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Le blog de Frédéric Delorca

La psychose de la piqûre

30 Mai 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Béarn, #Grundlegung zur Metaphysik, #Le monde autour de nous, #coronavirus-vaccination-big pharma

On s'est intéressé sur ce blog l'an dernier au phénomène étrange des mutilations de chevaux en France. Un autre lui succède en ce moment : la psychose des piqûres.

Je lis dans La République des Pyrénées (journal du Béarn) : l'histoire d'un groupe de cinq jeunes (entre 19 et 22 ans), qui le 19 mai dans un bar palois pendant la nuit ont eu un long moment d'absence (un "black out") et se sont retrouvés au petit matin avec des traces de piqûres au coude. Une fille s'est mise à traverser la ville à pied en pleine nuit, ce qu'elle ne fait jamais, un garçon a sombré dans une forte léthargie.

Près d'Argelès-Gazost, le 30 avril une jeune Bigourdane dans une soirée a entendu une rumeur concernant des piqûres sauvages ("needle spiking"), puis ressenti une chaleur à la cuisse, et s'est retrouvée ensuite avec des traces d'insuline et de GHB (la drogue du viol) dans le sang. 300 plaintes ont été déposées dans toute la France depuis fin mars. Les traces avérées de drogues sont rares. Le phénomène a commencé en France en avril dans l'Ouest de la France puis s'est généralisé. Cette étrange "mode" provient d'Angleterre (1 300 plaintes en 6 mois, surtout du côté de Manchester) où elle sévit depuis fin 2021.

Le 28 mai, Dinos rappeur adepte du 666 sur l'oeil droit a lancé un appel contre ces pratiques. C'est apparemment la première star en France à faire ça. Evidemment devant ce genre de phénomène quand même assez massif, on peut être tenté de suivre une piste conspirationniste. C'est ce que tente en deux lignes le site PlanB quand il écrit : "Le problème le plus préoccupant est celui des piqûres sauvages. Cela peut avoir été planifié dans le cadre du "sacrifice du culte maçonnique", mais si c'est aléatoire, vous êtes tous foutus." Après tout Hollywood ne nous bassine-t-il pas avec la thématique des seringues tout le temps ? L'obsession sadique médicale étant partout, le film Les Crimes du futur, de Cronenberg présenté à Cannes cette année nous explique même que l'opération chirurgicale est la nouvelle forme de la sexualité (sic). Dans un tel contexte, il n'est pas exclu que les occultistes de haut vol veuillent encore plus polariser l'obsession fétichiste de l'aiguille, déjà bien stimulée par la dictature vaccinale, en poussant quelques équipes volantes dans les boites de nuit à jouer de la seringue en douce... De toute façon ces gens ont besoin de psychose... Attentats, Covid, guerres, variole du singe, piqûres sauvages... tout leur est bon dans cette perspective.

N'est-ce pas à rapprocher de ce fait divers des années 1920 ?

"Piqueurs  et Coupeurs continuent leurs exploits (Petit Parisien 15.12.22) : On arrête deux hommes dont il a été impossible d'établir la culpabilité « Piqueurs et « coupeurs », inlassablement, continuent leurs stupides exploits, en se riant de la police, dont la tâche est fort difficile, il faut l'avouer.

Leurs victimes ont été hier M. Marcel Bonnard, 34, rue du Bac, piqué l'épaule gauche, à la station du Métro « PalaisRoyal » Mme Yvonne Fournier. couturière, 35, boulevard du Temple, piquée entre les stations « Opéra » et « République » Mme Marie Armengql, 34, rue de Montmorency, piquée à la main, rue SaintMartin deux clientes d'un grand magasin de la rive droite, qui ont refusé de se faire connaître Mme Foussé, 7, rue de la Lune, piquée à la cuisse droite dans un cinéma de l'avenue Gambetta Mile Lavallée, 20, rue du Cimetière, à Saint-Mandé, piquée à la station du Métro « Père-Lachaise » et du bras gauche de laquelle on retira une longue aiguille de couturière Mme Belet, 44, rue de Bruxelles, dont le manteau a été lacéré place Clichy Mlle Faveyral. boulevard Voltaire, qui, piquée dans l'autobus Madeleine-Bastille, a fait arrêter un voyageur qui sc trouvait ses côtes. Conduit au commissariat de la Chaussée-d'Antin et fouillé, celui-ci a été relâché, sa culpabilité n'ayant, pu être établie enfin, une Polonaise, Mme Herkowitz. domiciliéo 110, rue Saint-Maur. piquée dans un autobus de la ligne Louvre-Saint-Fargeau.

Celle-ci occupait, avec sa fillette, une banquette de seconde classe en face se trouvaient assis une dame et un sous-chef de bureau de la mairie du vingtième, M. Martial Fleury, âgé de quarante-sept ans. Ayant laissé tomber son sac à main, Mme Herkowitz se baissa pour le ramasser. Elle se releva soudain en criant

On vient de me piquer Au secours Et aussitôt elle accusa M. Fleury. Cekui-ci protesta. La voyageuse qui était assise à côté de lui prit le parti de Mme Herkowitz. Bref, tout le monde s'en fut au commissariat de la Folie-Mérieourt. Là, M. Fleury, à nouveau, affirma son innocence. Et on ne trouva sur lui aucun objet ayant pu provoquer la légère trace de piqûre que Mme Herkowitz portait au poignet droit."

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