Espionnage et totalitarisme au menu des prochains mois ?
En février dernier, je vous ai parlé d'un grand diplomate français assez suspect lié à l'International Crisis Group de la galaxie Soros et vendu à une société d'espionnage para-étatique israélienne NSO Group.
NSO, vous avais-je expliqué, fait partie du volet "sécurité" au service de la transclasse internationale. Il est sous investigation du FBI pour avoir piraté (selon les accusations de Facebook) les comptes WhatsApp de 1 400 journalistes, professeurs etc. Ils avaient entre autres ciblé l'entourage de Khashoggi avant son assassinat. Richard Attias et associés (basé au Delawaere et aux Iles vierges).
Hé bien NSO fait son grand retour à la faveur de la crise sanitaire du coronavirus !
Il y a deux jours la chaîne américaine NBC expliquait que NSO a développé un nouveau programme appelé «Fleming» qui utilise un téléphone portable et des données de santé publique pour identifier où se trouvent les personnes infectées par le coronavirus et avec qui elles entrent en contact. La chaîneisraélienne I24 avait devancé NBC pour interviewer le fondateur officiel de NSO le 23 avril, lequel expliquait « Nous voulons fournir aux gouvernements la possibilité de tracer les contacts et de comprendre comment l’infection se propage. Quelles personnes ont pu être infectées durant les 15 derniers jours, afin d’alerter et de leur proposer des tests de dépistage, ou de les mettre en quarantaine. C’est au niveau tactique. » Le journal suisse Le Temps, lui, estime qu'il s'agit d'une "simple adaptation d’un programme déjà vendu aux régimes autoritaires dans le but de traquer les opposants, défenseurs des droits de l’homme et journalistes, et qui aurait déjà fait ses preuves contre… Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon et propriétaire du Washington Post.L’utilisation de Fleming, d’après ceux qui l’ont vu en application, est frappante de simplicité".
"Sans faire référence explicitement à la firme NSO Group, ajoutait ce journal, le ministre israélien de la Défense, Naftali Bennett (qui avait défendu devant la Knesset l'utilisation de leur logiciel), a confirmé que ce système attribuait à chaque individu une note allant de 1 à 10, et qu’il permettait ainsi de connaître sa «dangerosité». Un contact étroit avec un porteur du virus revient à se voir donner une note de 8 ou de 9. Partager un même espace général revient à récolter un 3."
Le principe d'attribuer des notes aux citoyens comme à l'école est répandu en Chine depuis quelques années. Les mal notés sont littéralement mis au ban de la société. A l'occasion de l'épidémie de Covid-19, Pékin a rendu le traçage des téléphone portable obligatoire, un modèle totalitaire que NSO compte exporter vers les "démocraties" occidentales.
On voit aussi se mettre en place la continuité entre le flicage issu de la soi-disant lutte contre le terrorisme post-11 septembre et celui qui s'instaure avec la pandémie : lorsque NSO a proposé son système au gouvernement israélien fin mars, ses adversaires dans pays ont noté que "dans le passé, ce type d'effort de surveillance puissant a été utilisé uniquement dans la lutte contre le terrorisme, pas dans le cas des citoyens israéliens qui n'ont pas été accusés d'un crime." (TOI 31 mars 2020). Finie la vie privée. Big Brother veut tout savoir.
De Stockholm à Hanoï : un tableau bien peu réjouissant
"Frihet under ansvar","la liberté sous la responsabilité". Quand on a un bon système de santé en Suède, sans pénurie de lits d'hôpitaux, avec des gens qui intériorisent beaucoup les ordres venus d'en haut, on peut se permettre d'ériger un Anders Tegnell en gourou (dans l'ordre de l'expertolâtrie) contre le gourou Bill Gates (dans l'ordre de la folie pseudo-messianique). Pas sûr que le résultat en termes d'hygiène mentale soit très bon : un groupe de plusieurs milliers de femmes qui se vantent de rêver la nuit de Tegnell s'est créé sur Facebook, et les relents de narcissisme national de très bas étage autour de ce culte de Tegnell n'ont pas manqué de frapper de nombreux observateurs.
Certains gouverneurs des Etats-Unis, Bolsonaro au Brésil, Loukachenko en Biélorussie dans un style plus rustique tentent la même opération - miser sur l'immunité collective -, mais avec moins de rigueur morale luthérienne, et avec un risque d'échec assez important au bout du compte. Boris Johnson, pour sa part, y a renoncé.
A l'autre extrémité du spectre, dans le pays qui idolâtre Bill Gates, et qui fut aussi autoritaire que la Chine en matière de confinement, le Vietnam, on savoure une apparente jugulation totale de l'épidémie et on présente un robot stérilisant de fabrication locale. La distanciation sociale y est devenue une religion comme elle risque de l'être aussi durablement sous nos latitudes dans les années à venir.
Bienvenus dans "1984"...
Et n'oublions pas l'Afrique... Un prêtre béninois m'écrit : " J'échangeais avec certains prêtres hier ce n'est pas le virus qui va nous tuer mais la famine : plus de messes ni de quête et les prix des denrées alimentaires ont flambé".
Danny Boyle l'ami des épidémies
Le 3 août 2012, le Dailymail s'exclamait devant la cérémonie d'ouverture des jeux olympiques de Londres orchestrée par le réalisateur anglais Danny Boyle : "Le reste du monde était peut-être perplexe, mais ce sont 20 minutes qui ont permis à la Grande-Bretagne de se sentir mieux dans sa peau. Les médecins dansants, les infirmières dans leurs uniformes à l'ancienne, les enfants mignons qui rebondissent sur 300 lits lumineux qui forment ces trois lettres sacrées: NHS.
Quoi d'autre aurait pu symboliser la Grande-Bretagne dans ce qu'elle a de meilleur que l'hommage de Danny Boyle au Service de santé national lors de sa cérémonie d'ouverture olympique à vous couper le souffle?
Au milieu des moulins sataniques sombres et des punks pogo, c'était un moment spécial pour remercier et louer quelque chose de britannique que le monde nous envie."
"La Grande-Bretagne dans ce qu'elle a de meilleur ?" voire... car il y avait sur scène beaucoup de représentations de démons et de pyramides, avec des infirmières qui mettent leur doigt sur la bouche en signe de silence comme tant de stars occultistes. Plutôt un spectacle Illuminati dans toute sa platitude habituelle et, peut-être, un avant goût des pandémies qui viennent ? D'ailleurs la scène avait la forme d'un grand coronavirus.
Boyle, grand admirateur des Beatles occultistes auxquels il a dédié un film en 2019, est aussi un grand amateur de pandémies. Dans 28 jours plus tard en 2003, il imaginait un monde désert où la majorité de la population a été décimée par un virus. Libéré par des défenseurs de la nature infiltrés illégalement dans un laboratoire pour sauver des chimpanzés, ce virus faisait des ravages et ne laissait aucune chance à personne. La revue Glamour, sadique, en recommandait le visionnage, le 28 janvier dernier parmi "les 6 films et séries pour se préparer à l'arrivée du virus en France"(sic) une sorte de haie d'honneur si l'on veut. Ah mais oui bien sûr la journaliste qui signait le papier était en marinière noir et blanc sur la photo comme Madonna dans Papa don't preach, peut-être histoire que vous sachiez bien à quelle loge elle se rattache, non ? Juste une hypothèse bien sûr...
Allez, ne soyez pas trop sévères avec Glamour. D'autres grands médias avaient pour script de recommander le film de Boyle pendant la quarantaine. Par exemple ZoomTV, ou Awardcircuits, FilmSchoolrejects etc. Il fallait vous maintenir dans cette ambiance même chez vous.
Danny Boyle tous les médias l'aiment. Un an après cette si touchante cérémonie "London 2012" il lançait dans le cadre du rassemblement "Big IF", "un appel passionné aux dirigeants du G8 (à l'embryon de gouvernement mondial) pour mettre un terme à la faim dans le monde" (comme USA for Africa en 1985) et il était rejoint sur scène... "par le philanthrope Bill Gates" ! (source Save the children UK 18 juin 2013).
Normal qu'ensuite une acteur de son film sur les Beatles ait reçu le Global Citizen Prize en 2019. Ce prix est remis par Global Citizen, vous savez : le sponsor de "Together at home" le show qui vous encourageait à rester chez vous pendant le confinement, organisé par les méga-corporations depuis qu'elles ont lancé le mouvement au Vatican en décembre 2016.
A l'heure où Bill Gates vous promet une "Pandémie 2" après la "Pandémie 1" de cette année, un conseil : n'investissez rien émotionnellement dans les productions de ce genre d'amis des virus et du monde unifié. Les démons qu'ils mettent en scène vous sont réellement destinés. Détournez vous de leur monde. Appelez en à la transcendance. La porte de sortie pour vous viendra d'en haut, pas des slogans qui vous enferment dans un univers virtuel façon Hololens et une fausse unité mondiale en réalité esclave de leur sorcellerie.
Bill Gates et Rafael Nadal
Au début de ce mois d’avril, Toni Nadal , l'oncle et entraîneur du champion de tennis Rafael Nadal, avait fait un aveu étonnant sur les ondes de la radio espagnole Onda Cero (Emission El Transistor) : "En février, alors que Rafa jouait en Afrique du Sud avec Roger Federer, il a discuté avec Bill Gates et il a averti Rafael que ce qui se passait en Chine allait empirer. Il a dit à mon neveu que nous ne savions pas si nous pourrions voyager à partir de mars. Il savait déjà, grâce à sa connaissance du sujet et à ses contacts, comment cette situation allait évoluer." et Gates avait ajouté que les politiques "devaient laisser plus entre les mains des médecins" (cf We love Tennis 2 avril 2020) - Pour mémoire Gates a aussi déclaré - cf vidéo de Paul Romano minute 0'55 - récemment être souvent en contact avec Fauci, le très controversé conseiller médical de Trump (on se demande bien à quel titre, Gates n'étant pas médecin...).
Toni Nadal faisait référence là à la sixième édition de The Match in Africa qui s'est tenue le 7 février au Cap opposant Roger Federer et Bill Gates d'une part à Rafael Nadal et Trevor Noah d'autre part.
Invité de la Cadena Cope, Rafael Nadal a été interrogé sur le sujet. Et le numéro 2 mondial n’a pas souhaité s’étendre sur cette discussion avec Bill Gates, le patron du géant de l’informatique : « C’est une conversation entre lui et moi. S’il m’a dit que cela allait arriver, je dois le garder pour moi, c’est une conversation privée, entre nous. Je n’ai pas le pouvoir de divulguer des informations. » (We love tennis, 16 avril 2020).
Dès début février Gates savait comment évoluerait la pandémie alors que les grands médias la comparaient à une simple grippe. D'où tenait-il l'information ? Une question qui renvoie au rôle de sa fondation dans la recherche sur le Coronavirus, peut-être aussi dans sa diffusion vu ses diverses déclarations depuis 2017 sur les maladies pulmonaires qui pourraient se répandre sur le globe.
Le 9 avril dernier Robert Francis Kennedy, fils du sénateur assassiné en 1963 Bob Kennedy, et neveu du célèbre président des Etats-Unis, président du conseil d'administration de l'ONG écologiste Waterkeeper Alliance, dénonçait "l'obsession de Gates pour les vaccins (qui) semble alimentée par une conviction messianique qu'il lui est ordonné de sauver le monde avec la technologie et une volonté divine d'expérimenter la vie de petits humains".
"Promettant, ajoutait-il à titre d'exemple, d'éradiquer la polio avec 1,2 milliard de dollars, Gates a pris le contrôle du National Advisory Board (NAB) en Inde et a mandaté 50 vaccins contre la polio (contre 5 auparavant) à chaque enfant avant l'âge de 5 ans. épidémie de polio qui a paralysé 496 000 enfants entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a annulé le plan vaccinal de Gates et expulsé Gates et ses copains du NAB. Les taux de paralysie de la polio ont chuté brutalement. En 2017, l'Organisation mondiale de la santé a admis à contrecœur que l'explosion mondiale de la poliomyélite est principalement une souche vaccinale, ce qui signifie qu'elle provient du programme de vaccination de Gates. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, aux Philippines et en Afghanistan sont toutes liées aux vaccins de Gates. En 2018, ¾ des cas mondiaux de polio provenaient des vaccins de Gates." Suite de ce dossier accablant ici.
Attention, pour le Coronavirus, Bill Gates n'a pas seulement un projet de vaccin à l'étude (qu'il nous sortira dans un an quand tout le monde suppliera de l'avoir après les traumatismes de la "seconde vague") : il a aussi un nouvel implant invisible appelé « tatouage à points quantiques» qui suivra qui a été testé pour le COVID-19 et qui a été vacciné contre lui (Reddit Ask Me Anything 18 mars 2020). Ca aussi c'était dans les tiroirs depuis un certain temps... Dans les tuyaux aussi (est-ce que ça peut être combiné avec le contrôle du coronavirus ?) un projet qui concerne l’extraction de crypto-monnaie, dont le brevet vient d'être déposé. Celui-ci permet la création d’un appareil qui suit l’activité physique ou les réactions d’un humain à certaines tâches à l’aide d’une variété de capteurs, et génère une crypto-monnaie en réponse. Il brevette aussi un réseau qui peut donner des instructions spécifiques aux humains portant l’appareil. Numéro du brevet : WO/2020/060606 - le 666 est visible...
A part ça pour votre réflexion sur le Covid-19, je vous recommande aussi cette vidéo de Hacking The Headlines qui reprend ce petit "rush" tourné avant une conférence de presse de Trump où l'on voit le photographe du New York Times Doug Mills et le correspondant de la Maison Blanche de Fox News, John Roberts dire qu'ils sont déjà "vaccinés" contre le coronavirus (quel vaccin ?). Ils admettent aussi que les taux de mortalité avancés étaient surestimés et l'un d'eux demande même si c'était un canular (hoax). Simple échange de plaisanteries ? Le ton est ambigu...
La 5 G augmente-t-elle la propagation du Coronavirus ?
"Les enchères d’attribution des fréquences de 5 G entre Orange, SFR, Bouygues Telecom et Iliad (Free), qui devaient se tenir mardi 21 avril, sont reportées sine die pour cause de Covid-19. Et, avec elles, l’ouverture au grand public, prévue pour la fin de l’année" expliquait Le Monde le 19 avril, mais, ajoute le journal "La pandémie, qui freine le déploiement de la 5G, pourrait bien avoir d’autres conséquences à plus long terme. Non seulement elle démontre l’utilité de cette technologie, mais elle pourrait aussi permettre aux Américains, grands perdants de la bataille actuelle, de profiter de la confusion pour revenir dans la course aux équipements dominée par le chinois Huawei et ses concurrents européens Nokia et Ericsson.".
Ce genre d'articles ne permet pas de rendre compte de la carte ci-dessous en espagnol qui établit une corrélation entre la 5G et le coronavirus. Cette carte trouvée sur Twitter est-elle un fake ?
Martin L. Pall professeur émérite de l'université d'Etat de Washington (à Pullman) déclarait dans une conférence le 18 février 2020 : "Wuhan est la première ville « intelligente » connectée en 5G en Chine // NB sur les "smart cities" et Soros voyez ce billet// et c’est également là que se trouve la première autoroute 5G de Chine. Elle est également l’épicentre de l’horrible épidémie de coronavirus. En 2019, environ 10 000 antennes 5G ont été installées et mises en service à Wuhan, dont environ 8 000 au cours des deux derniers mois de 2019. Cette période de deux mois et demi a également été la période approximative pendant laquelle l’épidémie de coronavirus, y compris le taux de mortalité, s’est aggravée. Tout cela peut être une coïncidence et il peut sembler peu probable que les rayonnements de la 5G puissent exacerber l’épidémie de coronavirus. Mais considérez ce qui suit : Cinq effets en aval produits à la suite d’expositions aux champs électromagnétiques (CEM) ont des rôles importants dans la cause des infections à coronavirus, notamment la libération de nouveaux virions pour qu’ils puissent infecter d’autres cellules et d’autres personnes, l’excès de calcium intracellulaire, le stress oxydant, l’élévation du NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose. La cause prédominante de décès de l’épidémie de coronavirus serait la pneumonie et la pneumonie est également exacerbée par ces mêmes cinq effets en aval à la suite d’une exposition aux CEM. Par conséquent, ce qui pouvait sembler très improbable, est en fait très plausible sur la base de mécanismes connus."
Le scientifique s'inquiète aussi des effets neurologiques de la 5G, et de la stérilité masculine qu'elle entraîne.
Il cite des scientifiques ostracisés qui sont sur la même logne que lui : Allan Frey, William Rea, David Carpenter, Om Gandhi, Cindy Sage, Lennart Hardell, Franz Adlkofer, Hugo Rüdinger, Dominique Belpomme, Olle Johansson et Dimitris Panagopoulos. En septembre 2017, plus de 170 scientifiques issus de 37 pays avaient signé une tribune réclamant un moratoire en attendant de meilleures évaluations scientifiques. L'étude internationale Mobi-kids financée notamment par l'Union européenne en 2009 sur le sujet ne sort toujours pas ce qui en dit long sur l'action des lobbies.
Dans le monde entier, des centaines d’associations et collectifs — en France beaucoup d’anti-Linky — se sont rassemblés pour dénoncer le déploiement de cette cinquième génération de réseau téléphonique. En ce moment des installations sont incendiées dans toute l'Europe même en période de confinement. La chute de 120 oiseaux dans le canton de Thurgovie en Suisse a relancé le débat. Le professeur Pall inclut les crises cardiaques d'oiseaux dans les effets possibles de la 5G. La presse mainstream objecte en sortant une étude de Joe Kirschvink, biophysicien au California Institute of Technology selon laquelle les ondes moyennes (AM) de la radio perturbent le champ magnétique des oiseaux, pas les téléphones cellulaires. Mais ce n'est pas le sujet puisqu'on parle de crises cardiaques.
On peut trouver ici une carte des lieux d'expérimentation de la 5G en France.
La presse mainstream explique encore que selon le Times, à mesure que les fréquences radio augmentent, notre peau les bloque, ce qui rend les ondes radio plus sûres à mesure qu'elles augmentent en fréquence (jusqu'à un certain point). Concernant spécifiquement le Covid-19, elle dénonce une vidéo de l'anthroposophe Thomas Cowan selon laquelle les ondes de la 5G ont pu favoriser le Covid-19 comme les ondes radio la grippe espagnole, et oppose, avec la BBC, l'argument cité par Simon Clarke, professeur associé en microbiologie cellulaire à l’Université de Reading, selon lequel " Les ondes radio peuvent perturber votre physiologie en vous chauffant, ce qui signifie que votre système immunitaire ne peut pas fonctionner. Mais [le niveau des] ondes 5G sont minuscules et ils sont loin d’être assez forts pour affecter le système immunitaire". Il y a aussi cet avis de l'enseignant-chercheur Carlos Bader, spécialiste 5G de Centrale Supélec, dans une vidéo de novembre 2019 intitulée : La 5G est-elle dangereuse pour la santé ? « Nous ne sommes pas dans une phase opérationnelle de massification de la 5G dans sa version performante. Nous sommes encore sur la bande de basses fréquences. » Le niveau de rayonnement, affirme-t-il, est donc en deçà des niveaux censés endommager les cellules du corps humain.
Pas d'affaiblissement de l'organisme au contact des ondes donc, en tout cas pas pour l'instant, et encore moins une communication des virus par les ondes électromagnétiques.
Qui croire ?
"Together at home", le grand show mondialiste du 18 avril 2020
Ca y est, nos grands occultistes qui contrôlent l'industrie du divertissement ont eu leur nouveau Woodstock, leur nouveau Wembley, et cette fois-ci, grâce au confinement, ils ont pu en diffuser les sortilèges directement chez vous, comme Marina Abramovic avec le casque HoloLens de Bill Gates et ses ratons laveurs...
C'était hier soir 18 avril aux Etats-Unis, ce matin en France, sur Internet.
Cela s'appelait "One world together at home" (Un monde rassemblé à la maison - le logo d'ailleurs parle de lui-même) un titre qui évoque le slogan "together as one" que vous entendez sans le savoir depuis votre enfance, par exemple dans "We are the world" la chanson de Michael Jackson et Lionel Richie qui dit aussi que nous devons transformer les pierres en pain comme Dieu nous l'a appris (sauf que dans l'Evangile c'est Satan qui demande cela à Jésus, on voit ainsi qui est leur Dieu). Dans "together as one" on entendait ce fameux "one one one" du monde antéchristique unifié que Freddy Mercury (l'homme qui se vantait d'avoir passé un pacte avec le diable) et tant d'autres martelaient sur scène "One dream, one soul, one prize, one goal One golden glance" (dans "A kind of magic" en 1986 et depuis lors en concert, sur You Tube etc). On remplace "one" par "home" et les inconscients anglicistes entendent la même chose : "together as one". Les voilà au garde à vous.
Qui finance l'événement ? Le mouvement Global Citizen (citoyen global, citoyen du monde). C'est-à-dire ? Une organisation créée fin 2016 par les grandes corporations qui contrôlent cette planète en réaction au Brexit et à l'élection de Trump. UK Column en 2017 (le 10 mars) en expliquait l'origine (peut-être d'ailleurs en tronquant une partie de l'histoire), et l'on croit rêver : "En décembre dernier 2016, un groupe de ces PDG sans sommeil (à cause de ce qui s'était passé en 2016) se sont réunis dans une salle opulente et majestueuse au Vatican. C'était la conclusion du Forum mondial, un événement annuel pour les grandes sociétés internationales comme Monsanto, Bayer, Google, Microsoft et bien d'autres. Alors que les banquiers ont leur réunion annuelle à Davos, les économistes du monde entier assistent au Forum international de Saint-Pétersbourg et les gouvernements se rendent à leur Sommet mondial des gouvernements, le Forum mondial est le lieu où d'illustres entreprises abordent des questions qui pourraient avoir un impact sur leur capacité à faire des affaires la communauté mondiale. Mais ce Forum mondial Time + Fortune 2016 était différent: ils avaient été invités par le pape François lui-même." Au bout de deux jours de travail au Vatican, les grands patrons ont pondu un document intitulé Working Group Solutions , présenté au Pape pour sa bénédiction, et UK Column le décrit comme devant donner "un contrôle total sur les citoyens du monde à une infime poignée de personnes". Il s'inscrit dans la lignée du Global Poverty Project (GPP) fondé grâce à des subventions des Nations Unies en 2008. Déjà en 2012, un site Web intitulé Global Citizen promouvant un Global Citizen Festival avait été créé. "Cette campagne Global Citizen est présentée, nous dit UK Column, comme une force utopique pour le bien: éradiquer la pauvreté, promouvoir la santé, fournir de l'eau potable et l'accès à d'autres ressources, et protéger les droits humains de chaque personne sur la planète. " Si on regarde son conseil d'administration et ses financeurs on comprend tout de suite : Johnson & Johnson, Hewlett Packard, Ericsson, Caterpillar, Microsoft, Monsanto, Siemens, Virgin Group, Novartis. Les lobbies de l'informatique-intelligence artificielle, de la bio-chimie (pharmaceutique et autre). Et ce consortium de trusts a réfléchi très en détail à la "mobilisation des citoyens" qu'ils veulent promouvoir : "Le plan de base est que chaque être humain sur la planète reçoive une identité financière numérique (alias le numéro d'identification fiscale mondial). Ce sera le fondement de tous les aspects de notre vie à partir de maintenant: déterminer où nous travaillerons et vivrons, comment nous mangerons, dormirons, voyagerons, communiquerons et même comment nous penserons et prierons. En bref, tout sera connecté via l'Internet des objets, l'Internet des valeurs (d'où la fièvre des bases de données block chain alimentant une nouvelle monnaie mondiale) et l' Internet des objets en mouvement . Une nouvelle technologie révolutionnaire sera utilisée pour faire du concept Global Citizen une réalité, tandis que les techniques d'ingénierie sociale nous persuaderont que nous devons tous sacrifier quelque chose pour le bien commun de l'humanité et pour notre planète bien-aimée (un concept intégré pour la première fois par le Club de Rome à la fin des années 1960)." - On sacrifie à l'écologie, ou on sacrifie à la santé collective, à la paix mais on sacrifie. Finies les libertés.
Donc voilà ce qu'il y a derrière ce happening d'hier, l'autre sponsor étant l'Organisation mondiale de la santé, cette espèce de ministère de la santé mondial appelé par Gordon Brown de ses voeux, et maintenant principalement financé par Bill Gates et le lobby pharmaceutique et biotechnologique.
La présentation "One world together at home - OWTH - est un show de deux heures qui inclut des performances des meilleurs artistes et comédiens du monde, ainsi que des 'experts mondiaux' - global experts - ", avec Lady Gaga, et les grands présentateurs (de la mafia clintonienne) Stepehn Colbert de CBS, Jimmy Fallon de NBC, Jimmy Kimmel d'ABC (tous connus pour divers clins d'oeil aux agendas occultistes mondiaux répétés à longueur d'années). Lady Gaga y précise que la collecte d'argent (qui participe à l'opération magique d'envoûtement des conscience) est terminée. On ne demande donc pas d'argent aux gens.
Les artistes présentes étaient tous des adeptes du sol en damier, de l'oeil d'Horus, des bains rituels dans le sang et dans le lait, des papillons monarques et des larmes noires signes de possession :Elton John, les Rolling Stones, Paul McCartney, Jennifer Lopez, Céline Dion, Stevie Wonder ou encore Chris Martin de Coldplay, Alicia Keys, Taylor Swift, Pharrell Williams et Chris & The Queens, Billie Eilish, Lizzo et Charlie Puth, la chanteuse belge Angèle, les acteurs et actrices (Idris Elba, Matthew McConaughey, Sarah Jessica Parker, Amy Poehler…), des personnalités (Oprah Winfrey) et des sportifs (la footballeuse Megan Rapinoe, le pilote Lewis Hamilton).
Un virus sort d'un laboratoire (de plus en plus de médias "mainstream" envisagent l'hypothèse ouvertement) - peut-être un labo financé par Bill Gates qui depuis longtemps nous parle de pandémie, de virus qui attaquera les bronches etc et qui recherche des vaccins dans ce secteur là - on vous enferme chez vous avec la technologie de Bill Gates (les ordis, Internet), on vous fait peur par les grands médias vendus aux grands groupes mondialistes, on vous détend par ce genre de show (heureusement avec le décalage horaire c'était en pleine nuit de 2h à 4h ce matin, mais beaucoup le regardera en différé), tout en continuant à capter votre énergie à leur service par ce biais, et, par derrière, on expérimente : la distanciation sociale (comme dans le film Vivarium de 2019, mot à rapprocher de Scytonema varium, la protéine antivirale du coronavirus), la monnaie unique, la disparition des billets, le tracking avec vos portables. On ne vous impose pas cela d'un coup mais on utilise ce coronavirus comme une étape. Ca résiste encore : Bill Gates se fait incendier sur les réseaux sociaux, l'Amérique profonde manifeste contre le confinement, Trump est de plus en plus obligé de lâcher son conseiller Fauci, Macron doit faire semblant de s'intéresser à la chloroquine (encore que personnellement je ne suis pas convaincu à 100 % du désintéressement du Pr Raoult qui a parmi ses soutiens un ancien patron d'Unitaid et un maçon célèbre ex conseiller de Valls - diviser pour régner, toujours pareil). Restez vigilants !
HoloLens, Abramovic, Gates, Raccoon City et l'appel de Lady Gaga à Macron
On a parlé le 11 avril de la vidéo de la veille(depuis supprimée de You Tube) de l'artiste occultiste Marina Abramovic dont le spectacle virtuel "The Life" (La Vie) était promu par l'empire Microsoft et son casque "HoloLens 2", ainsi que de son producteur, un ancien acteur de série B, et sa société Tin Drum.
L'américain anonyme du Connecticut EnterTheStars (que je cite parfois sur ce blog) fait remarquer que dans la Bible il est souvent dit que "La Vie est dans le Sang" ce qui explique que l'artiste soit dans une robe rouge (qui renvoie aussi à la prostituée de Babylone et divers rituels occultistes sanglants autour de cela).
Il se penche aussi sur le mot "HoloLens" et regarde ce que Wikipedia dit de ce dispositif de Microsoft. Or voici comment il est défini : "Le HoloLens est une unité d' affichage montée sur la tête connectée à un bandeau intérieur rembourré réglable, qui peut incliner HoloLens de haut en bas, ainsi que vers l'avant et vers l'arrière. Pour porter l'appareil, l'utilisateur place le HoloLens sur sa tête, en utilisant une molette de réglage à l'arrière du serre-tête pour le fixer autour de la couronne, en soutenant et en répartissant le poids de l'appareil de manière égale pour le confort, avant incliner la visière vers l'avant des yeux." Il se demande : pourquoi dire que l'HoloLens se porte autour de la "couronne" et non du "crâne" ? Couronne comme corona (et ce fameux Lance Corona joué en 2011 - il y a 9 ans 9/11 - par un Tom Hanks très mobilisé cette année par la propagande sur le Covid-19 - pour un décorticage en anglais du film Larry Crowne/Il n'est jamais trop tard avec ses allusions à la toux, à la distanciation sociale etc voir ici) et comme la couronne de ce mystérieux serpent dévoreur d'enfants couronné que Miley Cyrus se fit tatouer, peu de temps avant l'épidémie, dans la ville fief des nobles tarologues spécialistes de la mise en quarantaine (Enterthestars travaille depuis des années sur ces couronnes et leur mise en scène par les sociétés secrètes qui nous dirigent).
Autre "bizarrerie" autour de ces casques "HoloLens" : ils ressemblent à des "raccoon masks" (des masques de ratons laveurs) très populaires en période d'Halloween (fête de sorciers), notamment depuis que Marvel a fait de ce petit animal un super héros (mais bon avant il y avait eu aussi le Rocky Raccoon des très occultistes Beatles). Bizarre, parce que ces ratons laveurs sont de la même famille - et même en anglais le mot est le même - que les chien viverrins ou chiens-martres qui ont partie, selon le narratif officiel, comme les chauves-souris rhinolophes des principaux vecteurs de la transmission du SRAS et du Covid-19 à l'homme (voir la rubrique "diseases and parasites" de la page que Wikipedia leur consacre). En réalité c'est tout le dispositif HoloLens qui est placé sous le signe du "Raccoon". Comme on le voyait dans une page de Microsoft sur ce casque en mai 2019, la mascotte d'HoloLens est... un raccoon (raton laveur)... et même il s'appelle Bit the Raccoon. Bit, c'est une unité informatique... mais c'est aussi le participe passé du verbe mordre en anglais...mordu par le raton laveur/chien viverrin on attrape le Covid.
Pour comprendre jusqu'où va cette "bizarrerie" (qui du coup peut participer d'un sortilège occultiste - la programmation prédictive) il faut faire un détour par l'univers des jeux vidéos. Pour ce faire quoi de mieux que cet article de Manon Carpentier sur Comiga.fr (e français pour une fois), le 28 janvier dernier, qui expliquait que le jeu vidéo Resident Evils sorti en 1996 met en scène une ville décimée par une pandémie. Le laboratoire d'où est sorti le virus dans ce jeu s'appelle Umbrella et son logo est le même (à une différence de couleur près) que le laboratoire de rechercher biologique RLSW à Wuhan (un logo qui d'ailleurs évoque un peu les chevaliers de Malte ou les Templiers...). Dans quelle ville se situe ce jeu ? Raccoon City... Et au passage raccoon est l'anagramme de corona (comme couronne et coronavirus)...
Allez, pour en finir avec le raccoon/raton laveur/chien martre, une dernière remarque : quand GZA du groupe Wu-tang Clan chantait, en 1996, dans "The 4th Chamber" : "Six millions de diables viennent de périr de la peste bubonique ou du virus Ebola, sous le règne du roi Cyrus", juste avant dans le même morceau que certains classent dans la programmation prédictive du Covid-19 il disait "Yo, Wu whole platoon is filled with raccoons" (toute mon équipe est remplie de ratons laveurs)...
Si on s'intéresse au nom de la société de production Tin Drum, cela renvoie au film Le Tambour de Volker Schlöndorff palme d'or à Cannes en 1979, film assez sulfureux sur l'affiche duquel le tambour représente un antiprisme... L'antiprisme est aussi la forme des molécules de soufre (symbole satanique) en forme de couronne... A recouper aussi avec le film "Imagine that" (Dans ses rêves, 2009 - il y a 11 ans, 11/9) avec Eddy Murphy qui porte une couronne à la fin (le film est très axé sur la musique des Beatles et une couverture magique des Sioux "wakalyapi blanket") mais Enterthestars ne développe pas ce point à ce stade.
Il y aurait donc là une forme de spirale mentale composée du serpent, de la couronne, de l'antiprisme, du raton laveur, des cultes sanglants le mélange entre le réel et le virtuel et le sort auquel tout cela se rattache (sort d'où est sorti la coronavirus, la création en laboratoire, puis sa diffusion et le conditionnement mental par le confinement et les médias) ne pourrait être brisé qu'en découpant un par un les symboles dans lesquels notre inconscient est entraîné par les productions culturelles et médiatiques de masse.
Des gens comme EnterTheStars pensent que l'affrontement entre Trump et son conseiller le très clintonien Dr Fausti, ou entre Trump et le directeur pro-chinois de l'Organisation Mondiale de la Santé (ce qui reviendra à rendre l'OMS plus dépendante de Gates, Soros, de l'Union européenne et des dons du lobby pharmaceutique) ne sont que des éléments de spectacle pour tromper les gens par rapport à toute cette sorcellerie, toute cette manipulation des symboles qu'il y a eu dans l'industrie du spectacle en amont de la vague de coronavirus.
Dirait-il la même chose de l'étrange appel de l'actrice occultiste Lady Gaga au président français Emmanuel Macron, d'engager son "leadership mondial" (comme il l'avait fait au service de l'Agenda 21 l'an dernier) "avec les Nations unies, la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations et Gavi (Global Alliance for Vaccines and Immunization financée par Bill Gates), l'Alliance du vaccin" dans la recherche d'un vaccin contre le Covid-19 ? L'artiste, dont le message est relayé par toute la presse people, en appelle aussi à Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, qui «en tant que docteur, sait que cette maladie n’a pas de frontières» et au Premier ministre canadien Justin Trudeau. Elle a elle-même récolté plus de 30 millions d'euros dans ce cadre - les collectes d'argent sont des actes magiques qui engagent le public dans le pacte collectif avec les sorciers (voir aussi la collecte de Madonna).
Au fait, en juillet 2019 Lady Gaga n'avait-elle pas fait savoir qu'elle était prête à doubler dans le film Les Gardiens de la Galaxie volume 3 la voix de la loutre Lady Lylla... la petite amie de... Rocket Raccoon ? La spirale tourne toujours.
NB : A propos de Macron, certains ont fait remarquer qu'alors que Trump a décidé de déconfiner les Américains le 1er mai jour de la fête occultiste celtique de Beltane (et l'état d'urgence avait été déclaré un vendredi 13 mars), notre président, lui, a choisi la fête juive de Lag Baomer qui célèbre la sortie de l'épidémie qui selon le Talmud décima les disciples du grand sage Rabbi Akiva.
Le scandale "Nth room" en Corée du Sud
Je vous avais parlé il y a quelque temps de cet étrange passage d'un membre du groupe de rap Wu-tang Clan (nom dans lequel on peut entendre Wu-Han) en 1996 "Six millions de diables viennent de périr de la peste bubonique ou du virus Ebola, sous le règne du roi Cyrus" (Cyrus= Trump=le serpent couronné=Miley Cyrus ?). Le morceau s'appelait "The 4th chamber"... Le membre s'appelait GZA et l'image de sol maçonnique sur la pochette du disque était très évocatrice.
Autres paroles "My own phone sex
Mon propre téléphone sex
Watch out for Haiti bitches
S'occupe des putes d'Haïti
I heard they throw hex
J'ai entendu dire qu'elles jettent des sorts
Yo, Wu whole platoon
Yo, tout le staff Wu
Is filled with rac-coons
Est plein de ratons laveurs"
Wu-tang-Clan a inspiré divers remix, dont "Nth Chamber" en 2013.
En Corée du sud vient de sortir un scandale sexuel au nom équivalent : "Nth Room" (Enième pièce, énième salle).
Les Nth Rooms sont des salles de chat sur l'application de messagerie Telegram où les utilisateurs produisent et échangent illégalement des images déshumanisantes de femmes. Les victimes, souvent mineures, sont fréquemment contraintes par les utilisateurs de Telegram à s'infliger à elles-mêmes des sévices.
Le groupe d'origine de ces chats appelé "nth room" aurait vu le jour sur Telegram en 2018 ou au début de 2019. Il existe maintenant un réseau entier, chacun avec des noms différents comme "esclave room", "female child room" ou "violate your acquaintance room" (pièce pour violer une connaissance).
Les filles mineures y sont dégradées, forcées d'aboyer comme des chiens ou de se coucher nues sur le sol des toilettes publiques pour hommes, de se faire des scarifications etc. Ces victimes (parmi lesquelles de smineures) ont souvent été dupées pour donner des informations personnelles aux agresseurs, puis ont été victimes de chantage pour obéir aux caprices sexuels des utilisateurs de cette application.
L'histoire a été révélée pour la première fois par un reportage dans le journal coréen Hankyoreh en novembre dernier. Un reportage de Kookmin Ilbo qui a suivi au début du mois de mars, détaillant les actes horribles, a déclenché un tollé à l'échelle nationale. Cela survient quelques mois seulement après la révélation du scandale Burning Sun , qui impliquait des stars de la K-pop dans un réseau de prostitution à Séoul, et alors que la colère continue de mijoter contre d'autres formes d'abus sexuels contre les femmes, y compris les crimes généralisés par caméra espion .
Il s'agit de phénomènes de chantage à grande échelle impliquant des centaines de jeunes victimes et des centaines de milliers de voyeurs (dont 80 % d'adolescents) dont certains sont prêts à payer jusqu'à 1 200 dollars.
Le cerveau présumé d'une des réseaux, un jeune nommé Cho Joo-bin/Tcho Ju-bin (25 ans) qui vient d'être arrêté aurait payé ses administrateurs en crypto-monnaies, avec des liens vers des paiements suspectés de monero (XMR) . Mais les enquêteurs n'ont pas encore les moyens légaux pour enquêter sur ces modes de paiements qui pourraient révéler l'identité desdits administrateurs. Il semble bien qu'il y aurait aussi un mystérieux "docteur" derrière tout cela.
Phénomène purement "local", endémique à la Corée du Sud ? Où existe-t-il des ramifications ?