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Le blog de Frédéric Delorca

Donald Trump reprend-il le contrôle de la Réserve fédérale ?

29 Mars 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Donald Trump, #Les Stazinis, #Les régimes populistes, #coronavirus-vaccination-big pharma

Le 27 avril 1961, le président John F. Kennedy (1917-1963) déclarait : "Nous sommes confrontés dans le monde entier à une conspiration monolithique et impitoyable qui repose principalement sur des moyens secrets pour élargir sa sphère d'influence - sur l'infiltration au lieu de l'invasion, sur la subversion au lieu des élections, sur l'intimidation au lieu du libre choix, sur la guérilla la nuit au lieu d'armées le jour. C'est un système qui a mobilisé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d'une machine très soudée et très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques."

La banque centrale américaine (Federal Reserve System/Fed) a joué un rôle important dans ce complot dénoncé par le Pdt Kennedy. Aujourd'hui les partisans de Donald Trump mettent en avant la "guerre silencieuse" que celui-ci mène contre cet organisme pilier de l'économie mondiale. C'est ce que nous allons tenter d'expliquer ici, mais tout d'abord un petit rappel historique.

En 1952 paraissait « Les Secrets de la réserve fédérale » écrit par Eustace Mullins , en collaboration avec le poète Ezra Pound, lequel était à l’époque interné à l’hôpital psychiatrique Sainte Elizabeth à Washington (une hospitalisation politique comme on en réserve souvent à ceux qui en savent trop) - il existe sur Wikipedia tout une page qui essaie de démonter le livre de Mullins comme relevant de la propagande conspirationniste et antisémite (argumentaire classique contre toute volonté de questionner un peu le système politico-économique actuel), mais rien dans cette page ne permet d'invalider complètement les éléments factuels avancés par Mullins sur l'aspect particulier de la création de la Réserve fédérale. Celui-ci y explique comment la banque fédérale américaine (« Réserve fédérale ») a été fondée contre l’opinion publique des Etats-Unis qui y était hostile, sur la base d’un plan monté par un groupe de banquiers réunis en secret en 1910 (après une panique financière créée en 1907) sur l’île de Jekyll, en Géorgie, propriété de John Pierpont Morgan. Le père de JP Morgan, Junius Spencer Morgan, a construit son empire en collaboration avec le banquier George Peabody, qui aida Nathan Rothschild à régler ses différends avec la famille royale anglaise. En retour grâce aux fonds de la Banque d’Angleterre contrôlée par les Rothschild, Morgan & Co avait pu survivre au krach bancaire de 1857 . Il est souvent avancé aussi que Morgan a également sauvé en 1893 le gouvernement américain de la panique bancaire grâce à un apport financier des Rothschild, ce qui en fait aux yeux de beaucoup un agent de ces derniers.

Bien que la banque centrale américaine, créée par une loi de décembre 1913, soit dite fédérale, elle appartient à des financiers privés et ne reçoit pas d'instructions du président des Etats-Unis ou du Congrès. Les 7 membres de son conseil des gouverneurs sont nommés par le président avec l'accord du Sénat pour quatorze ans sur proposition des milieux financiers (en fait parmi les membres du très confidentiel Council on foreign relations). Lorsque la Fed a été créée, cinq banques new-yorkaises - Citibank, Chase (toutes les deux contrôlées par Rothschild), Chemical Bank, Manufacturers Hanover et Bankers Trust - détenaient une participation de 43% dans la Fed de New York. En 1983, ces cinq mêmes banques détenaient 53% de la Fed de New York. En l'an 2000, Citigroup, JP Morgan Chase et Deutsche Bank (allemande), récemment fusionnés, combinaient des parts encore plus importantes.

La Fed a permis aux banques privées de contrôler l'édition de la monnaie et de bénéficier de divers prêts gagés sur des fonds publics. Selon une étude du Government Accountability Office (GAO) entre 2007 et 2011 la Fed a fourni aux grands groupes financiers 16 000 milliards de dollars (2,5 à Citigroup, 2,04 à Morgan Stanley etc) - cf le discours de Bernie Sanders du 21 juillet 2011.

Sous la houlette de la Fed, le système mondial international s'est peu à peu détaché de l'étalon-or qui servait de gage à l'émission de la monnaie dans le monde (l'émission de monnaie se faisait en fonction de la quantité d'or stocké, système qui a été peu à peu abrogé si bien que cette production aujourd'hui n'est plus indexée sur rien). Les États-Unis en sont sortis en 1933 sous Franklin D. Roosevelt (le président à qui l'on doit la présence de la pyramide avec l'oeil d'Horus sur le billet d'1 dollar et la construction du Pentagone en forme de coeur de pentagramme occulte), et ce même pays a mis fin à la convertibilité internationale du dollar en or en 1971.

Le président Trump durant la campagne électorale s'était dit favorable au retour de l'étalon-or mais avait reconnu que cela serait difficile car les Etats-Unis n'avaient plus d'or. En juillet dernier il a d'ailleurs annoncé son intention de nommer au comité des gouverneurs de la Fed l'économiste Judy Shelton, favorable à ce retour à l'étalon-or (tout comme le libertarien Ron Paul).

En juillet 2018, le spécialiste des stratégies financières Richard Bove sur CNBC avait relevé les critiques de Trump contre la politique de taux d'intérêts élevés de la Fed et prédit que le président s'apprêtait à remettre la Fed sous sa coupe, en rappelant qu'à l'origine elle était censée être présidée par le secrétaire au Trésor.

Le projet de nomination de Judy Shelton a été saluée par un post de Qanon du 9 juillet 2019, lequel avait déjà précisé en 2018 que l'étalon-or "détruirait la Fed". Il semblerait que les Etats-Unis aient assez de tonnes métriques d'or estimées (plus de 8 400 tonnes en 2008, devant le Chine, l'Allemagne, l'Italie, la France et la Russie) pour effectuer ce retour.

Le 27 mars, l'économiste de Bloomberg Jim Bianco, estimait que "la récente annonce (du 23 mars) de la Réserve fédérale donne un contrôle énorme sur ses opérations au département du Trésor" (le ministère de l'économie) de l'administration Trump. Il s'agit d'un plan de la Fed pour le rachat sans limite, avec l'expertise stratégique de BlackRocks, de toutes sortes de créances publiques pour amortir les effets de la crise du coronavirus.

Techniquement cela implique que "la Fed financera un véhicule à usage spécial (SPV) pour chaque acronyme pour mener ces opérations. Le Trésor, en utilisant le Fonds de stabilisation des changes, fera un investissement en fonds propres dans chaque SPV et sera en position de «première perte». Qu'est-ce que ça veut dire? En substance, c'est le Trésor, et non la Fed, qui achète tous ces titres et appuie les prêts; la Fed agit en tant que banquier et fournit du financement. La Fed a engagé BlackRock Inc. pour acheter ces titres et gérer l'administration des SPV au nom du propriétaire, le Trésor. Autrement dit, le gouvernement fédéral nationalise de larges pans des marchés financiers. La Fed fournit l'argent pour le faire. BlackRock fera les échanges." Conclusion de Bianco, largement reprise par les partisans de Trump sur les réseaux sociaux : puisque le Trésor (le ministère des finances) contrôlera les SPV "ce schéma fusionne essentiellement la Fed et le Trésor en une seule organisation. Alors, rencontrez votre nouveau président de la Fed, Donald J. Trump."

On savait que la Chine et la Russie depuis quelques années préparaient un retour à l'étalon-or chez elles de crainte d'un crash financier. A supposer que la reprise en main de la Fed par Trump à la faveur de la crise du coronavirus soit aussi effective que le prétend Bianco, se peut-il qu'elle soit une étape dans le retour des Etats-Unis eux-mêmes à l'étalon-or, et donc la fin d'une dévalorisation de la monnaie entretenue par les milieux financiers depuis 50 ans ?

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Covid 19 : le mot de Gordon Brown, le combat des pro-Trump

29 Mars 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #coronavirus-vaccination-big pharma, #Les régimes populistes, #Bill Gates, #Les Stazinis

Dans le Guardian, le 26 mars dernier, l'ex-premier ministre travailliste britannique Gordon Brown, qui avait renfloué les banques en 2008, demandait que, pour combattre le virus bizarre (dont on ne sait pas s'il est né naturellement au wet market** de Wuhan, au centre de biotechnologie dont Soros a été actionnaire en 2011 dans cette ville, dans les laboratoires du Pirbright Institute subventionné par Bill Gates, de l'Institut Pasteur, quelque laboratoire militaire américain qui l'aurait véhiculé via les compétitions militaires internationales de Wuhan etc) la mise en place d'«une forme temporaire de gouvernement mondial» avec des pouvoirs spéciaux attribués à l'Organisation mondiale de la santé (actuellement dirigé par un quasi-génocidaire) et à l'Organisation des nations unies. Il disait ainsi tout haut ce que beaucoup de mondialistes pensent tout bas, alors que l'effet immédiat de l'épidémie a été plutôt d'aboutir à la fermeture des frontières (qui était le seul moyen d'empêcher les contaminations entre personnes) et de créer des tensions considérables au sein de l'Union européenne entre l'Allemagne et les Pays-Bas d'une part et les pays du méditerranéens d'autre part.

(Au passage notez que le système financier mondial a offert à Brown, pour le récompenser de ses efforts en 2008, une sympathique retraite comme conseiller du fonds d'investissement californien PIMCO - Pacific Investment Management Company, LLC - ce qui lui permet de financer un système de fondation-arnaque comme Bill Gates)

Au même moment se développait chez les partisans de Trump l'idée que la propagation de ce coronavirus/Covid19 pouvait être destinée à ruiner l'économie américaine et empêcher la réélection de leur leader, ce que celui-ci a aussi laissé entendre à demi-mot dans une conférence de presse. C'est que la mouvance patriote américaine, sur la foi des posts de Qanon, continue de penser que le président mène une guerre secrète contre l'Etat profond.

En février Q avait attiré l'attention sur la démission soudaine en 48 h des PDG ou hauts responsables de Disney, Mastercard, Salesforce, L Brands, Uber Eats, Hulu, MGM, IBM, LinkedIn, Bayer, Aurora cannabis, laissant entendre que c'était un des effets de cette guerre secrète et des menaces de poursuites judiciaires.

Un élément nouveau est apparu la semaine dernière au sujet de cette guerre secrète : le docteur Anthony Fauci, directeur depuis 30 ans de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, l'homme qui s'est récemment opposé ouvertement sur CNN à la position de Trump sur la chloroquine et qui a  critiqué ses mesures de relance de l'économie, lors d'un forum sur les pandémies organisé à l'université de Georgetown, le 11 janvier 2017 avait annoncé que l'administration Trump pendant son mandat ne serait pas confrontée (challenged) aux menaces sanitaires globales  déjà en cours comme la grippe et le SIDA mais aussi par le déclenchement d'une "nouvelle maladie surprise". Simple constat d'un scientifique sur une menace qui était "dans l'air du temps" ? ou promesse, voire "programmation prédictive" d'un "insider" bien informé, comme on a pu le penser aussi des propos de Bill Gates il y a un an sur une pandémie qui viendrait de Chine ?

Dans un mail du 26 janvier 2016 fuité par Wikileaks, Fauci avait écrit à Hillary Clinton en se présentant comme son "admirateur". Le 2 juin 2012, il écrivait à Cheryl Mills avocate des Clinton qu'un discours d'Hillary l'avait "ému aux larmes". 

Ce fan d'Elton John (artiste de triste réputation dans les milieux informés sur les sociétés secrètes) en 2009 avait contribué au lobbying pour les commandes actives de centaines de millions de vaccins contre le virus H1N1 des marques GlaxoSmithKline (the Wellcome Trust), Sanofi, AstraZeneca et Novartis (Bill and Melinda Gates Foundation), en collaboration avec le Merial Animal Heath Institute (GB & China), et le Pirbright Institute. Les pro-Trump accusent Fauci d'agiter la peur pour continuer de couler l'économie et faire le jeu du lobby planétaire du Big Pharma (on parle même de Pharmaggedon !), comme il l'avait déjà fait à plus petite échelle en 2009, en lien avec les banquiers (qui possèdent nos médias), l'ONU, le Council on foreign relations etc.

Voyez aussi ci-dessous son rôle dans l'arrestation en Californie de la chercheure Judy Mikovits qui avait mis en lumière le lien entre les rétrovirus présents dans les vaccins et la fatigue chronique (cf son livre).

Peut-être faudra-t-il donc garder à l'esprit ce conflit entre les trumpiens et le lobby pharmaco-financier mondialiste dans les semaines qui viennent.

Pour le reste je note que ce blog bat des recors d'affluence en ce moment en raison probablement du confinement. Le billet sur l'adrénochrome qui est pourtant difficile à lire car très documenté en peu de lignes a été consulté par plus de 1 000 personnes ce mois-ci. Je maintiens mes humbles conseils spirituels pour ceux qui dépriment dans l'isolement.

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Actualisation 2 avril 2020 : le 1er avril sur Twitter Paul Watson attirait l'attention sur une info de Fox News révélant qu'une enquête de l'université chinoise du Sud (en ligne depuis deux mois, mais personne ne l'avait regardée) mentionnait le fait qu'une soixantaine d'usagers du Wet Market de Wuhan certifiaient ne pas y avoir vu de chauves-souris suspectées d'avoir diffusé le coronavirus, mais qu'en revanche les deux centres de recherche travaillant sur le coronavirus étaient suspectés dont celui dont Soros avait été actionnaire.

Covid 19 : le mot de Gordon Brown, le combat des pro-Trump
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L'Abkhazie agace toujours les Russes

24 Mars 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Abkhazie

L'élection présidentielle en Abkhazie (que les Abkhazes appellent Apsny, le pays de l'âme), qui s'est tenue dimanche (après quand même une tentative de coup d'Etat en janvier), a été remportée par le chef de l'opposition Aslan Bzhaniya avec 56,5% des voix, face au vice-Premier ministre, ministre de l'économie d'Abkhazie, Adgur Ardzinba, 35,42%, et à  l'ancien chef du ministère des Affaires intérieures de l'Abkhazie Leonid Dzapshba - 2,22%. Le taux de participation a dépassé les 71%. Pas d'effet "coronavirus" donc dans ce pays.

Le site russe Pravda.ru donne la parole au député à la Douma et spécialiste des Etats de l'ex-URSS (CEI) Constantin Zatouline, qui critique le fonctionnement clanique persistant du pays qui selon lui y encourage les logiques de vendetta et les lois du silence, et le fait que les Russes ne peuvent toujours pas y acheter des propriétés (la législation réserve le foncier aux locaux, et toutes les entreprises doivent être à 51 % abkhazes, donc pas de place pour les spéculateurs capitalistes venus de l'étranger !).
Sur les réseaux sociaux comme ici les Russes blâment la paresse des Abkhazes, le fait que tout ce qui a été fait dans ce pays est l'oeuvre des Géorgiens avant 1992. Apparemment les Russes apprécient l'air pur de la région, mais pas trop l'attitude des autochtones à leur égard.

Ca rejoint des propos que j'ai entendus sur place en 2009. Dans tous les commentaires les touristes russes disent que les Abkhazes sont paresseux et des voleurs, qu'ils n'ont rien reconstruit chez eux depuis la guerre, qu'ils ne nettoient même pas leurs maisons, qu'ils gaspillent l'argent que Moscou leur donne et ne font rien pour le tourisme. L'Abkhazie malgré sa très belle nature serait vouée à perdre ses visiteurs au profit de la Crimée, qui est aussi très belle et où les gens auraient un esprit plus positif...

Je crois que le jour où les Russes cesseront de voir l'Abkhazie à travers des jolies filles qui se filment en mode selfie sur les bords de la Mer Noire (et il y a des vidéos sur You Tube en tenue plus légère que celle ci-dessous), ils progresseront dans leur compréhension de l'essence de ce pays.

A comparer avec les déclarations du militant circassien de Kardino-Balkarie e( ex héros de la guerre patriotique abkhaze) İbrahim Yağan à la Voix de la Circassie en février 2012 : "Il existe de nombreux conflits, notamment entre clans, dans la société abkhaze. L'administration russe joue un rôle important dans ce dossier... Les activités des bureaucrates russes en Abkhazie sapent la structure étatique non seulement de l'Abkhazie, mais aussi de la Russie... Malgré le potentiel de l'Abkhazie, il n'est pas possible d'offrir aujourd'hui une vie meilleure que la vie dans les campagnes russes. Parce que ce serait un exemple indésirable pour les dirigeants russes."

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Big Pharma, corona, le monde sans paradis

21 Mars 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Bill Gates, #George Soros, #Grundlegung zur Metaphysik, #Christianisme, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Débats chez les "résistants", #Le monde autour de nous, #Vatican

Apparemment, la possibilité que le SRAS refasse surface sous forme de coronavirus flottait parmi les hypothèses des chercheurs depuis 2007. C'est ce que montre cet article de "Clinical Microbiology Reviews" signé par Vincent C. C. Cheng, Susanna K. P. Lau, Patrick C. Y. Woo, Kwok Yung Yuen sous le titre "Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus as an Agent of Emerging and Reemerging Infection" paru il y a plus de douze ans.

Cela explique les propos alarmistes de Bill Gates l'an dernier. Se peut-il que Gates, avec l'appui du Pirbright Institute britannique directement aux Etats-Unis, ou par l'intermédiaire du centre de recherche qui "appartiendrait" à Soros (restons prudents) à Wuhan (ou encore avec les francs-maçons de l'Institut Pasteur que Zagami essaie de mouiller dans l'affaire), aient donné un "petit coup de pouce" à cette opération ? La programmation prédictive chère aux sociétés secrètes peut le laisser penser, même si les prédictions des romans ou des morceaux de rap ne sont jamais en soi des éléments de preuve, évidemment. Amusante en tout cas la manière dont les journalistes se sentent obligés d'écarter tout de suite l'hypothèse avec des grands airs, comme l'ont fait Eric Zemmour et Christine Kelly sur CNews dans Face à L'info, le 17 mars (qui peut croire ensuite que Zemmour soit un "dissident" ?). Même le site vénézuélien chaviste Aporrea.org se sent obligé de relayer un article "anti-complotiste" de la revue Nature à ce sujet...

Diffusion spontanée d'un virus né sur un "wet market" de Wuhan, ou petite opération téléguidée ? On ne sait pas. Vu l'idéologie dépopulationniste de beaucoup de dirigeants (et de pas mal d' "honorables sociétés" lucifériennes dont ils affichent les signes), à peine dissimulée d'ailleurs dans leur discours, toutes les hypothèses restent ouvertes.

Si c'est téléguidé, force est de constater qu'ils n'ont pas choisi de lancer d'emblée un virus très mortel : même si une mortalité de 1 à 3 %, sur beaucoup de cas touchés, cela fait quand même à terme un chiffre élevé, on n'en est pas à la peste noire du moyen âge. Encore une fois si l'affaire a été programmée ça aurait pu être pire, "ils" auraient pu frapper un coup "plus fort". Se sont-ils "retenus" ? Ont-il seulement voulu procéder à de l'expérimentation sociale ? éventuellement en faisant peut-être d'une pierre plusieurs coups : faire de l'ingénierie sociale expérimentale en essayant de voir ce que ça fait de parquer les gens chez eux, de suspendre l'Etat de droit, de voir qui résiste, qui ne résiste pas, comment ; et puis couvrir l'effondrement des banques qui était déjà prévisible depuis quelque temps ; et puis peut-être amorcer une resocialisation de l'économie façon New Deal (Boris Johnson annonce qu'il va rémunérer les commerces pour rester fermés, Alitalia est nationalisée, peut-être bientôt Air France). On sait que les grandes lignées occultistes jadis jouaient aussi bien le libéralisme que le socialisme. Dans les années 1910 la première députée Tory anglaise et occultiste Nancy Astor, membre d'une faille qui représentait un quinzième des investissements aux Etats-Unis quelques décennies plus tôt; finançait aussi la Société fabienne, socialiste révolutionnaire, tout comme Jean Monnet, l'homme de l'empire JP Morgan, pouvait obtenir de Staline dans les années  30 la nationalité soviétique pour sa femme, et Rockefeller avoir sa piste d'atterrissage personnelle à Moscou pendant toute la période communiste. L'union de l'aristocratisme et du communisme avait même été théorisée chez la Rosecroix des Lords anglais qui ont ensuite influencé Hitler (voir notre article sur le Vril).

Est-ce que tout est pensé dans cette affaire ? Sans doute pas. On peut imaginer que Trump ait eu envie qu'en pleine guerre commerciale avec Pékin de donner le feu vert à la CIA pour mener une opération à Wuhan "juste pour voir", sans trop réfléchir aux conséquences et aux effets boomerang (avec le labo de Soros, avec des concurrents infectés aux jeux militaires, allez savoir...). Les fabriquants du Covid-19, s'il a été fabriqué, qui eux ont peut-être plus réfléchi que Trump, savaient-ils que le gouvernement de Pékin jugulerait assez rapidement le virus ? Allez savoir. Pas forcément... mais peut-être... Soros affiche souvent sa haine des leaders chinois, un sentiment peut-être partagé par ses collègues qui n'aiment pas que le système bancaire de ce pays reste étatisé et le foncier agraire collectivisé, mais les banquiers de Davos aiment bien quand même le côté autoritaire de ce régime qui impose la suppression du cash, la puce pour tous, le contrôle des masses. D'ailleurs ils ont tout fait pour sa réussite depuis son intégration dans l'Organisation mondiale du commerce (transferts de technologie massifs, tarifs douaniers préférentiels etc). Après tout, le succès du dirigisme chinois peut faire école en Occident (qui déjà depuis début mars n'est plus dirigé que par décret). Ne passe-t-on pas notre temps depuis 15 jours à citer la Chine comme modèle ?

Donc on expérimente, on amorce la reprise en main de l'économie par les Etats (même si on ne sait pas trop avec quel argent ça se fera, car pour l'instant on ne fait que gonfler l'endettement en rachetant des dettes avec d'autres dettes). Et puis derrière il y aura la vaccination (obligatoire ? pas obligatoire ?) avec le "Big Pharma" (la Bill Gates Foundation, Unitaid de l'ONU, etc). Un programme de dépopulation aussi, à terme, derrière les vaccins (pensez aux Georgia Guidestones, puisqu'on parlait de la Rosecroix)? Peut-être, peut-être pas. Si oui, de quelle ampleur ? Est-ce que ça aussi c'est étudié, planifié, ou vont-ils juste "tenter des coups pour voir" ?

Evidemment on n'a jamais toutes les preuves de ce genre de chose. Si l'on dit "les vaccins de la fondation Bill Gates ont tué des gens à tel endroit en Inde", on répondra "ce fut seulement accidentel". S'ils tuent à l'échéance de 20 ans, les optimistes diront "c'était involontaire". Ce qui est en tout cas objectivement inquiétant dès aujourd'hui, c'est qu'on brûle les étapes des tests sur les animaux et sur les humains pour accélérer la mise sur le marché, alors que déjà les vaccins qui respectaient ces protocoles auparavant étaient des plus douteux puisqu'on en ignorait les effets sur 10 ou 15 ans...

La terrible angoisse des gens devant une vie qu'ils craignent d'autant plus de perdre qu'ils en ont complètement perdu le sens à force de narcissisme collectif et d'égotisme individuel, les pousse ainsi à choisir ce qui les tuera lentement plutôt que d'accepter humblement que leur Créateur dispose de leur sort. "Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera.…" (Matthieu 16:25).

Et Mme Buzyn, cette ministre qui avait une drôle de façon d'enlever une poussière de son oeil sur les photos (en faisant un petit signe à l'objectif ?) et qui maintenant se plaint de ne pas avoir été écoutée à temps, a-t-elle tenté d'empêcher la diffusion d'un médicament efficace, la choloroquine ? Et d'ailleurs la chloroquine est-elle vraiment efficace ou n'est-ce qu'un piège poussé par un lobby rival de celui de la vaccination ? Libération le 20 mars nous explique qu'il faut faire confiance à la décision prise en janvier à ce sujet parce que c'était une décision collective des spécialistes et de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Sauf que, vu que Libération n'a mené aucune enquête indépendante sur les processus décisionnels au sein de l'ANSM, ce journal étant lui-même la propriété de banquiers lesquels sont liés au lobby pharmaceutique qui "influence beaucoup" l'ANSM (ne serait-ce que du fait des perspectives de carrière qu'il peut offrir à ses membres une fois passé le délai de rigueur déontologique), je n'ai aucune raison de faire confiance à son article lénifiant.

La peur, la tristesse sont là, mal dissimulées par le côté festif "obligatoire" des bonnes blagues sur les réseaux sociaux et des applaudissements des soignants aux fenêtres aux quatre coins du monde. Ils ferment les églises - qu'ils remplacent par des parodies de messes virtuelles "interreligieuses" (en fait "humanistes", apostates) à la mode kenyane dont on peut penser qu'elles inspireront bientôt l'antipape jésuite grand sorcier du nouvel ordre mondialiste. Ils veulent montrer que seule la solidarité humaine doit primer, qu'on doit tous se serrer les coudes, tous être très grégaires. Ca n'est pas spirituel pour deux sous. Et on pressent bien que cet humanisme désespéré, au bout du chemin, n'offrira aux gens que des fausses réponses, toujours plus de totalitarisme, toujours plus d'orgueil collectif désespéré, toujours plus de morbidité et de fragilité face à l'occultisme. Certains observateurs ont remarqué que les célébrités d'Hollywood chantaient, pour "encourager la population" sur You Tube l'ignoble "Imagine" de John Lennon (l'homme qui avait fait un pacte avec le diable). Cet hymne était omniprésent au moment de l'attentat du Bataclan en 2015. 

"Imaginez qu'il n'y a pas de paradis", dit la chanson. C'est effectivement l'avenir que tous ces gens se préparent...

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Le coronavirus a-t-il réduit la Gospa de Medjugorje au silence ?

19 Mars 2020 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Christianisme, #Grundlegung zur Metaphysik

Les autorités religieuses de Medjugorje (Bosnie-Herzégovine) ont annoncé hier que la Gospa (la "Vierge" locale) a fait savoir à la "voyante" Mirjana qu'elle ne lui délivrerait plus de message les 2èmes jours de chaque mois comme elle le faisait jusqu'ici mais qu'elle lui apparaîtra seulement le jour de son "anniversaire" (le 18 mars) tous les ans.

Commentaire goguenard du professeur catholique E. Michael Jones (dont il faut lire l'excellent ouvrage démystifiant Medjugorje - pour m'y être rendu en 2016, je pourrais aussi vous en parler) sur Twitter aujourd'hui : "Très bien, je ne voudrais pas que notre Sainte Mère vienne y attraper le coronavirus..."

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