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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #programme pour une gauche decomplexee tag

"Vaincre Macron" du chrétien communiste Bernard Friot

9 Octobre 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #La gauche, #Programme pour une gauche décomplexée, #Philosophie et philosophes, #Christianisme, #Débats chez les "résistants"

Il existe une détermination apocalyptique du sens de l'histoire, mais on ne peut en déduire qu'il faille s'abandonner à la contemplation passive des complots antéchristiques pour, au sein des élites, réduire l'humanité en esclavage (qui ne sont qu'une partie des complots des forces des Ténèbres menés à tous les niveaux contre l'humain, et dont nous sommes complices par nos vices et nos aveuglements) : le devoir de charité nous impose de continuer, humblement, à tenter d'aider la société dans laquelle nous vivons et oeuvrer à son organisation pour limiter les effets désastreux (aliénants) de l'exploitation économique et morale. C'est pourquoi on ne peut pas négliger l'analyse économique pour s'en tenir à une posture purement moralisatrice, même si la morale est aussi nécessaire et non entièrement réductible à l'économie.

Et donc, à titre personnel, même si j'ai dépassé le clivage droite gauche, je continue d'évoquer de temps en temps la réflexion sur la transformation sociale que j'avais menée dans mon livre (ma brochure) "Programme pour une gauche française décomplexée" (paru il y a quatorze ans au Temps des cerises, et republié depuis) et continue à dialoguer avec la pensée marxiste, comme je l'ai fait il y a peu à propos du "chrétien révolutionnaire" communiste Loïc Chaigneau. Je veux aujourd'hui parler d'un autre chrétien communiste, ex prof de sociologie à Paris X-Nanterre, membre du PCF, Bernard Friot, et plus précisément de son livre publié en 2017 "Vaincre Macron".

L'intérêt premier de ce livre, dont je trouve le titre un peu réducteur, est de rappeler que le travail doit appartenir aux travailleurs. Par là ceux-ci peuvent s'approprier le pouvoir social sur le monde et sur eux-mêmes, ce qui est une façon de poser la question sociale en des termes diamétralement opposés aux théories de la régulation et au misérabilisme du discours en faveur du revenu universel garanti que même Soros soutient en vue d'imposer un gouvernement mondial (mais c'est la même chose pour ceux qui soutiennent le projet au niveau national). Comment prétendre encore sauver le pouvoir du travailleur sur le fruit du travail quand la religion actuelle de l'intelligence artificielle menace de supprimer tout travail humain ? Voilà une question qui vient immédiatement à l'esprit et l'on peut se demander si l'espoir communiste de réappropriation du travail ne procède pas d'une volonté chimérique de repousser une apocalypse déjà largement commencée dans le processus du Great Reset du Forum de Davos, mais c'est un point que nous ne pourrons aborder qu'après avoir détaillé plus en détail les thèses du "Vaincre Macron".

Le point important du livre de Friot est qu'il part de l'existant, et notamment de l'héritage communiste qui existe en France à travers la grande conquête que fut la création de la Sécurité sociale sous la houlette du PCF en 1946 (une expérience que j'avais évoquée dans mon livre sur la résistante communiste Denise Albert), un héritage que la culture bourgeoise mainstream déforme, mais qui au départ était conçue pour permettre aux salariés de contrôler directement la redistribution au titre de l'assurance maladie et des retraites d'un tiers du fruit de leur travail prélevé sous forme de cotisations obligatoires. Friot fait un récit brillant et synthétique de cette conquête sociale qui ne doit rien contrairement à ce que prétend l'histoire officielle à une harmonie préétablie gaullo-communiste.

L'autre conquête de nature communiste quoique moins directement liée à l'exercice formel du pouvoir politique par le PCF c'est la définition du salaire comme attaché à une qualification, donc à une participation au procès de production, une valeur propre de l'individu dans son emploi et même au delà et non pas à la valeur de la force de travail, salaire attribué à vie indépendamment de sa part dans la valorisation du capital (que ce soit pour un médecin à qui la sécurité sociale fournit une rémunération après même la fin de son activité professionnelle, par répartition de la part de richesse socialisée, pour un fonctionnaire à travers son statut).

Le salariat n'a donc pas été seulement une prison pour la classe ouvrière comme l'a prétendu par exemple Castel, mais par les revendications syndicales (spécialement de la CGT au XXe siècle), qui ont abouti à la définition du patron comme employeur (astreint aux obligations du code du travail), il a abouti à une sorte de front commun des salariés, ouvriers et cadres confondus a pu se créer (p. 44), ce qui explique que le capitalisme aujourd'hui s'acharne à détruire le salariat pour le remplacer par la sous-traitance et le travail indépendant comme au XIXe siècle.

Il y a donc eu une mise en place d'une sortie du capitalisme déjà présente. Par exemple avec la fonctionnarisation des soignants (même libéraux) qui inaugure les "prémices d'une production communiste de la santé".

Le problème avec le néo-libéralisme, nous dit Friot, c'est moins le déplacement de la répartition de la valeur au bénéfice du capital, mais celui du contrôle accru de la bourgeoisie sur la production. Face à cela il ne faut pas demander une meilleure répartition de la richesse mais une meilleure valorisation du producteur. La caisse d'amortissement de la dette sociale est une machine à payer des intérêts aux créanciers. Le gel des cotisations remet en selle les régimes complémentaires aux coûts de gestion bien plus onéreux que le régime général de sécurité sociale. L'indemnisation des chômeurs au pro rata des cotisation brise la logique d'un salaire à la qualification personnelle à vie hors du cadre de l'emploi, de même que l'indexation (en 1986) des retraites sur les prix et non sur les salaires pour ne plus en faire un salaire continué, le projet de Macron de transformer la retraite en récupération des cotisations versées, l'alignement du salaire sur la performance etc. Le RMI est une "aide aux pauvres" dont le concept se substitue à celui de salaire.

Pour contrer cette réaction Bernard Friot propose un combat pour un statut économique des personnes non négociable et inscrit dans la constitution ainsi que pour la propriété d'usage de l'outil de travail par le travailleur (qui choisira les stratégies, les investissements, les financements) et pour un recentrage complet de la démocratie autour du travail (au point qu'il n'y aurait plus d'impôts mais uniquement des prélèvements de l'entreprise que l'Etat tirait le financement de ses services publics et du salaire à vie, et les banques seraient remplacées par des caisses d'investissements gérées par les travailleurs, ce qui prolongerait le geste de collectivisation inauguré par la Sécurité sociale de 1946 au delà du seul domaine de la santé).

Je trouve le travail de Friot très utile pour éclairer le sens des mots des luttes sociales à la lumière de leur histoire réelle, en se désintoxiquant du lexique bourgeois médiatique. Il souligne aussi l'importance de réfléchir à la souveraineté du travailleur entendu au sens large (amener ses enfants à l'école c'est un travail), une souveraineté-dignité qui se retrouve tout d'abord dans les mots (refuser de parler de "dépenses de santé" en lieu et place de "travail de soin médical", refuser la "victimisation" du pauvre, la simple demande de rééquilibrage des répartitions de richesse etc). Mais il me semble que son discours est plus spirituel (il a failli devenir prêtre voyez la vidéo ci-dessous) que marxiste en ce sens que sa revendication vise principalement à l'inscription dans le droit d'un statut du travailleur libéré des caractéristiques de l'emploi et de sa participation à la valorisation du capital. C'est un marxisme réformiste et non de rupture, très axé sur le juridisme, qui pense changer les choses en changeant la loi. L'apport chrétien "dé-virilise" ici un peu le marxisme. Et je ne suis pas étonné que Friot avoue sans s'en repentir avoir adhéré aux sottises de l' "eurocommunisme" dans les années 1970.

C'est à divers égards une dévaluation du marxisme (même s'il en réhabilite l'utilité pour la réflexion sur la praxis quotidienne des gens), qui, en retour, dévalue aussi le christianisme, parce qu'il laisse entendre en filigrane qu'on contribue à la venue du Royaume de Dieu en oeuvrant à l'émancipation du travail du cadre capitaliste, ce qui est une façon de dire que le Royaume pourrait n'être "que ça". Or rappeler que l'Evangile ne cesse de parler du "travail" et de la justice (mais n'oublions pas que la justice de Dieu n'est pas celle des hommes... voyez les ouvriers de la 11ème heure...) est utile, penser la charité (au sens le plus fort du terme) à ce niveau l'est aussi, mais rabattre le christianisme sur cette dimension (ce fut une tentation très forte chez les chrétiens de gauche dans les années 1970) n'est pas seulement blasphématoire et suicidaire pour les âmes individuelles : cela conduit aussi à désarmer les peuples dans le combat titanesque qui s'annonce contre le globalisme luciférien avançant aujourd'hui sous le drapeau de la pseudo-pandémie. Le travail de Bernard Friot est donc à prendre pour le moins avec des pincettes...

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Notes rapides sur la répression des "gilets jaunes", les contradictions du mouvement, et sa force

2 Décembre 2018 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Programme pour une gauche décomplexée, #Les régimes populistes, #La gauche, #Peuples d'Europe et UE

Des violences à Toulouse, à Paris, au Puy, à Calais, à la mesure de la colère légitime que les Gilets jaunes éprouvent à l'encontre de Macron (Ruffin rapporte même que beaucoup souhaitent qu'il "finisse comme JFK" -sic- mais ils ne doivent pas oublier que le système remplace facilement ses leaders-martyrs). Le système répressif français, lui, est toujours aussi brutal. Je l'avais déjà dénoncé sous Valls lors de la répression des mouvements estudiantins.  Les avocats demandent au ministère de l'intérieur de ne pas employer de grenades explosives. Les images à la TV montrent bien sur les Champs Elysées un CRS balancer une grenade lacrymogène en tir tendu. Je me souviens quand les gens jugeaient "barbare" que la police de Milosevic en décembre 1999 utilisent des canons à eau en plein mois de températures basses. Notre police fait de même. Elle bloque toutes les rues même à l'encontre de manifestants pacifiques, va les cogner dans les bistrots où ils trouvent refuge.

Au milieu de ce chaos de bonnes idées : les gilets jaunes demandent le référendum révocatoire, une mesure "vénézuélienne" que j'avais prônée dans mon livre "Programme pour une gauche française décomplexée" il y a 11 ans au Temps des Cerises et reparu récemment chez Edilivre.

Problème : où sont les porte-parole ? Les idées fusent, mais tous ne soutiennent pas les mêmes. Un paysan de 33 ans, qui élève de la blonde d'Aquitaine sur 130 ha en Béarn près de Navarrenx, et qui a été membre des "gilets jaunes" s'emportait samedi sur Facebook : "Je viens d'apprendre que la première revendication des gilets jaunes est le retrait du glyphosate. Je me marre!!! Le français moyen a souvent été collabo!!!Ou plutôt en temps  de crise comment faire porter le chapeau au voisin afin de sauver sa peau!!! Alors amis gilets jaunes dont je faisais partie jusqu'à ce soir, allez vous mettre un pistolet de gazole dans le c* pour faire l'avion. Tiens en parlant d'avion avez vous demandé d'instaurer la taxe carbone sur les billets d'avion? Ah non c'est vrai! Et avez vous demandé l'instauration de la taxe carbone sur le commerce maritime qui va ramener des jouets made un China a vos gamins, des consoles a vos ados et des smartphones pour vous ? Ah non bien sûr !A moi de faire des propositions, roulez en velo! arrêtez de boire du coca et de bouffer du Mc Do et du Nutella! Arrêtez de changer tout les ans vos vêtements. Cultivez votre jardin! Supprimez vos abonnements a canal ou be in sport! Repassez au 39h! J'en ai encore bien d'autres et plus con encore que les précédentes, vous voyez amis gilets jaunes moi aussi je peux dire n'importe quoi pour sauver la planète, et en plus ce que je dis je l'applique !!!"

Il a le mérite de pointer certaines contradictions. L'interdiction des glyphosates (que les tribunaux californiens condamnent maintenant que Monsanto a été racheté par Bayer), demandée par FI et la gauche au printemps dernier au parlement (ils durent se battre pour cela tôt le matin) est-elle économiquement viable pour les agriculteurs en ce moment ? Tout serait plus simple si le mouvement était encadré : il ne viendrait pas ainsi contredire les revendications de certaines de ses composantes. Mais avec un encadrement il perdrait de cette spontanéité qui fait sa force. Cela me rappelle un peu les remarques de Châteaubriand sur 1830 (les Trois glorieuses). A l'en croire le mouvement portait tant de thématiques contradictoires que même un Charles X avisé et courageux aurait pu le mobiliser à son profit. Espérons que celui-ci ne sera pas récupéré par quelque groupe mafieux sorti d'on ne sait-où, comme les puissants de ce monde savent les sortir de leur chapeau.

Pour l'heure je redoute moins la violence des manifestants que celle de nos gouvernants. Comme disait une de mes collègues sociologues bourdieusienne il y a 12 ans : "le coût de la vie en soi c'est déjà très violent"... L'arrogance de Macron et de Philippe n'ont pas fini d'exaspérer les Français et leurs obstination à dénier la souveraineté populaire est égale à celle que manifestèrent avant eux Hollande et Sarkozy. Quelles machinations l'Elysée, Bruxelles, Wall Street préparent-elles pour épuiser le mouvement populaire ou le tromper ? Le pire n'est jamais assuré. Qui sait, les "Gilets jaunes" vont peut-être réussir là où les agents de la SNCF ou les militants de la défense du code du travail ont échoué : refaire de la France un îlot de résistance. Nous ne sommes pas l'Islande (qui a remboursé ses dettes, comme la Hongrie, et chassé le système bancaire international de ses terres), mais nous avons peut-être plus de ressort que nous ne le pensions naguère pour dire "non" au Veau d'Or mondial...

J'aurais eu aussi un paquet de nouvelles à commenter, par exemple sur le débat que provoque la nouvelle par la NASA de l'arrivée d'un de leurs appareils sur mars (beaucoup aux Etats-Unis soupçonnent qu'il s'agit d'une fausse nouvelle, avec des acteurs payés pour filmer leur réouissance - un d'eux a un chapeau bizarre d'ailleurs - sur cette vidéo, alors qu'on ne voit rien de mars elle-même. Mais c'est un peu loin de nos préoccupations. Après tout, il ne s'agit que de l'argente du contribuable américain (parmi lesquels 10 % pensent qu'en réalité la NASA n'est jamais allée sur la lune). J'aurais pu aussi vous parler de la mort de George Bush Senior, le boucher de la première guerre du Golfe et de l'intervention au Panama (qui tua des milliers de civils), ex chef de cette structure très obscure qu'on appelle la CIA, peut-être époux de la fille du sataniste Aleister Crowley, et qui fut lui-même mêlé à une étrange et sanglante histoire de "call boys", le scandale de Franklin, révélé par le Washington Times en 1989 et aussitôt enterré. J'aurais voulu dire un mot de la nouvelle ligne de vêtements pour enfants de Céline Dion "Celinununu", avec des têtes de mort et la mention "New Order" dessus, une ligne présentée sous le slogan crowleysien de laisser nos enfants être ce qu'ils sont et ne pas les influencer car ils ne nous appartiennent pas (ils appartiennent à Big Brother). J'aurais aussi pu parler de l'humiliation rituelle publique de Julia Roberts sur une chaine de TV américaine. Mais le temps fait défaut pour expliquer tout cela.

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La vague macronienne nauséeuse

13 Juin 2017 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #La gauche, #Programme pour une gauche décomplexée

Mélenchon m'agace sur l'international mais contre la vague Macron il a les mots justes. Ce ramassis de jeunes cadres supérieurs de PME arrivistes qui débarquera bientôt au Parlement n'aura pas l'envergure pour constituer une base parlementaire intéressante et souffrira sous le joug monacal des règlements de l'assemblée nationale. Mais Marcon s'en fout : il cassera le code du travail, et peut-être même insèrera l'état d'urgence dans la loi par ordonnance. Toute la dimension dictatoriale de la Ve république se révèle, une fois de plus, à grand renfort de culte de la personnalité médiatique.

Le noyau dur des 30 % de bobos stupides indécrottables qui forment aujourd'hui la base du consensus politique français et des faiseurs de rois, une fois de plus se fait abuser, tandis que les classes populaires s'abstiennent.

Un mérite à cette situation : les vendus du parti socialiste passent à la trappe. Hélas pas tous. Les pires d'entre eux - Valls, El Komri, Touraine -, ceux qui étaient déjà prêts à arborer l'étiquette "En Marche" alors qu'ils devaient leur existence politique au parti socialiste, ont plus de billes aujourd'hui pour sauver leur peau que les ex-frondeurs restés fidèles à leurs idéaux comme Hamon. Il n'y a pas de morale en politique... Et les électeurs sont biens sots. "A vomir" comme disait Guaino des électeurs bobos et de droite catho - Guaino a eu bien des défauts, notamment quand il cautionna la forfaiture du traité de Lisbonne, mais au moins il est intègre sur ses idées, comme Morano et une certaine base de l'UMP (attaquer l'électorat catholique pour son pétainisme, il fallait l'oser, et c'était juste). Guaino va sans doute rejoindre M. Montebourg dans l'élevage des abeilles. Peut-être aussi Mme Bechtel, bras droit de Chevènement, qui avait mené son mandat avec tant d'application dans l'Aisne pour ne recueillir que 6 % des voix au final.

"A vomir" les électeurs. Peut-être. Mais plus encore les médiacrates qui ont fabriqué Macron et qui aujourd'hui gloussent de voir les députés sortants s'inscrire au chômage, alors que nous, citoyens ordinaires, leur sale tronche, on doit la supporter depuis vingt ans - je pense à cet hippopotame d'un grand journal parisien qui nous a abreuvé de mensonges notamment sur la Yougoslavie (elle est co-responsable des 10 à 15 tonnes d'uranium appauvri de l'OTAN versées sur la Serbie et le Monténégro et des 30 000 nouveaux cancers par an qu'elles provoquent) et hier à la TV pouffait sur le thème "pas facile pour un vieux député de se reconvertir". La garce !


Il va falloir maintenant se battre pour défendre les acquis sociaux et les libertés publiques (face à l'état d'urgence). Le pourra-t-on ? Au Venezuela on se bat, et la droite flingue un magistrat qui avait eu le malheur de condamner à de la prison un leader de leurs rangs. La Corée du Sud, elle, a fait son virage à gauche, et demande l'arrêt du projet de bouclier anti-missile américain (une bonne nouvelle pour la paix dans la région). Si seulement notre peuple lui aussi en venait à se ressaisir !

Une future députée macronienne pas très crédible...

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NOUVEAU : en ligne "le Programme pour une gauche française"

17 Octobre 2015 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Programme pour une gauche décomplexée, #La gauche, #Peuples d'Europe et UE, #Colonialisme-impérialisme

Publié au Temps des Cerises en 2007. Mais puisqu'ils ne le vendent plus en format papier, le voici in extenso :

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Un peu de musique pour détendre l'ambiance

21 Février 2014 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Programme pour une gauche décomplexée

 

 

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