L'Antéchrist islamique ?
L'embryon de gouvernement sous la tutelle d'une franc-maçonnerie luciférienne laisse entendre que l'Antéchrist pourrait régner sur le monde entier et être né en Occident (certains disent même d'une rejetonne de la tribu de Dan en exil). Mais une exégèse serrée des textes bibliques ne va pas dans ce sens. Joel Richardson le rappelait récemment, et, avant lui la Pakistanaise convertie au christianisme Sonia Azam. Pour eux il ne faut pas chercher à faire rentrer des éléments de l'actualité dans les textes sacrés en "tirant" leur interprétation, mais partir de ce qu'ils disent vraiment.
Or, le continuum des prophéties de l'Ancien et du Nouveau Testament tournent clairement autour d'Israël et situent tous les royaumes en cause eu Proche-Orient. Gog et Magog , rappelle Richardson, c'est la Turquie (pas la Russie comme le veulent certains exégètes chrétiens actuels. Lorsque le rêve de Nabuchodonosor interprété par Daniel identifie les empires babylonien, perse et grec, le dernier ne peut pas être Rome, car Rome n'a jamais englobé les trois précédents. . Seul l'Islam l'a fait. C'est cohérent, dit Richardson, avec le fait que l'Antéchrist ni la divinité de Jésus, et aussi avec le fait que l'Islam annonce que son "Mahdi" siègera à Jérusalem, et que Juifs et Chrétiens seront éliminés (ces derniers notamment ayant reçu de Jésus la révélation de l'erreur de la Bible). De son côté Sonia Azam attirait l'attention sur une prophétie qui concernait Bosra en Arabie nabathéenne, et rappelait que l'eschatologie islamique annonçait que la pierre de Kaaba parlerait à la fin des temps, ce qui en ferait l'image de la Bête. Et l'Apocalypse 9:13 évoque des anges délivrés au fond de l'Euphrate, tout se passe donc au Proche-Orient. Les deux évoquent aussi les décapitations censées marquer les persécutions de Chrétiens sous le règne de l'Homme de la Perdition.
On peut être sensible au souci de rigueur qui anime ces interprètes. Mais cela laisse sans réponse beaucoup d'aspects. On peut accepter avec Richardson l'idée que la règne de l'Antéchrist ne s'étendra pas forcément au monde entier (l'expression "toutes les nations" pouvant être métaphorique comme lorsque l'Ancien Testament parle de l'empire de Nabuchodonosor étendu à toute la Terre). Mais comment pourrait prendre place dans un dispositif uniquement proche-oriental la prophétie sur le fait que personne ne pourra acheter ni vendre sans la marque de la Bête ?
Ce n'est pas la seule question que pose cette lecture. En voici d'autres. Si le centre du problème est autour d'Israël et de l'Islam, cela signifie-t-il que l'Europe et l'Amérique subiront moins les persécutions de l'Antéchrist parce que nous ne serons pas à l'épicentre du conflit final ? et se peut-il que le mondialisme luciférien actuel soit seulement l'arbre qui cache la forêt par rapport au danger premier du point de vue de Dieu que serait l'Islam ? Si tel est le cas, c'est Eric Zemmour qui serait plus proche d'une vérité théologique que Florian Philippot (pour prendre des exemples à droit de la droite susceptibles de parler au grand public - je ne crois pas qu'à gauche la question de l'Islam soit posée en tant que telle). Richardson essaie de poser le problème de manière à ce que cela ne ressuscite pas les guerres de religion entre Chrétiens et Musulmans en rappelant que ce ne sont pas les croyants musulmans qui sont en cause, mais une part de leur eschatologie qui risque d'en pousser certains à assassiner massivement des Chrétiens (comme ce fut déjà le cas dans le cadre de Daech et Al Qaida).
Personnellement je n'ai pas de position pour l'instant sur ces questions exégétiques (qui sont bien sûr très importantes car on ne peut pas se dire chrétien si l'on ne se demande pas ce que contiennent les prophéties de nos textes sacrés, lesquelles donnent une direction à notre avenir collectif).
J'observe seulement que ce courant d'interprétation débouche sur une interrogation cruciale : et si tout ce tapage de l'oligarchie globaliste en faveur de l'esclavage mondial et du règne de Satan n'était, à l'échelle de l'Histoire, qu'un rideau de fumée susceptible de s'effondrer dans dix ou quinze ans comme ce fut le cas auparavant de l'hitlérisme ou du stalinisme ? Une question que nous avons le droit de garder dans un coin de notre tête si l'on veut éviter de nourrir, à notre insu, un Antéchrist de fer en croyant en combattre un autre qui serait simplement fait de papier mâché.
Zelensky-Abramovic
Zelensky, de plus en plus en froid avec tout le monde (surtout quand il s'amuse à amener un ancien combattant de la division SS Galicia au parlement canadien), y compris les Polonais, demande à l'artiste occultiste Marina Abramovic d'être son ambassadrice pour la reconstruction des écoles en Ukraine, Abramovic qui s'était fait connaître notamment par sa "cuisine spirite" et ses fréquentations de réseaux pédophiles.
Cet aspect spirituel ne choque pas l'opinion publique, habituée à voir des artistes s'exhiber avec des croix inversées sataniques (cf Mylène Farmer ici à droite, une photo très récente) ou des signes du MK Ultra. De même personne n'avait trouvé bizarre qu'il offre au pape une icône de la Vierge où l'enfant Jésus était effacé.
C'est pourtant dans ce genre de détail que le régime de Kiev qui sacrifie aujourd'hui le sang de son propre peuple, révèle sa nature profonde (voyez aussi en mars 2022 la mobilisation pour Zélensky des satanistes Céline Dion, Billie Eilish, Elton John sous les auspices du joujou des multinationales mondialistes Global Citizen).
Situation dans le Caucase
J'ai publié récemment une tribune sur Abkhazworld qui commence à être commentée dans la diaspora circassienne.
Au même moment, la reddition des milices d'auto-défense du Haut Karabakh rebat les cartes dans le Caucase. Maxime Chevtchenko, sur Pravda.ru, journaliste chef d'un Parti russe de a liberté et de la justice dont le sigle singe l'ex-PCUS, explique que la mainmise de l'Azerbaïdjan sur le Haut-Karabakh réduit l'Arménie de Nikol Pachinian, ralliée aux Occidentaux à la portion congrue et la prive désormais de tout poids sur la scène internationale, et notamment de toute faculté de diviser une coalition russo-irano-turque anti-américaine. Il en conclut que les membres de l'OTAN vont, du coup, désormais investir tous leurs efforts sur la Géorgie en y provoquant un coup d'Etat.
Le réel ne passera pas
Dimanche 17 septembre 2023, à la Fête de l'Humanité, Ritchy Thibault, gilet jaune, co-fondateur du collectif Peuple révolté s'est invité au débat organisé entre le député PCF du Nord, Fabien Roussel, et Edouard Philippe ex-premier ministre candidat, actuel favori de l'oligarchie pour la prochaine présidentielle, afin de souligner que ce dernier avait "du sang sur les mains" et était un "éborgneur" (cf vidéo du Média ci-dessous). Ce jeune militant a été immédiatement et brutalement exfiltré par le service d'ordre pour que les politiciens professionnels puissent débattre "entre gens de bonne compagnie".
Il ne faisait pourtant que dire la vérité, et il aurait pu ajouter aussi que le maire du Havre était co-responsable avec Macron et les oligarques internationaux du premier confinement criminel pendant la psy-op du Covid 19. Mais il ne faut pas trop souligner tout cela, même dans les milieux de gauche (qui avaient été si timidement pro-gilets jaunes, et si absents pour s'opposer au confinement), et conserver l'image d'un gentil "Doudou" avec qui on peut sagement discuter et qui aurait juste le tort d'être un peu trop "centriste" (tu parles, un vrai Adolphe Thiers oui !).
Comme je l'avais raconté dans l'Ingérence de l'OTAN en Serbie, la publiciste parisienne Elisabeth Lévy, du temps où elle m'invitait à dîner chez elle, avait pondu un article intitulé "Le réel ne passera pas" (alors d'ailleurs que ses propres amis faisaient le nécessaire pour couler la part de réel que j'avais moi-même à faire "passer" sur les Balkans en me faisait miroiter la publication d'un bouquin chez Albin Michel pour ensuite flinguer cette possibilité). Un journaliste du Monde Diplo qui m'écrivait hier pour chercher des contacts à Belgrade afin d'y enquêter sur les événements de 1999 me faisait repenser à tout cela.
En réalité, le fait que le réel ne puisse "pas passer" est une constante depuis 25 ans. Et aujourd'hui comme hier, on a le choix entre un journalisme mainstream aux ordres, et un théâtre de marionnettes de faux opposants embourgeoisés, dans les meetings soi-disant "communistes", ou, pire, dans les vidéos ridicules de YouTube (j'englobe dans cette liste les youtubeurs nombrilistes demi-habiles façon Rougeyron, Asselineau, Collon etc). Tous sont là pour normaliser, simplifier, caricaturer le réel, pas pour le faire passer. Et les gens sincères qui auront des choses désagréables à rappeler, après avoir été éborgnés, placés dans des gardes à vues arbitraires, avoir perdu leur job etc, pourront éventuellement être instrumentalisés par ces talking heads pour un ou deux coups d'éclats médiatiques. Mais, soyons en certains : le réel, lui, avec toute sa profondeur, ne passera pas.
Des nouvelles de mon livre sur Cuba
Ça y est, chers lecteurs, je viens d'envoyer à mon éditeur le manuscrit définitif de mon récit de voyage à Cuba du printemps dernier. Vous allez être surpris car ce n'est pas le même éditeur que d'habitude. Et ce ne sera pas la seule source de surprise. Évidemment, je n'écris plus à 53 ans de la même façon qu'à 30. Je ne suis plus tout à fait le même homme, et je ne parle pas du même monde.
Il y a dans mon travail beaucoup d'allers-retours avec mes expériences d'autrefois, avec ce monde mort de la fin du XXe siècle, monde disparu de ma jeunesse, mais qui vit encore tout de même un peu à travers ce qu'il a engendré (la nouvelle guerre froide avec la Russie, les restes du communisme ici et là, du néo-libéralisme etc). Et je pousse la pratique des allers-retours plus loin encore grâce à ce nouvel outil qu'est Gallica. Je vous en avais donné un aperçu en mai dernier ici. Cela donne encore une profondeur supplémentaire dans l'approche du réel.
Je ne peux pas tout dévoiler de la démarche de ce livre qui, je le répète, en surprendra plus d'un. Peut-être en exaspèrera-t-elle aussi beaucoup. Mais elle peut apporter certaines choses car, comme dans mon récent livre sur le stoïcisme, j'y ai glissé un certain nombre d'éléments sur l'oligarchie mondialiste et ses inspirations spirituelles (mais aussi sur celles qui inspirent des pseudo-résistances) qu'on ne trouve pas partout, c'est le moins qu'on puisse dire. Bref il y a beaucoup de moi-même dans ce livre et de mes réflexions des dix dernières années.
Je pense qu'avec les nouvelles techniques que j'ai mises en œuvre pour rédiger cet ouvrage de 200 pages (avec l'enregistrement sonore systématique des choses vécues, la prise de photos abondante etc), j'ai rodé des méthodes que je pourrais aussi appliquer à d'autres pays (pourquoi pas la Lettonie, ou un pays africain ?).
Mais ce serait là une solution de facilité. Il ne faut pas s'enfermer dans un genre, ni dans un rôle. Je ne suis pas un écrivain, ni plus largement un intellectuel. Je suis un ramasseur de pissenlits au fond de mon jardin, et rien d'autre. Je prends la plume quand je n'ai pas le choix, parce qu'il faut absolument que j'exprime quelque chose sur moi ou sur tel aspect du réel (je précise d'ailleurs que je ne parle de moi qu'à l'appui d'une description plus fine de la réalité, en montrant quel filtre perceptif ma personnalité m'incline à appliquer, mais nullement par complaisance narcissique). Il fallait que je montre Cuba, parce que Cuba synthétise des questions qui ne me sont pas "bêtement" personnelles (des questions sur le socialisme, le christianisme, la sorcellerie, la lutte des classes, l'impérialisme, le féminisme, l'esclavage etc), mais personnelles parce qu'universelles, personnelles parce qu'agissant en moi comme en tout homme.
Je n'ai aucune raison de m'installer dans un rôle d'auteur de récits de voyages si cela ne correspond pas à une nécessité impérieuse (à vrai dire même si c'est là le dernier livre de ma vie cela m'arrangera tout à fait). Le seul rôle auquel je m'identifie en réalité est celui d'arracheur de pissenlits au fond de mon jardin. Du moins tant qu'il me sera donné d'avoir encore un jardin.
Un nouveau lobby parlementaire anti-chinois
L'Alliance interparlementaire pour les affaires chinoises (IPAC), depuis 2020, regroupe des parlementaires de l'UE, du Japon et des États-Unis. Elle est principalement financée par le gouvernement américain et l’Open Society Foundation du milliardaire George Soros. Son objectif est de convaincre les opinions publiques de la thèse atlantiste selon laquelle la Chine est une autocratie qui menace l’ordre international.
Elle a par exemple fait du lobbying en Grande-Bretagne en février dernier pour empêcher la visite d'Erkin Tuniyaz, le gouverneur de la région chinoise du Xinjiang. Le 11 avril elle avait aussi fait opposition aux déclarations du président Macron lorsqu'il avait prôné la neutralité dans le conflit entre Pékin et Taiwan.
On trouve dans l'IPAC parmi les poids lourds l'ancienne Première ministre britannique Liz Truss et l'ancien Premier ministre australien Scott Morrison
En 2020 siégeaient dans cette association des parlementaires des pays suivants : les Etats-Unis (comme le républicain Marco Rubio), l'Australie, le Canada, l'Allemagne, le Japon, la Norvège, la Suède, le Royaume-Uni et le Parlement européen. Aujourd'hui il y en a une trentaine. Des pays comme la Tchéquie, la Roumanie, la Suisse, l'Albanie, l'Irlande, l'Ukraine, les Pays-Bas, la Lituanie ont rejoint la liste. Parmi les signataires de l'appel de l'IPAC pour le 30e anniversaire de l'imposition de la loi sur sécurité nationale à Hong-Kong, en juin dernier, on trouvait le sénateur UDI Olivier Cadic et l'eurodéputé français républicain François-Xavier Bellamy. L'eurodéputée français républicaine Constance le Grip et le sénateur ex-écolo membre de LREM André Gattolin figurent parmi les vice-présidents (dans les vice-présidents des autres pays sont plutôt choisis pour représenter à la fois la gauche et la droite)
Des députés du Kenya, du Paraguay et des Philippines (quia deux vice-présidents : un centriste libéral et une écologiste) se sont aussi rendues ce mois-ci à une réunion de cette association en Tchéquie.
Il conviendra de suivre les activités de ce lobby dans les mois qui viennent.
Elon Musk, l'Etat profond et l'affaire Epstein
On sait qu'Elon Musk, le patron de Tesla, pseudo-héros de l'Amérique conservatrice, a décidé en 2022 de mettre son dispositif de satellites Starlink à disposition du régime de Kiev après l'attaque russe. Sans cela, l'Ukraine n'aurait plus eu d'accès à Internet et le conflit serait terminé depuis longtemps (c'est-à-dire que les 500 000 soldats ukrainiens ne seraient pas mots pour rien et l'Occident aurait économisé les dizaines de milliards d'euros engloutis dans cette cause perdue). C'est parce qu'il a rendu ce service à l'Etat profond américain (qui voulait cette guerre, précieusement secondé dans sa préparation par François Hollande et Angela Merkel), qu'il a pu ensuite proposer (pour la forme ?) un plan de paix hâtivement rejeté par Zelensky. Ce qu'on ignore plus souvent, c'est que ce faiseur de guerre et de paix a aussi empêché Kiev (sans doute aussi avec la bénédiction de Washington) d'attaquer la flotte russe à Sebastopol. C'est Walter Isaacson qui le révèle dans un livre à paraître dans plusieurs langues, en français le 11 septembre prochain chez Fayard (date très symbolique dans les milieux occultistes, il semble que l'éditeur ait changé cette daté récemment, mais elle était bien celle initialement retenue cf capture d'écran) :
Isaacson y explique que Musk a ordonné à ses ingénieurs de fermer le réseau Starlink quand Kiev a vous attaquer Sébastopol. Musk sur X ex-Twitter qu'il possède a précisé "qu'il n'avait pas ordonné que les satellites Starlink soient éteints , mais qu'ils n'étaient même pas allumés.", une pirouette qui ne piègera que le gogo. "Si j'avais accepté leur demande, Space X aurait alors été complice d'un acte de guerre majeur et d'une escalade du conflit" a expliqué le milliardaire.
Musk veut se donner l'image d'un libre-penseur, par exemple quand il déclare le 15 mai dernie que le milliardaire pro-démocrate Soros lui fait penser à Magneto, l'adversaire de l'humanité dans la BD X-Men,
Whitney Webb, 33 ans, qui a travaillé sur l'affaire Epstein dans toutes ses dimensions pédophiles mais aussi sur les partenariats public-privé et la corruption générale de l'Etat (par exemple le détournement de l'aide à l'Ukraine vers le Parti démocrate via la société de crypto-monnaie FTX) rappelait il y a trois mois sur Valuetainment de Patrick Bet-David que Musk doit une bonne partie de sa fortune aux contrats d'Etat avec le Pentagone sous le mandat de Trump, et qu'avant même cela il avait été introduit dans les cercles d'Epstein et Maxwell (liés au Mossad, au MI6 et à la CIA). Kimbal Musk, frère cadet d'Elon, membre du conseil d'administration de Tesla et de SpaceX a été présenté à une membre de l'entourage d'Esptein qui vivait au 301 Est de la 66ème rue à Manhattan où habitaient des mannequins de son réseau, ce qui a pu faciliter le développement de Space X.
James Stewart du New-York Times a révélé en août 2019 qu'Epstein avait prétendu avoir aidé Musk à trouver un autre président pour Tesla, au moment où il était proche du leader saoudien Ben Salmane (lui-même dans la mouvance de Jared Kushner; le gendre de Trump). Le patron de la CIA en 2019 qui était proche de Muhammad Ben Nayef évincé en 2017 a d'ailleurs pu jouer un rôle dans l'arrestation d'Epstein pour mettre en difficulté l'axe Kushner-Ben Salmane.
Whitney Webb fait référence à la galaxie d'affaires Jonathan Barrett, Luminous, LS Power, Bear Stearns, Marc Rich. Parallèlement au réseau sexuel, Epstein utilisait pour ses "influence ops" des jeunes femmes diplomées dont il encadrait les études et qu'il aidait à se marier avec des gens puissants. La petite amie de Trump avant Mélania, la norvégienne Celina Midelfart, petite fille du fondateur de l'entreprise de cosmétiques Midelfart, diplômée de l'école de commerce de l’université de new York en 1998 aurait été présentée à Trump par Epstein. Melanie Walker liée à la connection Bill Gates-Epstein fut une de ces diplômées utilisées pour la politique d'influence d'Epstein. La fondatrice de holding Nicole Junkermann, ancienne modèle maintenant mariée à un milliardaire septuagénaire italien du pétrole, aussi est une de ces femmes, semble-t-il. En septembre 2002, juste avant la guerre d'Irak, dans une maison qui appartient à Wexner, elle était au bras d'Epstein avec une femme brune inconnue et a été "prêtée" à deux sénateurs américains. Vous avez le pédigrée de Nicole Junkermann ici où elle est présentée comme la "parfaite James Bond Girl" Elle est l'une des directrices de Carbyne. solution pour appels d'urgence intégré, fondée par des vétérans israéliens de l'unité 8200 (renseignement électromagnétique), qui collabore avec les centres d'urgence américains 911 . Le président du conseil d'administration est Ehud Barak, ancien Premier ministre d'Israël, ancien chef du renseignement militaire d'Israël et proche d'Epstein. A la tête de NJF Holdings, elle a investi dans Space X (et une de ses entités va fournir de la nourriture hors sol à Space X). Ces gens sont engagés dans la lutte pour la propriété des datas sur les gens qui est le pétrole du XXI siècle pour tout contrôler (voir aussi le projet ID-2020 partenariat public-privé sous les auspices de l'ONU et la Fondation Rockefeller et Gavi avec toute la logique de l'analyse prédictive pour ficher les gens en vertu de leur "criminalité potentielle dans l'avenir, Junkermann est aussi infiltrée dans le système de santé britannique, voyez aussi la livraison des data de l'Health Data Hub français et la trahison de Von Der Leyen en 2022).
Dans cette logique de la course aux datas, le chinois Tencent qui possède WeChat est le premier investisseur de Tesla, ce qui rend également suspecte la volonté officielle de Musk de contrer la Chine, tout autant que sa prétention à n'avoir aucun rapport avec la mouvance Soros-Epstein-Gates.
Chris Hedges sur Elucid
Une excellente interview du journaliste américain dissident Chris Hedges sur Elucid ci-dessous. Ca au moins ce n'est pas du Jacques Julliard.