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Les préférences culturelles des "stars" de nos écrans
Quand les "stars" de nos écrans, moyennes ou grandes, affichent leurs préférences culturelles, leurs goût artistiques, leur âme révèle l'influence spirituelle sous laquelle elle se place.
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J'ai par exemple montré en mai que lorsque le sociologue "anti-complotiste" Gérald Bronner parle chez la journaliste Claire Chazal, il ne peut pas s'empêcher de le faire devant un tableau qui représente un démon.
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La même Claire Chazal quand elle interviewe le chanteur adepte de l'oeil d'Horus Etienne Daho à son émission culturelle Passage des Arts le 9 décembre 2020 sur France 5 ne peut pas s'empêcher de montrer un saurien couronné : on a déjà parlé de cette image de l'animal à sang froid couronné omniprésente chez les artistes occultistes depuis le début de la "pandémie" de la "couronne" et dans les films de programmation prédictive (cf à propos de M. Cyrus ici, ou de Tom Hanks ici, ce qu'Enterthestars dans une vidéo du 5 septembre appelle la "matrice du serpent de soufre coronavirus", parce que la forme de cette couronne évoque celle de la molécule du soufre, attribut du diable, ce que met en scène le film "I am a legend" qui parle d'une ville ravagée par un virus).
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A un niveau de célébrité inférieure quand la YouTubeuse Tatiana Ventose ex associée de Mélenchon décide de raconter sa vie, elle met en avant Harry Potter (la série à la gloire de la sorcellerie). Et l'animateur d'Interdit d'interdire sur la chaîne russe francophone Russia Today (RT), Frédéric Taddei qui a au moins une fois invité Tatiana Ventose sur son plateau, n'a pas de complexe à interviewer une artiste vénézuélienne qui pendant cinq minutes va balancer un discours complètement marqué par la sorcellerie. Après avoir fait l'éloge d'une artiste travestie appelée "La Bruja de Texcoco" ("la sorcière de Texcoco"), l'artiste enchaîne : "Il y a beaucoup de mouvements autour de la femme ces derniers temps, autour de ses droits, la sexualité. La normalité a été repensée. On essaie de rééduquer les gens, il ya une infinité de possibilités entre la binarité homme/femme. On entre définitivement dans une nouvelle ère" (3ème minute - voir ce que je disais sur l'agenda antéchristique androgyne et son contenu occultiste ici). Un peu plus loin (27ème minute) l'artiste explique : "Quand on meurt et qu'on se transforme, on revient avec un niveau d'énergie beaucoup plus haut... On est puissantes, on est toutes des sorcières, il suffit de se reconnecter à cette nature instinctive, à cette femme-loup qu'on a à l'intérieur de nous". Eloge du chamanisme et de la sorcellerie, parfaitement assumé d'un bout à l'autre, qui ne fait à aucun moment tiquer le journaliste, bien au contraire... Merci RT pour ce grand moment de propagande pour les forces des Ténèbres...
Quand on pense que des militants anti-guerre comme Jean Bricmont ou Michel Collon doivent une grande part de leur succès médiatique à un journaliste comme Taddei qui affiche ici clairement ses influences spirituelles, ça fait quand même froid dans le dos. Une incitation supplémentaire à rester à l'écart de nos écrans.
Quand l'inventeur du test PCR dénonçait la mafia de Fauci, et quand Reuters le censurait
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Il y a des fakes grossiers sur Internet en ce moment comme celui selon lequel la ministre belge de la santé interdit les relations sexuelles pour les fêtes. Mais il est aussi de vraies informations que les grands médias vendus et corrompus tentent en vain de censurer. Par exemple celle-ci : que l'inventeur des tests d'amplification en chaîne par polymérase dits PCR, le prix nobel de chimie 1993 Kary Mullis avait de son vivant fait savoir que le test PCR ne permettait pas de détecter une infection virale. Rappelons que celui-ci est décédé (officiellement de pneumonie, le 7 août 2019 à 74 ans - sa fiche Wikipédia met sur son dos diverses addictions) juste avant l'Evénement 201 au cours duquel B. Gates et sa clique ont réfléchi sur une simulation de la pandémie avant même qu'elle ne se réalise. Dès le mois de juillet dernier, certains ont fait savoir que Mullis avait dénoncé le mésusage de son invention. La célèbre agence Reuters est monté au front pour affirmer que la citation qu'on lui prêtait était extraite de son contexte et que c'était une "fake news", et notamment en Australie, un des pays les plus totalitaires en matière de lutte anti-Covid, un "philosophe" de pacotille avait relayé sur Abc.net.au ce démenti bidon de Reuters.
Aujourd'hui on peut facilement trouver la vidéo (cf ci dessous) où Mullis dit clairement que le docteur Fauci, le "grand ponte" lié à la mafia des Clinton et à Bill Gates, qui fait la pluie et le beau temps en matière de mesures sanitaires aux Etats-Unis depuis dix mois, est un menteur, un homme qui ne connaît rien à la science, qui détourne complètement la finalité de l'utilisation des tests PCR et qui poursuit son propre agenda. Va-t-on nous démontrer que cette vidéo est un fake ?
A propos de censure, j'en profite pour signaler l'internement d'office), après un passage par la maison d'arrêt de Nîmes sous mandat d'amener, en hôpital psychiatrique du professeur Jean-Bernard Fourtillan à Uzès dans le Gard qui a été accusé par le passé d'avoir conçu et testé des patchs sur des patients atteints de la maladie de Parkinson ou d'Alzheimer, sans autorisation préalable de l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM), puis d'avoir dénoncé la présence d'aluminium dans les vaccins. Cette hospitalisation fait suite à sa participation au documentaire controversé sur le Covid 19 "Hold up", mis en ligne le 11 novembre sur la toile (il y expliquait que SRAS-COV-1 breveté en 2003 avait été créé à l'Institut Pasteur en reprenant l'antérieur SRAS-COV-V en y insérant une séquence ADN de la malaria et 157 segments d'ADN et de protéines, puis en 2011 ils ont déposé un brevet "améliorant" encore le virus, tandis qu'en 2015 était déposé le test pour le Covid 19, ce qu'on avait déjà signalé en octobre dernier ici). Mais il ne faut peut-être pas d'emballer trop sur cette affaire du Pr Fourtillan dont le mandat d'amener est antérieur à l'affaire du documentaire "Hold up". La dimension psychiatrique de l'affaire est troublante, c'est tout ce qu'on peut dire à ce stade. A suivre...
#KerryMullis Nobel Prize Winning inventor of the PCR test who said it can NOT be used to detect a virus, says #Fauci knows NOTHING. Not about Microscopy, Medicine, & worse than that, #FAUCI IS A Willful LIAR that changes rules, he Mysteriously "died" just before #Event201 pic.twitter.com/24o5GIBTwV
— Alpha OmegaEnergy "The Energy Kraken" (@AOECOIN) December 10, 2020
Elections au Soviet Suprême de Transnistrie : le monopole de Sheriff
Mauvaise nouvelle pour la démocratie en Transnistrie : selon le quotidien russe Kommersant, les élections législatives du 29 novembre ont conduit à l'élection de 33 députés liés au trust financier "Shériff" sur 33... 29 sont membres du parti "Renouveau" créé par Shériff, et 4 sont des chefs d'entreprise liés à cette holding. Il n'y a même plus l'illusion d'une opposition fictive... "Le président de la République Vadim Krasnoselsky, qui a remporté les élections en 2016, ajoute le journal, est également arrivé au pouvoir avec le soutien financier, médiatique et politique du shérif, la holding contrôle désormais toutes les branches du gouvernement: les tribunaux de Transnistrie ne prennent pratiquement pas de décisions qui ne sont pas coordonnées avec cette structure d'entreprise ..."
Selon Anatoly Dirun, directeur du "Sciences Po" local qui a essayé de se présenter comme candidat indépendant à Tiraspol, les candidats sans-parti ont été délibérément empêchés de se présenter. D'où un taux de participation faible (27,7 %), même si le Covid a aussi conduit les gens à rester chez eux. Pour beaucoup d'observateurs ce déclin du pluralisme en Transnistrie risque d'affaiblir le pays face aux attaques prévisibles de la nouvelle présidente européiste de Moldavie Maia Sandu.
Kovid à "Projet haute couture"
Vous trouvez normal, vous, qu'à l'émission de TV réalité Projet Haute Couture (en anglais "Project Runway") du 4 avril 2019, soit plus de huit mois avant le début de la pandémie, une mannequin nommée "Kovid" ait été désignée pour porter un masque très "design" ? (voyez ci-dessous) Coïncidence ? "Programmation prédictive" avec l'aide d'un médium ? Clin d'oeil entre gens du business du divertissement qui "savaient" ce qui se passerait un an plus tard et misent sur la naïveté des foules pour qu'elles ne remarquent rien ? Le clin d'oeil ironique est d'un usage très répandu dans ces milieux pervers payés pour jeter de la poudre aux yeux du public.
Destructions des biens des Palestiniens et blocus
Un communiqué de l'Association belgo-palestinienne du début de ce mois, rappelle que dans les territoires occupés palestiniens "depuis le début de l’année, 689 démolitions de structures civiles palestiniennes ont été recensées par le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA), laissant 869 personnes sans toit. “Les démolitions sont un moyen essentiel pour créer un environnement conçu pour contraindre les Palestiniens à quitter leurs maisons”, rappelle Yvonne Helle, Coordinatrice humanitaire de l’organisation, dans un communiqué. La justification invariablement invoquée? L’absence de permis de construire, motif particulièrement cynique quand on sait qu’ils sont presque toujours refusés aux Palestiniens.
Dernière manifestation en date de cette impitoyable méthode : le raid du 3 novembre sur le village bédouin de Humsa al-Fuqa, dans la vallée du Jourdain. L’armée israélienne s’est attelée à la destruction systématique de ses logements, infrastructures sanitaires, réserves d’eau et espaces d’élevage, ne laissant derrière elle que des ruines et sommant ses 74 habitants (dont 41 enfants) de quitter les lieux. Il s’agit de la plus grande opération de déplacement forcé depuis une décennie. Pour mémoire, les destructions de propriétés et les transferts forcés de population en territoire occupé violent gravement la quatrième convention de Genève et sont constitutifs de crimes de guerre."
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Aujourd'hui Europalestine à Paris alerte sur les effets de l'épidémie de coronavirus à Gaza où la capacité du système de santé "s’est détériorée après plus d’une décennie de blocus israélien et d’assauts militaires successifs. Il avait déjà été submergé par le flot de blessures catastrophiques nécessitant un traitement continu en raison de l’utilisation par Israël de tirs réels pour mutiler et tuer des manifestants dans les deux années qui ont précédé la pandémie".
Un rapport de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement publié mercredi révèle que le blocus israélien de la bande de Gaza a coûté à ce territoire composé à 75 % de réfugiés jusqu'à 16,7 milliards de dollars de pertes économiques en onze ans et a fait exploser la pauvreté et le chômage. Rapporté à la population cela fait environ 8 500 dollars, soit 850 dollars par an. Gaza a un PNB/habitant d'environ 1 500 dollars par an. Autant dire qu'Israël leur a volé tous les ans un tiers des ressources qu'ils pourraient avoir (sans compter l'effet dynamisant pour l'économie qu'aurait la construction d'un Etat palestinien "normal" (le PNB par habitant de pays comme l'Egypte ou la Jordanie dépasse régulièrement les 3 000 dollars en temps normal).
Aya Nakamura, la chanteuse à succès soupçonnée d'être dans certains pactes...
L'Orient le jour, journal francophone libanais aujourd'hui présente la rappeuse Aya Nakamura (une Malienne d'Aulnay-sous-Bois) comme "la Pop Queen française de tous les records". Quatre jours après sa sortie, AYA, son 3e opus, a été téléchargé plus de 12 millions de fois sur la plate-forme Spotify, devenant ainsi le troisième album le plus écouté au monde... devant celui du groupe AC/DC. Succès international d'une chanteuse cooptée par l'élite...
On entrevoit facilement pourquoi...
Dans Orphelin, elle chante "Le Sheitan (Satan) m'a coincée. Je ne sais plus comment faire, ouais. Le Sheitan m'a bloqué. Dans une sale affaire, ouais. Je savais ce que je faisais. J'ai continué quand-même". Coïncée par Satan, bloquée, dans une "affaire" (un pacte ?), elle savait ce qu'elle faisait, elle continuait. Sous-entendu assez explicite à rapprocher des pactes avoués par Johnny Hallyday, Freddie Mercury, Beyonce etc.
Certains ont aussi trouvé étrange sa référence aux marabouts dans "Soirée parisienne".
Le 11 novembre 2019 (11/11) l'occultiste Madonna a publié des images de ses choristes et danseurs dansant sur son hit "Djadja", et Rihanna l'a aussi "validé" (sic).
Cette chanson a d'ailleurs été reprise par le chanteur colombien Maluma, star en Amérique latine et aux États-Unis, qui a travaillé avec Madonna et Shakira. Maluma est connu pour multiplier les références à l'occultisme. L'illuminati Angele a aussi repris sa chanson La Dot.
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Aya Nakamura a été invitée au festival Coachella où les mises en scènes occultistes prolifèrent.
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Elle s'est associée au rappeur Oboy, adepte des cornutos et des parodies de crucifixion, dans le clip "Je m'en tape" en juin 2019.
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A la 33eme (chiffre très connoté) édition du Telethon au Parc de La Villette elle portait un T-Shirt "Global Citizen" le 6 décembre dernier (cf ici). Vous avez oublié de quoi il s'agit ? C'est une organisation créée fin 2016 par les grandes corporations qui contrôlent cette planète en réaction au Brexit et à l'élection de Trump. En 2017 UK Column en a rappelé l'historique, et on vous en parlé ici parce qu'ils ont organisé le show mondial pour l'unité planétaire Together at home pendant le confinement il y a sept mois. Dans un clip de 2018 ("Drogué") elle vous montrait son amour pour les masques (ici). Elle a eu le même producteur que "Black M", dont on vous a parlé au moment de la mort de Kobe Bryant - qui se disait possédé par le serpent "black Mamba", pilier du groupe Sexion d'Assaut, d'inspiration maçonnique, et habitué lui aussi de la mise en scène de l'oeil d'Horus. On est toujours un peu dans le même univers (voyez aussi notre billet sur les stars africaines ici)...
La nouvelle "Task Force" sur le Covid 19 de Joe Biden est liée à la fondation Bill et Melinda Gates et à la Fondation Rockefeller
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Lundi, le soi-disant nouveau président américain Joe Biden a annoncé la création d'un comité consultatif de transition COVID-19 et d'un groupe de travail ("task force") sur le coronavirus qui ririgeront la lutte contre le COVID-19 à partir 20 janvier 2021, s'il devait être finalement ontronisé comme 46e président de la États Unis. Le leader démocrate a déjà annoncé que le Conseil consultatif de transition aiderait son équipe de transition présidentielle à mettre en place des tests rapides et un «noyau de traceurs de contact pour suivre et lutter contre cette maladie».
Biden, contrairement à Donald Trump qui encourageait plutôt les gens à ne pas avoir peur, a également lancé un appel aux Américains pour qu'ils commencent à porter des masques «pour les prochains mois» jusqu'à ce qu'un vaccin soit disponible. Il avance aussi sous la forme d'un slogan qu'il y aura un «hiver sombre», pour les Américains.
Le groupe de travail (task force) sur les coronavirus sera présidé par l'ancien chirurgien général Vivek Murthy, l'ancien commissaire de la Food and Drug Administration David Kessler et le Dr Marcella Nunez-Smith de l'Université de Yale. Les trois chaires superviseraient dix autres professionnels de la santé et experts dans leur domaine.
Le site The Last American Vagabond montre que chaque membre de ce groupe de travail est lié à la Foncation Bill et Melinda Gates ou à la Fondation Rockefeller :
- La Dre Julie Morita est la vice-présidente exécutive de la Fondation Robert Wood Johnson, membre de l'équipe dirigeante du département de la santé publique de Chicago pendant près de 20 ans. Elle a participé à des événements avec la Fondation Gates .
- La Dre Celine Gounder, une habituée des plateaux TV, est professeure adjointe clinique à la NYU Grossman School of Medicine. Alors qu'elle faisait partie du corps professoral de Johns Hopkins, elle était directrice de la prestation au Consortium financé par la Fondation Gates sur des programmes sida / tuberculose.
- Mme Loyce Pace est directrice exécutive et présidente du Global Health Council. Elle a précédemment occupé des postes de direction à l'American Cancer Society. GHC est soutenu par la Fondation Gates et décerne le prix Gates, nommé d'après Bill Gates. Pas plus tard qu'en septembre 2020, la Fondation Gates a fait don de 25 000 $ au GHC.
- Le Dr Eric Goosby est un expert en maladies infectieuses et professeur de médecine à la faculté de médecine de l'Université de Californie à San Francisco. Sous l'administration Clinton, Goosby était le directeur fondateur du plus grand programme de lutte contre le VIH / sida financé par le gouvernement fédéral. Goosby faisait également partie d'une commission de 25 membres convoquée par la Fondation Rockefeller et l'Université de Boston qui se concentrait sur « comment les décideurs mondiaux peuvent mieux utiliser les données en plein essor sur le large éventail de facteurs influençant la santé des gens.»
En 2012, il a participé à un panel avec Bill Gates dans le cadre de la Conférence internationale sur le sida.
- Michael Osterholm est directeur du Center for Infectious Disease Research and Policy à l'Université du Minnesota, et ancien envoyé scientifique pour la sécurité sanitaire du département d'État. Il a é participé à la création du plan d’action pour les tests COVID-19 de la Fondation Rockefeller , avec le Dr Zeke Emanuel qu'on mentionnera plus loin.
Dans un éditorial du New York Times , Osterholm a décrit le plan Rockefeller sur les tets en ces termes :
"e rapport Rockefeller appelle les États à embaucher au moins 100 000 personnes pour effectuer le travail de test et de recherche des contacts. Cela aussi, très probablement, nécessite un financement fédéral "
- Le Dr Atul Gawande, professeur de chirurgie au Brigham and Women's Hospital et à la Harvard Medical School a servi comme conseiller principal au ministère de la Santé et des Services sociaux de l'administration Clinton. Il affiche une étroite amitié avec Bill Gates, comme en témoigne une interview sur CNBC où les deux hommes ont été interrogés sur leur participation à un panel au Forum économique mondial de Davos . Le WEF est derrière la poussée pour une grande réinitialisation . Gawande a également animé un événement aux Nations Unies avec Bill Gates et la chancelière allemande Angela Merkel.
- Le Dr Luciana Borio a occupé des postes de haute direction à la FDA, notamment comme scientifique en chef par intérim. Certains rapports ont affirmé qu'elle avait «prédit» une pandémie et que le gouvernement américain n'était pas préparé. Douée pur la programmation prédictive, en 2018, Borio avaot déclaré lors d' un symposium que «la menace d'une pandémie de grippe est notre principale préoccupation en matière de sécurité sanitaire».
Borio est également vice-président du personnel technique chez In-Q-Tel, la société de capital-risque de la CIA, et était auparavant un spécialiste de la biodéfense au Conseil de sécurité nationale. Le NSC est bien connu comme un refuge pour les agents du renseignement et le porte-parole du gouvernement qui conseillent le président. Le NSC a également participé à la création de la «matrice de décision» présidentielle, également connue sous le nom de « Presidential Kill List» .
En août, Borio a rejoint le groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (célèbre embryon de gouvernement mondial subventionné par Rockefeller depuis un siècle). Borio a été répertorié comme «partie prenante ayant participé aux consultations de R&D» dans le cadre de The Neglected Dimension of Global Security: A Framework to Counter Infectious Disease Crises , un «rapport d'étude de consensus» de 2016 financé par la Fondation Rockefeller, Bill et Melinda Gates Foundation et le Wellcome Trust (un bébé des Rotshchild dont on a déjà parlé dans cet article), entre autres. Chacune de ces organisations a été largement impliquée dans la lutte contre le COVID-19 .
Borio a participé à un autre livre examinant les menaces pour la santé mondiale qui a également été financé par la Fondation Rockefeller et la Fondation Gates. .
- Le Dr David Kessler, le Dr Robert Rodriguez et le Dr Eric Goosby ont tous des liens avec l'Université de Californie à San Francisco impliquée dans la préparation des applications de traçage des contacts et en partenariat avec la Fondation Gates.
- Le Dr Ezekiel Emanuel est oncologue et président du Département d'éthique médicale et de politique de la santé de l'Université de Pennsylvanie. Il est également président du Département de bioéthique du Centre clinique des National Institutes of Health. Ce personnage a longtemps fait l'objet de controverses car les républicains ont cherché à le mettre en relation avec la promotion des soi-disant «panneaux de la mort», des conseils médicaux qui rationnent les soins de santé et, dans certains cas, décident qui reçoit les soins vitaux. certes il s'est opposé à l'euthanasie mais il a aussi écrit un essai intitulé «Pourquoi j'espère mourir quand j'ai 75 ans» dans lequel il explique que la vie après 75 ans ne vaut pas la peine d'être vécue et que les soins de santé américains ne devraient pas donner la priorité au traitement des personnes de plus de 75 ans. «Une fois que j'aurai atteint 75 ans, mon approche de mes soins de santé changera complètement. Je ne mettrai pas fin activement à ma vie. Mais je n'essaierai pas non plus de le prolonger », a écrit Emanuel .
Ce professeur siège également au Conseil consultatif des soins de santé du Peterseon Center aux côtés de Bill Gates. Gates a surnommé Emanuel le «parrain d'Obamacare» et a recommandé son livre comme lecture d'été . Les deux hommes semblent avoir une relation de travail qui remonte à au moins une décennie. Ils sont même apparus ensemble sur MSNBC . Emanuel a également travaillé avec les Gates, fondé et financé GAVI Global Vaccine Alliance.
En avril, Emanuel a déclaré à MSNBC que le COVID-19 durerait au moins 18 mois et que le public américain «ne serait pas en mesure de revenir à la normale avant un vaccin ou des médicaments efficaces». Il a reconnu que l'économie américaine serait durement touchée et que les gens auraient du mal à trouver du travail, mais a affirmé que "nous n'avons pas le choix" parce que sans éloignement social et masques "les morts pourraient monter en flèche dans des centaines de milliers, voire un million." De plus, dans un éditorial du NY Times, il s'est indigné du fait que le port du masque ne soit pas obligatoire.
Son frère Rahm Emanuel ancien maire de Chicago s'était signalé des le mandat d'Obama par des déclarations "prophétiques" sur les futures pandémies.
The Last American Vagabond note la présence dans la structure d'un autre oiseau de mauvais augure, le Dr Rick Bright qui a récemment été célébré dans la presse pour avoir critiqué la gestion du COVID-19 par Trump. Il est le père du thème de "l'hiver sombre" qui attend les Etats-Unis
Il relève en outre la présence dans cette équipe d'experts de la lutte contre le terrorisme, d'un boursier du Council on Foreign Relations, d'un dirigeant du fonds américain de capital-investissement In-Q-Tel. Il estime que tous ces éléments ajoutés aux liens avec la Fondation Gates et la Fondation Rockefeller laissent entrevoir l'emprise croissante du Big Pharma sur la future administration démocrate, emprise qui sous Trump s'était déjà illustrée avec le lancement de l’opération Warp Speed.
Au cas où vous ne l'auriez pas encore compris : les masques et le flicage c'est pour toujours
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L'ancien ministre d'une dictature éthiopienne qui a eu beaucoup de sang sur les mains, aujourd'hui directeur de l'Organisation mondiale de la santé Tedros Adhanom Ghebreyesus déclare sur Twitter le 16 novembre :
«Depuis le début de la pandémie # COVID19, nous savions qu'un vaccin serait essentiel pour maîtriser la pandémie. Mais il est important de souligner qu'un vaccin complétera les autres outils dont nous disposons, pas ne les remplacera pas »
Il ajoute que les quarantaines, la surveillance, le traçage des contacts et autres mesures seraient poursuivies même après la généralisation du vaccin (ce dangereux vaccin dont certains pays envisagent l'administration de force par l'armée).
Si vous voulez savoir pourquoi c'est ainsi, lisez nos autres billets dans notre rubrique sur le Covid. Arrêtez en tout cas de croire les médias qui vous disent que ce n'est que l'affaire de quelques mois encore. Ils sont en guerre. En guerre non pas contre le virus, mais contre nous.
Since the beginning of the #COVID19 pandemic, we knew that a vaccine would be essential for bringing the pandemic under control. But it’s important to emphasise that a vaccine will complement the other tools we have, not replace them. #EB147 #ACTogether
— Tedros Adhanom Ghebreyesus (@DrTedros) November 16, 2020