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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #cinema tag

Les yeux d'Horus du mois

12 Décembre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Cinéma

Quand le magazine "Elle" rendait hommage à l'ancienne Miss Malaisie et reine du cinéma d'action asiatique Michelle Yeoh en octobre dernier, il le faisait d'une façon un peu... particulière (voir photo à gauche).

Evidemment, elle n'est pas la seule. Vigilant Citizen comme toujours liste les signes occultistes mis en scène par les célébrités dans les publications des dernières semaines.

Il mentionne aussi en France le jeu "Antifa" (commercialisé par la Fnac, fondée par un franc-maçon et jadis dirigée par un ex-grand maître du Grand Orient de France). Il fait remarquer qu'en haut de l'image sur la boite du jeu, deux personnages ont aussi l'oeil omnivoyant mis en évidence. Ce jeu a été inventé par un libraire anarchiste de Montreuil (près de Paris) qui précise "nous venons de familles au fort héritage militant, que celui-ci soit chrétien de gauche, communiste, anarchiste, ou à la limite du banditisme social." La référence à l'oeil du dieu borgne ne serait-elle ici qu'une coïncidence ? (Sujet d'interrogation corrélatif concernant les antifas, et sujet d'investigation possible : cette année le Conseil d'Etat français a montré en mai dernier de quel côté il penchait en suspendant la dissolution d'une formation Antifa de Lyon, estimant qu'ils n'incitaient pas à la violence - alors que la dissolution des groupes d'extrême droite, elle, est toujours validée).

 

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Mylène Demongeot (1935-2022)

7 Décembre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Cinéma, #Souvenirs d'enfance et de jeunesse, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Les rapports hommes-femmes

L'actrice Mylène Demongeot est décédée il y a 6 jours d'un cancer du péritoine. Tous les Français de ma génération la connaissaient pour son rôle dans Fantomas. Ses autres films passaient peu à la télé. J'avais été étonné d'apprendre que l'inventeur de Goldorak s'était mis à dessiner des filles nues en manga après l'avoir vue sortir nue de la mer dans une salle de cinéma. Il faut dire qu'elle avait débuté sa carrière comme cover girl. On oublie un peu trop le rapport entre la nudité féminine et certaines influences néfastes dans le monde invisible, que nous rappelle opportunément l'affiche du dernier film "VVitch"...

Dans l'émission La Vie De Château sur FR3 le 15/06/1985 interviewée par l'acteur Jean-Claude Brialy, Mylène Demongeot expliquait avoir eu une chouette et un serpent (comme Romain Gary) chez elle...Nous savons bien à quoi la chouette renvoie, y compris sur le T-shirt de notre président et sur les albums de Pat Benatar, ou dans l'imagerie de Stevie Nicks, chanteuse du groupe Fleetwood Mac auteure d'une chanson sur la sorcière Rhiannon...

Mylène Demongeot à 21 ans avait joué un rôle sulfureux dans le film Les Sorcières de Salem. Elle n'avait peut-être pas complètement conscience des ombres qui la suivaient.

En 2020, elle avait dû sa guérison du coronavirus au protocole Raoult, puis avait fait savoir qu'elle refuserait le vaccin, et s'opposait à la dictature sanitaire.

En parlant du coronavirus, l'autre chanteuse de Fleetwood Mac, Christine McVie est décédée la veille du trépas de l'actrice française. Emma Winters de Music Times a fait état d'informations selon lesquelles ce décès pourrait être une conséquence de l'injection ARN anti-Covid, l'explication officielle par des "problèmes de dos" étant peu plausible.

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Les confidences de Kanye West et la question des fausses dissidences

17 Novembre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Les Stazinis, #Grundlegung zur Metaphysik, #Christianisme, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Cinéma, #Débats chez les "résistants"

Le rappeur Kanye West a déclaré le 12 novembre que des membres de l'élite ont "sacrifié" sa mère, traçant une analogie avec la mort de Michael Jordan, et déclarant qu' "ils" pouvaient contrôler diverses célébrités à travers l'argent et le trauma mais pas lui...

Ainsi une célébrité reprend un thème cher aux "truthers" (qualifiés par le système antéchristique de "conspirationnistes") pour le porter au grand jour : celui des sacrifices rituels qui auraient lieu dans les milieux gouvernementaux, ceux de la haute finance, des productions culturelles etc, bref de la société de spectacle.

Kanye West cultive aux Etats-Unis une image de musicien "chrétien" mais beaucoup soulignent que son christianisme est faux, car il s'accommode de participation à des spectacles/rituels avec le sataniste Marilyn Manson (comme le rockeur soi-disant chrétien lui aussi Alice Cooper) et de beaucoup de singeries de l'Evangile qui peuvent être jugées blasphématoires. Compte tenu du fait que cet artiste passe aux yeux de la plupart pour un excentrique un peu fou, on peut se demander si ses déclarations ne sont pas destinées, in fine, à ridiculiser les chercheurs de vérité.

En France aussi nous avons ponctuellement des "stars", qui viennent révéler des "vérités" officiellement censurées par le système. Ce sont souvent des personnalités vieillissantes, comme, sur la dictature sanitaire, Anny Dupérey, Jean-Marie Bigard, Daniel Guichard, Mylène Demongeot, ou, sur les sacrifices d'enfants, Karl Zéro. On ne sait jamais s'ils agissent de leur propre initiative ou si quelqu'un dans le système leur demande de le faire pour qu'ils servent ainsi d'alibi, de fausse preuve de l'existence d'un pluralisme de façade, alors qu'on sait que, de toute façon, leurs "coups de gueule" comme disent les chiens de garde de l'Establishment, ne servira qu'à faire parler sur les réseaux sociaux pendant quelques heures, sans que cela ait le moindre impact sur les consciences de la majorité qui se laisseront facilement hypnotiser par les mots d'ordres suivants.

Pour réfléchir à cette thématique des fausses dissidences, on peut par exemple se reporter au cas du Professeur Raoult à l'époque de la dictature covidiste, homme de l'Establishment autrefois membre du cabinet d'un ministre sarkozyste, pour lequel des gens extrêmement intégrés au système dominant comme l'ex-grand-maître du Grand Orient de France Alain Bauer, l'ancien ministre de la santé Douste-Blazy ou le maire de Nice Christian Estrosi.

On a pu se demander à juste titre si la polarisation des résistances à la pensée unique sur ce personnage n'a pas surtout cristallisé le débat sur de fausses solutions comme l'hydroxychloroquine, au détriment d'autres potentiellement plus efficaces mais négligées comme l'artémisia ou l'ivermectine, ou sur l'invention d'autres médicaments sur laquelle certains laboratoires étaient prêts à se pencher, mais sans pouvoir recevoir de subventions à cause de l'ombre que leur faisait Raoult...

Pour toute émergence d'une opposition provenant d'une personnalité en vue comme Kanye West, ou Donald Trump, ou Elon Musk, on peut se demander si une fenêtre ne lui est pas volontairement ouverte pour, en fait, égarer le troupeau dans une nouvelle impasse où il sera encore plus facilement massacré.

Et, pendant ce temps, Arte diffusait hier soir un film de Bertrand Bonello à la gloire du sataniste Yves Saint-Laurent. Environ 700 000 âmes ont été capturées à ce moment-là dans la banalisation du personnage, et même sa valorisation dans le "patrimoine culturel" français.

Un film sur le même sujet (de Jalil Lespert) sur France 2 en 2017 (sorti lui aussi en 2014 comme celui de Bonello - mais pourquoi donc deux subventions pour deux films identiques ?) avait hypnotisé 2 millions d'âmes. L'effet de répétition, comme avec les faiseuses d'anges Simone Veil et Gisèle Halimi, les chanteurs qui ont vendu leur âme aux démons comme Johnny Hallyday, John Lennon et Freddie Mercury, etc, perpétuellement célébrés par le système, crée un matraquage des cerveaux et un enfermement dans la matrice culturelle. La broyeuse géante fonctionne à plein régime.

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La Vie Scolaire

7 Octobre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Cinéma, #Le quotidien

Mon fils, qui a beaucoup de jeunes des cités dans sa classe, m'a conseillé de jeter un coup d'oeil au film de Grand Corps Malade et Mehdi Idir "La Vie Scolaire" qui se passe à Saint-Denis.

Evidemment ce film m'a rappelé le temps où je travaillais à la mairie de Brosseville, et recevais de temps à autre des jeunes de ce profil ou leurs parents. Je ne suis pas sûr d'avoir grand chose à dire de cet univers avec lequel je continue de garder des liens (et parfois même beaucoup de liens inconscients) : n'ai-je pas cet été aidé une ancienne conseillère municipale de Brosseville à écrire ses mémoires ? et n'ai-je pas avant hier contribué de façon décisive à la fin de la rétention administrative d'un ressortissant tchétchène d'Ivry ?

J'ai un pied dans la banlieue parisienne, un pied en Lettonie à travers la préparation d'un voyage là-bas (et de mon prochain livre). Pour autant, je ne suis pas sûr d'être très légitime à parler de ces univers, qui parlent très bien d'eux-mêmes pour eux-mêmes, et qui n'ont pas forcément besoin qu'on parle d'eux. Parfois je lâche un mot à leur sujet, pour faire contrepoids à ce qu'en dit BFM TV, ou simplement juste pour lâcher un mot, parce que, comme dirait l'autre, l'humain ne peut s'empêcher de communiquer comme l'araignée de peut s'empêcher de tisser sa toile, et parce que, n'étant pas un saint, je ne sais pas suffisamment me taire...

Mais il manque peut-être à la banlieue - comme il manque à la Lettonie ou à l'Abkhazie - son Gide ou son Balzac. Quelqu'un qui saurait en parler, écrire sur elle. Pas seulement la filmer. On filme trop. Les films restent à la surface des choses.

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Trump en embuscade : les étranges dispositifs symboliques à son sujet

28 Septembre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Donald Trump, #Les Stazinis, #Grundlegung zur Metaphysik, #Christianisme, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Cinéma, #La droite

Il existe un dispositif étrange autour de Donald Trump dans les productions hollywoodiennes, un dispositif qui a des ramifications de tous les côtés, dans la presse, dans la musique, et que Casey Brown (EnterTheStars) étudie depuis des années. Ce dispositif symbolique associe parfois Trump au 11 septembre (par exemple sur NBC News en 1980 quand on l'interviewe sur son intention d'acheter le World Trade Center  en insistant sur le fait qu'il a 33 ans - chiffre maçonnique - ou quand une publicité pour un ordinateur Toshiba de 1996 montre un jeune homme qui écoute la radio sur 101.9 MHz/119, puis juste après un répondeur téléphonique qui dit "C'est Donald Trump"). Il l'associe aussi au voyage dans le temps, à Tesla, à Abraham Lincoln - rappelez vous des éléments de programmation prédicative déjà mentionnés à son sujet dans Back to the Future II, ou dans Donnie Darko. Quand on sait que la haute politique se joue de pair avec la sorcellerie comme nous le rappelait Jacques Attali qui accordait une belle place à ce concept dans son Dictionnaire du XXIe siècle, on ne peut pas exclure que toutes ces correspondances ne soient pas totalement gratuites.

Quel intérêt, direz-vous, puisque Trump n'est plus président ? Il se trouve qu'il reste en embuscade et pourrait être prochainement réélu. Et beaucoup de ses fans vont jusqu'à le considérer comme l'équivalent de Jésus-Christ (voyez par exemple le livre bizarre du Sud-Africain Helgard Müller paru en janvier 2022 "President Donald J. Trump, The son of Man - The Christ" qui circule dans les meetings du Parti républicain américain), tandis que certains de ses adversaires, voient parfois en lui l'Antéchrist. Simples querelles de fanatiques ? Possible. Après tout ils sont nombreux à avoir théorisé le fait qu'Obama, le pape, et tant d'autres avant eux étaient l'Antéchrist (ce qui bibliquement n'est jamais faux puisque les Antéchrists sont nécessairement nombreux avant l'ultime). Mais il y a quand même anguille sous roche si l'on en juge par toutes les représentations qui l'évoquent dans la matrice culturelle dominante, et, s'agissant d'un personnage qui avait annoncé vouloir faire reconstruire le Temple de Jérusalem (condition d'avènement du dernier Antéchrist) et dont le gendre avait acheté à prix d'or le bâtiment sulfureux situé au 666 de la 5e Avenue à New York (et mis à l'honneur dans beaucoup de films par les sociétés secrètes hollywoodiennes), et il y a peut-être matière à y regarder.

Revenons donc aux travaux de Casey Brown (EnterTheStars) qui récemment se penchait sur le film Gremlins 2, sorti en 1990, où les références à Trump sont pléthoriques, et dans un système serré de correspondances avec le 11 septembre, le Covid 19 etc.

On ne développera pas toutes les spéculations de Brown sur ce film. Seulement quelques unes en suivant chronologiquement ce qu'il démontre. Ca commence par une jeu bizarre où Daffy Duck prend le pouvoir sur le bouclier de Bugs Bunny. On ne comprend pas trop ce que signifie ce préambule dans le film, sauf à voir dans Daffy Duck le pendant noir de Donald Duck (dans une logique maçonnique du noir et blanc, ce n'est pas absurde), or beaucoup on comparé Donald Trump à Donald Duck (et les jeux de mots sur Don, Donnie dans les films font souvent système avec des références possibles à Trump). Le vilain canard narcissique qui prend le pouvoir contre le gentil lapin, ça pourrait être Trump... Puis la première image est un zoom sur les Twin Towers à Manhattan. On pourrait croire que cela est gratuit. Sauf que le héros du film est Daniel Clamp (ce qui sonne comme Donald Trump) qui est un magnat de l’hôtellerie comme Trump dont l'empire dans le film lui-même est comparé à une pieuvre. Pour que personne n'ait de doute sur l'identification entre Trump et Clamp, on notera que que lorsque la guide de l'immeuble de Clamp (Brown le montre à la minute 16'17 de sa vidéo le livre de Clamp intitulé "I took Manhattan" la couverture est à maints égards semblable à celle de "Art of the Deal" de Trump).

Ce qui conduit à penser que le zoom initial sur les Twin Towers (qui reviennent souvent dans le film) n'a rien de gratuit, et qu'il s'agit bien de lier Trump au 9/11 est cette scène où les journalistes interviewent Clamp, et les micros devant lui forment un 9/11 (rappelons que le film est de 1990), avec d'ailleurs cette manière très particulière de styliser le 11 comme deux tours ce que firent aussi les Simpsons dans de la programmation prédictive de 1997 (voir ici).

Or, ce qui est très intéressant c'est non seulement que le film lie Trump au 11 septembre 2001, mais aussi qu'il est imprégné d'un bout à l'autre d'allusions au vampirisme (avec un Dracula qui passe souvent) et à la recherche scientifique sur les virus et sur l'ADN. Car un laboratoire travaille pour Clamp. Et d'ailleurs vampirisme et recherche médicale se recoupent dans le fait que l'acteur qui joue le Dr Cushing Catheter  dans Gremlins 2 a aussi joué Dracula par le passé, il s'agit de Christopher Lee. Or Christopher Lee, n'est pas un "acteur amusant" parmi tant d'autres. C'est quelqu'un qui est engagé dans l'occultisme, et qui avait expliqué dans une interview en 1975 que de véritables rituels incantatoires peuvent être filmés sur scène et infligés aux spectateurs - voyez mon billet sur le vampirisme ici. Là où s'affiche la comédie peut donc se jouer quelque chose de beaucoup plus sérieux, et beaucoup plus dangereux. Le danger et la tromperie de la magie réside là-dedans.

L'intrigue basique tient au fait que le milliardaire Clamp veut acheter des Gremlins à un Chinois. Or les Gremlins sont des virus qui se multiplient lorsqu'ils sont mouillés.

Cela renvoie au jeu trouble qui a existé autour d'un autre 11 septembre, le 11 septembre 2019, dans la période précédant les jeux militaires de Wuhan sur lesquels enquête George Webb. Trump achetant le virus aux Chinois pour asseoir son pouvoir, est une hypothèse étonnante. C'est en tout cas ce qu'un certain décodage du film laisse entendre.

Brown montre que le film nous donne à voir apparemment sans raison un Rambo lançant une flèche, qui peut correspondre au fameux paradigme d'Apollon cher à Celeste Solum et Tim Alberino qui était aussi annoncé dans l'Apocalypse de Jean... La flèche du vaccin qui est aussi celle qui donne la maladie (Apollon étant le dieu de la peste de sa guérison tout à la fois). L'allusion à la flèche se retrouvera plus loin avec un Robin des Bois qui brise sa flèche (encore une image qui n'a aucun sens dans le film mais en prend un dans la logique occultiste de la trame cachée du film). Juste après cette image, le Chinois se met à tousser. Puis on voit deux écrans jumeaux qui renvoient au fait que Trump est du signe des Gémeaux (ce qui a souvent été aussi souligné par les occultistes, avec le côté Janus de ce milliardaire). La gémellité revient souvent dans le film, avec notamment à un moment un laborantin qui est double.

Sur la dualité et la gémellité, il y a une image intéressante que Brown montre en minute 7'07 de son second décryptage du film. On voit un tableau représentant un projet immobilier, où les Twin Towers, les tours jumelles, avoisinent deux autres bâtiments jumeaux, des bâtiments chinois, avec au milieu un dragon qui envahit les arbres. Brown ayant observé dans ses précédents décodages que souvent à Hollywood les arbres peuvent être identifiés aux êtres humains, et que le serpent dans la poitrine, ou toute autre forme de reptile, est à la fois symbole de maladie (un des jumeaux un peu plus tard ppellera les Gremlins des reptiles et l'autre dira "non ce sont des virus") et de possession, on pourrait y voir l'exposition d'un projet de possession générale de l'humanité, articulé autour de la gémellité.

Le film regorge d'allusions plus ou moins voilées à des sujets qui en 1990 n'intéressaient personne et étaient inconnus : la manipulation de la double hélice d'ADN, au contrôle climatique et aux "smart cities" (la guide y fait référence dans la tour de Clamp) au "mind control" avec la vache qui a un casque de fer sur la tête, à la grippe du singe (voir au paradigme plus général du singe autour de 12 Monkeys), au traçage des gens avec le code-barre (pas encore le R code), l'omniprésence des caméras, le culte solaire (avec "Sunworshiper film" et l'affiche SOL- Spice o'life), aux ruches hexagonales où dorment les Gremlins/démons (je ne vous refais pas le cours sur les hexagones du graphène, du World Economic Forum, et de la ruche de Beyonce "queen of the bees"). Et puis il y a carrément de l'occultisme pur et dur avec la femme aux cheveux rouges, et une chèvre représentant le Baphomet.

Brown y voit des confirmations sur ses analyses antérieures à propos du chiffre 58 lié à Trump (les 58 étages de Trump Tower) qui revient dans le film sous forme inversée, les parapluies analogues aux seringues, ou encore sur le lien entre Trump et le papier toilette (souligné en 2016 par The Economist qui renvoie en fait aux origines écossaises de Trump), le lien entre pandémie et imagerie des chauves-souris etc. Toutes ces choses dont, encore une fois, la présence dans le film peut sembler absurde si on ne la relie pas à une trame secrète.

Pour finir sans trop nous appesantir soulignons que Trump lui-même a parfois parlé des Gremlins en bien, et dans les mêmes termes dont en parlait l'auteur du film dans les années 1990, ce qui est un peu étrange quand on songe que ces bestioles ont un aspect clairement démoniaque, notamment dans leur faculté à se démultiplier.

Surtout il existe une étrange petite vidéo que Casey Brown/EnterTheStars a déterrée dans laquelle le rappeur Kodak Black, d'origine haïtienne, récemment converti à la religion israélite, fait aussi un lien entre Trump et les Gremlins. C'est en apparence une vidéo purement humoristique mais de cet humour complètement stupide, n'ayant ni queue ni tête, comme il y en a souvent dans les émissions américaines à forte inspiration maçonnique comme par exemple SNL, et ou l'émission d'Helen DeGeneres. Dans cette vidéo de février 2022, intitulée "Sundae Conversation with Caleb Pressley", le rappeur précise en minute 1'07 qu'il a été gracié par Trump en 2021, malgré son port illégal d'armes, parce qu'il lui a rendu un service, et il appelle Trump son "Jumeau Gémeau" et ajoute que Trump est un "super Gremlin" et qu'il est un "vautour au corps entier qui peut se lever et marcher" (full body vulture who can stand up and walk"). Super Gremlin est un chanson que le rappeur a sortie en 2021 (le soir d'Halloween). Plus loin dans l'interview il parle de tunnels et de souterrains à propos de Trump. Des mots qui sont soit absurdes soit codés, comme les images de Gremlins 2... 

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