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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #george soros tag

Soros et l'empire britannique

14 Juillet 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #George Soros, #Colonialisme-impérialisme, #Les Stazinis

Beaucoup de gens découvrent mes travaux à travers ma recherche sur George Soros publiée dans la revue Droits de janvier 2019.

Je voudrais un peu actualiser l’état des connaissances possibles sur ce personnage en citant la thèse très remarquable de l’ex journaliste mainstream Richard Poe, qui estime que ce milliardaire (dont le fils Alexander a pris le relais il y a peu, et qui a été reçu par le pape dans une délégation dirigée par Bill Clinton) est en fait un agent de l’impérialisme britannique dont un des buts est de faire éclater les Etats-Unis (je vous renvoie à mon billet précédent sur le « national divorce ». C’est une théorie très intéressante parce qu’elle nous oblige à rechercher une meilleure compréhension de ce qu’est la monarchie anglaise dans ce monde.

Poe dans la vidéo ci-dessous rappelle que le maître à penser de Soros est Karl Popper à qui il emprunte la notion de « société ouverte » (open society), société libérale-libertaire de gens déracinés sans appartenance tribale.

Il souligne que pour Popper lui-même qui était britannique cette ouverture des sociétés dans le monde entier ne pouvait être obtenue que grâce à l’action d’un empire multiethnique libéral : l’empire britannique. Soros réfugié à Londres après la première guerre mondiale en a fait son crédo.

Je trouve cela en partie convaincant – mais peut-être en partie seulement – parce qu’il est exact que la premier pensée de l’Etat mondial vient des francs-maçons britanniques dans le Groupe de la Table ronde, dont sont nées la Chatham House et la plupart des think tank mondialistes d’après 1918. Et quand on évoque l’hommage des élites actuelles aux sociétés secrètes nazies comme le projet Vril à Bordeaux (lien*), on ne peut s’empêcher de remarquer que cela passe par une artiste rosicrucienne occultiste… anglaise… Et cela renvoie aussi à toute la problématique de la société fabienne…


Diplômé de la London School of Economics, Soros est un agent du soft power britannique. Entraîné aux changements de régime par les révolutions de couleur, en 2003 il a annoncé qu’il ferait cela aussi contre Bush (cf livre The Shadow Party*), ce qu’il a développé à travers des ONG pro-minorités. Soros n’est qu’une devanture pour jouer les bad guys (notez que déjà LaRouch disait cela en affirmant que sa fondation était une devanture de la City et plus spécifiquement des Rothschild de Londres). Dans « How the British invented George Soros », Poe a montré que la ruine temporaire de la Banque d’Angleterre organisée par Soros n’était pas l’enfant de ce seul milliardaire.

Beaucoup d’institutions y ont concouru, et l’establishment britannique entier était derrière et a admis plus tard avoir organisé l’opération pour dévaluer la livre et empêcher son indexation sur l’euro.


Sir William Rees-Mogg, éditeur du Times pendant 34 années est l’homme qui a fait médiatiquement Soros. Normalement on ne sait pas qui spécule contre une monnaie. Pendant quelques jours on ignorait qui l’avait fait. Finalement Soros s’est dénoncé en public selon le Daily Mail du 26 octobre 1992, puis finalement s’est borné à se dire indigné de ces révélations sans vraiment démentir. Lord William Rees-Mogg  l’a ensuite remercié d’avoir sauvé la livre de l’euro et en a fait un génie, alors que pourtant ses textes ne sont pas spécialement imaginatifs.

Les gens font confiance à ses choix d’investissement parce qu’il a été gonflé par la propagande anglaise dont il est lui-même un relai. Rees-Mogg est un pont entre la Cité et la noblesse royale dont il est issu. Derrière ça il y a toute la richesse cachée de la monarchie. Il a été révélé dans la première biographie autorisée du milliardaire « Soros : the life and time of messianic bilionnaire » de M. Kaufman de 2003 que la reine avait investi dans quantum fund, point invérifiable comme tout ce qui concerne les comptes de la monarchie, mais vu l'auteur de la biblio, cela ressemble à une fuite organisée par la reine elle-même.

Soros fonctionne comme un paratonnerre, comme les USA d'ailleurs. Quand un point de l'agenda britannique avance on s'arrange pour en faire porter le chapeau soit aux USA soit à Soros, sachant que Soros est incritiquable sous peine de procès en antisémitisme (et Poe lui-même explique qu'il a des origines juives du côté maternel et paternel malgré son éducation catholique). Par exemple sur la question climatique qui est un agenda anglais, ou sur la montée en puissance de la Chine voulue par le Foreign Office. D'ailleurs on sous-estime toujours la puissance britannique. Dans l'affaire Nord Stream les Russes ont d'abord accusé les Britanniques, car eux seuls avaient, avec les Etats-Unis, la compétence pour saboter un gazoduc sous la mer. S. Hersh dans ses enquêtes a évité de mentionner cette hypothèse. Cela prouve à quel point les paratonnerres fonctionnent. Or Kissinger lui-même en son temps disait que du temps où il travaillait pour Nixon, il se confiait plus au Foreign Office anglais qu'au Département d'Etat américain. Voir aussi ceci.

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Veulent-ils cacher le soleil ?

17 Juin 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Le monde autour de nous, #Les Stazinis, #Grundlegung zur Metaphysik, #George Soros, #Bill Gates

En février dernier, à la tribune de la 59e conférence sur la sécurité de Munich, l'inénarrable George Soros (qui vient de passer la main à son fils Alexander), a évoqué "le risque existentiel que représente le changement climatique pour la civilisation humaine", et proposé une option : éclaircir les nuages ​​au-dessus de l'Arctique pour dévier l'énergie des rayons du soleil loin des calottes glaciaires. Time, le magazine des Skull and Bones s'en est fait l'écho le 24 février, dans un article intitulé "Pourquoi les milliardaires sont obsédés par le blocage du soleil ?". L'article relevait aussi que pour sa part Bill Gates, il y a deux ans, avait  défendu un projet de scientifiques de l'Université de Harvard pour tester une idée de pulvériser du carbonate de calcium dans l'atmosphère dans le ciel du nord de la Scandinavie. La même année Jeff Bezos  exploitait le superordinateur d'Amazon pour planifier l'injection d'énormes quantités de dioxyde de soufre (SO2) dans l'atmosphère. Et ce mois-ci, Dustin Moskovitz, cofondateur milliardaire de Facebook, a investi 900 000 $  pour financer des chercheurs au Mali, au Brésil, en Thaïlande et dans d'autres pays chargés d' étudier les effets potentiels de la géo-ingénierie solaire.

Ce mouvement s'accompagne d'une singulière programmation prédictive pour inciter les gens à s'habituer à l'obscurcissement du ciel. Le 9 juin,il y a 8 jours, le National Geographic publiait un article intitulé "Les ciels oranges sont l'avenir, préparez vous", d'un photographe des incendies de Californie, Stuart Palley. L'article se fondait sur les récents incendies du Canada qui ont obscurci le ciel de la Côte Est américaine (et pour mémoire, le ciel orange sur New York était déjà dans la série d'horrreur Strain de 2017 dont on avait parlé à propos d'une éclipse ici).

Certains recoupent ces informations entre elles et estiment que ces incendies, en partie dûs au déclin des services publics chargés de l'entretien des forêts et aux politiques écologistes refusant une gestion rationnelle du couvert végétal (tout comme d'ailleurs certaines inondations), pourraient être délibérément voulus. De même que les pouvoirs publics laissent l'Education nationale et l'hôpital public s'effondrer dans la plupart des pays occidentaux pour les remplacer par de l'intelligence artificielle, les forêts seraient abandonnées pour habituer les gens aux incendies et à l'obscurcissement du ciel, prélude à toutes sortes de manipulations mentales par les globalistes.

Dans mon récent livre sur le stoïcisme, j'ai rappelé tous les arguments scientifiques qui mettent en doute l'idée qu'il existe une responsabilité humaine principale dans le réchauffement climatique, sujet instrumentalisé par les milliardaires pour instaurer un totalitarisme mondial. On sait que les gouvernements maîtrisent la géo-ingénierie du climat. Les Etats-Unis ont prolongé la saison des moussons pendant la guerre du Vietnam pour inonder les rizières (opération Popeye), les pays du golfe arabo-persique peuvent déclencher des averses dans le désert en agissant sur les nuages d'altitude. Mettre fin aux sècheresses ou aux incendies en altitude est possible. Mais la priorité pourrait être plutôt de laisser les incendies se propager, voire provoquer des obscurcissements artificiels du ciel (sous prétexte de feu de forêt ou autre), pour accroître l'angoisse des gens face à leur pseudo-responsabilité dans le réchauffement climatique, et leur faire accepter ainsi leur asservissement (voire les pousser à demander d'eux-mêmes cette réduction en esclavage, comme ils l'avaient déjà fait à l'époque du Covid).

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Le Forum économique mondial et la cyber-attaque globale

2 Mars 2023 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #George Soros, #Le monde autour de nous, #coronavirus-vaccination-big pharma, #Débats chez les "résistants"

Le 19 juin 2020, le Forum économique mondial (WEF) a co-organisé avec la banque russe Sberbank une simulation de cyber-attaque "Cyber Polygon" (avec la participation de nombreuses banques, d'Interpol). Beaucoup se demandent s'il ne faut pas considérer ce happening comme l'analogie de l' "Event 201" de 2019 sur la question d'une pandémie biologique qui avait immédiatement précédé une épidémie réelle des plus suspectes, celle du Covud..,

La Chaine YouTube Coin Bureau a disséqué cet évenement qui analysait une possible "pandémie digitale" qui attendrait toutes les grandes infrastructure. Cette conférence est toujours en ligne, sur la chaîne YouTube de Bi.zone. Klaus Schwab, qui parlait à la suite du premier ministre russe et révélait venir de s'entretenir avec Poutine à St Petersbourg en 2019. Il souligna que la Covid19 pouvait jouer un effet de catalyseur (un vocabulaire qu'avait aussi employé en 2000 les néo-conservateurs du Project for the New American Century dans leur rapport Rebuilding America's Defences qui disaient que les USA ne se remilitariseraient que si un nouveau Pearl Harbour les frappait, ce qui arriva l'année suivante) et y appela à tout digitaliser tout ("4ème révolution industrielle") en signalant que le Covid 19 ne serait rien à côté d'une cyberattaque globale. 

La cyberattaque fut simulée au même moment que la conférence au siège de Sberbank. Alexander Touchkanov (Tushkanov en transcription anglaise) de Bi.zone reprit le même discours sur la nécessité d'une crise pour dépasser les Etats-nations. Tony Blair, ancien premier ministre et criminel de guerre en Yougoslavie et en Irak appela au Great Reset. Jeremy Jurgens du WEF a lui aussi insisté sur la venue prochaine d'une crise et a expliquait que le WEF travaillait avec des grands groupes du secteur de l'énergie sur l'hypothèse d'une pénurie énergétique, puis ce fut le patron de la principale société de Télécom russe (MTS) qui a parlé de l'introduction de la 5G au service du projet des "smart cities" (projet à la mode dans lequel Soros est impliqué). Coin Bureau détaille les autres interventions.

En 2021 une deuxième simulation de cyberattaque fut organisée par le WEF et Sberbank (la 3ème, de 2022, allait être reportée pour cause de guerre en Ukraine), avec 200 participants de 48 pays (le double de 2020), 7 millions de vues. Il se focalisait sur les cyber-attaques sur les attaques sur les chaînes d'approvisionnement.

Le Cyber Polygon 2022 devait porter sur les attaques contre les services de Cloud. L'événement fut annoncé juste avant la guerre d'Ukraine, puis la Russie s'est déconnectée du Net mondial ce qui pouvait lui permettre de lancer éventuellement une cyber-attaque sans représailles. Une cyber-attaque peut provoquer un dommage comparable à une guerre nucléaire; à ceci près que c'est réversible.

Elon Musk (opposition contrôlée au WEF pour l'instant) a tout de suite proposé ses services en cas de cyber-attaque pour qu'Internet puisse être diffusé par Starlink. Pour mémoire la Turquie a refusé Starlink pour pallier aux effets du tremblement de terre de début février. On peut se demander si le but d'une cyberattaque mondiale organisée par les sbires du WEF, remarque Coin Bureau, ne pourrait pas être de justifier le recours à un Internet spatial qui contrôlerait tout (songeons qu'à la réunion Cyber Polygon de 2021 les Russes ont organisé un duplex avec les astronautes de leur station spatiale). Coin Bureau en tire argument pour développer les systèmes "peer to peer" pour un Internet parallèle hors pouvoir mondial.

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Le slogan de Sea Shepherd

23 Novembre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #George Soros, #Le monde autour de nous, #Les Stazinis

J'étais dans le métro tout à l'heure. J'ai vu un jeune type entrer avec sur son t-shirt ce slogan "Heaven shall burn" ("le Ciel va brûler") et le sous-titre "Sea Shepherd".

Je me suis souvenu que Sea Shepherd était cette organisation environnementaliste proche de l'élite mondialiste qui met à prix la tête de nos bergers dans les Pyrénées, et dont le père fondateur prétend que seuls les êtres humains intelligents devraient pouvoir se reproduire (cela s'appelle de l'eugénisme). Je me suis demandé : quel est le diablotin plaisantin qui a pu concevoir ce slogan aussi stupide que nihiliste ? A-t-il pu imaginer une seconde qu'il pourra "mettre le feu" au Paradis conçu par le Très-Haut, lui, petite créature insignifiante que le Créateur jettera dans l'océan de feu à la fin des temps ?

Les créatures invisibles ne sont pas si sottes. Au mieux il s'agissait d'une fanfaronnade pour impressionner les gogos (dont le jeune gars qui a adopté ce t-shirt). Et, plus probablement encore, c'est un avertissement aux partisans du globalisme : le Ciel auquel vous aspirez sera, en fait, plein de flammes. En cela c'est un peu comme ce gala de charité du 28 juillet 2013 organisé sous l’égide de la chanteuse Lady Gaga et de l’artiste spirite Marina Abramovic sous le titre « Le paradis du Diable » (« Devil's Heaven »), en présence d'Alexander Soros, fils du célèbre milliardaire. Le titre annonçait aux participants dans quel genre de "paradis" ils entraient... En un sens rien n'est déloyal. Tout est visible pour qui a des yeux.

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L'inquiétante ruée vers le lithium

30 Octobre 2022 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Le monde autour de nous, #George Soros, #Bill Gates, #Peuples d'Europe et UE

Le lithium est partout : dans les smartphones, les voitures électriques, les panneaux solaires, et même les sous-marins chinois. Résultat : la demande mondiale de lithium était d'environ 350 000 tonnes en 2020, elle sera six fois plus importante en 2030.

La filière lithium-batteries est un El Dorado, et pourrait le rester, sauf si une alternative à ce métal est trouvée - George Soros, grand financeur du Parti démocrate américain, de la woke culture, et des révolutions de couleur, a investi 4,6 milliards de dollars dans une start up qui travaille sur les batteries à semi-conducteurs en 2021, avant d'acheter des parts dans l'entreprise Tesla de son soi-disant adversaire politique Elon Musk (lequel vient de racheter Twitter), qui construit des voitures électriques, ce que Bill Gates se refuse toujours à faire. D'ailleurs Soros ne se contente pas de financer la recherche : il a aussi des parts dans la firme minière australienne Piedmont lithium Inc fournisseur de Tesla qui travaille au Ghana, en Caroline du Nord,  au Québec (il sera intéressant de parler dans un autre article de son bras de fer avec un géant israélien du diamant autour de la mine de Simandou en Guinée, mais c'est un autre sujet). La Chine qui raffine 65 % du lithium mondial mais moins de 25 % des ressources en minerais cherche à acquérir des mines en Amérique du Sud (Ganfeng a investi en Argentine) et en Afrique (Sinomine Resource au Zimbabwe).

Problème : il faut extraire le lithium des cailloux ou des fluides, et cela ne va pas sans poser de grosses difficultés.

La mine de lithium de Jadar (cédée à Rio Tinto) en Serbie (qui vient de recevoir 160 millions d'euros de l'UE en remerciement de son vote anti-russe le 12 octobre à l'ONU sur l'Ukraine), provoque le scandale vu le risque de destruction d'un écosystème et d'expropriation des paysans.

Aux Etats-Unis (2 % de la production mondiale), on l'exploite au Nevada, le nouveau projet minier de lithium le plus proche d'aboutir, Thacker Pass, dans le même Etat se trouve sur une terre sacrée des Indiens et nuirait aux éleveurs locaux. Des actions en justice sont en cours.

Au Chili, en Argentine, en Bolivie (qui prétend fabriquer des batteries et pas seulement fournir des minerais), pour extraire 1 tonne de lithium, il faut 1 million de litres d'eau (2 millions dit même Euronews), et pour une batterie d'une voiture électrique Zoe il faut la consommation d'eau de 500 personnes pendant un an, selon François-Xavier Piètri, éditorialiste Economie sur divers grands médias. Dans cette partie du monde en effet (près de 60 % de la production mondiale de lithium brut), il est extrait de salines (et non de la pierre comme en Australie).

Au sein de l'Union européenne qui dépend beaucoup des importations transocéaniques en la matière (ce qui est aussi funeste pour l'environnement), les réserves commencent à être évaluées avec la publication en 2021 par le projet GeoERA de cette carte.

La Tchéquie est en pointe. En France, la presse officielle vante ses propres réserves de lithium : " La France compte être plus vertueuse (que l'Amérique du Sud), explique France Info, avec notamment un projet dans l'Allier sur une ancienne carrière, ou en Alsace (qui ne figure pas sur la carte ci-dessus), où la solution pourrait venir de la géothermie (...) Aujourd'hui, l'eau chaude des sous-sols est puisée, transformée en énergie et réinjectée. Une technologie à l'étude permettrait de capter les atomes de lithium, avant de renvoyer l'eau dans le sol."

A supposer que le problème du coût en eau puisse être résolu, il y a aussi celui du recyclage. En ce moment la réglementation européenne n'oblige à recycler qu'à hauteur de 50 % d'une batterie, ce qui ne rend pas le recyclage viable économiquement. La question va devenir épineuse en 2030 quand la politique autoritaire en faveur des voitures électrique conduira la France à devoir recycler 2 millions de tonnes de batteries. Aujourd'hui après calcination et destruction, ces batteries laissent toujours 2 % de résidus que l'on finit par enterrer. On voit le risque environnemental quand cela portera sur des millions de tonnes.

N'y a-t-il pas là un effet pervers de l'emballement politique pour le tout-électrique et la diabolisation du carbone alors que rien n'est prévu pour la gestion à long terme des conséquences de ces investissements désordonnés ?

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