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Le blog de Frédéric Delorca

Articles avec #les regimes populistes tag

Le prochain synode sur l'Amazonie écologiste et néo-païen

30 Septembre 2019 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Christianisme, #Grundlegung zur Metaphysik, #Le monde autour de nous, #La gauche, #Les régimes populistes, #George Soros, #Avortement

Le pape François qui a reçu en audience des stars du New Age comme Deepak Choprah et Katy Perry, et des marionnettes de Soros comme Greta Thunberg (il a d'ailleurs obtenu des financements de l'Open Society pour son soutien à la Cop21) prépare pour le mois d'octobre (du 6 au 27) un synode régional sur la région de l'Amazonie dont les bases théologiques sont en claire rupture avec les dogmes chrétiens. Il annonce en effet son intention, aux côtés de son conseiller le frère Justino Sarmento Rezende, de valoriser les croyances indigènes, notamment celles concernant les droits de la Terre-mère divinisée et les interactions chamaniques avec les esprits de la nature et la subordination de l'homme à celle-ci (à rapprocher des gestes bienveillants des différents papes depuis Jean Paul II à l'égard des pratiques de sorcellerie, notamment lors des rencontres d'Assise de 1986). Il s'agit de reconnaître à la région le statut de région "opprimée", et dans l'esprit de la théologie de la libération, de privilégier le dialogue avec cet "opprimé" comme source en soi de révélation théologique. L'alignement sur les sagesses païennes des Indiens comme le "bien-vivre"/"sumak kawsay" conduira  ainsi à la soumission des individus aux coutumes tribales plutôt  que de leur offrir la libération évangéliques estiment les chrétiens fidèles au message biblique.

Depuis douze ans, la question de l'hégémonie des lois tribales est discutée au Brésil à propos de la loi de Muwaji qui visait à interdire la pratique coutumière d'enterrer vivants les bébés maudits en vigueur chez les indiens suruwaha (le projet de loi lancé en 2007 portait le nom d'une Indienne aidée par des missionnaires qui a empêché son fils d'être tué de cette façon). Beaucoup d'ONG ont accusé ce projet de véhiculer du racisme et de reposer sur de la désinformation, alors que pourtant les témoignages sur l'infanticide amazonien sont nombreux - selon le docteur Marcos Pelegrini, médecin travaillant dans le district de soins de santé de la tribu des Yanomami, cité par le Telegraph en 2007, 98 enfants ont été tués par leur mère en 2004 seulement, voir aussi le livre du Père Raymond de Souza sur ce sujet "The silenced tragedy". Interrogé par la chambre des députés brésilienne en août 2007 au sujet de l'infanticide chez les Indiens, le Conseil indigéniste missionnaire, organe de la Conférence nationale des évêques du Brésil, avait appelé au respect du pluralisme religieux, et s'était opposé à cette loi au nom du relativisme moral. C'est dans cette logique que s'insère le Synode panamazonien à venir (lequel, en outre, devrait par ailleurs autoriser le mariage des prêtres dans la région, ce qui en ferait un laboratoire pour le reste de l'Eglise). Comme on l'avait remarqué à propos de l'autorisation par l'Etat de New York en janvier dernier de l'avortement jusqu'à la naissance de l'enfant (dans le silence complice de l'archevêque de la ville, et avec le soutien du gouverneur catholique de l'Etat), ou la motion Amal Clooney à l'ONU pour aider les femmes yézidies à avorter, le combat des soi-disant "progressistes" sur le"volet sociétal" hélas se situe systématiquement dans le prolongement du culte de Moloch et de la profanation de l'enfance.

Divers observateurs n’ont pas manqué de remarquer que sont invités à ce synode l’ex secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon, et l’économiste spin doctor de Soros (il fut son homme de main en ex URSS) Jeffrey Sachs, un avocat du principe de l’avortement et de la dépopulation comme solution aux problèmes climatiques (des hommes qui n'ont pas l'ombre d'une conviction chrétienne...). La spécialiste des trafics humains Elizabeth Yore avait souligné dans une conférence au Fatima Center à Chicago en 2016 qu’en novembre 2013, lors d’une réunion sur ces trafics, le nom de Jeffrey Sachs figurait sur la liste des intervenants. Selon elle, Jeffrey Sachs est l’homme qui, à l’instigation de Soros, a mobilisé l’Académie pontificale (un organe qui autrefois ne se réunissait qu’une fois par an) pour rallier l’Eglise catholique au contrôle des naissances au nom de l’écologie. Joseph Stiglitz, prix Nobel fondateur, conseiller de l'Internationale socialiste  et de l'ONU, qui a co-écrit des livres avec Soros est membre permanent de l’Académie pontificale (il fut probablement à l’origine de l’invitation de son ami Bernie Sanders par cette académie) et travaille aussi à la "sorossisation" du Vatican. Elle listait aussi les dépopulationnistes qui ont été invités à parler devant l'Académie pontificale... La machine à tuer les nourrissons semble donc s'installer durablement au Vatican.

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La galaxie des soeurs Maxwell vue par "Amazing Polly"

25 Septembre 2019 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Les régimes populistes, #Les Stazinis, #Colonialisme-impérialisme, #Bill Gates

La canadienne "Amazing Polly" dont je vous ai parlé en juin dernier continue ses investigations sur la secte sexuelle NXIVM et sur Jeffrey Epstein, le fournisseur de "lolitas" à l'Establishment newyorkais, et probable sorcier sataniste.

Cette fois-ci c'est le filon de la famille de Ghislaine Maxwell, qu'elle examine, la recruteuse de prostituée d'Epstein. Elle se penche sur le San Francisco Examiner de 1991 à propos des entreprises informatiques de l'empire du magnat de la presse Robert Maxwell dans la baie de San Francisco. Le journal à l'époque détaillait les noms des responsables de la société San Leonardo qui vendait des logiciels de jeux. Son PDF, Gilman Louie, note Amazing Polly, travailla ensuite comme responsable du fonds de capital partagé de la CIA (CIA Venture capital Fund) In-Q-Tel qui travaille fréquemment en partenariat avec Google et les réseaux sociaux (voir CBS Niws 11 juil 2011 "Social Media is a Tool of the CIA". Amazing Polly note que la grande soeur de Ghislaine, Isabelle Maxwell a dirigé ComTouch devenue Cyren et que Cary J Davis qui a servi au comité des directeurs de Cyren est aussi membre de celui de  Crowdstrike, la firme que le Comité National Démocrate a choisi en 2016, plutôt que de faire appel au FBI, pour examiner ses serveurs informatiques quand il a voulu accuser la Russie de hacking plutôt que d'appeler le FBI (voir l' article de 2017 DWS, Perkins Coie may have engaged Crowdstrike sur Daily Caller). Il y a donc la des liens forts entre l'empire Maxwell, la CIA et le "Russia Gate" monté de toute pièce par les démocrates.

Amazin Polly se penche aussi sur la connexion avec le lobby pharmaceutique et la recherche en bio-technologies. Le premier mari d'Isabel Maxwell, note-t-elle, Dale Djerassi était fils de Carl Djerassi l'inventeur de la pilule contraceptive (la Bulgarie lui a dédié un timbre). Le 7 janvier 2019 Q à propos d'un article du Sun sur le MK Ultra et l'utilisation de drogues attirait  l'attention sur des expérimentation dans des labos off-shore. A l'époque on était déjà dans ces logiques "off shore " de labos clandestins. Djerassi avait produit la pilule Syntex à Mexico en 1949, avant que sa firme Syntex ne s'installe à Palo Alto aux USA. Polly rappelle que le mari de Nancy Salzman, née Loshin, l'ex-infirmière psychiatrique présidente de la secte NXIVM, le docteur Michael A. Salzman était diplômé de l'université autonome de Guadalajara au Mexique, ce qui suggère peut-être une soustraitance habituelle du Mexique pour toutes ces entreprises para-légales non dénuées de contenu sectaire.

Le second mari d'Isabel Maxwell, le producteur de TV Norman Lear ne fut pas très intéressant. Le troisième, l'illusionniste Al Seckel, membre de Edge (comme la sorcière Marina Abramovic et le gratin de l'Establishment new-yorkais), interviewé par Jeffrey Epstein en 2010, décéda en 2015 - mais selon le Daily Beast du 18 août 2019 son corps ne fut pas retrouvé. Il y avait aussi dans l'entourage du père d'Isabel Maxwell Murray Gell-Mann, membre de Edge.org, fondateur de l'institut Santa Fé (Nouveau Mexique) en 1984 (qui a un drôle  de sigle crypto-nazi, dit Amazing Polly) et membre du CERN en Suisse. L'institut  qu'il a fondé travaille (avec le ministère de l'énergie !) sur la génétique, la théorie du chaos, la création de la vie. L'institut Santa Fé est à une heure du "Zorro Ranch" d'Epstein. Et la famille Bronfman dont l'héritière était directrice des opérations pour la secte NXIVM a une "église" à Santa Fé à deux pas de l'institut : la Unaio Vegetal ayahuasca Cult Church, un culte organisé autour de la consommation d'un hallucinogène végétal.

L'autre soeur de Ghislaine Maxwell, Christine est patronne de la société Chiliad Publishing qui fabrique des logiciels qui a fourni le FBI et a aussi avec Hewlett Packard approvisionné la NSA (l'agence nationale de sécurité, le petit monde du renseignement...). Carly Fiorina, patronne de Hewlett Packard en 1999 (sans gloire) allait ensuite présider en 2007 un comité de conseillers aux affaires externes de la CIA avant de monter au sein du parti républicain. Intéressant exemple d'interconnexion (une de plus) entre le monde des logiciels et celui de l'espionnage. Amazing Polly note que le patron de Fortune Magazine qui avait mis Fiorina à la "une" de son magazine (alors qu'elle n'était pas connue) appartenait à la dynastie des Loef que Springmeier classe parmi les grandes lignées d'Illuminati. La journaliste Vicky Ward qui fut une propagandiste de Fiorina le fut aussi d'Epstein au début des années 2000.

Le mari de Christine Maxwell, Roger Malina, patron de Leonardo Magazine (basé au MIT financé par Epstein) a pour père Frank Malina, un ancien collaborateur de la NASA et de l'occultiste crowleysien Jack Parsons, expulsé des Etats-Unis pour ses sympathies communistes, Roger Malina (né en 1950) prof de technologie à la fac de Dallas est aussi directeur de recherche dans un labo du CNRS à Marseille et membre d'un "conseil sur les messages extraterrestres"...). Leonardo a organisé une conférence sur l'avenir du corps dans un contexte de neurotechnologies en Autriche, très flêché transhumanisme.

L'histoire de Malina et Parsons a été portée à l'écran dans la série "Strange Angel" mais George Pendel  auteur du livre qui inspira la série, en 2018 attirait l'attention du public sur le fait que dès 1937 les deux hommes avaient écrit un scénario qui annonçait exactement ce qui allait leur arriver par la suite, ce qui renvoie selon Amazing Polly au problème du rapport de toute cette histoire avec la  possibilité d'un script écrit en avance de toute cette histoire..

Malina n'est pas le seul trait d'union entre l'empire Maxwell et le mage sataniste Aleister Crowley. Le juriste londonien Isidore Kerman, fut à la fois avocat d'Aleister Crowley et de Robert Maxwell.

Enfin, Amazing Polly raconte que le musée du comté de Los Angeles LACMA, décida dans les années 60 de placer des artistes en résidence dans les plus grandes sociétés  (IBM, Lockheed, Rand etc). Certains de ces artistes étaient liés à Marilyn Chandler épouse d'un célèbre philanthrope de Los Angeles. Amazing Polly se demande si la Rachel Chandler que Q accuse d'avoir apporté des filles à réseau d'Epstein a un rapport avec elle.

Qanon a souvent insisté sur le fait que les gens regardent un "film basé sur un script". Amazing Polly invite ses spectateurs à continuer d'enquêter sur les auteurs du script...

Même s'il y aurait sans doute matière à approfondir ces investigations, on peut à ce stade estimer que les pistes entrevues par Amazing Polly sur les rapports entre occultisme, espionnage, complexe militaro-industriel, recherche scientifique, trafics d'humains et presse, offrent une image intéressante de l'interpénétration entre ces milieux. Un aspect de l'oligarchie mondialiste que les médias dominants asservis aux banques ne vous livreront pas...

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Integrity Initiative : la pieuvre anglaise des faiseurs de guerres atlantistes

21 Septembre 2019 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Débats chez les "résistants", #Colonialisme-impérialisme, #Grundlegung zur Metaphysik, #Les Stazinis, #Les régimes populistes, #George Soros

Il y a près d'un an,  le 23 novembre 2018, des hackers du groupe Anonymous, révélaient l'existence d'un  programme lancé à l’automne 2015 par l’Institute for Statecraft, une entreprise basée en Écosse, faussement enregistrée comme association de charité, qui compte parmi son personnel un grand nombre d’anciens militaires et membres des services de renseignement : « Integrity Initiative ». L'Université libre de Bruxelles a co-parrainé ce lancement. Le but affiché de ce programme : « contribuer à changer l’attitude envers l’influence maligne et la désinformation russes », encourager les États-Unis à « reconfirmer leur rôle dominant via l’OTAN et le soutien à l’Union européenne ».

Il était censé ouvrir des agences en Arménie, Moldavie, Géorgie, Suède, au Monténégro, à Malte, aux États-Unis et au Canada, ainsi qu’en Estonie, Pologne, Slovaquie, Roumanie, Bulgarie, et Autriche afin d'aider les citoyens à « mieux comprendre la menace russe », via la fourniture d’informations, y compris par le biais des réseaux sociaux., c'est à dire bombarder les réseaux sociaux d'intox et de fake news anti-russes pour préparer la troisième guerre mondiale.

Selon David Miller, professeur en sociologie politique à l'université de Bristol, l'Institute for Statcraft est typiquement un appendice de l'appareil militaire et de renseignement britannique. Son patron Chris Donnelly est devenu colonel des services de renseignements au début même du projet (voir aussi des détails sur son staff ici). Le ministère des affaires étrangères britannique a confirmé lui avoir versé 1,9 millions de livres pour l'année 2017-2028. Il reçoit aussi de l'argent du Département d'Etat américain, du gouvernement lituanien, de Facebook...

L'Integrity Intiative ne se contente pas d'un travail de propagande ni de payer des journalistes (voir liste de ses clients et de ses dons). Il s'ingère aussi dans les affaires des Etats pour déboulonner les personnalités jugées pro-Kremlin. Ainsi a-t-il lancé l' "opération Moncloa" une campagne contre la candidature du colonel Pedro Baños, auteur de best sellers en géostratégie, au poste de directeur du Département de la sécurité nationale auprès du premier ministre espagnol comme le montre un document interne du Integrity Initiative du 7 juin 2018. Le "think tank" a contacté les réseaux sociaux, El Pais et El Mundo avec un dossier sur Pedro Baños. Quatre jours après la rédaction de ce document, un article d'El Mundo signalait que le colonel Baños était accusé d'antisémitisme au Royaume-Uni par par l'écrivain Jeremy Duns (un écrivain de romans d'espionnage spécialiste de la délation, et bossant sans doute lui-même pour le MI6). Baños n'a jamais caché sa sympathie pour Trump et pour Poutine. Les accusations lancées ou véhiculées par le projet Integrity Initiative n'ont pas seulement bloqué sa nomination : en juin dernier, le très puissant éditeur Penguin Random House a retiré la traduction anglaise de son livre "C'est comme ça qu'on domine le monde" dans lequel il met en cause le pouvoir de la famille Rothschild.

Les requins de l'Integrity Intiative se sont aussi attaqués à Jeremy Corbyn, le leader travailliste anti-OTAN. En novembre 2018,  sur Twitter ils le traitaient d' "idiot utile" par son "anti-occidentalisme viscéral" qui ferait le jeu du Kremlin. A propos de Corbyn notons que vient de sortir chez Pluto Press "Bad News for Labour: Antisemitism, the Party & Public Belief " Greg Philo, Mike Berry, Antony Lerman, Justin Schlossberg and David Miller sur la manière dont fut montée à son sujet une réputation d'anti-sémitisme. Pas étonnant que figure sur les cartons d'invitation du projet Integrity Initiative  et de l'Institute for Statecraft la députée travailliste Ruth Smeeth, ancienne secrétaire de Tom Watson, l'homme qui fut à l'avant-garde de la campagne contre Corbyn sur le thème de l'antisémtisme dans son parti.

Chris Williamson, député travailliste de Derby, a demandé une enquête sur le projet Integrity Initiative, et l'Institute for Statecraft dont, selon le journaliste du site alternatif Open Democracy (à ne pas confondre avec l'Open Society de Soros) Mohammed Elmaazi pour Thegrayzone.com, l'adresse est enregistrée dans une usine de bois à l'abandon en Ecosse. En réalité les bureaux de l'institut sont à Londres, dans le quartier du Temple (un lieu chargé de connotations ésotériques templières) plus précisément dans les locaux du bien nommé Bulldog Trust, qui a appartenu à la famille milliardaire rosicrucienne Astor. A deux immeubles de cette bâtisse se trouve le International Institute for Strategic Studies - think tank pro-ingérence depuis 1997 financé entre autres par Soros et par la Smith Richardson Foundation (des héritiers de l'empire Vick) qui finance aussi l'Integrity Initiative et qui a été derrière le Project for a New American Century dont sortit notamment la guerre d'Irak de 2003. On est là au coeur du néo-conservatisme euratlantiste.

Syriapropagandamedia.org a dressé un dossier noir de l'Integrity Initiative. Il souligne que ce programme travaille avec le gouvernement révisionniste de Lituanie et qu'il a défendu le bataillon néo-nazi Azov en Ukraine. C'est leur think tank qui a accueilli à Londres en 2016 des militaires venus de Kiev et organisé le propagande médiatique autour de leurs prétendues révélations sur les armes de Poutine. Un des membres de l'Integrity Initiative Victor Madeira a organisé en Macédoine un colloque contre l'église orthodoxe russe en novembre 2018.

Le groupe livre aussi des liens sur les contacts de l'Integrity Initiative en France, mais les liens avec les docs PDF fuités ne fonctionnent plus. Dans la présentation il est mentionné Avisa Partners, qui al'air d'être aussi une excroissance des services secrets, mais en France cette fois-ci.  François-Charles Timmerman, responsable de la section diplomatie d'affaires d'Avisa Parteners est un officier de St Cyr, un document confidentiel intitulé "Combatting Russian disinformation" le présente comme un ancien membre de la DGSE, un ancien chef d'état major de Chirac et un ancien ministre de l'industrie de Sarkozy en font partie. Mais les autres liens ne permettent pas de mieux cerner les tentacules de l'Initiative Integrity Project en France. Novaramedia en décembre dernier mentionnait l'ancienne directrice du Monde aujourd'hui journaliste au Guardian Nathalie Nougayrede parmi les "clusters" - groupes de publicistes - qui gravitent autour de ce projet.

Max Blumenthal pour Grayzone raconte aussi comment le Integrity Initiative s'est implanté aux Etats-Unis et coordonne là bas une campagne anti-Trump en colportant des ragots sur la collusion de la droite américaine avec les Russes.

Le rôle des services secrets britanniques dans cette opération Integrity Initive apporte de l'eau au moulin de ceux qui affirment que le coeur du système financier et d'espionnage qui prépare le gouvernement mondial (et la guerre qui doit faciliter son installation) se trouve non pas à Washington ni à New York, mais à Londres d'où partit le pouvoir des Rothschild au XIXe siècle, et les plus ambitieux projets d'impérialisme mondial autour du groupe maçonnique de la Table Ronde. De quoi alimenter une fois de plus les débats sur l'idée que le "Deep State" américain ne serait qu'une succursale de la Couronne britannique et du système bancaire qui la soutient depuis le XVIIe siècle...

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Le rôle du New Age dans la promotion du gouvernement mondial

29 Juin 2019 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Grundlegung zur Metaphysik, #Christianisme, #Les régimes populistes, #Divers histoire, #Vatican

On a déjà souligné ici que le projet de gouvernement mondial était très lié à la franc-maçonnerie. Celle-ci utilisa pour parvenir à l'imposer la Société de Théosophie, à l'origine dans les années 1960 du "New Age".

Dans son ouvrage publié initialement en 1991 "En route to global occupation", le haut fonctionnaire américain Gary H. Kah rappelait, en se fondant sur le livre du cardinal chilien José Maria Caro Rodriguez "Misterio ! Descorriendo el velo" de 1924,  qu'Helena Blavatsky, la sorcière russe fondatrice en Inde et dans d'autres colonies anglaises de la religion théosophique (luciférienne), avait intégré à Paris la Loge symbolique Grand X de France » quand la loge française Libres penseurs la créa en 1892 (alors que les anglo saxos refusaient les femmes encore la maçonnerie féminine), que sa disciple Annie Besant était vice-présidente du Conseil suprême de l’ordre international de co-maçonnerie,  et que son successeur Alice Bailey était épouse de franc-maçon et que dans son livre écrit sous l'inspiration du pseudo-guide tibétain invisible (en fait un démon) Djwal Khul prétendait restituer un esprit maçonnique "pur". Aussi bien le thème du monde unifié que celui du Nouvel Age sont très répandus dans la maçonnerie (Kah rappelle qu'au printemps 1985, son ancien camarade d’université Don Boyer, directeur de marketing et de relations publiques de la chanteuse chrétienne Sandi Patti Helvering avait découvert que le Conseil du Monde de la Mère suprême (Mother supreme council of the world) du Rite écossais basé à la Maison du Temple de Washington éditait une revue intitulée "New Age Magazine".

Alice Bailey créa au début des années 1920 la Lucifer Publishing House qu'elle plaça au coeur du dispositif de la Société des Nations. Cet organe rebaptisé Lucis Trust qui est toujours actif au sein de l'ONU reste opaque. Gary H. Kah affirmait que Robert Mc Namara (l'homme à l'origine de la guerre du Vietnam), l'ex-président Ronald Reagan, le stratège Henry Kissinger et le financier Rockefeller en ont fait partie (mais cette liste revient peut-être à identifier le Lucis Trust à l'ensemble des Illuminati). Executive Intelligence Review (le groupe de LaRouch) a affirmé aussi que Gorbatchev en était membre.

Dans les années 1970-1980, les adeptes du New Age se sont beaucoup mobilisé pour l'instauration d'un gouvernement mondial, en jouant sur le thème de l'écologie, et sur celui de la pauvreté dans le monde.

Dans notre précédent article sur Greta Thunberg on rappelait qu'un des pères fondateurs de la célébration (ça lui a valu une mention spéciale cinquième festival annuel de la Terre entière en 1974, de l'État de Californie) du Jour de la Terre (célébré pour la première fois le 22 avril 1970), le docteur José Argüelles (1939-2011), déclarait en 1999 au sommet de la paix du Costa Rica (World summit on peace and time) que le choix de la treizième lune dans le calendrier du temps naturel pour cette journée reconnue par l'ONU correspondait à une "application universelle aux mathématiques et à la cosmologie du calendrier maya... qui présente une opportunité profonde de changer les consciences". Aguelles se qualifiait lui même de "prophète et visionnaire" et s'affublait du nom païen de "Valum Votan".  Au Sommet de la terre de 1992 un groupe "transformaliste", les "gardiens de sagesse / wisdomkeepers" entretinrent un cercle de feu activé par des tambour et de la méditation pour entretenir l'énergie de la conférence inaugurée par le Dalai Lama.

Gary H. Kah met pour sa part aussi l'accent sur une autre groupe New Age, la World constitution and parliament association (WCPA) dont il suivit les activités en 1986-1987. Ce groupe créé en 1958 par Philip Isely s'évertuait à doter le monde d'un parlement (dont la première session se tint en 1982) et d'une constitution. Lors de la 3e session de son parlement en 1987, Tous les chefs spirituels invités à s'exprimer étaient des des yogis et des swamis, ainsi que le révérend  Jesse Jackson, célèbre politicien du parti démocrate, membre du Council on foreign relations (CFR - le shadow cabinet mondial des grandes banques) et chef du mouvement pour les droits civiques Rainbow coalition

En p. 196 de son livre dans les annexes Kah produit la lettre du WCPA adressée à chaque dirigeant de grands pays du monde le 10 février 1989 leur demandant d’être "patriotes du monde" et qui insistait en p 2 et 3 sur la crise climatique. Comme on le voit, cet embrigadement autour du climat chez les occultistes ne date pas d'hier...

Ce WCPA n'est il qu'un groupuscule d'illuminés isolés ? Selon Kah la WCPA allait de pair avec la World Union : en 1987 le secrétaire général de World union, Sri A. B. Patel était président à vie de la WCPA et le président-chairman de la World Union N S Rao est un des 2 co présidents de la WCPA (p 83). Ces gens étaient des théosophes : en août 2018 le spécialiste brésilien de l'écologie Maurício Andrés Ribeiro évoquait sur son blog le souvenir de Sri A. B. Patel qu'il avait rencontré en 1977 en Inde et qui était un disciple des thèses du yogi Sri Aurobindo à la fois sur le volet du yoga et sur celui de la fédération mondiale.  Sri A.B. Patel a écrit qu'à "la veille de l'indépendance de l'Inde, Sri Aurobindo a envoyé un message à la nation indienne dans lequel il déclarait avoir constaté que presque tous les mouvements mondiaux qu'il espérait voir réalisés au cours de sa vie étaient déjà en route réussi, même si au début ils semblaient être des rêves irréalisables. Dans son message, il avait évoqué cinq rêves; le troisième d'entre eux était celui d'une union mondiale constituant le fondement extérieur d'une vie plus juste, plus brillante et plus noble pour tous les hommes". Le N.S. Rao était président émérite de la principale compagnie d'insecticides agraires en Inde et d'une banque coopérative de Mumbai, mais surtout un illustre karma yogi qui avait été associé très tôt à la World Union.

Or la World Union a fusionné avec la Bonne volonté mondiale, émanation du Lucis Trust en 1961, et elle comptait dans les années 1980 quatre membres du CFR dans ses rangs selon Kah. Tout ce petit monde a un pied dans le dialogue interreligieux, puisque Cynthia Wedel,  la première femme présidente du Conseil national des Églises aux Etats-Unis (un organe oecuménique qui réunit orthodoxes et protestants soit environ 40 millions de personnes aujourd'hui),  était membre honoraire du Parlement mondial provisoire,du WCPA.

En outre dans son second grand ouvrage The demonic roots of globalism (1995), qui complète le précédent, Kah  montre que dans le même esprit que cette Journée de la Terre il fut créé le premier "World healing day", journée mondiale de la guérison. Ce jour fut inventé par John Randolph Price et fixé par lui au 31 décembre 1986. Price est un conférencier New Age qui se disait guidé par l’esprit de l'entité “Asher”. Il inscrivait son projet dans la continuité de l'opération "USA for Africa" (on se souvient des paroles de la chanson qui reconnaissaient que Satan était le maître des artistes qui y participaient). Dans Billboard magazine (Report from the planetary commission, 1e mai 1986 cité dans le livre de Kah en p. 112) le crooner Harry Belafonte "ambassadeur de bonne volonté" de l'UNICEF l'année suivante déclarait que ce “We are the world” qu'il avait lancé appelait à régler le problème de la famine au niveau de l’ONU (donc d'une forme de gouvernement supranational. Comme le concert de charité Live Aid de juillet 1985 (avec toutes sortes d'occultistes comme Jimmy Page, Madonna, Freddy Mercury, Sting, Bono, Mc Cartney, Bowie etc) vu par 2 milliards de personnes grâce à une opération de synchronisation des chaînes de télévisions qui était une première mondiale, ce Jour de la guérison devait réunir simultanément le un maximum d'énergies mentales sur la Terre pour créer un égrégore.  

Barbara Marx Hubbard (1929-2019), une juive agnostique  new yorkaise inspirée par Teilhard de Chardin (Kah p. 119) à qui un faux Jésus avait parlé en 1980, nominée pour le poste de vice-présidente par le parti démocrate en 1984, avait agi pour que l'URSS soit aussi associée à ce happening new-age en rencontrant à Moscou Joseph Goldin (1944-2000)  - le père du premier pont spatial entre les USA et la Russie, partisan du remplacement de l'âge des religions par celui de la communication -  qui avait un projet similaire.  Pour elle ce jour de guérison devait être une « Pentecôte planétaire », tandis qu'elle définissait la pentecôte des apôtres comme « un champ magnétique de conscience créé  qui a activé les pouvoirs dormants qui existent en chacun de nous » (Voir son livre Manual for co creators of the quantum Leap p 10-11). Trois ans plus tard Gorbatchev allait rencontrer le pape Jean Paul II au Vatican (décembre 1989), puis entretenir un correspondance intensive avec lui comme il allait le reconnaître dans le Denver Post de 1992, en le décrivant comme la plus haute autorité spirituelle du monde. En octobre 1986, ce pape avait organisé à Assise les « Journée mondiale de prière pour la paix », première grande rencontre interreligieuse mondiale où l'on célébra pêle-mêle (si l'on en croit le journal La Croix du 27 oct 1986) la grandeur du syncrétisme bahaï, les origines israélites de Saint François d'Assise, et où sikhs et hindous se  rejoignaient pour former un groupe unique de prière avec les zoroastriens et les "giaïanistes" (ou plutôt "gaïanistes")...  "Un quartier plus loin, dans un local bénédictin, des bouddhistes roulent entre leurs mains le rosaire, afin que les êtres humains soient délivrés des souffrances du corps et de l’esprit.", notait béat l'envoyé spécial Georges Mattia de La Croix. Il ne précisait pas si ces "rosaires" n'étaient pas des chapelets faits avec des morceaux d'os humains comme le sont souvent les chapelets tibétains.

En 1986, il y eut aussi l'opération "Million minutes of peace" (Kah p 127) soutenu par le Lucis Trust, le Dalai Lama (le grand "chef spirituel" qui a pris 1 million de dollars pour aller parler devant la secte sexuelle NKIVM), la Scientologie etc à la cathédrale Saint Jean le Divin (St John The Divine) à Manhattan où à l'époque on pouvait voir un Christ féminin avec des gros seins (un peu comme l'affiche du "Je vous salue Marie" de Godard). En 2018, il se tint une parade des morts-vivants dans cette cathédrale pour Halloween au son terrifiants de la musique du film sataniste Nosferatu. A 32 ans d'écart les constantes sont visibles. L'événement rassembla "plus d'un milliard de minutes de paix sous forme de prières, de méditations et de pensées positives" selon l'organisation Brahma Kumaris qui s'en attribue la paternité.

Pour approfondir le sujet, il faudrait croiser le travail de Gary H Kah avec celui de Mgr Michel Schooyans, professeur émérite à Louvain qui, dans "La face cachée de l'ONU" (eds Le Sarment p. 67) présentait en ces termes la Charte de la Terre (considérée par M. Gorbatchev en mars 2000 comme le "décalogue de la nouvelle éthique globale") en ces termes : "A la lecture de l'ensemble du texte, il saute aux yeux que la Charte de la Terre est imprégnée de tous les stéréotypes divulgués par le Nouvel Age. On remarque, en particulier, la place centrale accordée au thème du holisme ; le grand tout du monde ambiant a plus de réalité que les éléments qui en procèdent et en font partie." Une forme de totalitarisme que M. Shooyans dit inspirée de la notion de holisme inventée par le général philosophe Jan Christiaan Smuts, (1870-1950), une des figures de proue du groupe maçonnique de la Table Ronde (fer de lance de l'impérialisme anglais et de la mise en place de la Société des Nations), collaborateur de Churchill - voir notre billet sur le WWF.

En tout cas on voit bien à la lecture de Kah se mettre en place dès les années 80 la matrice d'un mondialisme mi-luciférien, mi-hindouïste syncrétique (sachant que pour l'hindouïsme toutes les religions sont potentiellement des émanations de leurs divinités), avec très probablement une certaine maçonnerie à l'arrière plan, dont les manifestations n'ont été ensuite que de plus en plus visibles sous Bill Clinton et dans les années 2000. Si l'on ne tient pas ensemble le projet politique d'empire mondial quels que soient les leaders qui le mettent en oeuvre (Napoléon, la reine d'Angleterre, Hitler, le secrétaire général de l'ONU ou le président des Etats-Unis) et ses racines spirituelles, on ne comprend rien à la dynamique profonde du mondialisme.

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Hollywood mobilisée pour le droit à l'avortement

10 Juin 2019 , Rédigé par Frédéric Delorca Publié dans #Les régimes populistes, #Les Stazinis, #Grundlegung zur Metaphysik, #Christianisme, #George Soros, #Donald Trump, #Avortement

Nouvel épisode de la guerre civile larvée entre la "gauche sociétale" mondialiste et la droite chrétienne nationalistes aux Etats-Unis depuis l'élection de Trump, l'industrie du divertissement lance une offensive contre les Etats "pro-vie" (pro-life - anti IVG). Après Netflix, les studios Warner, Disney, Universal, Sony emboîtent le pas… Plusieurs géants américains du divertissement sont finalement sortis de leur silence pour prévenir qu’ils pourraient cesser de tourner films et séries télévisées en Géorgie et dans d’autres Etats cherchant à limiter le droit à l’avortement (ce dont bien sûr l'Obs s'est fait amplement l'écho). Des acteurs comme Sophie Turner, icône du film ésotérique Dark Phoenix, ont fait de même.

La sorcière de la série Charmed Alyssa Milano, égérie de MeToo (et peut-être sorcière à la ville aussi, car on l'accuse d'avoir jeté un sort à une audition de Kavanaugh en septembre 2018) a appelé  à la grève du sexe pour défendre l'avortement, comme Lysistrata dans la comédie d'Aristophane (ce qui indiffère autant les conservateurs que de voir les militantes féministes se dévêtir dans les manifestations, même notre Schiappa nationale l'a compris). L'infernale Miley Cyrus y va de son couplet dans son mauvais goût habituel en se mettant en scène sur Instagram lêchant un gâteau qui indique que l'avortement est une soin de santé (certains trouvent quelque chose de reptilien à son obsession du léchage). Marionnette du système Disney comme Britney Spears, Ariana Grande et consort, sous MK ultra selon certains, elle a déjà un passé rempli pour avoir souvent mis en avant des images de pizza sur les réseaux sociaux (alors qu'elle avait révélé en avril 2012 son allergie au gluten) ce qui peut faire écho à l'affaire des sacrifices d'enfants liées au Pingpong Cosmet cher à Soros et Hillary Clinton (voir le Pizzagate révélé par Wikileaks).

Voilà pour les praticiens de magie blanche ou grise. Les satanistes ne sont pas en reste (mais c'est peut-être le même club, au fond...). Le Temple satanique basé à Salem, qui a reçu le statut d'église par l'administration fiscale, a déclaré mardi qu'au nom de la liberté religieuse, il contesterait une décision de la Cour suprême confirmant une loi de l'Indiana exigeant l' inhumation ou la crémation des restes de fœtus . Un de ses membres dans le Missouri avait attaqué en justice en avril une loi d'un Etat qui oblige les femmes qui demandent un avortement à attendre trois jours, affirmant que cela enfreint la liberté de religion. On se demande bien pourquoi cette secte s'intéresse ainsi aux foetus... Pour mémoire une église Satan vient d'ouvrir à Paris...

Avec le satanisme, tout est inversé (pas seulement les pentagrammes et les croix), la vie, la mort. Un peu comme dans cet article du NY Times du 21 mai dernier où une médecin spécialiste de l'avortement tardif explique que c'est la grossesse qui tue, pas l'avortement.

Le lobby de gauche sociétal américain est soutenu par Cannes où se vendait un vrai film intitulé When Women Rule the World/Quand les femmes dominent le monde et qui met en vedette un sosie de Melania Trump qui sur l'affiche tien à la main la tete coupée de son mari (à rapprocher du clip de Katy Perry "Hey hey hey" où l'on voit Jeanne d'Arc avec la tête de Marie Antoinette à la main, après Daech c'est Hollywood qui banalise la décapitation, comme ses ancêtres de 1793). La comédienne Kathy Griffin avait publié il y a deux ans, une photo où elle portait également la tête ensanglantée de Trump (une anticipation de Apocalypse 20: 4 ?). Le réalisateur Sheldon Silverstein est un producteur connu qui a travaillé avec Lelouch et Fellini. 

En France le droit à l'avortement qui a été instauré à la suite du lobbying maçonnique dans les années 70 derrière Pierre Simon, gynécologue et endocrinologue français, grand maître de la « Grande Loge de France »,  (juste retour des choses son icône Simone Veil a été placardée sur le Panthéon, église maçonnique construite par le maçon Soufflot en septembre 2018), n'a cessé d'être facilité par les gouvernements de la gauche sociétale. Mais notre pays n'en est pas encore à autoriser l'avortement jusqu'à la naissance comme l'a fait l'Etat de New York en janvier dernier.

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