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La soeur de Kamala Harris liée au Pizzagate
Les "dissidents" de droite à la Valérie Bugault ou Eric Verhaege (auxquels j'ai pourtant écrit il y a quelques mois) ne citent jamais mon article dans Droit(s) de 2019 qui fut le premier à analyser le système Soros et à mentionner en rapport avec lui la pédociminalité du Pizzagate, mais je me dois au moins de poursuivre mes recherches sur ce point et de ne pas être complice de leur propre silence sur mon travail, en signalant ici que la soeur de Kamala Harris, Maya, était, en 2016, lié à John Podesta, chef de campagne d'H. Clinton, comme le révèle un mail fuité sur Wikileaks et un flyer du Ping Pong Comet. Podesta avait un langage très codé dans son lot de mails fuités qui renvoyait à la pédo-pornographie (et à la pédophilie rituelle vu ses liens avec le cooking spirite de Marina Abramovic). Le lien de la soeur de la candidate à la Maison blanche avec cette mafia est bien sûr très grave, mais ne comptez pas sur les grands médias pour vous en parler.
To the Moon et la mission de Sara García Alonso
Je vais être très transparent avec vous. Pendant plusieurs mois, les statistiques d'overblog donnaient 2000 à 3000 lecteurs chaque jour. Il était facile de voir que c'était artificiel car des articles sans intérêt étaient les plus lus. Sans doute un logiciel lisait-il mécaniquement les pages.
Le mois dernier, les statistiques quotidiennes sont tombées en dessous de 10. Ce qui signifie que seule une poignée de personnes parcourent ce blog, et encore probablement en tombant dessus par hasard. Samedi j'ai souhaité donc l'arrêter prenant acte du fait que la forme "blog" est désormais datée à l'heure où seuls les pitres de You Tube captent l'attention de la toile. Je l'ai donc fait savoir ici.
Toutefois deux personnes anonymes ont pris la peine de faire savoir hier en commentaire qu'elles lisaient encore ce blog. Je ne suis pas assez parano pour penser que ces personnes travaillent pour les services secrets, et puisque le principe de charité impose de travailler même si ce n'est utile qu'à une ou deux personnes, je vais donc tenter de continuer à écrire quelque chose. Et l'on verra bien si les statistiques remontent un peu ou pas.
Je pourrais rédiger de longs paragraphes sur la victoire des travaillistes en Grande-Bretagne (et la défaite de Galloway), sur la confédération des trois Etats du Sahel rebelles contre la CDEAO, ou sur la situation politique complexe de la France ingouvernable (avec à nouveau le plan des classes dirigeants cyniques autour de Macron pour dénier le rejet dont elles font l'objet). Mais déjà beaucoup de publicistes consacrent de l'énergie à cela. Pour l'instant je vais seulement m'en tenir à enfoncer le clou sur un sujet souvent abordé sur ce blog : le rapport entre la conquête de l'espace (qui absorbe beaucoup d'argent public) et l'occultisme.
Vous savez que les astronautes de la NASA sont tous des francs-maçons, et que même un d'entre eux, Jack Parsons, collaborateur du sataniste Aleister Crowley, a donné son nom à un cratère de la Lune. Vous savez aussi que la NASA charge ses fusées de symboles païens, que l'ex-président Obama, très investi dans la promotion de la conquête spatiale, a contribué au scénario d'un film attaché au symbole du 666 "Leave the world behind", dans lequel on affiche "obey NASA", obéissez à la NASA.
Ce mois-ci sort sur les écrans une comédie "To the moon", censée tourner en dérision les théories du complot selon lesquelles l'alunissage de la mission Apollo 11 est entièrement un fake. Le 1er rôle est tenu par Scarlett Johansson actrice qui s'est souvent affichée avec la main sur un oeil, et avec des papillons monarques symboles du MK Ultra.
Et la recherche spatiale européenne n'est pas épargnée. En lisant le journal El Pais du 7 juillet dernier, je tombe sur cette photo de la première astronaute espagnole de l'histoire désigné par l'Agence spatiale européenne Sara García Alonso qui m'interpelle tout de suite du fait qu'elle exhibe l'oeil d'Horus, en plus d'un tatouage de pyramide sur le bras.
Déjà le fait qu'une scientifique spécialiste de biologie moléculaire puisse afficher un signe kabbalistique dans l'équivalent du Monde à Madrid sans que cela n'inquiète l'opinion publique espagnole pose des questions sur sur la santé mentale de ce pays visiblement sous hypnose comme le monde entier.
Au moins la dame, qui a des origines modestes, dans l'interview qu'elle donne a la franchise de dire : "Je ne crois pas que la méritocratie existe parce que tout est construit de telle sorte qu'on ne finit au bon endroit que par piston"... Elle aurait pu ajouter "en faisant des rituels dans des loges"... Notez d'ailleurs tout le symbolisme de son vocabulaire dans le reste de l'interview comme " Le monde est comme une radiographie, il n’y a ni noirs ni blancs. En fait, ils sont tous gris." (allusion à la non-dualité, le damier maçonnique).
Cette scientifique est un cas intéressant de mise en scène médiatique d'un programme scientifique. Elle avoue qu'après sa désignation en novembre 2022 comme astronaute de l'Agence spatiale européenne, elle a fait "teindre ses cheveux châtain clair naturel en rouge 8RR (cuivre rouge), un ton proche de la couleur de la surface de Mars et qui est désormais signe de son identité. Par la suite, elle a commencé à se faire tatouer les tatouages qu'elle souhaitait depuis longtemps, le premier représentant un grand dragon sur ses côtes dont la queue se divise en une spirale d'ADN. Viennent ensuite l'atome sur l'avant-bras gauche, les neuf planètes du système solaire (« J'ai inclus Pluton parce que j'ai appris comme ça à l'école »), un astronaute bionique, la simplification graphique de la couverture de The Dark Side of the Moon , de Pink Floyd, et la représentation ondulatoire de sa propre voix prononçant Shine on You Crazy Diamond , le nom d'une chanson du même groupe."
Pour mémoire, les paroles de cette chanson disent "Tu as voulu découvrir le secret trop tôt,Tu as imploré la lune. Continue de briller, toi le diamant fou. Menacé par les ombres la nuit,Et exposé à la lumière."
Elle précise que son mari est un adepte de Led Zeppelin (les disciples de Aleister Crowley dont le "Stairway to heaven" est en fait une ode au dieu Pan, ce n'est pas un hasard l'interview fait du name dropping de ce groupe) : "Ils se sont rencontrés quand elle avait 16 ans et lui 15 ans à l'Ecole de langues de León. "J'étais gothique à l'époque et j'ai vu un gars porter un t-shirt Led Zeppelin et j'ai dit : 'Il est à moi'", se souvient-elle. Ils se sont mariés l'année dernière, lors d'un mariage intime à la mairie de León. Elle est allée avec une robe rouge. Lui, avec des bottes de cowboy." Notez qu'on a l'impression d'avoir affaire à la préparation de la parfaite sorcière : en 2005 l'imaginaire gothique, la robe rouge de la prostituée de Babylone etc.
Elle donne maintenant des conférences devant des ados pour l'embrigadement. Elle leur explique que les astronautes sont en quelque sorte des cobayes qu'on sacrifie après un véritable entrainement de cyborg : "Elle sait seulement que ce sera une mission courte, environ deux semaines, et qu'elle ira faire une expérience scientifique tout en devenant elle-même un cobaye de laboratoire : aller dans l'espace signifie une perte musculaire et osseuse accélérée, un vieillissement prématuré qui est étudié alors qu'ils sont loin de la Terre et à leur retour. C'est aussi la profession avec le taux de mortalité le plus élevé de toutes les professions existantes."
Notez que le même jour que cette espagnole fut choisie une autre femme, L'ingénieure et lieutenant-colonel de l'armée de terre prof de yoga Sophie Adenot. Mais celle-ci n'affiche pas le même genre de signe que ses homologues américains et sa collègue espagnole. Cette discrétion n'implique pas qu'elle ne soit pas franc-maçonne - voir aussi certaines présomptions qui entourent Thomas Pesquet ici.
Sur les débats internes à propos de l'utilité des dépenses de la recherche spatiale voir la critique d'Olivier Mousis qui dénonçait en 2017 l'aspect purement communicationnel de séjours dans l’espace comme celui de Thomas Pesquet : « ils servent à justifier la présence dans le ciel de l'ISS, cette machine énorme qui a coûté 150 milliards d'euros ».
Ici en 3e minute : Coco Chanel en 1969 déclare que personne n'est allé dans la Lune et que ce n'est là qu'une opération contre la religion (les Américains sont censés y être allé le 20 juillet de cette année - L'entretien a été diffusé à l'émission Panorama le 31 juillet 1969.
Leave The World Behind
Un mot sur le film "Leave the World behind" co-produit par le couple Obama, un films apocalyptique sur les fréquences sonores destructrices. Le réalisateur Sam Esmail a aussi réalisé Homecoming, un film qui a juste "par hasard" l'oeil d'Horus sur son affiche.
Au début de "Leave the World behind", juste après les tracts appelant à la mort de l’Amérique. La tasse, l'horloge puis l'autre horloge affichaient ensemble 666 (un 6 sur chacune).
Bien sûr les yeux sont aussi présents, de même que les damiers maçonniques.
Cette scène a aussi fait parler (à rapprocher de ce que nous avons dit sur Macron et Obey Giant).
Il est étrange que Yahoo ait délibérément effacé "Obey" dans sa présentation du film.
"Obéissez à la Nasa" avec la photo de l'oeuvre de Shepard Fairey (voyez aussi du côté de l'Elysée ici) renvoie au fait que la NASA, repaire de la francs-maçons autour duquel Obama a déjà fait des mises-en-scènes, gère des programmes secrets tournés contre l'humanité (notez aussi que l'artiste a fait un portrait d'Obama cf l'image ci dessous à droite).
Sur l'affiche, l'alignement des noms des acteurs donne verticalement en leur milieu les lettres "BAAL"
Evidemment la série renvoie à plusieurs reprises à la série Friends dont Anthony Bourdain, le cuisinier sacrifié en 2018 en France, avait souligné le côté satanique. La mort récente d'un de ses héros Matthew Perry (qui disait avoir scellé un pacte pour réussir) le 28 octobre jour l'anniversaire de Julia Roberts (héroïne de Leave the World qui avait un peu joué dans Friends), les confidences de Jennifer Aniston sur ses "cercles magiques" vont dans ce sens.
Esperanza Spalding
Une artiste proche d'Obama, toute d'orange vêtue (orange = 33 en gematria) au moment où elle ne se savait pas filmée :
Le geste "as above so below" (en bas comme en haut) rappelle Tom Hanks (cf ci-dessous) dans Forest Gump, la tête de Jack Nicholson y est incrustée sur le corps d'un personnage des années 1920 dans Shining, et bien sûr le Baphomet.
L'étrange oeuvre d'art d'Emmanuel Macron
Le 1er janvier 2019, il y a un an, le président Macron adressait ses voeux sous un tableau censé représenter la République mais comprenant un Pentagramme qui retourné semble comporter à l'intérieur un Baphomet (du moins on peut admettre qu'il y a un air de famille entre le Baphomet enséré dans un pentagramme utilisé par les satanistes et le pentagramme de ce tableau). Le site Panamza (dont je n'approuve pas tous les contenus, inutile de le préciser) qui s'en est ému précise que les voeux ont été mis en image par un certain Jérôme Revon, un réalisateur célèbre de la TV française qui, à l'occasion a travaillé sur les médiums. Il ajoutait que l'oeuvre elle-même "Liberté Égalité Fraternité", a été réalisée le 20 novembre 2015 par l'Américain Shepard Fairey le taggeur le plus connu du groupe "Obey Giant" en réaction aux attentats de Paris. Macron avait déjà donné une conférence de presse devant elle en octobre 2017. "Le tableau, offert par Obey au candidat Macron pendant la campagne des présidentielles, fait partie de la collection privée du président de la République, pouvait on lire dans le Figaro en ligne du 16 octobre 2017. Cette œuvre est elle-même une réplique d'une grande fresque réalisée sur un mur du XIIIe arrondissement de Paris (rue Nationale)."
Tout cela est censé être inspiré du film de science-fiction "Invasion Los Angeles" (1989) de John Carpenter, une histoire d'extra-terrestres qui hypnotisent les gens par la TV dont l'affiche montrait un oeil omnivoyant. Obey Giant a aussi fait l'affiche "Hope" d'Obama (qui lui avait valu un procès pour plagiat d'une photo d'Associated Press et une condamnation pour destruction de preuves en 2012) et "Make Art not War". Si bien que son affiche pour la France ressemble à une sorte de mix bâclé des deux. Si vous pensez que ce Shepard Fairey n'est pas un sataniste et que son pentagramme n'a rien à voir avec le Baphomet, regardez ses autres productions, par exemple son Oeil d'Horus (oeil omnivoyant) maçonnique sur cette affiche.
Ou encore ce portrait dont l'artiste assure que "meuh non pas du tout, il ne représente pas Anton LaVey, le fondateur de l'Eglise de Satan, mais tout bonnement un personnage de Flash Gordon..." Ben voyons...
La ligne de vêtements "made in China" qu'il a lancée en 2014 représente des croix inversées communément employées dans les églises satanistes. Il aime esquisser des cornutos sur les photos. Et si vous avez encore le moindre doute et vous demandez si "quand même", cet artiste, qui a confessé pour France Info (on se demande pourquoi nos impôts financent des reportages apologétiques là-dessus) son goût pour le punk et le heavy metal sataniques (The Clash, Black Sabbath etc), ne fait pas "simplement du second degré" en mobilisant tous ces signes ésotériques, voyez le en 2011, se pavaner au MOCA Gala dirigé par la sorcière Marina Abramovic (celle qui invitait à des séances de "cooking spirite" les frères Tony et John Podesta dont les mails fuités par Wikileaks en 2016 montraient le goût pour les rituels liés aux sacrifices d'enfants - le second était chef de campagne d'Hillary Clinton).
Il est impossible que Macron n'ait pas su cela, comme il ne pouvait ignorer l'arrière plan illuminati de la DJ ghanéenne avec qui il posait à New York en 2018, ou l'inspiration luciférienne théosophique de Jenkins dont il a fait jouer la "messe" aux Invalides pour célébrer en mai dernier les 20 ans de soutien de la France à l'UCK kosovare.
En octobre dernier, on apprenait que cette icone du street art retournait à l'école qui l'avait formée, dans le Rhode Island, la Rhode Island School of Design (RISD). Et devinez quoi, la RISD est un des protégés de la Fondation Rockefeller qui a versé 2,5 millions de dollars pour la rénovation de son musée en 2015 (on ne rappellera pas la longue histoire des Rockefeller, leur implication dans le Lucis Trust ex-Lucifer Trust etc voyez là dessus Springmeier). Bon, on ne sait pas trop s'il y a des sociétés d'étudiants du type "Skulls and Bones" à la RISD, ni quelle est au juste la nature des rapports entre les artistes qu'elle produit et la finance internationale susceptible de les instrumentaliser. Mais une chose est sûre : à part les accointances avec la jet set occultiste, Emmanuel Macron et Shepard Fairey ont un autre point commun, c'est qu'ils ne sont pas en sécurité quand ils s'exposent au contact avec le peuple. Samedi dernier le président français et son épouse ont dû être escortés à leur sortie du théâtre des Bouffes du Nord à Paris, où quelques dizaines de personnes s’étaient rassemblées pour leur reprocher leur politique anti-sociale. Le 12 août 2011, le Guardian racontait qu'à Copenhague (au Danemark) Fairey s'était fait rouer de coups par des anarchistes qui le traitaient d' "Illuminati d'Obama"...
Un pays après un coup d'Etat : le cas du Honduras
Avant le cas bolivien, on avait eu l'exemple du Honduras. Le site Grayzone décrit périodiquement l'état lamentable de ce petit pays, depuis l'éviction illégale de son président Manuel Zelaya par les militaires avec le soutien de l'administration Obama en 2009.
Le 18 octobre un tribunal fédéral de district à Manhattan a condamné le frère du président du régime putschiste pour trafic de drogue et d'armes de guerre. La cour a noté qu'il avait «injecté des millions de dollars de recettes de drogue dans les campagnes du Parti national (droite hondurienne) visant à influer sur les élections présidentielles au Honduras en 2009, 2013 et 2017». Selon le tribunal américain, le tristement célèbre seigneur mexicain de la drogue El Chapo a même personnellement versé un pot-de-vin d'un million de dollars au président hondurien pour l'aider à organiser les élections nationales de 2013. Depuis le coup d'Etat le trafic de drogue a doublé. La Sécurité sociale après avoir été largement pillée par les oligarques, a été vendue aux groupes financiers internationaux, et les prestations de santé de se font plus qu'en fonction des cotisations et des revenus (presque rien donc pour les pauvres). La compagnie d'électricité a été privatisée et les gens ne peuvent plus payer leur facture d'énergie. Un enfant sur cinq souffre de malnutrition chronique et seulement 58% sont scolarisés. Le pays a un des taux d'homicide les plus élevés du monde et 300 honduriens quittent le pays chaque jour.
A la ville comme à la scène : le vampirisme
C'est un thème que j'ai traité à propos dans mon billet sur les Epipens et l'adrénochrome : les films de vampires mettaient en scène de vrais occultistes, et les scènes étaient jouées comme des cérémonies réelles d'invocation des esprits : voir le témoignage de Christopher Lee à ce sujet en 1975. De sorte que le public sans le savoir quand il regarde ce genre de film participe à la cérémonie et en reçoit les effets.
Bela Lugosi l'acteur toxicomane qui avait joué Dracula dans un film de 1931 était un occultiste. Cindy Lee (nièce du producteur de film d'horreurs Frank Robert Saletri assassiné en 1982 dans l'ancienne maison de Lugosi, elle habite à Phoenix Arizona), dans un documentaire "Deadly Possessions" de Zak Bagans datant de 2016, explique qu'elle possède le miroir qu'il utilisait pour ses rituels et la voyance qui a causé tant de meurtres et suicides dans sa famille qu'elle l'a donné au musée de Zak Bagans à Las Vegas.
J'avais du coup posé la question de la participation de David Bowie (disciple du sataniste Aleister Crowley) et Catherine Deneuve (qui entre autres a chanté en duo avec l'homme qui avait l'anneau d'Aleister Crowley, Malcom McLaren) à l'histoire de vampires "The Hunger" (Les Prédateurs) et l'espèce de culte que la troisième actrice Susan Sarandon organise autour de ce film dans ses restaurants "Spin Ping Pong" dont le nom évoque la pizzeria Ping Pong Cosmet / Comet Pingpong de Washington DC, repaire d'Obama, Clinton, Soros and co, dont le patron mettait en scène des enfants torturés sur les réseaux sociaux.
Il y a identité entre la ville et la scène pour les films de vampires, comme il y en a aussi dans les films de sorcellerie, puisque toutes les actrices d'Hollywood qui ont joué des rôles de sorcières pratiquent aussi la sorcellerie dans la vie courante : voyez Asia Argento, Rose McGowan, Alyssa Milano. Cela rejoint aussi le fait que les plateaux de TV aux Etats-Unis deviennent des exercices d'humiliation publique qui sont en fait des rituels maçonniques : voir le cas de Kristen Wiig, Julia Roberts, ou encore la semaine dernière Taylor Swift comme l'a analysé Paul Romano ici.
Il s'avère que l'implication des acteurs de films de vampires dans l'occultisme se vérifie aussi en France. Dans le cadre de son enquête sur l'arrestation de Jean Moulin, "La diabolique de Caluire" (1999), le regretté Pierre Péan dressait le portait de la médium Lydie Bastien qui fut à l'origine de l'arrestation mais fut protégée à la Libération par un autre médium fondateur de la direction du contre-espionnage français (la DST). L'ancien policier Roger Facon, qui a écrit en 2017 un livre impressionnant sur la tradition templière et l'alchimie dans certains milieux anarcho-syndicalistes du bassin minier du Nord, autour notamment de la verrerie (il faudra que je vous en reparle à l'occasion, notamment de sa thèse selon laquelle la Première Guerre mondiale est arrivée en partie à cause des momies égyptiennes en Europe) décrit par le menu les pratiques satanistes de cette dame dans les beaux quartiers de Paris. A Montparnasse, rue Jules Chaplain, Louise d'Hour, actrice des films de vampires de Jean Rollin, chantait au Boucanier, le bar-discothèque que possédait cette Lydie Bastien (laquelle était très influente et haut placée dans le monde rosicrucien/AMORC).
Sur ce blog DJ Tytoon un ancien habitué du Boucanier, raconte que dans les années 70-80 on y dansait "sur Joy's division, Bauhaus, Christian Death, les Virgin Prunes,les Sisters of Mercy, the Cure et autres Siouxsie and the Banshee." (Vous noterez que j'ai évoqué Sisters of Mercy et Bauhaus à propos des Epipens, les autres groupes cités sont aussi liés à l'occultisme). Il la décrit comme une adjointe de Lydie Bastien et cite un article qui la présente comme étant dans la vraie vie "un peu vampire, un peu sorcière, beaucoup médium"...
Le monde des films fantastiques autour des vampires est un bon filon à suivre pour comprendre l'occultisme maléfique dans la haute société européenne et américaine. Les diverses productions culturelles qui folklorisent ce thème, en font un sujet d'humour, le relèguent dans le domaine de l'imaginaire et de la fantaisie sont un paravent utile à des pratiques sordides et bien réelles qui se passent régulièrement autour de nous les jours de pleine Lune, d'Halloween etc, et qui sont le moteur spirituel des problèmes de ce monde.
Le thanksgiving égyptien de Kristen Wiig sur SNL en 2016
Avant hier TMC diffusait et ce SyFy fera de même le film "SOS Fantôme/Ghostbusters" qui avait frappé les esprits en 1984 (tout le monde avait été soumis au conditionnement de ce film par la musique qui fut numéro 1 au Top50), une fiction destinée à préparer les gens au contact avec les démons et à l'occultisme généralisé comme au temps de Nimrod. Comme toutes les productions maçonniques ou crypto-maçonniques à succès des années 1980, il a fallu en sortir une autre version 22 ans plus tard pour répercuter le contrôle mental sur la nouvelle génération. Le nouveau Ghosbusters devait nécessairement pousser plus loin les thèmes sataniques, et donc il le fit dans le registre alchimique de l'homosexualité féminine et du transgenre. Ce qu'il resta d'hétérosexuel dans le film fut incarné par l'actrice Kristen Wiig qui jouait le rôle d'une universitaire sérieuse, mais sexuellement trop coincée (alors qu'au fond elle fantasmait beaucoup, ce qui est le signe qu'elle n'était pas "si mauvaise que ça" parce que, c'est bien connu, dans le système inversé actuel, plus on s'abandonne à ses pulsions "de base" et meilleur on est, parce que, comme le chante l'autre sataniste "All the good girls go to hell"). (Au passage merci Ghostbusters, "grâce" auquel des jeunes filles m'écrivent qu'elles font des tentatives de contacts avec les fantômes dans les ruines des châteaux, des femmes qui s'étonneront ensuite de mourir dans des conditions mystérieuses...)
Donc Kristen Wiig, la fausse "good girl", fut récompensée en 2016 de ses bons et loyaux services en ayant le droit de chanter en novembre 2016 une chanson sur thanksgiving à l'émission à sketches Saturday Night Live - SNL sur la chaîne TV américaine NBC.
Thanksgiving est une fête très liée à l'histoire du christianisme américain puisque c'est un jour durant lequel traditionnellement on remerciait Dieu par des prières et des réjouissances pour les bonheurs que l’on avait pu recevoir pendant l’année.
La petite chanson de Wiig a frappé les esprits par son côté typiquement Illuminati, puisqu'elle commence par "Le premier Thanksgiving a commencé en Egypte" - ce qui est évidemment faux mais fait entrer le spectateur dans l'imaginaire maçonnique des pyramides et de l'oeil d'Horus. Puis elle est rejointe par un étrange viking dont le casque évoque les cornes du diable, puis le père Noël made in Coca Cola - on sait depuis au moins Alice Cooper que ce "Santa Claus"-là est avant tout un Satan-Nimrod -, puis un extra-terrestes (l'UFO agenda, très important aussi, comme le l'UFO club berceau de toute la pop new age crowleysienne anglaise). Puis l'acteur chanteur Steve Martin entre en scène. Steve Martin s'est rendu célèbre en 1978 pour sa chanson "King Tut" (avec force cornuto) en hommage à Toutankhamon (au fait, vous vous demandez pourquoi l'expo Toutankhamon vous est martelée dans les médias, au point qu'aucun collège à moins de 200 km de Paris ne peut s'empêcher d'y amener ses élèves ?). Certains ont aussi relevé la présence de figures maçonniques sur ce plateau comme Benjamin Franklin (sous la maison duquel on retrouvé des ossements d'enfants) ou Napoléon.
Beaucoup d'analystes ont acquis la conviction que tous ces shows à succès sont des rituels initiatiques entre maçons auxquels la TV permet permet de donner une dimension publique (sauf que le public ne sait pas ce qu'il y regarde). La réflexion avait par exemple été faite à propos de l'humiliation rituelle de Julia Roberts à l'émission d'Ellen aux USA le 30 novembre 2018, Ellen degeneres Show d'NBC (qui eut occasionnellement le temple d'Epstein comme décor).
Et cela ne concerne pas que les Etats-Unis puisque beaucoup d'émissions de ce genre comme The Voice ou "La France a du talent" etc sont des franchises internationales.
L'hypothèse que ces émissions soient effectivement des rituels est d'autant moins absurde que, par exemple, les acteurs des films d'épouvante ont reconnu qu'ils faisaient de réelles incantations occultistes sur les plateaux de tournage devant les caméras...Bizarrement à la fin de la chanson Steve Martin reproche à Kristen Wiig d'avoir avancé des faits inexacts dans sa chanson (comme le fait que Christophe Colomb serait parti de Corée) et la rapproche des "fake news", puis la tête d'un membre du public explose (ce que le commentateur Paul Romano dans la vidéo ci-dessous rapproche des sacrifices humains). Il est vrai que la séquence est très bizarre et pas drôle du tout... Ce qui renforce encore l'hypothèse qu'il s'agit d'une sorte de rituel initiatique (en même temps que de manipulation des foules) et non d'une émission humoristique...
Concernant SNL, qui est une institutions sur NBC puisqu'elle existe depuis 1975 (et son fondateur a reçu la médaille présidentielle de la liberté de la part d'Obama) beaucoup ont remarqué que l'émission présente souvent des symboles égyptiens. Un commentateur de Paul Romano sur You Tube fait remarquer que ses invités sont toujours hébergés à l'hôtel Essex House à Central Park, une maison initiatique pour VIPs où en 1975 résidait en permanence David Bowie, lui aussi un égyptolâtre disciple du mage sataniste Crowley et habitué des plateaux de SNL.