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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #les rapports hommes-femmes tag

Le "bal des célibataires" version chinoise

7 Mai 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Le monde autour de nous, #Les rapports hommes-femmes

Un reportage de Zhe Wang et Gael Caron sur les Chinois qui vont "acheter" des épouses dans des villages vietnamiens où il n'y a même pas d'électricité. Un simple deal économique dans lequel les sentiments n'ont pas de place. Mob titre renvoie au célèbre livre de Bourdieu.

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Angélique et le Roy

9 Avril 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Cinéma, #Le monde autour de nous, #Les rapports hommes-femmes, #Grundlegung zur Metaphysik, #Divers histoire, #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #Colonialisme-impérialisme

Je regardais tantôt, en déjeunant, sur Paramount TV, un morceau d' "Angélique et le Roy", charmant petit film des années 1960 qui rappelle le temps où la France avait encore une culture sûre d'elle, qu'elle mettait même en scène dans ses bleuettes pour caissières de Prisunic.

On ne se torturait point l'esprit, en ce temps là, avec le "wokisme"(une idéologie qui n'a cependant pas que des défauts, même si elle en a beaucoup). On mettait en avant un féminisme de pacotille, qui servait plus à jouer avec le mâle qu'à le haïr. Et bien sûr il y avait alors un dedans et un dehors : dehors se trouvait le barbare - cet ambassadeur de Perse qui n'est bon qu'à violer. Les frontière entre les deux comme entre le haut et le bas étaient très claires, et, de ce fait, on pouvait s'amuser à tenter (mais tenter seulement) de les transgresser parfois.

L'ouvrier devait rêver (mais rêver seulement , en salle obscure) de marquisat. "Vous me trouverez à la cour, dont je suis" lance la marquise à l'ambassadeur après qu'il eût tenté de jouer avec elle. Dont je suis, dont vous n'êtes pas... et dont le téléspectateur n'est pas non plus.

Le film ne dit rien de la France de Louis XIV, et tout du regard que la bourgeoisie parisienne (ou parisianisée) des années 1960 portait sur elle, ou ce qu'il pouvait en rester à son époque... dans cette France qui se voulait encore un peu au dessus du monde...

Cette bourgeoisie qui commandait encore au pays en 1980 et 1990 n'était bien sûr pas disposée à m'intégrer en son sein. J'ai eu beau avoir ses diplômes, je n'ai jamais maîtrisé ses codes (ses manières, son accent), ni sa tournure d'esprit.

Il n'y a par exemple jamais eu la moindre familiarité entre moi et les lieux de la noblesse du bassin parisien comme Reims, Versailles ou Senlis, lieux dans lesquels nos bons bourgeois projetaient leur imaginaire (je suis un homme des périphéries, voyez ce livre, comme l'amusant et chaotique Juan Branco qui disait il y a cinq jours avoir défendu face à Mélenchon la grandeur de Louis XIV, mais lui a grandi à Paris et dans les jupons occultistes de Catherine Deneuve... pas moi).

Qu'aujourd'hui cette bourgeoisie en ait enfanté une autre qui a vendu l'âme de la France à l'empire américain et à son élite sataniste et globaliste est son problème plus que le mien. Asselineau a beau agiter les grigris eurasiatiques pour rompre cet envoûtement, ce n'est pas par cette voie qu'il arrachera sa terre au purgatoire.

La bourgeoisie des années 1960 avait préparé le chemin, non seulement en s'apprêtant à voter pour Giscard et Mitterrand dix ans plus tard, mais déjà en méprisant le christianisme et les racines spirituelles profondes de l'hexagone. Dans Angélique on vénère les richesses matérielles, les belles robes, le sexe de la femme que les nobles se disputent... et l'on cherche des substances alchimiques pour acquérir des pouvoirs magiques.

Comme dans Pif Gadget (alors communiste), Dieu est absent.

Aujourd'hui Pif Gadget interviewe Macron. Si la Marquise des Anges reprenait vie, elle aurait maintenant les traits d'un "transgenre" amoureux de notre président, dans un monde sans frontière (plus de haut, plus de bas, plus de nous et plus d'eux, plus de mâles ni de femelles, plus de bien plus de mal), et sans l'artifice de l'élégance versaillaise, même une élégance kitsch, pour dissimuler la chute du pays.

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Mylène Demongeot (1935-2022)

7 Décembre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Cinéma, #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Les rapports hommes-femmes

L'actrice Mylène Demongeot est décédée il y a 6 jours d'un cancer du péritoine. Tous les Français de ma génération la connaissaient pour son rôle dans Fantomas. Ses autres films passaient peu à la télé. J'avais été étonné d'apprendre que l'inventeur de Goldorak s'était mis à dessiner des filles nues en manga après l'avoir vue sortir nue de la mer dans une salle de cinéma. Il faut dire qu'elle avait débuté sa carrière comme cover girl. On oublie un peu trop le rapport entre la nudité féminine et certaines influences néfastes dans le monde invisible, que nous rappelle opportunément l'affiche du dernier film "VVitch"...

Dans l'émission La Vie De Château sur FR3 le 15/06/1985 interviewée par l'acteur Jean-Claude Brialy, Mylène Demongeot expliquait avoir eu une chouette et un serpent (comme Romain Gary) chez elle...Nous savons bien à quoi la chouette renvoie, y compris sur le T-shirt de notre président et sur les albums de Pat Benatar, ou dans l'imagerie de Stevie Nicks, chanteuse du groupe Fleetwood Mac auteure d'une chanson sur la sorcière Rhiannon...

Mylène Demongeot à 21 ans avait joué un rôle sulfureux dans le film Les Sorcières de Salem. Elle n'avait peut-être pas complètement conscience des ombres qui la suivaient.

En 2020, elle avait dû sa guérison du coronavirus au protocole Raoult, puis avait fait savoir qu'elle refuserait le vaccin, et s'opposait à la dictature sanitaire.

En parlant du coronavirus, l'autre chanteuse de Fleetwood Mac, Christine McVie est décédée la veille du trépas de l'actrice française. Emma Winters de Music Times a fait état d'informations selon lesquelles ce décès pourrait être une conséquence de l'injection ARN anti-Covid, l'explication officielle par des "problèmes de dos" étant peu plausible.

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Quelques considérations sur les Valois

6 Novembre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Renaissance - Auteurs et personnalités, #Grundlegung zur Metaphysik, #Béarn, #Divers histoire, #Les rapports hommes-femmes

Vous savez que sur ce blog on s'intéresse un peu à la descendance des rois de France auxquels beaucoup de mystiques ont prêté un destin eschatologique surnaturel qui ne s'est pas à ce jour vérifié, ce qui m'a conduit à m'intéresser à l'alchimiste Pierre Dujols qui disait être le frère du dernier héritier légitime des Valois, et bien sûr à la soeur du premier souverain de la dynastie des Valois, le grand François Ier, constructeur de Chambord, Marguerite de Navarre, personnage qui a marqué ma région natale, et qui a intrigué beaucoup des ésotéristes comme Gaston Leroux et Richard Khaitzine.

Je peine à cerner ce personnage, notamment l'univers spirituel dans lequel elle évoluait. Les protestant lui savent gré d'avoir ouvert la voie à la Réforme (d'ailleurs sa fille, la mère du futur Henri IV, transforma Pau en "petite Genève"), les catholiques le lui reprochent, comme le Marquis de la Franquerie et pensent même que son penchant hérétique causa bien des malheurs à son frère et à sa lignée.

A vrai dire, la question est un peu complexe. Patricia Lojkine dans son dernier livre sur cette reine montre que les choses furent assez complexes. Avec toutes les charges ecclésiastiques qu'elle avait comme duchesse puis comme reine du Béarn, et surtout comme soeur du très chrétien roi de France, elle ne pouvait pas aisément pencher du côté de la Réforme quand bien même elle l'eût voulu. Et de toute façon, il me semble que son pèlerinage à la Sainte-Baume en janvier 1516 avec son frère et sa mère, et la protection que sa famille accordait à des intellectuels très attachés à la dévotion de Marie-Madeleine comme Lefèvre d'Etaples ou François de Moulins de Rochefort, paraissent exclure.

Et d'ailleurs, il faut aller plus loin. Il faut interroger plus en profondeur le rapport de Marguerite de Navarre au culte de Marie-Madeleine, ce qu'elle a voulu dire, dans la nouvelle 32 de son Heptaméron allégorique de la sainte repentante quand elle y mêle le peintre alchimiste Perreal.

Et il faut s'interroger sur le rapport de cette reine au spiritisme. J'ai évoqué cette scène narrée par Brantôme de la reine de Navarre à Pau en 1549 passant sur la tombe de la jeune Mlle de La Roche et sentant son cadavre se mouvoir. En septembre 2020 j'ai interrogé Bibliothécaire assistante spécialisée au Domaine du Château de Pau qui m'a répondu que Raymond Ritter, auteur de l’ouvrage « Le château de Pau » (Honoré Champion, 1919), rapporte également cette anecdote mais en précisant que les protagonistes se trouvent dans l’église de Pau. En effet l’ancienne église Saint-Martin, détruite en 1884, se trouvait en face du château, à quelques pas. Une étude archéologique et historique de l’édifice a été réalisé par Louis Lacaze qui indique que des pierres tombales (près de 90) formaient le sol de l’église, cependant la plupart étaient illisibles. De même on sait qu’un cimetière existait à l’est de l’édifice avant la construction du Parlement de Navarre. Les fouilles de la cour en 2014 et les diverses études des jardins n’ont pas fait mention de sépultures dans l’enceinte du château de Pau.

J'ai interrogé Mme Lojkine qui m'a expliqué qu'elle ne connaissait pas cette anecdote, mais qu'il en est d’autres rapportées par le même Brantôme concernant la curiosité de Marguerite pour le moment où l’âme quitte le corps (elle aurait observé une domestique pour guetter son dernier souffle)...

Si tout le monde s'accorde à voir chez Marguerite de Navarre un modèle de vertu (à part quelques indulgences pour les incartades charnelles de son frère), il y a plus d'une bizarrerie dans sa spiritualité, et je ne dis encore rien de la protection constante qu'elle accorda au proto-libertinage de Pocque et Quintin.

J'étais le 21 octobre dernier dans la cathédrale où elle est enterrée, comme je m'y étais déjà rendu dix ans plus tôt. A ma grande surprise j'ai pu constater qu'on ne peut plus approcher du tombeau comme auparavant. Peut-être l'évêque redoutait-il que le néo-féminisme autour de la reine n'attire les foules en ce lieu retiré.

Quant à François Ier, le roi chevalier, n'avait-il pas quelque rapport avec la "religion primordiale" ? Je passe sur les travaux de Didier Coilhac sur l'architecture occulte de Chambord et surtout sur ses conclusions hasardeuses sur une arche d'alliance enfouie vers laquelle celle-ci pointerait secrètement, pour simplement revenir à Pierre Dujols, ses "Nobles Ecrits" récemment réédités par le Mercure Dauphinois. Celui-ci a le sentiment que François Ier méritait son titre de chevalier là où beaucoup de souverains après lui l'usurpèrent, mais il prête à la chevalerie occidentale une sorte de spiritualité non-chrétien qui serait pratiquement dérivée du soufisme oriental (et d'une certaine façon, symbiotique avec le savoir des Templiers et de la première maçonnerie).

La clé du problème tient bien sûr à ce culte de l'amour courtois qui anime la chevalerie, culte que j'ai étudié pour la première fois dans mes jeunes années (en 1987) à travers Denis de Rougemont qui y voyait une hérésie dangereuse née chez les manichéens, transmise aux cathares et abâtardie par le roman du XIXe siècle et l'amour-passion hollywoodien. Il faut revenir à toute cette thématique, pour savoir dans quelle mesure les Valois en furent les héritiers.

Dujols se prévaut de Gabriele Rossetti "Il Mistero del Amor platonico del Mediovo" dont Etienne-Jean Delécluze (1781-1863), auteur de Dante Alighieri ou la poésie amoureuse, se fit le porte-parole en France. Dans cette école de pensée on prétend que Diotime de Mégare, grande prêtresse de Mantinée, aurait initié Socrate à la Religion d'Amour, religion qui "aurait fait son apparition en Italie et en France avec l'entrée des Isiaques et des Philosophes dans la ville de Rome" (p. 75). Pour mémoire, le premier isiacum de Rome remonte à la dictature de Sylla. Marsile Ficin le néo-platonicien florentin écrit dans un de ses ouvrages : "Que le Saint-Esprit, amour divin qui nous a été soufflé par Diotime, nous éclaire l'intelligence". Dans son Histoire de France Henri Martin fait remonter la chevalerie au druidisme, druides qui sont héritiers de Pythagore. Grasset d'Orcet, initié par Eliphas Lévi, fait remonter la Table ronde à Enée de Troie. Le Graal est "le vase païen du feu sacré" (p. 89), le gardal égyptien devenu grasal en provençal. Eugène Aroux (1793-1859) a bien développé nous dit Pujols la mystique de la chevalerie mais eut le tort de la relier à la noblesse de France, lien qui fut accidentel et non essentiel, d'ailleurs la chevalerie n'était pas héréditaire alors que la noblesse l'était. Souvent le chevalier était de petite noblesse (Fauriel, Cours de littérature provençale) et le mysticisme maçonnique qui l'animait avait plus sa place dans les couvents (cf Sur la Route Sociale de Lebey). Goerres a bien comparé, nous dit Pujols, les rites de chevalerie à ceux des païens.

J'ai parcouru le livre d'Aroux (qui était chrétien de stricte observance) "Les mystères de la chevalerie et de l'amour platonique". Sa thèse sur Dante albigeois (les Albigeois, les Fils de la Veuve, qui classaient Innocent III, Dominique et Grégoire V parmi les démons - comme Dante dépeindra St Dominique en Minos - , et Pierre Damien, François d'Assise, Saint-Bernard, le Tasse, Robert Guiscard et Godefroy de Bouillon parmi leurs saints). Dante, dit-il, a vu dans Salomon l'organisateur de sa massénie, et c'est dans la littérature que le catharisme perdurait. Aroux en trouve la preuve dans la symbolique du Roman de Jauffré (roman provençal des années 1200, dont le héros est un fils d'un chevalier de la Table ronde), le Roman de Fierabras, Aucassin et Nicolette et Tristan de Léonois.

J'ai jeté aussi un coup d'oeil au travail d'André Lebey, qui dit des choses intéressantes sur une ville qui m'est chère, Troyes (p. 55), "une des cités les plus religieuses de France", où fut fondé l'Ordre du Temple, et où le couvent Notre Dame aux Nonnains "qui passa toujours pour abriter une survivance des cultes du paganisme en même temps que certaines pratiques des prêtresses druidiques", de sorte que beaucoup de couvents champenois allaient adhérer à la franc-maçonnerie... On comprend que Dujols ait apprécié son républicanisme franc-maçon, et sa relecture des traditions spirituelles à la lumière de cette foi, mais cela nous éloigne tout de même un peu trop de la chevalerie et des Valois.

Il faudrait plutôt peut-être méditer un peu plus, comme nous y invite Delécluze, sur cette figure qu'est la Femme comme médiatrice entre Dieu et les hommes, à travers la figure de Béatrice chez Dante, Diotime pour Socrate et Platon, Sainte Monique pour Augustin.

Le fait que François Ier portait sur lui de la poudre de momie, et son amitié pour l'initié Léonard de Vinci plaident pour une adhésion possible du roi à des traditions secrètes. Sa condamnation de l'alchimie est ambiguë.

Mais peut-être les alchimistes ont-ils trop tendance, par principe, à tirer la chevalerie et les Valois vers l'hérésie, comme Aroux tirait trop Dante (et l'ensemble du platonisme) vers la Gnose et le catharisme.  Concernant Aroux, c'est en tout cas ce qu'écrivait le romancier André Thérive dans la Revue hebdomadaire du 2 juillet 1921 (p. 85 et suiv.).

Sur la question de la succession des Valois, je ne crois pas du tout que l'ancêtre d'Antoine Dujols, Guillaume Dujol qui aurait été vers 1720 soi-disant adopté par des paysans du Cantal, soit un descendant caché des Vallois, comme l'avait d'ailleurs mis en doute cet article de 1885.

Il faudra revenir un peu sur tout cela ultérieurement...

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Une à deux heures d'éducation sexuelle par semaine

31 Août 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Les rapports hommes-femmes, #Avortement, #Espagne, #Peuples d'Europe et UE

Hier (30 août) sur Brut en 28e minute de cette interview le ministre de l'édication nationale français Pap Ndiaye déclarait : "Souvent l'éducation à la vie affective et sexuelle passe un peu à la trappe, il faut en faire quelque chose qui soit un succès(...) il faut insister là dessus... il faut une volonté politique forte.. il faut des instruction". Il propose même une heure ou deux par semaine. On sait que cette éducation porte souvent sur un endoctrinement dès l'école primaire sur la liberté de choisir son sexe, la théorie du genre, l'encouragement de l'avortement etc.

Le même jour en Espagne le conseil des ministres approuvait en urgence un projet de loi sur l'avortement qui supprime le consentement parental pour les filles de 16-17 ans ainsi que, pour toutes les femmes, les trois jours de réflexion obligatoires (En Espagne chaque année une femme sur cent avorte). Parmi les points clés du projet : "L'éducation sexuelle sera complète dans les principales étapes de l'éducation".

Si, sans doute, dans un contexte où la consommation de pornographie explose (au Royaume-Uni en septembre 2020 49 % de la population adulte - majoritairement masculine à 80 % pour ce qui concerne Pornhub - a visité un site pornographie, soit moins qu'Instagram et plus que Twitter, et en France un tiers des 10-18 ans déclare se connecter souvent ou parfois sur des sites X), il peut être utile d'enseigner le libre consentement de chacun et le respect du corps de l'autre, le problème est que le contenu de cette éducation que M. Pap Ndiaye ne se limitera pas à cela.

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Prince en 1996 : "the tracker you got from vaccination"

23 Août 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma, #Les rapports hommes-femmes, #Grundlegung zur Metaphysik, #Le monde autour de nous

On ne se lasse pas, sur ce blog, de parler de programmation prédictive, et d'évoquer Prince et son "règne pourpre".

En 1996, ce chanteur avait sorti un album appelé "Emancipation", dans lequel on trouve ce titre "New World" (nouveau monde) comme "New World Order" (nouvel ordre mondial) dont le refrain dit :

"When the lines blur every boy and girl (quand les lignes seront effacées entre garçons et filles - allusion claire à l'idéal androgyne et transgenre de notre époque)
How we gonna make it in this brave new world? (comment allons nous le faire dans ce meilleur des mondes - allusion au roman d'Huxley)
Love for one another, New world (amour l'un pour l'autre, Nouveau monde - toujours l'idéal antéchristique de l'amour alchimique qui unit et dissout tout -  Solve et coagula, comme sur le bras du Baphomet)
Love for one another, New world"

Au second couplet, on entend :

"When you want to find some isolation (quand tu veux trouver de l'isolement)
But the tracker you got from vaccination (mais le traceur que tu as reçu de ta vaccination)
Keeps playing, "you'll never walk alone" (continue de jouer, tu ne marcheras jamais seul)
They're always listening, especially on the phone (tu es toujours écouté, surtout au téléphone)"

Oh, quelle coïncidence, n'est-ce pas, que ce chanteur impliqué dans les sociétés secrètes, ait vu ces histoires de vaccin et de traçage il y a 25 ans dans une chanson sur le Nouvel Ordre Mondial... A moins qu'il n'ait fait qu'exposer un plan qui, pour qu'il marche, selon les règles de la sorcelleries, devait être caché et montré à la fois (hidden in plain sight) ?

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Le rapport de l'ECLJ sur l'influence de Soros à l'ONU

4 Août 2021 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #George Soros, #Le monde autour de nous, #Colonialisme-impérialisme, #Les rapports hommes-femmes

J'ai été probablement le premier en France dans mon intervention à l'Institut Dogma en septembre 2018 (publiée ensuite dans le revue Droits) à exposer d'une façon systématique tous les aspects des investissements politiques de Soros (en synthétisant d'ailleurs simplement ce que j'avais écrit un an plus tôt dans mon livre "Les régimes populistes face au mondialisme"). Cela en a conduit certains à droite à s'intéresser à mes travaux, mais, comme ils réalisaient que je n'étais pas pour autant sur une ligne zemmourienne de "choc des civilisations", ils ont renoncé à continuer d'échanger avec moi (cela fonctionne ainsi en France).

Comme ce qui importe à mes yeux c'est de vous donner des informations fiables quelle qu'en soit la source, je ne pratique pas, en ce qui me concerne, l'ostracisme, je vous signale donc le rapport de l'European Centre for Law & Justice (ECLJ) de Grégor Puppinck (relayé d'ailleurs par la revue Valeurs actuelles du 1er août 2021, mais semble-t-il pas par des médias plus à gauche dans le spectre politique), au sujet des réseaux de Soros à l'ONU, qui complète celle de 2020 menée par le même organisme sur l'influence du milliardaire sur la Cour européenne des droits de l'homme.

L’ONU a trois missions : sécurité, développement et droits de l’homme. Deux institutions des Nations Unies s'occupent de ce dernier domaine : le Conseil des droits de l’homme et le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme (HCDH). L'ECLJ qui a épluché les déclarations financières entre 2015 et 2019 et interrogé une trentaine d'experts montre la montée en puissance de l'Open Society (OSF) de Soros et de la Fondation Ford dans le financement des procédures spéciales du Conseil des droits de l'homme qui reçoivent des plaintes, rédigent de rapports et conseillent les gouvernements.

Une bonne partie de ces procédures spéciales reçoivent des financements privés. Entre 2015 et 2019, 37 des 121 experts ont déclaré avoir reçu  134 versements financiers directs, pour un montant total de  10 725 328 USD, majoritairement en provenance de donateurs privés sans passer par l'intermédiaire du Haut commissariat des droits de l'homme.

D’après les déclarations annuelles des experts, la provenance de ces versements se répartit ainsi :
 
• 5 515 523 USD leur ont été versés par des fondations privées et ONG dont 2 190 000 USD par la Fondation Ford au profit de 9 titulaires de mandats38 et 1 584 517 USD par l’OpenSociety Foundations (OSF)  au bénéfice de 6 titulaires  de mandats.  Quatre  titulaires  de mandats ont été financés à la fois par les fondations Ford et Open Society.
• 3 844 163 USD  ont  été  déclarés  versés  par  17  États,  les  principaux  étant  la  Norvège,l’Australie, l’Allemagne, la Suède, les Pays-Bas et la Suisse.  
• 1 142 757 USD ont été déclarés versés par 49 universités (souvent privées), les principales étant  les  universités  de  British  Columbia,  Pretoria,  Minnesota  Law  School  et  la  York University à Toronto. Ceci s’ajoute aux soutiens « en nature » des universités. Nombre de cesuniversités ou centres de recherche sont eux-mêmes financés par des acteurs privés.
• 13 organismes officiels internationaux ont été déclarés comme ayant versé 222 886 USD, telle l’Organisation Internationale de la Francophonie à hauteur de 26 637 USD.

Ces dons privés entraînent de grandes inégalités entre experts. "De nombreux experts, explique l'ECLJ, se plaignent de ne pas avoir de financements de l’ONU pour couvrir leurs frais de fonctionnement essentiels (bureau, imprimante, téléphone et internet), tandis que d’autres organisent des « conférences tous frais payés, dans des hôtels de luxe ou des îles paradisiaques », selon un expert. Les mieux lotis des experts sont souvent ceux qui ont déjà travaillé pour la galaxie Open Society. Tout cela est très opaque. Les dons affichés par l'OSF ne correspondent pas aux sommes reçues. Les accords de financement conclus entre les experts et les donateurs, ainsi que les conditions de ces versements ne sont pas communiqués au HCDH, ni rendus publics, parfois même leurs montant et objet sont déclarés de façon imprécise. Il n’est pas possible de connaître le contenu de ces accords, ni même de savoir qui, de l’expert ou du donateur, a pris l’initiative de demander, ou de proposer de l’argent."

Le rapport de l'ECLJ souligne qu'il y a une congruence entre les dons et l'orientation idéologique de certains rapports. Ainsi pour le Groupe de travail des Nations Unies sur la lutte contre la discrimination à l’égard des femmes présidé par Melissa  Upreti, du Center for Women’s Global Leadership 'une structure liée à l'Open society) : son rapport  présenté au Conseil des droits de l’homme en juillet 2021, note l'ECLJ (p. 39) , "est imprégné de militantisme radical... il commence par fustiger « des siècles d’institutions et de cadres juridiques et politiques patriarcaux, coloniaux et racialisés ». L’« oppression patriarcale, les stéréotypes sexistes omniprésents, la stigmatisation et les tabous » ne seraient pas qu’un héritage du passé, mais un problème s’aggravant par la « montée des fondamentalismes ». Ce rapport met sur le même plan les « grossesses non planifiées » et les violences concrètes subies par les femmes et recommande aux États et aux « acteurs non étatiques, tels les groupes armés », de s’assurer que les femmes « exercent » réellement leurs « droits sexuels et reproductifs », c’est à dire principalement l’avortement. Le rapport demande par ailleurs aux États de « prendre des mesures pour lutter contre la masculinité toxique », sans définir ou introduire cette notion tirée des études de genre. Le rapport va jusqu’à assimiler l’objection de conscience des médecins face à l’avortement à un acte de « torture » infligé aux femmes (sic), affirmant que le « refus ou le report d’un avortement » constitue l’une « des  formes  de  violence  fondée  sur  le  genre  qui  peuvent  être  assimilées  à  de  la  torture  ou  à  un traitement cruel, inhumain ou dégradant ». À la lecture du rapport, la maternité semble n’être pas même une option pour les femmes, dont la « santé sexuelle et procréative » consisterait uniquement à avoir accès à la contraception et à l’avortement. Les précédents rapports sont du même acabit."

L'ECLJ cite aussi le rapport de Juan Méndez "Perspectives de genre sur l’interdiction de la torture et des traitements cruels, inhumains et dégradants" présenté au Conseil des droits de l’homme en janvier 2016, soutenu par une structure privée ad hoc l’Anti-Torture  Initiative financée par des universités et par l'Open Society, qui en a ensuite assuré la diffusion, de sorte que ce rapport dispose maintenant d'un forte autorité et fut par la suite cité en référence dans des jugements de la Cour européenne des droits de l’homme et de la Cour interaméricaine des droits de l’homme, ainsi que dans un avis consultatif de cette cour interaméricaine et dans les Constatations adoptées par le Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes. L'OSF offre des boulevards de diffusion aux rapports qu'elle finance, et des perspectives de carrière dans les universités et think tanks privés. Parmi les 222 titulaires de mandats au titre des Procédures spéciales depuis 2010, il apparaît qu’au moins 52 d’entre eux ont exercé,  ou  exercent,  une  responsabilité  dans  l’Open Society  ou  dans  une  ONG  financée  par  les fondations Open Society ou Ford, tels le Center for Reproductive Rights ou le International Center for Transitional Justice.

L'ECLJ dénonce ainsi une "privatisation" et une "capture" des droits de l’homme par les ONG de la galaxie Soros.

Je voudrais ajouter quelques remarques à cela. Tout d'abord le phénomène de la privatisation des organes de l'ONU n'est pas nouveau : il y a vingt ans on reprochait déjà au tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie attaché à l'ONU d'être largement financé par des fonds privés. Le fonctionnement des institutions de protection des droits de l'homme qu'évoque le rapport de l'ECLJ a son équivalent dans le domaine de la santé, puisque les programmes opérationnels de l'Organisation mondiale de la santé, agence de l'ONU, sont largement financés par la fondation Bill and Melinda Gates.

Ensuite, si le rapport de l'ECLJ est sensible à bon droit à l'influence de Soros sur l'orientation pro-théorie du genre et anti-avortement des productions des procédures spéciales, il faudrait ajouter que le même phénomène se produit en matière de pressions géopolitiques (notamment anti-russes et anti-chinoises). J'avais signalé par exemple en novembre 2019  à propos du Xinjiang l'utilisation déloyale par la presse occidentale d'un rapport du Comité de l’ONU pour l’élimination de la discrimination raciale, attribué à tort au Conseil des droits de l'homme, qui se fondait sur des rapports mal sourcés d’un groupe d’opposition chinois le CHRD étroitement lié à des activistes pro-américains en exil et payé par les fonds washingtoniens du National Endowment for Democracy (largement abondé par des organismes privés).

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Le scandale "Nth room" en Corée du Sud

13 Avril 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Les rapports hommes-femmes, #Grundlegung zur Metaphysik, #Le monde autour de nous

Je vous avais parlé il y a quelque temps de cet étrange passage d'un membre du groupe de rap Wu-tang Clan (nom dans lequel on peut entendre Wu-Han) en 1996 "Six millions de diables viennent de périr de la peste bubonique ou du virus Ebola, sous le règne du roi Cyrus" (Cyrus= Trump=le serpent couronné=Miley Cyrus ?). Le morceau s'appelait "The 4th chamber"... Le membre s'appelait GZA et l'image de sol maçonnique sur la pochette du disque était très évocatrice.

Autres paroles "My own phone sex
Mon propre téléphone sex
Watch out for Haiti bitches
S'occupe des putes d'Haïti
I heard they throw hex
J'ai entendu dire qu'elles jettent des sorts
Yo, Wu whole platoon
Yo, tout le staff Wu

Is filled with rac-coons
Est plein de ratons laveurs"

Wu-tang-Clan a inspiré divers remix, dont "Nth Chamber" en 2013.

En Corée du sud vient de sortir un scandale sexuel au nom équivalent : "Nth Room" (Enième pièce, énième salle). 

Les Nth Rooms sont des salles de chat sur l'application de messagerie Telegram où les utilisateurs produisent et échangent illégalement des images déshumanisantes de femmes. Les victimes, souvent mineures, sont fréquemment contraintes par les utilisateurs de Telegram à s'infliger à elles-mêmes des sévices.

Le groupe d'origine de ces chats appelé "nth room" aurait vu le jour sur Telegram en 2018 ou au début de 2019. Il existe maintenant un réseau entier, chacun avec des noms différents comme "esclave room", "female child room" ou "violate your acquaintance room" (pièce pour violer une connaissance). 

Les filles mineures y sont dégradées, forcées d'aboyer comme des chiens ou de se coucher nues sur le sol des toilettes publiques pour hommes, de se faire des scarifications etc. Ces victimes (parmi lesquelles de smineures) ont souvent été dupées pour donner des informations personnelles aux agresseurs, puis ont été victimes de chantage pour obéir aux caprices sexuels des utilisateurs de cette application.

L'histoire a été révélée pour la première fois par un reportage dans le journal coréen Hankyoreh en novembre dernier. Un reportage de Kookmin Ilbo qui a suivi au début du mois de mars, détaillant les actes horribles, a déclenché un tollé à l'échelle nationale. Cela survient quelques mois seulement après la révélation du scandale Burning Sun , qui impliquait des stars de la K-pop dans un réseau de prostitution à Séoul, et alors que la colère continue de mijoter contre d'autres formes d'abus sexuels contre les femmes, y compris les crimes généralisés par caméra espion .

Il s'agit de phénomènes de chantage à grande échelle impliquant des centaines de jeunes victimes et des centaines de milliers de voyeurs (dont 80 % d'adolescents) dont certains sont prêts à payer jusqu'à 1 200 dollars.

Le cerveau présumé d'une des réseaux, un jeune nommé Cho Joo-bin/Tcho Ju-bin (25 ans) qui vient d'être arrêté aurait payé ses administrateurs en crypto-monnaies, avec des liens vers des paiements suspectés de monero (XMR) . Mais les enquêteurs n'ont pas encore les moyens légaux pour enquêter sur ces modes de paiements qui pourraient révéler l'identité desdits administrateurs. Il semble bien qu'il y aurait aussi un mystérieux "docteur" derrière tout cela.

Phénomène purement "local", endémique à la Corée du Sud ? Où existe-t-il des ramifications ?

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Monica Naranjo, la "star" du contrôle mental dans la sphère hispanique

15 Février 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Espagne, #Les rapports hommes-femmes

Dans El Pais le 14 février, jour de la St Valentin, la star espagnole (catalane) Monica Naranjo déclare avec enthousiasme à propos de l'émission "L'Ile de la Tentation" : "C'est une émission féminine, la démonstration de ce qu'est la société actuelle, dans laquelle les femmes agissent librement". Pourquoi cet enthousiasme ? Parce que les Espagnols ont vu dans ce programme de TV Reality une femme tromper son partenaire. O la belle preuve de liberté ! Evidemment ce genre de déclaration me met vite la puce à l'oreille, surtout quand la photo qui accompagne l'article montre la chanteuse en tenue de léopard, un des points de passage obligés du programme Monarque dans les sociétés secrètes américaines (il y a aussi le point de passage où il faut porter des oreilles de mickeys, ou déguisée en Marilyn Monroe, toutes les stars marionnettes de l'occultisme en passant par là, de Madonna à Rihanna). Dans le clip "Europa" elle superpose le signe antéchristique "X" (comme le "madame X de Madonna" sur des croix) après avoir chanté parmi les squelettes (un hommage à l'holocauste dit-on...).

Certains voient en elle une "Lady Gaga espagnole", "meuh non s'exclament d'autres, elle a une voix bien plus belle". Les gens s'extasient sur You Tube "C'est une déesse". Les commentaires disent qu'elle a fait une "Bohemian Rhapsody" latine (quand on sait que Freddy Mercury a canalisé cette chanson qui lui a été dictée par une force occulte, ceux qui croient complimenter l'artiste par cette comparaison se trompent lourdement). "Europa est un hymne dans la communauté gay de Cuba" témoigne quelqu'un. I mean really ? Ah il est vrai qu'elle a sacrifié au rituel (probablement lui aussi codé et codifié par l'occultisme) d'embrasser sur la bouche en public une star du même sexe qu'elle, comme Madonna et Britney Spears : c'était à Mexico en 2017 avec la chanteuse madrilène Marta Sanchez. Il paraît que ce sont des rituels de passation de charisme entre initiés. Marta Sanchez qui a 8 ans de plus qu'elle est aussi passée par toute l'imagerie illuminati (oeil d'Horus, femme en cage - comme les enfants en cage dans le show aussi soi-disant très latino et en fait 100 % occultiste de la dernière mi-temps du Super Bowl à Kansas City sous la houlette de Shakira et Jennifer Lopez etc) : voyez l'analyse de son clip "Dime la verdad" ici (ou même sans analyse un clip comme "Sobrebiviré", et ne manquez surtout pas le petit papillon très typique aussi dans son clip blasphématoire "Jamas", on appelle ça de l'opéra rock, comme en faisait la maman de Greta Thunberg...).

Comme tout ce système de "mind control" (contrôle mental) est globalisé, chaque sphère culturelle a ses fausses idoles pour le relayer, il y en a pour l'Afrique, pour le monde latino-américain, pour les Slaves etc. Avec toujours les mêmes symboles, toujours les mêmes messages subliminaux pour détruire les familles, les identités collectives, atomiser l'humanité. A l'automne dernier Monica Naranjo encourageait les femmes à "aimer leur chatte" (une constante d'Aretha Franklin à Ariana Grande autour de la "Pink Cadillac"... un jour je vous parlerai d'une vision que la déesse Isis donna récemment à une chamane française à Delphes à propos du sexe de sa grand mère après  une initiation par une médium locale). Pas de doute, elle veut autant tirer les gens vers le haut que Piotr Pavlenski...

 

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Quand Kate Bush faisait l'apologie de Wilhelm Reich

21 Décembre 2019 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #Les rapports hommes-femmes, #Divers histoire

Tous les lettrés de notre époque savent que Wilhelm Reich était un psychanalyste marxiste apôtre de la révolution sexuelle dans les années 1950/60. Très peu savent que la chanson de Kate Bush, "Cloudbusting" de 1985, que j'entendais encore récemment dans un supermarché, était un hommage à celui-ci.

Kate Bush était dans les années 1980 une chanteuse sorcière, ouvertement païenne, qui s'est d'ailleurs filmée dans un clip dansant sur des squelettes (c'est Lindsay Kemp, qui lui a appris à le faire, comme  David Bowie,le mime s'était lui-même distingué en 1973 dans le très druidique-satanique film d'horreur The Wickerman/Le Dieu d'Osier ). Dans "Them heavy people", elle parle de gourous qui l'ont initiée aux thèse de l'occultiste Gurdjieff" (voir aussi les sources "gothiques" de ses autres chansons).

Elle s'est inspirée pour écrire Cloudbusting d'un livre du fils de Wilhem Reich, qui avait vu son père arrêté sous ses yeux. Reich avait joué les chasseur de nuages. Le principe de sa découverte était que l'on pouvait prendre de l'énergie sexuelle (orgone) stockée dans des armoires métalliques, la placer dans des tuyaux en cuivre ou en acier assemblés et l'envoyer vers les nuages pour les chasser. Dans la vidéo K. Bush joue le rôle du fils du savant.

On ne s'étonnera pas que ce clip ait été tourné par Terry Gilliam des Monthy Python, dont le film "Sacré Graal" avait été financé par des satanistes célèbres.

Reich de son vivant a été soupçonné de pédophilie. Kate Bush elle-même a dû se justifier en 2014 (voir Daily Mail du 27 juillet) de sa longue collaboration artistique avec le pédophile notoire Rolph Harris, et la question de sa propre implication dans cette pratique avait été posée dès 1980 à propos de sa chanson "Infant Kiss".

La diffusion persistante de la chanson de Kate Bush sur les ondes des radios entretient le culte de Reich, de la provocation sexuelle, et du commerce avec les forces occultes.

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Le Parlement européen pour la sexualisation des enfants ?

16 Novembre 2019 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Les rapports hommes-femmes, #La droite, #Grundlegung zur Metaphysik, #Les régimes populistes, #Colonialisme-impérialisme, #Peuples d'Europe et UE, #Christianisme, #George Soros

Depuis plusieurs siècles le débat sur les moeurs en Europe (devenu le débat sur les "questions sociétales") a été surdéterminé par une enjeu religieux entre ceux qui prônaient une maîtrise des pulsions sexuelles démoniaques au nom d'une promesse de vie éternelle faite aux adeptes des disciples de Jésus-Christ, et ceux qui, tenant d'une approche humaniste, autrement appelée "luciférienne" (Lucifer étant, comme l'a rappelé Albert Pike, pour les francs-maçons celui qui apporte la lumière aux hommes), pour laquelle l'humanité doit ignorer les préceptes divins et parvenir par elle-même à sa propre émancipation, en suivant ses penchants intimes. Ces derniers n'ont cessé de marquer des points en se faisant les avocats des gens présentés comme victimes de l'ordre social inspiré par les premiers (d'abord les femmes privées d'accès à la parole publique, puis les homosexuels etc).

Aujourd'hui les sociétés européennes sont tellement sécularisées, que les tenants de la ligne chrétienne ne peuvent plus invoquer leurs dogmes, et doivent donc eux-aussi chercher des victimes de la politique des humanistes-lucifériens, pour justifier toute mesure de résistance à l'hégémonie de ces derniers. Les victimes que les chrétiens mettent maintenant en avant sont les enfants.

C'est ce qui vient de se passer en Pologne.

Le Parti conservateur pour la loi et la justice (PiS) ayant brillamment remporté les dernières élections d'octobre avec  45,8% des voix et un taux de participation record, ce qui reconduit sa majorité pour 4 ans, la Fondation pour le droit à la vie (anti-avortement) a continué de faire avancer son projet de modification du Code pénal, qui en juillet avait été ratifié par 300 000 personnes et qui criminalise l'apologie de la sexualité entre enfants en introduisant une peine d'amende, de restriction de la liberté ou d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à deux ans pour la promotion ou l’approbation publique des rapports sexuels entre enfants. Avec ce texte, la propagation ou l’approbation de tels comportements par le biais de communications de masse serait aussi punissable de prison.

La même peine serait infligée à la personne qui "encourage ou approuve la pratique de rapports sexuels ou d'autres activités sexuelles par un mineur, agissant dans le cadre de l'exercice de sa profession, de l'exercice d'une profession ou d'activités liées à l'éducation, au traitement ou à la garde de mineurs, ou agissant dans les locaux de l'école" ou autre "établissement éducatif ou établissement d'enseignement ou de soins ". L'actuel article 200b du code pénal polonais ne mentionne que la promotion publique du contenu pédophile , qui entraîne une peine d' une amende, restriction de liberté ou d' emprisonnement pouvant aller jusqu'à deux ans. 

L'exposé des motifs du projet précise qu'il vise : "Les responsables de" l'éducation sexuelle " (...) qui réveillent sexuellement les enfants et promeuvent l'homosexualité, la masturbation et d'autres activités sexuelles parmi les élèves." Les conservateurs polonais sont en effet de plus en plus préoccupés par le développement de l'éducation dans d'autres pays occidentaux, notamment les heures de lecture de contes aux enfants par des drag queens  (une pratique importée des Etats-Unis) et l'éducation sexuelle qui encourage souvent les comportements sexuels à risque.

La gauche a tout de suite estimé que ce projet visait à interdire l'ensemble de l'éducation sexuelle, et a brandi, à son tour, comme elle le fait d'ordinaire, "ses" victimes (les jeunes femmes victimes du machisme - comme en France dans le débat entre Caroline Fourest et Alain Finkielkraut - et incapables de recourir à la contraception, les homosexuels brimés etc) et des manifestations de rue ont été organisées. Au parlement, lors de l'examen de l'inscription du projet en commission, l'avocat du groupe conservateur Ordo Iuris Olgierd Pankiewicz , a tenté de les rassurer en précisant  ce projet "ne concerne pas du tout l'éducation" et "ne stigmatise aucun environnement". "Nous voulons que les enfants marchent en toute sécurité dans la rue et à l' école , et nous voulons que les délinquants sexuels aient un accès aussi difficile que possible aux enfants" , a-t-il ajouté, laissant entendre qu'il visait donc non pas la sexualité entre enfants mais la pédophilie.

Le Parlement européen vient de s'en mêler. Par une résolution votée avec 471 voix pour, 128 voix contre et 57 abstentions jeudi 14 novembre, les eurodéputés ont exprimé leur préoccupation face à un projet de loi polonais (cf Nahrod).

La résolution était portée par Elżbieta Łukacijewska eurodéputée des Basses Carpates du PPE (chrétien démocrate) avec  le soutien des socialistes, de Renew (les libéraux), du GUE (gauche de la gauche) et des Verts (écologistes). 

Pendant moins d'une heure de débat au Parlement européen, la position de PiS, qui proposait une motion alternative, a été défendue par Christine Anderson (AfD) au nom du club eurosceptique "Identité et démocratie". Cette motion avait peu de chances en raison de la coalition des principaux partis contre elle, mais aussi, du fait que l'Allemagne, très influente dans les institutions européennes (notamment depuis la nomination d'une Allemande à la tête de la Commission) est attachée à l'éducation sexuelle qu'elle a introduite dans les écoles il y a 50 ans : dans Beyond the bomb publié en 2019, l'écrivain catholique américain E Michael Jones qui a vécu directement ces événements raconte (p. 88 et suiv) comment dans les années 60 les étapes de l'opération d'ingénierie sociale qui, à la suite de la publication du rapport Kinsey, l'Allemagne a été envahie de films pornos soft censés éduquer la jeunesse, ce qui a préfiguré la banalisation de la pornographie en Europe - la chaîne de TV Arte en ressortant ces vidéos dans un documentaire en 2014 a été accusée de promouvoir la pédophilie.

Des commentateurs en Pologne soulignent que cette position du Parlement de Bruxelles s'oppose à une initiative citoyenne (les 300 000 signatures précitées) ce qui montre une fois de plus le divorce entre l'Union européenne et l'initiative des peuples. «Sont-ils fous? Comment pouvez-vous critiquer l'Etat pour un projet de loi présenté par des citoyens? », s'est ainsi exclamé sur Twitter Patryk Słowik du journal Dziennik Gazeta Prawna. En ce première anniversaire du mouvement des Gilets Jaunes qui ont défendu le référendum d'initiative citoyenne, l'argument ne devrait pas laisser indifférent en France...

Certains ont aussi remarqué que la future vice-présidente de la Commission européenne chargée de la démocratie et de la démographie, Dubravka Suica, eurodéputée de l'Union démocrate croate civique, n'a pas pris part au vote. Les autres europédutés de ce parti, interviewés par le journal croate Télégram ont estimé que le débat a été  "idéologisé" et insistent pour que l'éducation relève de la responsabilité des États-nations, et non de l'UE.

En Pologne comme en France et dans beaucoup d'autres pays, les périphéries sont plus anti-européistes (anti-globalistes), et conservatrices au niveau des moeurs que les grandes villes qui ont élu des maires libéraux, lesquels mènent des politiques très "gay friendly" et favorables à la sexualisation dès le plus jeune âge (ce qui explique que les mondialistes financent maintenant un Réseau de recherche sur la Globalisation et Villes du Monde-GaWC, basé à Loughborough University en Angleterre, qui fait des palmarès des villes "intelligentes" à travers le monde - puisque ces gens se croient à la pointe de l'évolution humaine - Pour mémoire Benjamin R. Barber en 2013 exprimait le fantasme des globalistes à ce sujet dans un livre au totre éloquent publié aux presses de l'université de Yale "Si les maires dirigeaient le monde - nations dysfonctionnelles et villes montantes / If Mayors ruled the World, dysfunctional nations and rising cities", notez qu'en p. XIII du texte en ligne à la rubrique des remerciements il précise avoir été hébergé par l'Open society de Soros et son ONG CivWorld.

En juin 200 000 Polonais avaient manifesté contre l'éducation sexuelle à l'école, tandis qu'une contre-manifestation organisée par le lobby LGBT (subventionné par l'Union européenne - nos impôts - et la Fondation Batory de la galaxie Soros) réunissait quelques dizaines de milliers de personnes avec le soutien des ambassades des Etats-Unis, du Canada et "d'autres pays occidentaux" (source Posule.net, 12 juin 2019)."Une offensive des cercles LGBT est en cours dans le pays", a déclaré la Conférence épiscopale polonaise dans une lettre ouverte début octobre, signée par Mgr Stanislaw Gadecki, archevêque de Poznan. La question de la sexualisation des enfants par les films, Internet et l'éducation scolaire, et celle de la diffusion de l'idéologie "transgenre" et de la banalisation de l'homosexualité se recoupent souvent dans le débat public polonais comme ailleurs.

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Marlène Schiappa et la banalisation de la sorcellerie

10 Octobre 2019 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Le monde autour de nous, #Les rapports hommes-femmes, #Bill Gates

Dans "Elle" ce mois-ci (et la nouvelle est reprise par de nombreux médias), la Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, Marlène Schiappa avoue ses attaches avec la sorcellerie (je remercie la lectrice qui m'a alerté à ce sujet).

« Vous êtes assez marquée par l’univers de la magie et de la sorcellerie, comment l’expérimentez-vous personnellement ? »

Marlène Schiappa hésite à répondre à cette question, nous dit-on, « parce qu’on va [la] soupçonner de jeter des sorts aux gens » puis se lance. Elle affirme ne pas tirer les cartes ou ne pas envoyer de « formules de protection » par SMS, comme certaines de ses amies, mais admet que « comme la plume de Dumbo », « cela donne confiance ». Elle évoque également ses racines corses, et « les mythes et la magie » qui y subsistent, et dit avoir recours à ces « croyances » qui « donnent confiance ».

« Je suis originaire de Corse, dit-elle, et, dans mon village, les mythes et la magie font partie de nos légendes depuis toujours. On y pratique encore parfois des rituels pour enlever le mauvais oeil. Par exemple, j’ai du corail autour du poignet et un bracelet avec le chiffre 4. Ces croyances donnent confiance. » Puis elle précise que ses amies sont tarologues, et renvoie à Mona Chollet (du Monde Diplomatique...).

Ne vous y trompez pas : cela n'a rien d'un aveu spontané. Les petites confidences sur la sorcellerie de la part de gens connus ("the influencers") font partie d'un agenda planétaire, tous les pays ont les leurs à intervalles réguliers, et sur le mode de la répétition qui est la base du mind control.

Il y a un mois la célèbre actrice Jennifer Aniston défrayait la chronique de tous les médias mainstream en ligne en avouant organiser depuis vingt ans un "cercle de déesse" ("Goddess circle") avec ses amies dans lequel elle faisait des rituels pour assurer sa bonne fortune. 

La presse féminine est particulièrement aux avant-postes pour la réalisation de cet agenda. 

Il y a neuf mois, dans Grazia n°474 du 21 décembre au 10 janvier 2019, en p.128 la rubrique "Culture" présentait une critique du livre "Paris occulte" de Bertrand Matot qui vantait le Paris "magique et babylonien" du Sar Peladan, de Satie, de Knopff entre 1850 et 193. "Bertrand Matot, raconte chaque pic de cette fièvre ténébreuse qui enveloppa la ville. Désormais, on peut le dire : Paris s'ennuie", pouvait-on y lire. Trente pages avant, y trouvait une interview justement de Mona Chollet, l'inspiratrices de Marlène Schiappa, qui, au nom du féminisme, veut réhabiliter la sorcellerie. Un refrain qu'on connaît bien. L'alibi : la tolérance, le respect de la "rationalité" spécifique des femmes, le droit à la différence et même... l'amour de la nature et de notre pôôôvre planète en danger (le réchauffement climatique). Elle s'y disait juste un peu embêtée que le capitalisme récupère un art si noble dans une logique de marché. "Ca m'agace un peu, dit elle en p. 92. Quand un magazine décrit la "sorcière parfaite", cela revient à rhabiller vaguement les comportements traditionnels et à nous faire acheter des bougies, des huiles essentielles et des cristaux". Puis elle ajoute (très loin de la neutralité sociologie) : "Mais je dois avouer que je n'y suis pas complètement hermétique. La fascination pour les fioles, ça marche aussi pour moi !" Ben voyons...

En août 2017 le magazine Avantages expliquait qu'une "nouvelle génération d'extralucides ringardise Mme Irma et sa boule de cristal". Les articles sur plusieurs pages vantaient la voyance, les talismans, le spiritisme, et incitaient les lectrices à "introduire de la magie dans leur vie". En juillet dernier Madame Figaro vantait les nouvelles formes de médiumnité sur Internet. On pourrait multiplier les exemples.

Evidemment la presse féminine n'est pas la seule sur ce créneau. M6 en octobre 2017 vantait la médiumnité spirite en mettant en garde contre les arnaqueurs (mais pas contre les dangers spirituels de cette pratique). En février dernier la revue Sciences Humaines à la rubrique "spiritualité" reprenait les sottises de Mona Chollet sur le thème du culte de la nature et la réhabilitation de la sorcellerie comme base du féminisme (voyez là dessus l'agenda de la Creative artists agency aux Etats-Unis).

Le but de tous ces articles est de faire croire qu'il existe une "bonne sorcellerie", un "bon contact" avec les entités de l'au-delà, une petite magie "soft", écolo, bienveillante et gentille, à l'opposé de la magie noire, un peu comme dans les années 1980 on vous vantait le "gentil Michael Jackson" contre le "diabolique Prince" (alors que les deux avaient la même allégeance à l'Oeil d'Horus...).

Vous noterez que la tactique est insidieuse. On instille le poison à petites doses juste pour liquider peu à peu ce qu'il reste de petites réticences judéo-chrétiennes. Marlène Schiappa avoue "seulement" qu'elle a quelques talismans, quelques formules fétiches etc, pour ne pas qu'on la "soupçonne de jeter des sorts" avoue-t-elle. Personnellement, je suis absolument convaincu qu'elle fait beaucoup plus que cela, et qu'elle fait partie d'une société maçonnique ou paramaçonnique ésotérique. Tout comme je ne crois pas qu'Emmanuel Macron ne sait pas ce qu'il fait quand, après son élection, il effectue un V de la victoire en forme d'équerre devant la pyramide du Louvre, ou quand il s'affiche à New York, dans une cérémonie organisée en 2018 par Bill Gates, avec une petite DJ androgyne africaine dont le clip "Deceiver" chargé de pyramides est une moquerie adressée aux chrétiens de son continent, ou encore quand le gouvernement laisse organiser une cérémonie luciférienne aux Invalides. Tous ces gens sont impliqués dans beaucoup plus d'actions occultistes qu'ils ne veulent l'avouer. Ils sont tenus au secret. Parfois on découvre les choses trente ans plus tard, à la faveur d'une confidence d'un proche, parfois jamais.

N'oublions pas que la secrétaire d'Etat de Macron, primée par le Grand Orient de France en novembre 2017 (pas pour ses romans érotiques), est fille de l'historien trotskiste Jean-Marc Schiappa, l'un des vieux cadres lambertistes de l'OCI (Organisation communiste internationaliste). Pierre Lambert son fondateur était membre du Grand Orient de France, et la direction du Parti ouvrier internationaliste lambertiste dans les années 2010 était liée à la franc-maçonnerie au travers de la Libre pensée dont le vice-président Christian Eyschen.

Sans doute la confession à Elle de Mme Schiappa est-elle un aveu édulcoré qu'elle nous offre. Mais, comme celui de Jennifer Aniston et d'autres stars, c'est un aveu destiné à conditionner les masses, préparer le terrain, petit à petit, comme les films de Disney, à quelque chose d'autre, quelque chose de beaucoup moins souriant, de beaucoup moins bénin (à supposer d'ailleurs que cette étape là soit si bénigne, car, chacun, dans l'Au-delà, devra en rendre compte, et l'addition sera peut-être plus salée qu'on ne le croit, même pour ceux qui se disent chrétiens : voyez ce témoignage). Ce qui sera la seconde vague de l'occultisme, un jour, que nos dirigeants connaissent peut-être déjà mieux qu'ils ne l'avouent, sera vraisemblablement terrifiante si on les laisse nous entraîner sur cette pente.

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En Tanzanie un tour de vis moral contre les stars américanisées, comme contre les capitalistes

14 Novembre 2018 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Colonialisme-impérialisme, #Les rapports hommes-femmes, #La gauche, #Débats chez les "résistants", #Grundlegung zur Metaphysik, #George Soros

Il y a dix jours en Tanzanie la star (prostituée, à la manière des filles Kardashian) Amber Rutty a dû comparaître devant un tribunal pour après avoir été filmée en train d'avoir des relations sexuelles avec deux hommes. En vertu des lois tanzaniennes interdisant le sexe anal, Amber Rutty, de son vrai nom Rutfiya Abubakari, risque jusqu'à 30 ans de prison ou la perpétuité si elle est déclarée coupable du crime.

Amber Rutty multiplie les signes occultistes, dans un clip "kidogo" sorti en septembre 2018 (avec Davil, jeu de mot avec le "devil" diable, ce Davil est un enfant devant lequel elle prend des poses suggestives, le message pédophile est évident) elle s'affiche en 4e seconde avec des lunettes qui cachent son oeil gauche, sort la langue du serpent, en minute 1,01, le signe de a main avec deux doigts sur fond noir et blanc maçonnique.

Nous avions mentionné que l'imaginaire illuminati (sataniste) - et probablement les pratiques terribles qui vont avec - avait le vent en poupe en Afrique à l'occasion d'une remise de prix à New York par la fondation Bill Gates à une jeune DJ ghanéenne DJ Switch aux côtés de laquelle Emmanuel Macron s'est pavané en septembre .

Jusqu'ici c'étaient plutôt les stars masculines africaines qui faisaient ce genre de sex tape - voir celle du DJ Crème, sur ce site qui fait de la pub pour un bar à serveuses nues de Nairobi, pour la petite histoire DJ Crème, un dj kenyan à succès avait été accusé d'être un illuminati à cause de sa signature en triangle, ce qu'il a démenti, mais au vu de photos comme celles-ci, le démenti ne convainc personne). Ce genre de coutume va avec l'apologie de l'argent facile, de l'escroquerie, de la consommation et de l'hédonisme égoïste.

Le gouvernement tanzanien a aussi interdit de tournage au pays l'actrice Wema Sepetu (la miss Tanzanie de 2006, une autre adepte du noir et blanc, elle sort avec l'illuminati Diamond Platnumtz, un ami de Kanye West) après qu'elle eut publié une vidéo où elle embrassait son petit ami en octobre alors qu'elle aussi s'apprêtait à publier une sex tape.

La jeune vice-ministre tanzanienne de la culture Juliana Shonza - voir photo ci joint - , militante du parti Chama Cha Mapinduzi (Parti de la révolution, l'ancien parti de Julius Nyere) a annoncé des poursuites contre cette actrice. Cette dernière avait aussi été condamnée à un an de prison pour détention de drogue.

Le gouvernement tanzanien travaille avec le soutien du Conseil chrétien de Tanzanie et la Conférence épiscopale tanzanienne, ce qui lui vaut d'être un des pays-cibles de George Soros (qui contrôle les tours de diffusion téléphoniques du pays) sur les questions dites "sociétales". Il y a cinq jours deux activistes étrangères Angela Quintal et Muthoki Mumo du Comité de protection des journalistes (Committee to protect journalists) ont subi une brève interpellation. Ce comité est identifié par le Media Research Center comme une créature  de Soros.

Le président Magufuli (qui était un outsider au sein du parti de la Révolution, et par ailleurs ex ministre des infrastructures à la réputation d'incorruptible)  a parallèlement sur le plan économique des tendances socialisantes qui le poussent à aller contre la liberté du marché au profit des paysans : par exemple ce mois-ci il a fait acheter toute la production de noix de cajou de son pays pour que les producteurs puissent profiter d'un doublement des prix dans un contexte de chute des cours, au grand dam des négociants qui servent d'habitude d'intermédaires pour ces produits - une politique qui lui vaut les foudres de "The economist", le magazine néolibéral des Rothschild. Ne vous étonnez donc pas si se développe prochainement une campagne de presse internationale contre le gouvernement tanzanien, comme il y en eut contre le Burundi en 2015, d'autant que l'enjeu géopolitique de la construction de la liaison ferroviaire Grands Lacs-Dar es Salam est à l'arrière-plan.

Au fait, croyez vous qu'un jour dans une France sortie de l'Union européenne les pouvoirs publics achèteront les produits des petits paysans pour défendre les cours du pétrole, et interdiront Poppy et Ariana Grande sur le Net pour remettre la jeunesse dans le chemin du travail et du dévouement au bien commun ?

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Rose McGowan à propos de Time's Up et de l'Agence des artistes créatifs (CAA)

10 Octobre 2018 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Cinéma, #Les Stazinis, #Les rapports hommes-femmes, #George Soros

Dans US Magazine (le lien ne fonctionne plus donc on peut aussi se reporter à ce court article) du 1er février dernier, on apprenait que Rose McGowan (qui a joué la sorcière dans Conan le Barbare et dans Charmed) avait attaqué son ex-compagne de scène dans Charmed Alyssa Milano dans une interview accordée à la présentatrice de Nightline Juju Chang diffusée le 31 janvier sur la chaîne ABC. On trouvera l'intégralité de l'extrait de l'interview en anglais ci-dessous. Ce qui est intéressant c'est qu'elle y explique derrière Time's Up, le mouvement des femmes en colère contre les agressions masculines, il y a la CAA (Creative artists agency - l'Agence des artistes créatifs), une entreprise de 1 800 employés créée en 1975 qui représente les intérêts d'acteurs, de musiciens, d'écrivains parmi les plus célèbres d'Hollywood auprès de sociétés de production artistique. La CAA a été accusée par Uma Thurman d'avoir joué un rôle dans les agressions de Harvey Weinstein.

Cette agence a intrigué beaucoup d'Internautes il y a quelque temps par le fait que son immeuble au 2 000 avenue of the Stars à Los Angeles avait, vu d'en haut, de nombreux symboles d'yeux d'Horus et de pyramides. L'immeuble a été construit par Ieoh Ming Pei l'architecte chinois de la pyramide du Louvre à Paris devant laquelle Macron avait paradé lors de son intronisation. En fait pour certains cet immeuble est un temple maçonnique et Rose McGowan explique que Time's Up s'y réunit.

Le mari d'Alyssa Milano est Dave Bugliari, agent de la CAA et Milano y est intervenante.

La CAA a co-fondé avec la Fondation de Soros (Open Society) des structures éducatives intéressantes comme l'association de diffusion de programmes parascolaires  After School Alliance basée à Washington (on notera son logo avec le compas). 

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Extrait de l'interview diffusée dans une vidéo du prédicateur New Age Paul Romano :

Juju Chang  : Your former Charmed co-star, Alyssa Milano gets a lot of credit for helping Me Too go viral.

Rose McGowan : - So ?

- Are you proud of her ?

- I don't like her.

- Why ?

- 'Cause I think she's a lie.

- Why ?

- Do you think I don't know these people ? I'm not looking at this from the outside. I have a lot of experience. I now she's married to a CAA agent. Do the math. Who's behind Time's up ? CAA. Where do they meet ? CAA. Who needs good PR [public relations] ? CAA. Who are a part of the pimp problem ? CAA.

- These are very powerful people you're talking about.

- They are. So am I.

 

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Soros en Espagne, Hefner et la CIA, légitimité ou folie du conspirationisme

30 Juin 2018 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Débats chez les "résistants", #Les régimes populistes, #Peuples d'Europe et UE, #Espagne, #Les rapports hommes-femmes, #Grundlegung zur Metaphysik, #Colonialisme-impérialisme, #George Soros

 

Le mercredi 27 juin dans l'après-midi le banquier américain pro-Clinton George Soros (auteur de révolutions colorées dans différents pays, et qu'on soupçonne de financer des ONG qui récupèrent des sans-papiers en Afrique directement entre les mains des passeurs) rencontrait le premier ministre espagnol Sanchez et son ministre des affaires étrangères en secret à la Moncloa, puis il a dîné avec Javier Solana ex-secrétaire général de l'OTAN et l'ex ministre de la défense et ex leader du PS catalan Narcis Serra (l'histoire ne dit pas s'il a aussi vu Pablo Iglesias, chef de Podemos, répertorié en 2016 parmi les "europarlementaires de confiance" dans un rapport de l'organe de Soros Open Society European Policy Institute). Dans la foulée l'Espagne accepte d'accueillir des migrants dont l'Allemagne ne veut plus, au milieu du bras de fer entre l'Italie et la France sur la question migratoire. La nouvelle de la visite de ce magnat spécialiste transpire de l'organisation de krachs boursiers sur commande n'a été révélée que le vendredi suivant (hier). On ignore par quel biais. Evidemment ne comptez pas sur la grande presse pour signaler ce genre de chose. Aucun journaliste n'épluchera le système Soros de la Californie à la Chine, ni les petits jeux sur tous les fronts (climat, libération des moeurs, droit des LGBT et des minorités sexuelles, abolition des frontières) de son patron pour parvenir à un gouvernement mondial où la devise du médium adepte de Lucifer Aleister Crowley "Fais ce que tu veux" sera le credo anarchique et destructeur de tout un chacun. Vous allez dire qu'il est "complotiste" et réac ou facho d'écrire cela... Sauf que la référence à la religion de Crowley (la "Thelema") dans la pop culture est omniprésente (regardez tous les artistes, notamment parmi ceux qui ont soutenu H. Clinton en 2016, qui ont affiché à un moment ou un autre comme sur un T-Shirt ou comme titre de chanson le "Do What Thou Wilt"), et qu'il est documenté que tout ce qui est financé par Soros, principal financeur de Clinton, se réclame aussi de la philosophie de ce culte et en diffuse les principes (voyez par exemple, comme je l'évoque dans mon dernier livre, le fait que la Fondation Open Society de Soros en Macédoine a traduit le livre de Saul Alinsky « Rules for radicals » - ouvrage de réflexion sur l’organisation des luttes, daté de 1971, qui s’ouvre sur une citation de Thomas Paine à la gloire de Lucifer le « premier radical » - H. Clinton avait interviewé Alinsky dans sa jeunesse).

Ces toiles d'araignées politico-économico-religieuses existent. On peut ne peut pas ne s'intéresser qu'au combat des cheminots, à celui des infirmières, ou des agriculteurs, pour les services publics ou pour la défense de la qualité des produits consommés, sans avoir aussi en tête toute l'action déstabilisatrice à l'échelle planétaire de ces groupes qui viennent murmurer dans la pénombre à l'oreille de nos gouvernants et à l'oreille de nos médias.

Il ne faut pas craindre d'en parler, par delà le terrorisme intellectuel de ceux qui croient avoir tout dit quand ils vous ont traité de "complotiste", comme en 1999 sur la Yougoslavie ils croyaient avoir tout dit en vous traitant de "rouge-brun", ne serait-ce que pour savoir dans quel monde l'on vit, de quelle réalité on parle. Mais chacun se doit d'en parler avec discernement. Parce qu'il est très facile de verser dans le sensationnalisme et dans le délire juste pour faire peur ou se faire une publicité à peu de frais, comme je l'ai déjà signalé à propos des chemtrails et du projet Covercleaf.

Prenez le projet de contrôle mental MK Ultra par exemple, système mis en place par la CIA en 1945 avec l'aide d'anciens nazis. L'existence de ce programme est si bien attestée que même la très mainstream chaîne Arte s'est sentie obligée d'en parler. Comme ce que font nos gouvernants n'est révélé que 50 ans après, personne (sauf quelques initiés à la CIA) ne peut vraiment savoir ce qui se fait aujourd'hui, ni même d'ailleurs connaître l'ampleur de ce qui se passait il y a 60 ans. Est-ce que la CIA a mis sous contrôle mental des icônes de la pop culture comme Marilyn Monroe pour ensuite les déprogrammer ? Fait-elle de même avec des artistes actuelles (ce qui éclairerait sous un jour étrange le fait qu'autant d'entre elles de Kim Wilde à Miley Cyrus en passant par Vanessa Paradis et Madonna se  soient senties obligées dans leur carrière à rendre hommage à la "blonde d'amour") ? si oui dans quel but ? etc.

Personnellement je ne pense pas qu'il y ait des programmes intelligents si sophistiqués qu'ils puissent manipuler les gens à l'échelle qu'évoquent les complotistes. L'action de forces dans le monde spirituel sont plus efficaces que les plans rationnels des êtres de chair et d'os, donc il est vain d'aller soupçonner l'action omnisciente de sociétés secrètes qui ourdiraient des complots à chaque coin de rue.

Cependant, encore une fois, pour mieux comprendre le monde où nous vivons, toutes les questions me semblent légitimes pour tenter de cerner la part de vérité dans les actions occultes prêtées aux classes dirigeantes. Par exemple j'entendais il y a peu que Hugh Hefner, fondateur de l'empire érotique Playboy mort en septembre 2017, fournissait des esclaves sexuel à des gens influents puis adressait les cassettes à la CIA pour les tenir. La thèse va plus loin. Une certaine Laurel Aston est sortie du bois il y a cinq ans en se présentant comme une transfuge de la CIA et a expliqué que le magnat de Playboy participait au programme MK Ultra et formait des esclaves sexuelles pour les dirigeants. Le succès économique de son empire aurait été dû à cette imbrication avec l'establishment militaire américain, sans quoi sa revue serait restée un bout de papier qu'on fait circuler sous le manteau. Si c'est vrai, cela jette une lumière particulière sur l'essor de l'industrie érotique dans les années 60-70 pas seulement aux Etats-Unis mais aussi en Europe, car des sous-empires français ou allemands ont collaboré avec Playboy. On ne pourrait alors pas réfléchir à la révolution sexuelle, sans la lier, via la CIA aux atrocités commises par l'Oncle Sam au Vietnam et ailleurs dans le monde, l'une et l'autre étant les deux faces d'une même pièce.

Sauf qu'on ne sait pas trop ce que vaut le témoignage de cette Laurel Aston. Il n'y a pas de photos d'elle. Les sites qui la mentionnent renvoient à un livre "Fighting Child and Human Trafficking and Slavery" qui n'est en vente nulle part et qui peut-être n'a jamais existé, mais les complotistes sont généralement trop paresseux ou trop incohérents pour vérifier ce genre de chose. On blog qui n'a publié qu'un seul article annonçait en 2015 qu'elle était entre les mains d'un cartel de la drogue mexicain allié à la CIA et demandait de l'argent pour aider à la libérer.

Il est aisé dès lors d'en conclure que cette affaire "Laurel Aston" n'est qu'un "hoax", une blague... C'est d'ailleurs ce qu'a dit sur Facebook un certain Bill Forrest qui indique que cette Laurel Aston et son compagnon ont déjà tenté de lui soutirer de l'argent. Il s'agirait juste d'un couple de types de droite qui cherchent à s'enrichir avec les fantasmes des gens. Mais quel crédit accorder à ce Bill Forrest qui sur sa page Facebook met en avant une citation du chef cuisinier Bourdain suicidé récemment, lié à la mafia Clinton-Obama (au fait j'ai trouvé très bizarre que Le Point il y a quinze jours publie une tribune de l'écrivain Gabriel Matzneff pour réduire à des considérations psychologiques les suicides de Bourdain et de la soeur de la reine des Pays-Bas à l'heure où les réseaux sociaux interrogeaient la similarité du modus operandi et des réseaux auxquels ils renvoyaient). On ne sait pas si un type comme ça affiche Bourdain pour suggérer à quel réseau lui-même se rattache, mais on peut supposer qu'avec un imaginaire comme celui-là il est prêt à poster n'importe quoi sur le Net pour protéger l'Establishment. La vérité est que personne parmi les internautes moyens ne sait si cette Laurel Aston a existé, et a fortiori si elle a été transfuge de la CIA ni si elle est vraiment entre les mains d'un cartel mexicain. Et aucun internaute ordinaire n'a les moyens de le savoir.

Ce qu'on sait en revanche, c'est que les témoignages des transfuges comme ceux des anciennes victimes, lorsque ceux-ci montrent leur visage, ne doivent pas être négligés. C'est seulement en 2014 que le Daily Mail a bien voulu révéler les conditions du suicide (ou de l'assassinat) rituel (au dessus d'un pentagramme) en 1974 de l'ex-playmate du Playboy de novembre 1968 Paige Young après des années de manipulation mentale qui ressemble beaucoup aux méthodes du Programme MK Ultra. Le procès pour pédophilie contre l'ancien animateur du Cosby Show dont Paige Young avait été la petite amie a contribué à lever le voile. Aujourd'hui circulent sur la toile des témoignages très graves d'une ancienne esclave du MK Ultra Cathy O'Brien contre Reagan, Bush et Cheney. Ce genre de témoignage est méprisé, sauf qu'il s'est révélé déjà exact sur au moins un point : les pratiques du général Aquino, spécialiste de la guerre psychologique au Vietnam, dont il s'est révélé après coup que, disciple du sataniste Anton LaVey (qui eut une forte influence sur divers artistes américains dans les années 60), il avait fondé une secte appelée "Temple de Seth" et eu maille à partir avec la justice pour des abus rituels d'enfants dans les années 90.

Voilà en tout cas pour le moins de quoi ternir l'image "cool et sympa" que nos médias ont donnée de Hefner à sa mort... Un peu comme les scandales sexuels ont sali il y a peu le producteur de Hollywood Harvey Weinstein, ce qui permet aujourd'hui à l'acteur Benoît Poelvoorde (cette semaine dans L'Obs) de dauber sur la palme d'or accordée à Michael Moore en 2004 à Cannes par un Tarantino, président du Festival, qui était lui-même produit par Weinstein, et jette un regard rétrospectif bien différent sur la sympathie qu'on a tous eue pour Fahrenheit 9/11 et pour le personnage de Moore qui a soutenu H. Clinton en 2016.

En novembre dernier le groupe anonyme pro-Trump très controversé Q-anon encourageait ses partisans à enquêter sur les gens qui, dans la mouvance des stars et des politiciens proches des Clinton avaient  bénéficié des esclaves sexuelles d'Hefner. Pas sûr que Trump qui lui même a fait la "une" de Playboy en mars 1990 laisse trop faire... En tout cas il y ait bien possible que la maison Playboy recèle des secrets dont dépend la solidarité entre les élites américaines qui dictent leur loi au monde.

L'establishment américain est extrêmement trouble. Divers domaines des arts, de la politique et du monde de la finance se recoupent. Il est faux de prétendre qu'on peut croire tous les témoignages de transfuges douteux mais il est également inexact de penser qu'on ne peut rien savoir et que l'écran de fumée des fantasmes est décidément trop épais pour qu'on puisse avancer quoi que ce soit. Des signes sont là, qui se recoupent, des coïncidences pour le moins troublantes... Jamais peut-être le commun des mortels n'a disposé d'autant d'éléments de compréhension à ce sujet que depuis l'apparition d'Internet et les recherches par mots clés qu'il permet. Cela mérite tout de même quelques recherches de temps en temps, et quelques analyses, pour ne pas tomber dans le discours lénifiant que nos médias nous servent en permanence sur ces "gens formidables" qui dirigent l'industrie du divertissement et la politique planétaire.

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