologie - dont la dictature va de pair avec la dictature sanitaire, d'autant que Thunberg a été recrutée comme experte coronavirus par la chaine CNN au printemps 2020, souvenez-vous.... - couverte d'une sorte de glue sombre... Enfin... couverte à moitié... car la photo bien sûr s'arrange pour qu'un oeil reste ouvert, comme c'était déjà arrivé dans des photos antérieures, référence à l'oeil d'Horus des occultistes.

Bon, on nous dit qu'elle est recouverte de "pétrole". Mais nous ne sommes pas censés les croire. La matrice nous montre depuis des années cette matière noire, et les "marées noires" d'hydrocarbures figurent, elles, 10 000 fois moins dans les représentations collectives (dans la Matrice) que cette glue mystérieuse omniprésente dans le clips. De sérieux arguments plaident pour qu'en ces temps de grande tromperie (voyez l'analyse que j'avais faite du clip "deceiver"/trompeur de la DJ favorite d'Emmanuel Macron en septembre 2018, issue d'un pays qui vient d'introduire la biométrie sans contact dans le programme national de vaccination ) cette photo ne représente pas ce qu'elle prétend être et, seulement, vienne faire système avec un autre dispositif de représentation destiné à "engluer" notre inconscient dans la matière noire manipulable à distance, comme les vaccins sont en train d'engluer nos corps.

 

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