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Le réel ne passera pas
Dimanche 17 septembre 2023, à la Fête de l'Humanité, Ritchy Thibault, gilet jaune, co-fondateur du collectif Peuple révolté s'est invité au débat organisé entre le député PCF du Nord, Fabien Roussel, et Edouard Philippe ex-premier ministre candidat, actuel favori de l'oligarchie pour la prochaine présidentielle, afin de souligner que ce dernier avait "du sang sur les mains" et était un "éborgneur" (cf vidéo du Média ci-dessous). Ce jeune militant a été immédiatement et brutalement exfiltré par le service d'ordre pour que les politiciens professionnels puissent débattre "entre gens de bonne compagnie".
Il ne faisait pourtant que dire la vérité, et il aurait pu ajouter aussi que le maire du Havre était co-responsable avec Macron et les oligarques internationaux du premier confinement criminel pendant la psy-op du Covid 19. Mais il ne faut pas trop souligner tout cela, même dans les milieux de gauche (qui avaient été si timidement pro-gilets jaunes, et si absents pour s'opposer au confinement), et conserver l'image d'un gentil "Doudou" avec qui on peut sagement discuter et qui aurait juste le tort d'être un peu trop "centriste" (tu parles, un vrai Adolphe Thiers oui !).
Comme je l'avais raconté dans l'Ingérence de l'OTAN en Serbie, la publiciste parisienne Elisabeth Lévy, du temps où elle m'invitait à dîner chez elle, avait pondu un article intitulé "Le réel ne passera pas" (alors d'ailleurs que ses propres amis faisaient le nécessaire pour couler la part de réel que j'avais moi-même à faire "passer" sur les Balkans en me faisait miroiter la publication d'un bouquin chez Albin Michel pour ensuite flinguer cette possibilité). Un journaliste du Monde Diplo qui m'écrivait hier pour chercher des contacts à Belgrade afin d'y enquêter sur les événements de 1999 me faisait repenser à tout cela.
En réalité, le fait que le réel ne puisse "pas passer" est une constante depuis 25 ans. Et aujourd'hui comme hier, on a le choix entre un journalisme mainstream aux ordres, et un théâtre de marionnettes de faux opposants embourgeoisés, dans les meetings soi-disant "communistes", ou, pire, dans les vidéos ridicules de YouTube (j'englobe dans cette liste les youtubeurs nombrilistes demi-habiles façon Rougeyron, Asselineau, Collon etc). Tous sont là pour normaliser, simplifier, caricaturer le réel, pas pour le faire passer. Et les gens sincères qui auront des choses désagréables à rappeler, après avoir été éborgnés, placés dans des gardes à vues arbitraires, avoir perdu leur job etc, pourront éventuellement être instrumentalisés par ces talking heads pour un ou deux coups d'éclats médiatiques. Mais, soyons en certains : le réel, lui, avec toute sa profondeur, ne passera pas.
Chris Hedges sur Elucid
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Une excellente interview du journaliste américain dissident Chris Hedges sur Elucid ci-dessous. Ca au moins ce n'est pas du Jacques Julliard.
Le script médiatique sur les viols commis par les migrants en Allemagne
A Majorque (Espagne), le 13 juillet dans l'après midi, cinq jeunes touristes violent une de leurs compatriotes de 18 ans (qui était prête à coucher avec deux d'entre eux mais pas les cinq) dans un hôtel en filmant la scène. Ils sont arrêtés. Die Welt, le journal allemand, les présente comme des Allemands. Le média espagnol Ultima Hora précise "ils sont d'origine turque". Associated Press, Deutsche Welle, le Daily Mail omettent ce "détail" : pour eux, à l'exception de Bild, ce sont des allemands.
En Croatie, le journal Narod remarque, à propos de cette affaire que, lorsqu'un ressortissant de ce pays commet une faute à l'étranger, la presse dit que c'était un Croate. Quand il y a un crime commis en Croatie commis par un immigré on dit "telle personne a été tué" sans précision (même chose d'ailleurs en France, ce qui prouve qu'il s'agit d'un script médiatique mondial).
Or les crimes sexuels commis par les migrants en Allemagne ne cessent d'augmenter. Rappelons nous des évenements de Cologne en décembre 2016. Plus récemment, à la Pentecôte 2023, Stuttgart en Allemagne a été le lieu d'un festival d'agression sexuelles par des migrants.
Deux femmes de 18 ans se trouvaient dans la piscine familiale lorsqu'un groupe de jeunes hommes continuait de nager devant elles. Du groupe, un suspect de 13 ans et une personne jusqu'alors inconnue ont peloté les fesses des jeunes femmes sur les fesses. Le jeune de 13 ans a été remis à sa mère. Peu de temps après, dimanche en fin d'après-midi, deux hommes âgés de 22 et 23 ans ont approché un adolescent de 12 ans dans la piscine et doigté son vagin. Puis le lundi quatre hommes âgés de 20 à 30 ans ont pratiqué des attouchements sur quatre filles âgées de 12, 13, 14 et 15 ans. SWR n'indique rien sur la nationalité des agresseurs.
Remix révèle que pour la fille de 12 ans agressée le dimanche après-midi, c'est un Syrien de 23 ans qui a été arrêté.
A Berlin, plus de 300 viols collectifs ont été comptabilisés depuis 2020. Il y en a chaque année trois fois plus qu'en 2018. Sur 302 suspects identifiés, plus de la moitié sont des non-allemands. Deux femmes allemandes sont violées collectivement chaque jour. En 2018, les Afghans représentaient 0,3 % de la population allemande, mais étaient les auteurs présumés de 6 % des viols collectifs enregistrés dans le pays. Pour le reste les auteurs proviendraient principalement du Proche-Orient (un problème que ne connaît pas la Pologne qui a refusé les migrants de cette zone).
Il y a un tabou dans les médias allemands sur l'origine des suspects, mais un rapport de la police montre que 44 % des crimes sont commis par des non-Allemands, ce que ne peut expliquer le seul fait que les migrants sont plus jeunes (21 % des hommes âgés de 8 à 29 ans). Et encore ces statistiques n'incorporent pas les 4 millions de binationaux. Les statistiques sont les mêmes dans d'autres pays : entre 2013 et 2018, 58 % des condamnations pour viol en Suède sont le fait d'étrangers. 52 % des viols à Paris en 2014.
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Suite à la publication de ces statistiques sur les viols collectifs en 2021, Necla Kelek, féministe allemande d'origine turque circassienne et militante des droits des femmes, a appelé le gouvernement allemand à s'attaquer au rôle que joue la migration dans l'épidémie de viols en Allemagne. "Le viol collectif est la pire chose qui puisse arriver à une femme, a-t-elle déclaré. Si la société les abandonne, l'âme est presque anéantie."
Telle n'est cependant la priorité du gouvernement allemand qui cherche plutôt (à la différence du Danemark) à faciliter les conditions d'accès des migrants à la nationalité germanique.
La Havane-Paris
Je reviens de Cuba. Beaucoup de choses à dire sur ce voyage. Je crois que je vais en faire un livre. La situation économique est si difficile que pour la première fois en 60 ans le gouvernement n'a pu organiser un défilé du 1er mai à la Havane, officiellement à cause de la pénurie de carburant, en fait parce qu'on redoutait un soulèvement de la foule comme lors du dernier discours de Ceaucescu à Bucarest en 1989. Le mécontentement s'étale, et les gens se sentent en totale liberté pour dire ce qu'ils pensent de Diaz-Canel, c'est surprenant. Pourtant ce que le socialisme a permis comme réussites dans la tête des gens, dans les relations humaines est encore palpable.
Les médias officiels compensent cet échec en mettant en avant la présence à Cuba d'internationalistes dont Chris Smalls fondateur du premier syndicat d'Amazon. Ce thème pose la question une fois de plus de la présence du "Sud dans le Nord". Ces voix contestataires des pays riches qui recherchent des alliés à La Havane ont joué un rôle important dans la culture occidentale depuis 30 ans. Pas toujours positif, pas toujours négatif. Jadis quand je travaillais à Brosseville nous cherchions à les mobiliser. Il faudrait un jour que j'écrive à leur sujet, sous l'angle sociologique. Il y aurait fort à dire. Quelqu'un a-t-il fait une étude sociologique sérieuse du "cas" Chris Smalls ?
De retour en France je retrouve le confort des magasins bien achalandés, mais aussi des horreurs très inquiétantes. La politique d'encadrement des manifs par des drones ne semble choquer personne dans les médias bourgeois, alors pourtant que nous sommes l'objet d'une opprobre internationale du fait de la répression. Je vois aussi le PCF faire passer discrètement à l'assemblée nationale à la faveur de l'absentéisme des députés de la majorité une abrogation de la suspension des soignants non-vaccinés qui aussitôt suscite une hystérie des covidistes qui voulaient seulement "suspendre la suspension" car ces fous-furieux ne pensent qu'à réintroduire les dispositifs fascistes à la moindre occasion (certains d'ailleurs laissent même entendre qu'il y aurait déjà assez de Covid dans la société pour réintroduire de la répression). Ca fait froid dans le dos...
Je retrouve aussi sur le Net (j'étais déconnecté pendant 8 jours) tous les débats usants sur le wokisme (par exemple le documentaire de Netflix qui présente une Cléopâtre noire alors que tout le monde sait qu'elle appartenait à une dynastie macédonienne...) La débilité au quotidien, il faut s'y réadapter comme au décalage horaire...
Une voix pour la paix et la justice : Žaklin Nastić
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Dans la série des voix qui défendent la paix , après Sahra Wagenknecht, saluons ici la figure de Žaklin Nastić, 43 ans, ancienne infirmière et députée Die Linke (gauche de la gauche) de Hambourg (Allemagne). Le dimanche 10 avril elle prenait la parole à la Marche de Pâques de la sa ville contre les livraisons d'armes à l'Ukraine, en présence de personnalités comme Peter Brandt (fils de Willy Brandt) et Rainer Braun (International Peace Office). Elle rappelait que ces marcheurs ont condamné toutes les guerres depuis des décennies, que ce soit au Yémen, en Irak ou en Ukraine.
Interviewée par Junge Welt hier, elle a témoigné des violences albanaises qu'elle a pu constater au Kosovo lors de sa visite en mars dernier : "Les gens vivent dans la peur, déclare-t-elle,mais pas seulement depuis les récentes attaques. J'ai rencontré deux garçons à Gotovusa, Stefan, 11 ans, et son cousin Milos, 21 ans. Ils ont été abattus par un Albanais qui travaille pour les forces de sécurité kosovares la veille de Noël orthodoxe. Il a utilisé son arme de service pour la tentative de meurtre. J'ai aussi parlé à la mère de Stefan et à un témoin oculaire de l'attaque.
Ils ont indiqué qu'il s'agissait clairement d'un crime à motivation ethnique. Les garçons sont sortis de l'église orthodoxe le 6 janvier, c'était la veille de Noël orthodoxe, ils étaient clairement identifiables comme Serbes car ils portaient une tresse traditionnelle de Noël, le badnjak. L'assassin s'est arrêté dans sa voiture, a ouvert la fenêtre et les a abattus tous les deux. Selon des témoignages oculaires, il a déjà été à la recherche de victimes ; beaucoup de munitions ont également été trouvées sur lui.
Cet homme - et c'est difficile à croire - n'est pas en prison, mais a été remis en résidence surveillée. Il n'est pas non plus accusé de tentative de meurtre, mais d'un délit mineur : trouble à l'ordre public. Cela en dit long sur la prétendue primauté du droit au Kosovo. (...) le nombre d'attaques contre la minorité serbe au Kosovo a atteint le niveau incroyablement élevé de trois attaques par jour depuis le Nouvel An.
Le fait que des gens se font maintenant tirer dessus est une nouvelle escalade. Cela provoque beaucoup de peur non seulement au sein de la minorité serbe, mais aussi parmi d'autres groupes qui ont été et sont persécutés par des nationalistes albanais, comme les Roms.
(...) Toutes les personnes à qui j'ai parlé me l'ont confirmé. J'ai parlé à plusieurs maires, notamment à Strpce, où Serbes et Albanais cohabitent pacifiquement. On m'a dit là-bas que Kurti avait gelé les fonds d'entretien des espaces publics. Les choses de base comme la collecte des ordures ne peuvent plus être payées. La situation continue de s'aggraver. Ces tendances fascistes émanent de Kurti, d'innombrables attaques ethniques en sont le résultat, mais il n'y a pas de conséquences juridiques. (...) Une autre forme de politique répressive de Kurti affecte les hommes serbes qui travaillent dans des institutions kosovares telles que la police. Toute personne âgée de plus de 18 ans pendant la guerre de 1999 risque d'être poursuivie en tant que criminel de guerre."
Elle dénonce aussi les doubles standards qui font que les Occidentaux font pression sur les serbes et non sur le premier ministre extrémiste kosovar Albin Murti. Dans l'édition du même journal du 18 mars elle réclamait des poursuites judiciaires contre les militaires américains coupables de crimes en Irak en 2003.
Elle considère comme Wagenknecht que les Verts sont le parti le plus dangereux du Bundestag (quand on pense à la façon dont ce parti a coulé chez nous la souveraineté énergétique de la France, tout en soutenant toutes les politiques d'ingérence de l'Oncle Sam, et tous les délires dictatoriaux sur le contrôle des émissions de carbone et la politique du genre on ne peut soupçonner à quoi elle fait allusion côté allemand...).
En mai 2018 (avant le Covid et l'effondrement économique du pays des frères Castro), elle s'était rendue à la Havane à l'initiative de Cuba Si. Elle avait salué le grand nombre de médecins dans cette île (6,12 pour 1 000 habitants contre 3,73 en Allemagne, 3,39 en France), la recherche cubaine contre le cancer, la politique de ce pays au service de l'émancipation des peuples victimes de l'impérialisme. En juin 2020 elle avait aussi fait partie des 1080 parlementaires qui avaient dénoncé l'annexion des territoires palestiniens par Israël.
Bref, voilà une des rares politiciennes "non alignées" sur notre continent.
Le Forum économique mondial et la cyber-attaque globale
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Le 19 juin 2020, le Forum économique mondial (WEF) a co-organisé avec la banque russe Sberbank une simulation de cyber-attaque "Cyber Polygon" (avec la participation de nombreuses banques, d'Interpol). Beaucoup se demandent s'il ne faut pas considérer ce happening comme l'analogie de l' "Event 201" de 2019 sur la question d'une pandémie biologique qui avait immédiatement précédé une épidémie réelle des plus suspectes, celle du Covud..,
La Chaine YouTube Coin Bureau a disséqué cet évenement qui analysait une possible "pandémie digitale" qui attendrait toutes les grandes infrastructure. Cette conférence est toujours en ligne, sur la chaîne YouTube de Bi.zone. Klaus Schwab, qui parlait à la suite du premier ministre russe et révélait venir de s'entretenir avec Poutine à St Petersbourg en 2019. Il souligna que la Covid19 pouvait jouer un effet de catalyseur (un vocabulaire qu'avait aussi employé en 2000 les néo-conservateurs du Project for the New American Century dans leur rapport Rebuilding America's Defences qui disaient que les USA ne se remilitariseraient que si un nouveau Pearl Harbour les frappait, ce qui arriva l'année suivante) et y appela à tout digitaliser tout ("4ème révolution industrielle") en signalant que le Covid 19 ne serait rien à côté d'une cyberattaque globale.
La cyberattaque fut simulée au même moment que la conférence au siège de Sberbank. Alexander Touchkanov (Tushkanov en transcription anglaise) de Bi.zone reprit le même discours sur la nécessité d'une crise pour dépasser les Etats-nations. Tony Blair, ancien premier ministre et criminel de guerre en Yougoslavie et en Irak appela au Great Reset. Jeremy Jurgens du WEF a lui aussi insisté sur la venue prochaine d'une crise et a expliquait que le WEF travaillait avec des grands groupes du secteur de l'énergie sur l'hypothèse d'une pénurie énergétique, puis ce fut le patron de la principale société de Télécom russe (MTS) qui a parlé de l'introduction de la 5G au service du projet des "smart cities" (projet à la mode dans lequel Soros est impliqué). Coin Bureau détaille les autres interventions.
En 2021 une deuxième simulation de cyberattaque fut organisée par le WEF et Sberbank (la 3ème, de 2022, allait être reportée pour cause de guerre en Ukraine), avec 200 participants de 48 pays (le double de 2020), 7 millions de vues. Il se focalisait sur les cyber-attaques sur les attaques sur les chaînes d'approvisionnement.
Le Cyber Polygon 2022 devait porter sur les attaques contre les services de Cloud. L'événement fut annoncé juste avant la guerre d'Ukraine, puis la Russie s'est déconnectée du Net mondial ce qui pouvait lui permettre de lancer éventuellement une cyber-attaque sans représailles. Une cyber-attaque peut provoquer un dommage comparable à une guerre nucléaire; à ceci près que c'est réversible.
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Elon Musk (opposition contrôlée au WEF pour l'instant) a tout de suite proposé ses services en cas de cyber-attaque pour qu'Internet puisse être diffusé par Starlink. Pour mémoire la Turquie a refusé Starlink pour pallier aux effets du tremblement de terre de début février. On peut se demander si le but d'une cyberattaque mondiale organisée par les sbires du WEF, remarque Coin Bureau, ne pourrait pas être de justifier le recours à un Internet spatial qui contrôlerait tout (songeons qu'à la réunion Cyber Polygon de 2021 les Russes ont organisé un duplex avec les astronautes de leur station spatiale). Coin Bureau en tire argument pour développer les systèmes "peer to peer" pour un Internet parallèle hors pouvoir mondial.
Accidents chimiques à répétition aux Etats-Unis
Après le déraillement d'un train de cinq wagons du Norfolk Southern Railway dans l'Ohio (aux Etats-Unis) au le 3 février, les autorités publiques ont décidé de procéder à une combustion contrôlée des produits chimiques toxiques contenus dans les wagons. Ils contenaient des agents cancérigènes pour l'homme comme le chlorure de vinyle et d'autres produits chimiques toxiques. Ceux-ci se sont déversés dans la rivière qui arrose l'Illinois, l'Indiana, le Kentucky, l'Ohio, la Pennsylvanie et la Virginie-Occidentale, et alimente plus de 5 millions de personnes en eau potable. Déjà des milliers de poissons sont morts, des chevaux, des renards ont été retrouvés morts, mais les pouvoirs publics prétendent traiter correctement l'eau potable pour les humains.
Pendant plus de huit jours aucun grand média n'a parlé de cet événement catastrophique alors pourtant que la population qui souffrait de douleurs de tête et de suffocations a été évacuée manu militari dès le 6 février dans une zone de 2 km entourant East Palestine.
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Une programmation prédictive autour de ces événements a pu apparaître autour du film "White noise" sorti en 2022, histoire d'un spécialiste d' "études hitlériennes" (sic) dont la vie est perturbée par un accident ferroviaire cataclysmique projette un nuage de déchets chimiques sur la ville. L'intrigue inspirée du roman "Bruit de fond" de Don DeLillo se passe en 1984 (comme par hasard). Le film a justement été tourné à Salem et East Palestine dans les zones qui ont été évacuées en ce début de mois ! Il s'agit d'une "comédie sombre" (dark comedy) et dans la bande annonce vous pouvez entendre "There are two kinds of people in the world—killers and diers. Most of us are diers." (il y a deux sortes de personnes dans le monde, celles qui sont faites pour tuer et celles qui sont faites pour mourir, ce qui est le cas de la plupart d'entre nous", le genre de phrase assez typique de l'humour "sociétés secrètes dépopulationnistes" désormais bien connu des lecteurs de ce blog... Dans une scène du film une caméra zoome sur une collection de livres dont les titres sont "The Occult, A History", "The Supernatural, Witches and Witchcraft", ce qui en soi vaut signature.
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Certains rappellent aussi que le 13 février lors du dernier show de mi-temps du Super-Bowl (un spectacle/rituel très suivi très utilisé pour la manipulation mentale de masse) la chanteuse occultiste Rihanna dansait en tenue rouge entourée d'hommes en combinaison pour matières dangereuses (hazmat - hazardous material), ce qui pouvait être un signal de guerre chimique contre la population. L'ensemble des publicités du Super-Bowl était d'ailleurs très associées aux couleurs jaune et noir qui figurent en général sur les panneaux de mise en garde sur la présence de produits chimiques, les accidents etc (tout comme au cannibalisme d'ailleurs...).
Ce qui rend l'événement suspect aux yeux de beaucoup est le fait que les catastrophes chimiques se sont multipliées en ce mois de février aux Etats-Unis : le 14 février, un train de la Union Pacific (propriété de Vanguard et BlackRock) a déraillé à Splendora, au nord-est de Houston au Texas occasionnant une fuite de diesel , le 14 février encore près de Tucson, en Arizona, un camion-citerne transportant de l'acide nitrique s'est renversé sur une autoroute, un nuage orange en est sorti. Le 16 février à Van Buren Township près de Detroit un train de fret chimique a déraillé, puis le 18 février à Belle Ville (Michigan), un train rempli de chlorine. Evidemment jamais des accidents ferroviaires ne s'étaient multipliés à cette vitesse(à noter cependant que la Financial Times, lui, met en cause unique l'appât du gain - le taux de marge des transports par rail est de 50 % et souligne que 1 700 trains déraillent tous les ans aux USA... ce qui permettra aux matérialistes d'oublier la "coïncidence" autour du film "White Noise").
En outre, le 16 février à Kissimmee, en Floride, un grand incendie d'entrepôt de matériel de matériel d'infirmerie de 20 000m2 s'est déclaré et le plastique a duré pendant plus de dix ans. Et à Doral dans le comté de Miami-Dade, une installation de valorisation énergétique des déchets a brûlé pendant près de 8 jours. Les habitants de la zone ont été confinés.
Le 17 février un incendie dans l'installation de traitement des déchets de Clean Harbors à Braintree (Massachussets) a aussi contraint les gens à la quarantaine. Et l'on reparle à l'instant de l'Ohio où une usine métallurgique vient d'exploser.
Il ne semble pas que le reste du monde soit concerné de la même manière en ce moment . L'incendie de l'usine de batteries au lithium à Rouen (France) en janvier, ou l'incendie de la décharge de Port Lincoln en Australie apparemment provoqué par un feu de brousse sont des événements isolés et ne présentent pas un caractère systématique comme aux Etats-Unis.
Sapir à propos de l'Ukraine, point sur la situation
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J'écoutais tantôt l'économiste spécialiste de la Russie Jacques Sapir sur la chaîne "Livre Noir". Il est toujours très intéressant à entendre : nuancé sur l'impact des sanctions occidentales sur l'économie russe, instructif et convaincant sur l'affaiblissement du parti anti-guerre russe par l'intransigeance occidentale, sur les candidats potentiels à la succession de Poutine (il nous rappelle par exemple que Medvedev est plus anti-occidental que Poutine comme il l'avait montré pendant la guerre en Géorgie) etc.
Il récapitulait les phases du conflit ukrainien depuis un an : le grand bluff initial (avec l'assaut sur Kiev alors que seulement 150 000 soldats engagés alors qu'on ne peut conquérir un pays comme l'Ukraine qu'avec 300 000), la bonne résistance de l'armée ukrainienne et de la défense territoriale, avec un soutien moral de la population (hors Donbass) au régime de Zelensky (du fait largement que les russes avaient construit un mythe sur un régime nazi dont le pays accepterait d'être débarrassé), la réorganisation sur une base plus rationnelle des objectifs russes après l'échec des négociations avec Kiev (échec provoqué par l'OTAN), l'effondrement de l'armée ukrainienne à la fin du printemps, son remplacement ex-nihilo grâce aux armes et à l'encadrement occidentaux, leur offensive à l'été, les effets de rééquilibrage provoqués par la conscription russe, dans un contexte de supériorité de l'artillerie, avec un conflit très meurtrier côté ukrainien (peut-être jusqu'à 1 million de pertes pour un pays de cette taille ce qui est considérable).
On comprend bien dans ce contexte l'empressement de Zelensky à obtenir des armements modernes (chars lourds, avions), même si on peut moins pardonner à ce cinglé (ça c'est mon point de vue personnel) de vouloir entraîner l'OTAN dans une guerre nucléaire (et je ne parle pas seulement de ses actions délirantes contre la centrale nucléaire de Zaporijia...).
Sapir rejoint Bauer (que j'écoutais il y a 2 semaines sur RMC : vous voyez que malgré mon parti pris anti-franc-maçon, je les écoute, même si je ne souscris pas à l'intox de Branco, tête de gondole de la Fnac, quand il prétend qu'ils sont marginaux) sur le fait que les Occidentaux n'ont presque pas de chars à donner, et que de toute façon l'acheminement sera long : le réel résiste...
J'ai l'impression que cette pénurie militaire occidentale pourrait hâter le processus de paix en Ukraine, mais la difficulté est que tant que la Pologne (qui a des visées stratégiques sur l'Ukraine) et les pays de l'Est (la fameuse "nouvelle Europe" de George W. Bush fer de lance de l'impérialisme pendant la guerre d'Irak) sont considérés par les oligarques otanistes et leurs porte-parole (Von der Leyen, le Forum économique mondial) comme des héros au point de pouvoir humilier la France et l'Allemagne et les réduire au silence (voir l'enquête du très célèbre Seymour Hersh sur le sabotage de Nord Stream 2), on voit mal comment on peut revenir à une rationalité. Il faudrait que les faucons néo-cons du Pentagone aient intérêt à la paix. Le moins que l'on puisse dire est que Kissinger n'a pas eu leur oreille à l'automne dernier (mais le voulait-il vraiment ?).
A supposer même d'ailleurs que des pourparlers de paix puissent s'engager cette année, on voit bien que cette guerre sert à préparer les esprits à désirer la remilitarisation de l'Europe (réclamée à grands cris par les Etats-Unis depuis longtemps), et donc à de nouveaux conflits ultérieurs. Macron veut augmenter d'un tiers le budget militaire français dans les années qui viennent (il est vrai que nous n'avons même pas assez de munitions pour tenir une guerre intensive comme celle d'Ukraine pendant plus d'un jour et demi). L'ex président Hollande chez Apolline de Malherbe sur RMC (18e minute) le 6 février, proposait un impôt de guerre (en fait l'expression était avancée par la journaliste, Hollande a approuvé en l'insérant dans un propos plus large, et de Malherbe a remis les mots dans sa bouche devant Zemmour le 9 février - min 5'32 )- : des milliards de recettes à percevoir, alors qu'on force les Français à avaler une réforme des retraites pour quelques milliards (milliards que d'ailleurs on a ne serait-ce qu'avec le fonds de réserve pour les retraites - FRR et les fonds des complémentaires privées, je referme la parenthèse). Même le Sénat (censé faire preuve d'un peu plus d'indépendance d'esprit par rapport aux modes du temps, comme il l'a fait pendant quelques jours - seulement - sur la question de la constitutionnalisation de l'avortement) appelle à préparer une guerre de haute intensité...
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En attendant, l'Occident perd clairement la bataille politique sur la scène internationale, et ternit son image, même s'il y a toujours des majorités à l'ONU pour condamner l'agression russe. Lavrov était en tournée cette semaine au Mali (où le gouvernement se fédère avec la Guinée et le Burkina) et au Soudan. Même au Pérou dans les villes andines où ils sont majoritaires, le 6 février, les partisans de l'ex-président de gauche Castillo incarcéré, victimes d'une répression sauvage, réclamaient l'intervention russe à leur secours et brandissaient d'immenses drapeaux de ce pays. Du reste habilement la Russie continue d'aider les pays pauvres (notamment en leur fournissant du blé gratuitement), alors que l'Occident, lui, pousse le cynisme jusqu'à refuser de lever les sanctions contre la Syrie pour permettre d'aider les victimes du tremblement de terre (voir l'article de Wa'el Alzayat du groupe sioniste néo-conservateur Emgage et ex-conseiller de Samantha Power dans le Washington Post du 9 février 2023 - idem pour le caniche français).
Les séismes en Turquie et en Syrie probablement sans rapport avec HAARP
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L'existence du programme de recherche aurorale active à haute fréquence (HAARP) de l'Armée de terre en Alaska fait partie des sujets importants lorsqu'on parle des modifications climatiques, sujet tabou que j'évoque d'ailleurs dans mon prochain livre car il fait partie des éléments qui viennent contrer le mythe de l'empreinte carbone qui serait la cause d'un "réchauffement" actuel. HAARP.
Le sujet a aussi été beaucoup évoqué sur les réseaux sociaux occidentaux depuis 48 heures à propos des tremblements de terre (plus de 7 sur l'échelle de Richter - 130 bombes atomiques en puissance) qui ont provoqué des milliers de morts en Anatolie et en Syrie.
La Syrie reste diabolisée et la Turquie qui commerce avec la Russie, empêche la Suède d'intégrer l'OTAN et s'apprêterait à se retirer de cette organisation. Le tout juste après que l'UE ait fermé ses consulats (mais il est vrai que c'était à Istanbul pour cause de menaces autour de l'affaire du coran brûlé en Suède, assez loin de l'épicentre des séismes). Ce pourraient être là les mobiles du crime.
La rumeur se répand, en particulier en Turquie, surtout du fait que des éclairs étranges ont été vus dans le ciel le lundi 6 à 3 heures du matin quelques secondes avant le premier tremblement de terre (par exemple à Antalya). De tels éclairs se produisent toujours lors d'opérations avec des champs électromagnétiques. Mais le point est controversé car les tremblements de terre provoquent souvent des "éclairs terrestres" (earth lightnings) du fait de la compression des charges électriques de quartz et de basalt (triboluminescence.). En outre les transformateurs électriques explosent aussi avec les tremblements de terre, ce qui crée des éclairs.
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Beaucoup font remarquer aussi que quinze jours plus tôt un nuage circulaire étrange avait été vu à Bursa non loin d'Istanbul... Mais là encore Bursa est loin de l'épicentre. Pourquoi y aurait-il eu une menace à Bursa, puis un séisme dans l'Est ?
Enfin, il y a l'argument de la programmation prédictive.
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Il est vrai qu'en 1997 le film Conspiracy Theory avec Julia Roberts et Mel Gibson faisait de évoquait l'utilisation du tremblement de terre comme "arme du futur". Le film racontait qu'un tremblement de terre d'une magnitude de 7,3 avait lieu en Turquie, que des milliers de personnes sont mortes. Deux ans après le film, un tremblement de terre de magnitude 7,3 se produisait en Turquie à Gölcük. Mais c'était il y a plus de 25 ans... et donc la prédiction s'est déjà réalisée...
Déjà en juin 2021, les États-Unis avaient fait exploser une bombe de 18 tonnes à côté de leur porte-avions. L'explosion s'est produite, nous dit-on, à environ 160 kilomètres des côtes de la Floride. Le navire, étonnamment, a résisté au test, mais la côte n'a pas si bien réussi: la station sismique a enregistré un tremblement de terre d'une magnitude de 3,9.
Des tremblements de terre artificiels ont été orgarnisés avec succès par Nikola Tesla dans son laboratoire à New York. A l'aide d'ondes électromagnétiques, il a pu provoquer un tremblement de terre artificiel d'une magnitude de 5 sur l'échelle de Richter.
Tout cela est probablement vrai, et, oui, les Etats-Unis ont sans doute les moyens de provoquer ce genre de phénomène. Mais dans le cas présent l'argument convainc peu, parce que la Turquie se trouve sur une faille géologique qui y rend les tremblements de terre fréquents. Si Washington avait vraiment voulu faire pression sur Erdogan, n'aurait-il pas plutôt visé son fief politique à Istanbul, épicentre de l'économie du pays, plutôt que les régions orientales pauvres, et alors même que les séismes ont aussi frappé des zones syriennes contrôlées par une opposition aux ordres de la CIA ? Sauf production de nouveaux arguments plus décisifs l'hypothèse d'une catastrophe provoquée par HAARP paraît donc pour l'instant peu plausible, même si, encore une fois, il ne fait pas de doutes que Washington a sans doute déjà eu recours à de la géo-ingénierie parmi les nombreux coups bas mis en oeuvre contre ses ennemis, et contre ses alliés et son propre peuple.
Les ghettos que Davos nous prépare
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Les milliardaires sont réunis à Davos en ce moment comme tous les ans dans le cadre du Forum économique mondial. Ils réquisitionnent tous les logements de la petite bourgade suisse, emploient une police spéciale pour les protéger, et, à l'abri des regards indiscrets, préparent votre avenir.
Malgré leur volonté de se dissimuler, leurs discussions sont au coeur des débats chez les chercheurs de vérité. Aujourd'hui même la presse russe discutait de leur volonté de développer les thérapies géniques (2 000 seraient en cours de développement en 2022, et cela pourrait représenter un marché de 20 milliards de dollars en 2027), avec toutes les manipulations qui vont avec, dont le génome DRD3 code pour les récepteurs dopaminergiques D3 qui sont la clé du bonheur des individus. Si vous ne coopérez pas, ils vous rendront malades, explique Pravda.ru, Mais, ajoute ce média, Poutine a vaincu le Covid sans les thérapies à base d'ARN et la Chine aussi a suivi sa propre voie si bien que les scientifiques chinois ont boycotté Davos cette année (mais le vice premier ministre Liu He lui y était).
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On comprend d'ailleurs que les Russes soient de plus en plus agacés par Davos, vu que le président ukrainien Zelensky s'y est encore rendu pour demander toujours plus de tanks et d'argent pour financer sa très sanglante guerre, guerre dont son ministre de la défense Reznikov a avoué le 5 janvier qu'elle était faite pour le compte de l'OTAN, une guerre qu'il faut mener sans fin jusqu'à la victoire ukrainienne selon la première ministre finlandaise, une guerre qui peut-être aussi joue un rôle de sacrifice rituel (il faut que du sang soit versé pour qu'une cause politique comme celle du mondialisme l'emporte).
Aux Etats-Unis, une intervention suscite des réactions : avant-hier celle de Bastien Girod, membre du parti des Verts siégeant au Conseil national suisse. Il y a expliqué comment amener la population à renoncer à son véhicule personnel et décrit un monde « idéal » basé sur ce qui ressemble à un « quartier de 15 minutes », ainsi que cela se fait déjà à Zurich. On appelle cela des "fifteen minutes cities" - les "villes du quart d'heure". Ce n'est pas une gloire pour la France : le terme a été inventé par un professeur de la Sorbonne, Carlos Moreno, et d'ailleurs Paris est sur les rangs pour adopter le modèle, comme Cleveland aux Etats-Unis, Séoul en Corée du Sud etc.
Le but est clair : jouer sur l'intox des émissions de carbone à l'origine du réchauffement climatique pour réorganiser les villes de sorte que les gens aient tous les services à 15 minutes de chez eux. Rien de révolutionnaire, direz-vous : on généralisera simplement l'envie que peuvent avoir les gens de diminuer les longs trajets fastidieux. Sauf que, dans ce modèle, couplé avec l'identité numérique et l'indexation de vos comptes bancaires à votre empreinte carbone comme Doconomy, on ne vous autorisera à sortir de ces périmètres de 15 minutes qu'exceptionnellement, en fonction de votre crédit social comme en Chine. Il ne s'agira plus d'envie mais d'obligation. Vous ne pourrez même plus aller visiter des proches à 200 kilomètres de chez vous, ou alors quand vous le ferez, vous devrez ensuite compenser en restant cloîtrés le reste de l'année, ou vous serez privés de viande pendant trois mois etc. Ce seront simplement des formes de confinement indolores dans des ghettos high-techs où les gens auront eu le cerveau tellement lavé par la propagande écologiste qu'ils ne verront même pas le problème.
Vous serez concernés, "tracés" comme du bétail, mais, évidemment, pas vos maîtres de Davos qui, déjà sont venus à leur réunion avec des jets privés conduits par des pilotes non vaccinés... (rien à faire : ils seront toujours au dessus des lois qu'ils vous imposent).
Vous ne vous en rendrez pas compte, quand cela arrivera, parce que, selon leurs projets, les dissidents taxés de "complotisme" ou d'être "d'extrême droite" auront été complètement marginalisés, de sorte que plus personne n'écoutera plus leurs avertissements. Richard Edelman, PDG de la société de communication Edelman (la première firme de relations publiques au monde), l'a redit aujourd'hui à Davos : il faut lutter contre la "droite" et la "désinformation" qui font diminuer la confiance de l'opinion publique dans les "ONG", ainsi qu'on l'a vu pendant la crise du Covid. Par ONG, il faut entendre les milices de jeunes globalistes financées par les milliardaires comme One, Global Citizen, ou Global Shapers (le "hub de Paris" de Paris organisait un happening avant hier, avis aux sociologues qui veulent étudier le profil des intervenants de cette soirée). Que nous concoctent Richard Edelman et ses amis des ONG pour continuer à conditionner nos cerveaux à grands coups de psy ops traumatisantes ? Nous le saurons bientôt...
La lutte continue...
Pfizer de plus en plus exposé
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Chez Pfizer, on n'a pas la conscience tranquille. James Latino de Project Veritas avait essayé il y a un peu plus d'un an d'interviewer V* G*, Directrice principale de la recherche mondiale du groupe (Senior Director of Worldwide Research). Il voulait lui poser une question : "Pourquoi avez-vous envoyé des courriels aux employés de Pfizer leur demandant de ne pas parler des lignées de cellules foetales que vous utilisez (pour le développement du vaccin anti-covid) ?". Et tout ce qu'il a obtenu, c'est de la faire détaler comme un lièvre...
Les lignées cellulaires, qui sont essentielles à la recherche médicale, sont des copies clonées de cellules de la même source qui ont été adaptées pour se développer en continu dans les laboratoires. Le fact checking d'Associated Press en octobre 2021 avait reconnu que les cellules issues de fétus de bébés étaient utilisées pour le contrôle des vaccins.
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Melissa Strickler (Melissa McAtee) ex-employée comme auditrice qualité chez Pfizer (pendant 5 ans), et qui a des convictions chrétiennes, avait divulgué des courriels internes qui montrent que les dirigeants (dont VG) de l'entreprise ont demandé à leur personnel de garder le secret sur l'utilisation de tissus fœtaux humains La lanceuse d'alerte avait déclaré qu'elle avait souvent voulu démissionner après le début de la fabrication de vaccins Covid à l'usine McPherson aux États-Unis (Kansas), mais qu'elle se sentait obligée de s'accrocher, jusqu'à ce qu'elle découvre une base de données d'e-mails qu'elle aurait partagée avec Project Veritas.
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Le même mois Strickler avait avancé que le vaccin contenait de la luciférase (dont on avait parlé à propos du tatouage à points quantiques de Bill Gates), et de l'oxyde de graphène ce que Pfizer avait démenti. Selon elle le vaccin brillait dans l'obscurité. Cette vidéo est censée prouver que les vaccins sont luminescents. Elle souligne aussi que le Remdesivir produit par Pfizer présentait les mêmes caractéristiques.
Le travail de divulgation de Project Veritas avait donné lieu à des échanges directs entre Pfzizer et le FBI très suspects fin 2021.
Aujourd'hui de nouveaux éléments apparaissent, grâce à des fuites organisées par Elon Musk, sur les pressions exercées par un membre du Conseil d'administration de Pfizer Scott Gottlieb sur la direction de Twitter pour supprimer des posts défavorables à leur vaccin, notamment du Dr Brett Giroir ancien commissaire de la Food and Drugs Agency. Gottlieb ex membre du FDA lui aussi avait été omniprésent sur les plateaux TV et auprès de l'administration Trump pour exiger un confinement strict en 2020.
Nous ne sommes peut-être qu'au début des révélations sur ces sujets.
Réunion de la Conférence des Peuples ouest-africains au Ghana
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150 militants issus de partis politiques, de syndicats, d'organisations communautaires, de groupes de femmes et d'autres mouvements sociaux notamment de 16 pays d'Afrique de l'Ouest se sont réunis à Winneba, au Ghana, du 8 au 10 décembre pour élaborer une stratégie commune de lutte dans le cadre de la Conférence des Peuples ouest-africains pour un nouveau monde. La conférence s'est ouverte sous la présidence de Philippe Noudjenoume, premier secrétaire du Parti communiste du Bénin et chef du Comité préparatoire intérimaire de la conférence, qui a invoqué l'esprit du premier Premier ministre du Ghana et icône du panafricanisme, Kwame Nkrumah qui avait déclaré en son temps que l'indépendance du Ghana n'avait de sens que lorsqu'elle était liée à la libération totale du continent africain. Il positionne le combat panafricaniste à la fois contre le djihadisme et contre l'OTAN.
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Philippe Noudjenoume, natif de la sous-préfecture d'Athiémé Iokassa, au sud-ouest du pays, est diplômé de droit public de la Sorbonne. Il a été parmi les fondateurs sous la direction de Pascal Fantodji en 1977 du Parti communiste du Bénin, parti clandestin sous la dictature marxisante de Mathieu Kérékou (et qui se disait alors pro-albanais). Le PCB a refusé la nouvelle constitution du Bénin dans les années 1990 et en 2011 Noudjenoume n'a pu présenter sa candidature à l'élection présidentielle.
Avant la conférence, dans une interview à Peoples Dispatch, le journaliste Kwesi Pratt Jnr., secrétaire général du Mouvement socialiste du Ghana, avait déclaré que les délégués examineraient les facteurs qui ont conduit au sous-développement de la région, ainsi que les moyens de mobiliser les peuples d'Afrique de l'Ouest pour s'assurer qu'ils peuvent contrôler leurs propres ressources. Il a noté que la réunion avait lieu à un moment où la métropole capitaliste tentait de provoquer la Russie et la Chine dans une guerre thermonucléaire qui aurait des conséquences dévastatrices. Dans ce contexte, a-t-il dit, la conférence serait solidaire des victimes de l'impérialisme et chercherait à renforcer le mouvement pour la paix.
Des diplomates de Palestine, du Sahara occidental, d'Algérie, d'Iran et de Russie, entre autres, étaient également présents à la conférence inaugurale. La conférence a aussi rendu hommage au juge récemment décédé Akuffo Hanaku directeur du département des relations internationales du Mouvement socialiste du Ghana.
La censure des réseaux sociaux en débat en Afrique de l'Est
Une organisation non gouvernementale (ONG) kényane et deux particuliers éthiopiens ont porté plainte, ce 14 décembre à Nairobi, au Kenya, contre la maison mère de Facebook et Instagram pour n'avoir pas retiré à temps des discours haineux de leur plateforme. Un des plaignants est un universitaire éthiopien d’origine tigréenne, Abrham Meareg, dont le père, Meareg Amare, professeur de chimie à l’université de Bahir Dar (capital de la région Amhara où les Tigréens sont une minorité) a été abattu le 3 novembre 2021 à la suite de publications calomnieuses. Un autre plaignant est un membre éthiopien d’Amnesty International, Fisseha Tekle, vivant au Kenya depuis 2015.
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Abrham Meareg est aujourd'hui réfugié à Minneapolis (USA), après un passage par la France. Une page Facebook appelée "BDU Staff" (qui n'a en fait rien à voir malgré les apparences avec l'université), qui compte 50 000 abonnés, a publié une photo de son père le 9 octobre 2021, disant qu'il se "cachait" à l'université et avait "commis des abus". Le lendemain, un autre message a été publié dans le même groupe. Celui-ci présentait également la photo du père de Meareg ainsi que le quartier où il vivait à Bahir Dar. Et cela comprenait de nombreuses fausses déclarations sur son père sur sa participation prétendue à des massacres, sur sa prétendue fuite aux Etats-Unis (alors qu'il était seulement à Addis-Abeba pour s'occuper de proches malades du Covid). Meareg a déclaré avoir signalé les deux messages immédiatement après avoir été alerté par un ami, mais Facebook n'a pris aucune mesure avant le meurtre de son père. Le premier de ces messages est resté en place le 8 décembre. Facebook a supprimé l'autre message, selon les documents.
Dans un pays comme l'Ethiopie (120 millions d'habitants) où beaucoup de gens ont un smartphone et un compte sur Facebook, les réseaux sociaux jouent un grand rôle. La femme du professeur décédé (qui ne sait même pas où son mari est enterré) a expliqué à la correspondante washingtonienne de Die Zeit , Kerstin Kohlenberg, dépêchée sur place, dans quelle angoisse elle avait vécu quand elle a su que cette page Facebook se déchaînait contre son mari dans le contexte de guerre civile. "Après le déclenchement de la guerre, les voisins (amharas) ont cessé de nous dire bonjour. Quand nous nous croisions, ils devenaient soudainement silencieux"... C'étaient nos amis ! Elle a demandé à son mari de rester à Addis pendant un certain temps. "Mais Meareg ne voulait pas. Il a dit que de toute façon il n'était pas engagé politiquement." La journaliste qui a interrogé une employée de la plateforme Facebook à Nairobi précise que ces employés gagnent 800 euros par mois et ont 50 secondes pour décider sur chaque demande de retrait de contenu.
"Il serait facile, accuse la journaliste, de supposer que Facebook se noie simplement sous le flot de publications. Mais un document de l'ancienne employée de Facebook et dénonciatrice Frances Haugen montre que la plateforme sait exactement qui a alimenté le conflit en Éthiopie. DIE ZEIT est en possession du document, qui était uniquement destiné à un usage interne chez Facebook et n'a jamais été destiné à être publié. Il décrit un réseau de comptes Facebook avec une chose en commun : ils sont tous connectés à la milice Fano. Ce réseau, indique le document, "fait la promotion de l'incitation à la violence et des discours de haine en Éthiopie".
Malgré sa prise de conscience, Facebook n'a vu aucune raison de supprimer les comptes."
Elle allègue aussi l'existence de documents selon lesquels "Mark Zuckerberg est cité comme disant qu'il prend en charge des algorithmes supplémentaires pour supprimer, ralentir la propagation et bloquer les contenus dangereux. Mais il revient ensuite sur sa déclaration en disant que ces algorithmes ne doivent pas affecter la croissance de la plate-forme."
L'affaire pose beaucoup de questions. A n'en pas douter le développement des réseaux sociaux nourrit effectivement une atmosphère de guerre civile. Et dans certains pays où la guerre est effective, cela provoque des morts (comme en provoquent aussi les simples diffusions de rumeurs "classiques" qui ne passent pas par les réseaux sociaux). Ici il y a quelques points un peu étranges, par delà l'émotion légitime que peut susciter la tragédie vécue par la famille Meareg : comment ce fait-il que le cas débouche sur une "class action" judiciaire ? quelles sont les forces financières qui ont accepté de le monter en épingle ? On voit que la presse libérale (centre gauche et centre droit) comme le Monde s'en emparent pour stigmatiser une fois de plus les réseaux sociaux et soulever des questions techniques sur l'usage des langues africaines. On perçoit là une volonté d'aboutir à toujours plus de finesse dans la censure. On a déjà vu à quel totalitarisme cela aboutissait en période de Covid ou sur la question climatique. Cette flambée émotionnelle, même si elle est en partie légitime, autour du cas éthiopien n'est donc pas forcément une bonne nouvelle pour nous. Enfin une dernière question : pourquoi est-ce un journal allemand qui envoie sa correspondante aux Etats-Unis enquêter en Ethiopie, alors que d'autres officines de presse se sont contentées de recopier les dépêches ? La correspondante semble s'être spécialisée dans les articles sur Facebook. Si Die Zeit lui paye le billet d'avion, est-ce que cela peut avoir un rapport avec le fait que les Allemands sont en de moins bons termes que les Français avec Biden depuis la crise ukrainienne et le sabotage de Nord Stream 2 (comme on l'a vu avec le dernier déplacement de Macron aux USA et avec le voyage de Scholtz en Chine ? ) ? Est-ce que l'Allemagne n'en profite indirectement pas pour régler quelques comptes au passage ?
Manifestations anti-dictature sanitaire en Chine : contre certaines caricatures
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J'ai critiqué souvent la dictature sanitaire en Chine, le crédit social chinois, la sympathie de Klaus Schwab, Rishi Sunak et Bill Gates pour ce modèle etc. Pour autant il faut éviter de verser dans la caricature et je note un fil de discussion intéressant sur Twitter d'un entrepreneur français, et tour operator, Arnaud Bertrand, qui incite à se méfier de l'enthousiasme actuel de nos médias pour la vague de manifestations contre la politique du "Zéro Covid" qu'aurait déclenchée la nouvelle d'un incendie mortel survenu jeudi 24 novembre à Urumqi, capitale de la province chinoise du Xinjiang, incendie sur lequel les pompiers n'auraient pu intervenir à cause des règles sanitaires.
"Un aspect intéressant des manifestations en Chine, écrivait-il le 28 novembre, est qu'elles brisent plusieurs mythes persistants sur le pays.
1) Les Chinois ne peuvent pas protester. Il y a en fait des centaines, voire des milliers de manifestations en Chine chaque année. La visibilité de ces manifestations particulières qui ont lieu à plusieurs endroits, ce qui montre que contrairement à ce qui se dit, les gens en Chine protestent
2) la Chine serait un Etat policier. Toutes les vidéos circulant sur Twitter de personnes se disputant avec des policiers, montrent qu'il y a en fait très peu peur de la police en Chine.
Quelque chose qui m'a vraiment surpris quand je suis arrivé dans le pays (les Chinois sont plus agressifs avec les policiers que dans la plupart des autres pays) : Une fois à Tianjin, j'ai même entendu un policier dire à une femme "si tu mords encore la police, tu seras arrêtée !"
3) Les Chinois ne savent pas ce qui se passe dans leur propre pays. C'est l'un des mythes les plus stupides : mon expérience est que les Chinois sont en fait beaucoup plus conscients de ce qui se passe en Chine que les étrangers !
Bien que les informations officielles aient démenti la thèse que les pompiers ont été délibérément empêchés d'intervenir, c'est l'information qui s'est répandue partout en Chine presque instantanément. Cela démontre qu'il existe des réseaux d'information étendus qui atteignent l'ensemble de la population même si les informations en question ne concordent pas avec les médias d'État.
4) Le gouvernement chinois a le « contrôle total » de la population : score de crédit social, bla bla bla.
Pour la énième fois, le score de crédit social est un mythe, et non, évidemment, le gouvernement chinois n'a pas le contrôle total de la population. Si les gens sont largement en désaccord avec quelque chose comme c'est de plus en plus le cas avec le zéro covid, la situation peut évidemment vite devenir insoutenable pour le gouvernement
5) Cela détruit également le mythe selon lequel, au cours des 30 dernières années, il y avait beaucoup de colère réprimée et cachée contre le gouvernement en Chine De nombreuses études, comme celle de Harvard , ont montré que c'était totalement faux mais ce mouvement de protestation le démontre aussi : si le peuple chinois pouvait en fait protester depuis le début, si la Chine n'est pas un État policier, si le gouvernement ne le fait pas...
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6) Enfin et surtout, cela montre qu'on vous a largement menti à propos de la Chine, que l'image dominante - un monstre sombre d'un gouvernement avec une population complètement lavée de cerveau et sous leur contrôle total - est loin de la réalité qui est évidemment beaucoup plus nuancé.
Cela ne veut pas dire que le gouvernement chinois est impuissant. La Chine a un État très fort, cela ne fait aucun doute.
Mais il est loin d'être tout-puissant et, surtout, il repose sur la satisfaction du peuple, comme l'histoire de la Chine l'a prouvé à maintes reprises."
Un citoyen britannique confirme : "Pendant que je vivais à Shanghai, je peux confirmer que j'ai été témoin de nombreuses manifestations, toutes sans violence. Je n'ai jamais vu de policiers en tenue anti-émeute."
Le coopérant américain Noah Skocilich confirme aussi : "J'ai vécu en Chine continentale pendant la majeure partie de 2005 à 2017 et tout ce que vous avez dit ici correspond à mon expérience."
Concernant les manifestations actuelles, un certain "The Sky's the Limit" ajoute :
"J'aimerais ajouter quelques points supplémentaires.
1. Premièrement, les manifestations à Shanghai se déroulent près de chez moi. Les manifestants ne sont pas des Shanghaiens, mais des Taïwanais et des Hongkongais favorables à la souveraineté vivant à Shanghai. Le plan est de transformer Shanghai en un autre Hong Kong. Il y a une organisation derrière tout ça.
La colère des gens n'est pas sans raison. Les circonscriptions locales ont un pouvoir dérisoire et ce sont elles qui conspirent contre le gouvernement central,/2 aidé et encouragé par l'argent offshore. Ces circonscriptions ont aggravé la situation plusieurs fois dans l'espoir de galvaniser le soutien contre le gouvernement central. Il semble qu'ils aient obtenu un certain succès dans ce domaine. /3 Les 2 premières années de zéro-Covid ont connu des temps sombres en Occident, alors que les gens voyageaient et vivaient généralement bien en Chine. La politique, depuis avril, s'est assouplie mais les choses ont commencé à se dégrader."
Ayant moi-même eu l'occasion de dénoncer dans mes livres les fantasmes occidentaux sur les soi-disant Etats policiers qu'auraient été la Serbie, la Transnistrie, l'Abkhazie etc, je ne peux qu'être intéressé par ces arguments...
Réchauffement climatique : la géo-ingénierie, et d'autres facteurs, plutôt que le carbone
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On ne vous le dit jamais dans les médias propagandistes obsédés par les émissions de carbone, mais il existe 10 000 actions humaines plus ou moins secrètes qui agissent sur le climat et dont le commun des citoyens ne peut être du tout tenu pour responsable. L'économiste américain Mark Skidmore les a exposées récemment.
Il souligne qu'aux USA on peut demander à des compagnies privées de créer des nuages sur une région. On ignore si le gouvernement fédéral le fait aussi. Des pays comme les Emirats arabes unis déclenchent des pluies artificielles avec des drones qui envoient des décharges électriques dans les nuages. Un système de modification du temps par satellite (SWMS) utilise des satellites terrestres pour exploiter l'énergie solaire afin de modifier la thermodynamique et la composition de l'atmosphère terrestre. En 2021, une équipe de l'Université chinoise de Tsinghua a aussi utilisé l'énergie sonore pour augmenter les précipitations sur le plateau tibétain. Au Canada l'Etat du Manitoba a aussi travaillé sur le changement climatique au cours des dernières années.
Il faut préciser que Skidmore, lui, adhère à la thèse de la Pr. Valentina Zharkova (sur le Grand solar minimum). Dans une nouvelle étude publiée récemment dans la revue Temperature, celle-ci démontre que le Soleil est entré dans le Grand Minimum Solaire moderne (2020 - 2053) qui conduira à une réduction significative du champ magnétique solaire et de l'activité comme pendant le minimum de Maunder. conduisant à une réduction notable de la température terrestre. Ce refroidissement global pendant le grand minimum solaire à venir peut compenser pendant trois décennies tout signe de réchauffement climatique et nécessiterait des efforts intergouvernementaux pour résoudre les problèmes de chaleur et d'approvisionnement alimentaire pour l'ensemble de la population de la Terre.
La baisse du champ géomagnétique (- 10 % en 150 ans) nous rend aussi plus vulnérables aux éruptions solaires (comme en 2019 quand cela a impacté le GPS). Le pole magnétique depuis 1900 se déplace depuis le Canada vers la Russie dans l'Antarctique. Le déplacement du Gulf Stream peut s'expliquer aussi bien par le changement du champ géomagnétique que par les émissions de CO2. Le pole nord physique a changé et pouvait être autrefois au niveau de la Baie d'Hudson (d'ailleurs beaucoup de monuments anciens sont orientés selon un pôle situé au Groenland). Il faut aussi intégrer ces paramètres non-humains dans les facteurs du réchauffement.