Incendies : la France sollicite d'autres pays mais ne réintègre pas les pompiers réfractaires à la thérapie génique
Aujourd'hui la France (qui n'a toujours pas renouvelé sa flotte de Canadair comme elle était pourtant censée le faire il y a 10 ans) sollicite l'aide de l'Italie et de la Grèce pour combattre les incendies en Gironde et dans le Vaucluse.
Or d'après les CGT des SDIS (Service départemental d'incendie et de secours), qui ne soutient pas, rappelons-les, les pompiers réfractaires à la thérapie génique anti-Covid (à ajouter au solde des trahisons de la gauche dans ce domaine, comme le vote ambigu de LFI au Parlement européen sur le pass vaccinal en juin, notamment celui de Manon Aubry qui rejoint de nombreuses "erreurs techniques" de son groupe) environ 140 sapeurs pompiers professionnels étaient suspendus faute d'avoir accepté cette thérapie (chiffre qui n'inclut pas les agents qui ont opté pour le congé de maladie) et autour de 5000 pompiers volontaires (chiffre qui couvre aussi des volontaires qui ont pu rompre les contacts avec leur hiérarchie pour d'autres raisons). Concrètement, cela représenterait seulement 2% de l'effectif total, mais tout de même le symbole est là : quémander une aide étrangère plutôt que de ré-embaucher du personnel national qui n'est pas plus contagieux que les vaccinés.
On avait par exemple déjà attiré l'attention l'an dernier sur le pompier lanceur d'alerte Patrick Thevenon, qui maintenant comme beaucoup d'autres organise fréquemment des souscriptions pour se maintenir à flot pendant sa suspension.
Même problématique que pour les soignants de l'hôpital public (où carrément certains soignants suspendus comme le Dr Fouché disent que l'administration bloque leurs comptes, comme aussi, dans un autre ordre d'idée mais c'est la même démarche, la journaliste allemande Alina Lipp qui avait un point de vue indépendant sur le Donbass).
Retour sur des crimes au Rwanda
Du temps où je dirigeais l'Atlas alternatif j'avais essayé d'attirer l'attention sur le système de prédation rwandais au Congo (le Rwanda aujourd'hui continue d'exploiter l'or, et le coltan congolais et de l'exporter au prix de la vie des enfants employés dans les mines) organisé par le FPR (Front patriotique rwandais) de Paul Kagamé (soutenu par la mafia des Clinton). Depuis lors, tous les atlantistes français- Kouchner, Sarkozy, Hollande, Macron - se sont couchés devant la puissance rwandaise et son influence sur les pouvoirs occidentaux. Le défenseurs de la démocratie et de la vérité dans les Grands Lacs continuent d'en payer le prix forts : le 8 juillet dernier un opposant rwandais a encore été éliminé au Mozambique
Le journaliste Charles Onana revient sur un aspect sombre des premiers jours de la guerre civile rwandaise en 1994 sur lequel le pouvoir de Kagame empêche toujours toute enquête.
Chronique culturelle
La prince du Street Art, mis en valeur par notre président de la République, adepte de l'oeil d'Horus et admirateur du fondateur de l'Eglise de Satan Anton Lavey expose à Bari (Italie) sur les thèmes cher à ses guides ténébreux "Femme , Environnement , Paix (traduire : guerre), Culture (traduire : abrutissement par la propagande)". Il ne manquait que le mot "santé" (dictature sanitaire) à cette liste. Il y a cinq mois il prenait de l'argent aux contribuables près de St Etienne.
Toujours active elle-aussi au matraquage des angoisses autour de la guerre et des catastrophes écologiques, la grande prêtresse des dîners spirites new-yorkais et du casque HoloLens sort une performance intitulée The Hero 25FPS sous forme d'image .jpg et de vidéo .gif. Au départ, il s'agit des images d'une femme inébranlable à califourchon sur un cheval blanc tenant un drapeau blanc, en guise de protestation contre le contexte actuel d'instabilité mondiale, de tension internationale et de dégradation du climat. Ne me demandez pas si cela a un rapport avec les 4 cavaliers de l'Apocalypse et le cheval rouge de sa collègue occultiste Beyoncé. "Only the hero can save us" dit l'artiste-sorcière, étape d'une saga sur le thème "qui qui c'est le héros qui va nous sauver qu'il faut voter pour"... feuilleton dont le nom révélé à la fin commencera sans doute par un "A" et finira par "st"... Je vous laisse deviner... N'oubliez pas aussi (ça ne date pas d'hier) le cavalier blanc dans "Holding out for a hero" (clip min 2'51) de Bonnie Tyler, un clip rempli de flammes, d'une chanteuse connue par ailleurs pour son éloge de la possession dans "Total eclipse of the heart" (minute 5'11).
Les symboles pseudopacifistes et pro-défense de la planète rappellent la mobilisation des artistes occultistes (notamment Ariana Grande qui joue le rôle d'une sorcière dans une adaptation de la comédie musicale Wicked à paraître bientôt) pour le Jour de la Terre de 2019 (le jour de la Terre est une invention du New Age)
Quant à la chouchoute du CERN et de la Métropole de Bordeaux, elle, flirte encore, comme Emily Loizeau (cf son dernier titre paraphrasant le slogan des Black Lives Matters fondées avec l'argent de Soros) avec les angoisses du survivalisme.
A un niveau culturel inférieur (en termes de public-cible), la rappeuse américaine Cardi B nous sort un clip rempli de références à la 5G, à l'hyperconnexion, au graphène, et au contrôle démoniaque de l'humain par cette technologie. Elle n'est que la énième "artiste" (machine de propagande) à mettre en scène ainsi l'avenir de nos sociétés, tout comme le fait à peu près dans les mêmes termes le site du Forum de Davos.
Reconnaissance des Républiques populaires du Donbass par Pyongyang et une analyse marxiste intéressante à leur sujet
Après la Syrie, la Corée du Nord reconnaît la République populaire de Donesk ainsi que par la même occasion celle de Lougansk.
On notera que circule en ce moment dans divers milieux communistes "classiques" (par là, j'entends héritiers du soviétisme du XXe siècle) une déclaration de l'Union des communistes d'Ukraine (une groupe marxiste-léniniste né à Lougansk en 1992, et interdite d'activité sur le sol ukrainien par le régime de Kiev depuis 2014) dont voici un extrait intéressant à propos du Donbass :
"Bien que même les participants à cette confrontation (entre le Donbass et Kiev) n'aient pas été conscients de sa nature de classe, mais aient plutôt vu le côté interethnique, il était caractéristique que tous les groupes oligarchiques aient soutenu le gouvernement post-Maïdan et aient donné une apparence de légitimité à ce gouvernement, par leur députés parlementaires alors que pas un seul oligarque, même du groupe de Ianoukovich, n'a fait défection aux côtés des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk.
Dans leur composition sociale, en particulier dans l'ossature de leurs formations armées, les républiques du Donbass étaient de nature prolétarienne. Mais dans leur forme politique, elles étaient des républiques bourgeoises et exprimaient les intérêts à la fois de la bourgeoisie et du prolétariat, qui n'acceptaient pas le nationalisme anti-russe radical du gouvernement post-Maïdan et son cours pro-occidental.
(...)
La bourgeoisie russe a adopté une position contradictoire à l'égard des deux Républiques populaires : d'une part, elle a fourni une aide militaire et économique aux républiques du Donbass, mais d'autre part, elle ne les a pas reconnues politiquement et ne les a pas incorporées dans le Fédération comme la Crimée, tandis qu'elle alla reconnaître la légitimité du régime fantoche pro-fasciste Tourtchinov-Porochenko-Zelensky et signa les accords de Minsk avec ce régime. Cela n'a pas apporté la paix aux républiques populaires et a fait de la guerre un état latent sur la ligne de contact pendant huit ans, permettant ainsi au gouvernement ukrainien de créer une armée forte et motivée par les nazis qui est devenue une menace non seulement pour les Républiques populaires mais aussi pour la Russie elle-même.
L'incohérence interne de la position de l'État bourgeois russe à l'égard des républiques populaires et du gouvernement post-Maïdan tient au fait que ses intérêts économiques étaient étroitement liés à la fois au capital occidental et au capital oligarchique ukrainien. Les politiciens russes ont réprimandé les "autorités de Maidan", tandis que les oligarques russes ont profité avec les oligarques ukrainiens de l'utilisation de pipelines à travers l'Ukraine (le pipeline d'ammoniaque de Togliatti à l'usine portuaire d'Odessa n'a suspendu son fonctionnement que le 24 février 2022), la revente de charbon du Donbass à l'Ukraine dans le cadre du programme "Rotterdam+", revente de produits métallurgiques et autres.
Exactement de la même manière, les oligarques ukrainiens, par la bouche de leurs politiciens, maudissaient « l'agresseur russe », tout en continuant à faire des profits communs. Ce sont les intérêts économiques de la bourgeoisie russe qui expliquent, tout d'abord, pourquoi les républiques populaires se sont si activement opposées aux demandes des travailleurs du Donbass de nationaliser les entreprises appartenant aux oligarques ukrainiens, et pourquoi l'opération militaire contre le régime fantoche pro-fasciste en Ukraine a été retardée. Et ce n'était que secondairement en raison de la nécessité d'acheter le réarmement de l'armée russe qu'elles ont suivi cette politique."
Le texte a le mérite de rappeler la structure profondément ouvrière des Républiques du Donbass, ce qui explique largement pourquoi la presse occidentale (y compris l'intelligentsia soi-disant de gauche) ne s'y sont jamais intéressés. Mais dépendantes de intérêts de la classe dirigeantes moscovites, elles n'ont pu renationaliser les industries soviétiques privatisées par les oligarques.
Le clan corrompu Rajapaksa évincé par le peuple au Sri Lanka
Le communiste français Jean-Pierre Page se réjouissait en novembre 2019 de la victoire à l'élection présidentielle au Sri Lanka du "candidat de la gauche souverainiste", Gotabaya Rajapaksa (petit frère d'un autre président au mandat qui dura de 2005 à 2015). Hier il a annoncé hier sa démission après l'invasion du palais présidentiel (assiégé depuis des semaines) par le peuple qui a aussi forcé brûlé la maison du premier ministre et forcé les ports de la banque centrale. Le pays, jouet des appétits impérialistes des grandes puissances, autrefois plus prospère que l'Inde est en faillite (il a fait défaut sur sa dette extérieure en avril), suite notamment à la crise du Covid qui a ruiné son tourisme et à la crise alimentaire provoquée par une politique écologiste délirante de prohibition des engrais chimiques, aggravée par une politique bizarre de réduction des impôts. La gestion de la négociation avec le FMI dans un contexte d'inflation galopante avait été confiée au printemps au cabinet d'avocats britanniques Clifford Chance (qui assure en ce moment l'approvisionnement du Tiers-monde en thérapies géniques anti-Covid en partenariat avec l'Open society de Soros - Rajapaksa lui-même avait été un covidiste forcené).
Le peuple a ainsi répliqué à la répression policière violente que ce président et son clan corrompu avaient décidé de mettre en oeuvre (une répression qui avait d'ailleurs fait suite à des restrictions des libertés pour les minorités religieuses après les attentats de Pâques 2019 et à l'arrestation de journalistes ou chercheurs dissidents).
Pas de regret à avoir pour ce clan faussement de gauche corrompu aujourd'hui chassé du pouvoir. Viennent à l'esprit des félicitations à adresser au peuple courageux (comme le peuple soudanais) mais aussi des inquiétudes pour cette île prise par les jeux complexes indo-sino-russo-américains. Nul doute que ces puissants rivaux ne la laisseront pas se reconstruire en paix.
Des nouvelles du CERN, de Mme Schiappa, des Georgia Guidestones et du Vatican
Quelques nouvelles qui attirent peu ou pas du tout l'attention de nos grands médias, plus soucieux de relayer le retour du fascisme sanitaire revient (l'imposition des masques et des thérapies géniques - bien que la vaccination ARN ne protège pas de la contagion etc).
Le 4 juillet dernier, le CERN, qui cherche à ouvrir des portiques sur l'autre monde, et récompense fréquemment depuis 10 ans, des artistes tarologues, fêtait le 10ème anniversaire de la "particule de Dieu", le boson de Higs. Il en profitait pour relancer son Large Hadron Collider, à l'arrêt depuis 2018. On nous explique ici que le 4 juillet, jour de la fête nationale des Etats-Unis (alors que la déclaration d'indépendance est du 2 juillet), ancien 23 juin du calendrier julien, et jour où la Terre est la plus éloignée du soleil, correspond à une fête druidique. Le CERN mérite bien les 3 "6" de son logo.
Quelqu'un (un esprit éveillé ? un agent de la CIA ?) a fait sauter dans la nuit du 5 au 6 juillet les Georgia Guidestones, les célèbres mégalithes sur lesquels il était indiqué notamment que la population humaine devait être limitée à 500 millions d'individus. Une aile des "guidestones" était bizarrement alignée sur le CERN...
Marlène Schiappa est de retour au gouvernement (le gouvernement Borne au service du Great Reset et de l'OTAN). La nouvelle secrétaire d'Etat qui dans "Elle" d'octobre 2019 disait apprécier la sorcellerie, apparaît sur une photo avec une malformation au pied que certains savent commune chez les praticiens de l'occultisme. Un hasard sans doute... (mais rien à voir avec les rumeurs de trafics d'orteils au Zimbabwe).
Malgré la prise de position courageuse de certains évêques américains, Nancy Pelosi, speaker de la chambre basse américaine pro-avortement, reçoit la communion au Vatican. Tout à fait dans le même ton que la pièce sortie par le Saint-Siège en l'honneur de la thérapie génique anti-Covid, et que la rencontre du pape avec Elon Musk, l'homme qui nous prépare la puce Neuralink et les incubatrices façon "Meilleur des Mondes".
A part ça, un ex-premier ministre japonais membre d'une secte nostalgique du fascisme (Nippon Kaigi) a été assassiné. Je vous passe les souvenirs des horreurs de la guerre biologique au Manchoukouo, et autres abominations japonaises en Chine, en Corée et ailleurs qui faisaient dire à J. Bergier jadis qu'il eût aimé lancer la bombe atomique sur le Japon (ici minute 22'40). Certains font cependant remarquer que Shinzo Abe fut moins covidiste que la moyenne, sur la question de l'ivermectine notamment. Et les agriculteurs manifestent aux Pays-Bas face à un gouvernement qui veut réduire de 30 % leur cheptel pour aller vers la neutralité carbone, un des multiples épisodes de la guerre des mondialistes contre la viande (le premier ministre de centre droit était à Davos l'an dernier pour parler d'agriculture). Routes et supermarchés bloqués. Des agriculteurs allemands et italiens déclenchent un mouvement de solidarité avec les Hollandais.
Les réfugiés politiques kurdes sacrifiés pour l'entrée de la Suède et de la Finlande dans l'OTAN
En échange du feu vert d'Ankara à leur adhésion à l'OTAN, Stockholm et Helsinki vont devoir livrer des dirigeants et activistes kurdes qui vivent sur leur sol à la Turquie (une trentaine au total).
Pour mettre un visage sur ces réfugiés politiques, on peut par exemple citer le cas de la députée Amineh Kakabaveh, 52 ans, Kurde iranienne de gauche arrivée en Suède en 1992. La députée kurdo-suédoise indépendante a récemment attiré l'attention internationale après s'être abstenue de voter une motion de censure début juin sauvant ainsi le gouvernement de la Première ministre suédoise Magdalena Andersson. En échange, Kakabaveh a déclaré que le gouvernement avait promis de continuer à aider les Kurdes dans le nord-est de la Syrie... un promesse sur laquelle la Suède va pouvoir s'asseoir après le deal passé avec Erdogan. Voilà comment Mme Andersson remerciera ses amis...
Les deux pays scandinaves ont aussi accepté de renforcer leur coopération en établissant des commissions conjointes des services de sécurité et de renseignement avec Ankara qui lui permettront de bénéficier de leurs anciens dossiers et d’obtenir des informations sécuritaires et sur leurs activités de financement et de recrutement. Un grand pas en avant pour le respect des principes du droit d'asile...
C'est à peu près aussi piteux que l'image du président de la République française courant après son homologue américain comme un caniche à la dernière réunion du G7 pour lui révéler ses petits arrangements avec les Emirats arabes unis pour obtenir un peu plus de pétrole en compensation de l'embargo sur les hydrocarbures russes.